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Présenté par le président M. Jean-Michel RAVAILHE

Monsieur le préfet,

Madame et monsieur les sénateurs, Madame et messieurs les députés,

Madame et monsieur les procureurs de la République, Mesdames et messieurs les conseillers départementaux,

Mesdames et messieurs les représentants des corps constitués, Monsieur le directeur départemental des territoires,

Monsieur le président de la FNPF, Monsieur le président de l’ARPNA,

Messieurs les présidents des fédérations de pêche de l’ARPNA, Madame et messieurs les présidents des AAPPMA,

Mesdames, messieurs, chers amis pêcheurs,

Comme je le précisais lors de l’ouverture de cette assemblée générale, je suis heureux de vous accueillir ici chez nos amis chasseurs que nous remercions au passage pour le prêt de leur magnifique amphithéâtre. C’est toujours un plaisir de se retrouver pour échanger en toute transparence. Les différents rapports vous auront montré au travers des bilans et de quelques points particuliers que votre fédération ne reste pas les deux pieds dans la même botte.

Le dernier trimestre aura vu le renouvellement des conseils d’administration dans les AAPPMA et ce au niveau national. En Dordogne, vous savez que nous sommes très attachés au maillage territorial, maillage qui offre de multiples avantages. Rappelez-vous, ici même l’an dernier, je vous faisais part de quelques inquiétudes à ce sujet. Nous sentions bien poindre un essoufflement au sein des AAPPMA dans un contexte morose que la crise sanitaire n’avait fait que renforcer et qui avait induit un rallongement d’une année pour nos mandats. Nous nous sommes mutuellement motivés et au résultat ce ne sont que 2 AAPPMA qui auront disparu de notre paysage : LA FORCE à la fin 2020 et ST CAPRAISE DE LALINDE en 2021. Leur territoire de compétence a été repris respectivement par GARDONNE et MOULEYDIER. Nous ne pouvons pas nous réjouir de ces deux disparitions mais positivons : 2 dissolutions alors que nous en craignions une dizaine. Tout l’enjeu est de pérenniser cette dynamique existante au sein de notre réseau. Une fédération départementale doit constituer le catalyseur à ce sujet.

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Dans quelques jours, le 26 mars exactement, vous serez appelés à l’urne afin d’élire le nouveau conseil d’administration fédéral qui devra œuvrer pour cinq ans à compter du 1er avril. L’échelon départemental devra continuer à travailler pour la défense des milieux aquatiques et de l’exercice de toutes les pêches à la ligne. Je ne vais pas me lancer à dresser ici un bilan sexennal mais je vais revenir sur certains points.

Auparavant, je vous rappelle que j’ai pris le bateau en marche, même si je siégeais au conseil d’administration depuis 1992. Jean-Marie RAMPNOUX a en effet décidé, pour des raisons personnelles, de passer la main en 2018. Le conseil d’administration m’a élu à la tête de la structure. Toutefois, je ne vous cache pas que j’avais longuement hésité, non pas parce que je n’étais pas animé d’une passion pour la pêche associative mais plutôt parce que la tâche qui allait m’incomber me faisait un peu peur. Je me suis jeté à l’eau et, en toute modestie, je ne crois pas m’être noyé même si j’ai souvent bu la tasse.

Une fédération de pêche c’est une entreprise avec son budget, ses salariés et ses multiples missions qu’il faut exercer dans un contexte souvent difficile car en permanence lié à l’eau. Et votre fédération elle fonctionne ! Ses finances sont particulièrement saines, son personnel est compétent et motivé, et, n’en déplaise à certains, les actions entreprises et réalisées sont en parfaite cohérence avec nos missions statutaires.

Je souhaite rendre hommage à ceux qui ont décidé, pour diverses raisons, de ne pas briguer un nouveau mandat :

- Ghislain BATAILLE, notre actuel vice-président, élu depuis 1992. Cet éminent personnage a agi souvent sans compter pour la pêche associative en Dordogne et même en France puisqu’il a été et est encore administrateur à la FNPF. Il aura notamment été à l’initiative du repeuplement et du maintien de la truite fario sauvage dans nos cours d’eau. Il se sera également montré très impliqué dans la mise en place de la carte internet en France dont tout le monde se félicite. Ghislain va manquer à la pêche en France, à la pêche en Dordogne même si je sais qu’il aide son AAPPMA locale qui vient d’élire un très jeune président. Merci Ghislain.

- Jean-Marie RAMPNOUX, mon prédécesseur, qui présida de 2009 à 2018. Il est devenu depuis secrétaire. Personnage connaissant le département sur le bout des ongles, calme et à l’écoute, il présida très sereinement en entretenant une parfaite cohésion au sein de l’équipe. Merci Jean-Marie.

- Jacky BESSE, notre responsable 1ère catégorie et pensionnaire de MOULEYDIER. Toujours présent et souriant, il fut également un pilier de la structure. Merci Jacky.

- Je cite également Christian LAGREZE, Fabrice RIGHETTI et Roger LASSALLE qui œuvrèrent à la hauteur de leur disponibilité mais toujours efficacement. Merci à eux.

- Enfin, je n’oublie pas de rendre un nouvel hommage à Alex ELIZONDO qui nous a quittés bien prématurément en 2020. Sa saine décontraction et sa gentillesse manquent aux berges de la Vézère du côté de MONTIGNAC et à la Dordogne.

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Les missions de votre fédération vous le savez sont multiples. Tant les sujets sont nombreux, elles requièrent un travail quotidien et des connaissances techniques pointues dans tous les domaines. Grâce à l’implication de tous, administrateurs et acteurs professionnels que je remercie, votre fédération se sera démenée partout ou presque !

Le combat pour l’eau impose une vigilance de tous les instants et demande de siéger partout où la Loi et les règlements nous y autorisent. Ainsi, nous travaillons quotidiennement en étroite collaboration avec l’Agence de l’eau, la préfecture, la DDT, la région, le département, les collectivités territoriales, les EPCI, la chambre d’agriculture, les syndicats de rivières, EDF, EPIDOR et le Parc Naturel Régional Périgord Limousin.

Les résultats sont parfois longs à venir, voire peu visibles ou lisibles. Pêle-mêle, nous avons réussi à provoquer une réhausse des seuils minima concernant l’irrigation sur bon nombre de cours d’eau. Nous avons participé et participons encore à la restauration de la continuité écologique partout où elle est nécessaire. Nous participons à l’aménagement de cours d’eau afin que les habitats et les faciès recouvrent une certaine fonctionnalité. Nous animerons le programme de territoire de gestion de l’eau en Dordogne (PTGE), programme qui semble patiner, engoncé dans le mille-feuilles politico administratif français. Nous siégeons aux bureaux du comité local de l’eau (CLE) du SAGE (SAGE : schéma d'aménagement et de gestion de l'eau) Dordogne Atlantique et du SAGE Isle-Dronne, aux comités locaux de l’eau du SAGE Vézère, du SAGE Dordogne Amont et du SAGE Dropt. Il convient de se montrer particulièrement vigilants sur le fond de la rédaction des textes qui en émanent et qui auront valeur réglementaire. Nous interpellons les parlementaires sur les propositions de Lois qui nous semblent délétères pour les écosystèmes aquatiques. Le cocktail « dérèglement climatique / problématique des énergies » impose toute notre attention car le milieu aquatique est naturellement au cœur des débats : réchauffement des eaux et étiages sévères, besoins avérés ou farfelus de stockage de l’eau, sauvegarde de ce qu’il reste de zones humides, déforestation importante malgré ce que l’on veut nous faite croire, imperméabilisation des sols, agrandissement des exploitations dans l’agriculture dont l’érosion des effectifs entraîne une industrialisation des pratiques, inertie sur l’évolution d’une agriculture conventionnelle dont les conséquences à terme sont connues, évolution des énergies où l’eau est en train de constituer une variable d’ajustement. Nous entendons parler des inconvénients de l’énergie solaire et éolienne. Nous entendons moins évoquer les effets dévastateurs de l’énergie hydroélectrique ! La reproduction du brochet va encore déguster cette année sur la rivière Dordogne que tout le monde présente comme un joyau !

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Il faut donc composer avec tout ceci. Je dis bien composer car les usages de l’eau sont légitimes pour tous. Toute la difficulté réside donc dans la patience, la persévérance et la force de proposition. Combattre sans se déchirer ! Les responsables de la pêche associative sont des gens … responsables, aux antipodes de ceux qui veulent faire changer la face du monde en mettant au même niveau les hommes et les animaux. Je ne vais pas philosopher sur les multiples théories en la matière en citant ARISTOTE ou DARWIN. Le bien-être animal est important tout comme celui des humains. Il est question de raison et de bon sens. Nous devons combattre sereinement les idées de ceux qui donnent des croquettes industrielles à leur chat chéri. Nous ne sommes plus au moyen-âge mais ne sombrons pas dans une zoolâtrie ridicule !

La société évolue, les besoins évoluent et il faut donc adapter ces besoins aux ressources. Je ne crois pas prononcer d’ineptie. Comment accepter alors que les poissons migrateurs, ambassadeurs à nos yeux de la biodiversité aquatique, fassent encore l’objet de pêche aux filets ou que ces mêmes filets constituent un obstacle à leur montaison ? Un saumon ou une grande alose ne connaissent pas la réglementation. Ils ne savent pas que leur pêche est interdite et les prises « accidentelles » se révèlent fatales. Le COGEPOMI chargé de leur sauvegarde continue, au travers d’un document dénommé PLAGEPOMI que notre illustre Jacques LAGUERRE avait en son temps joliment surnommé PLAGEPIPEAU, à vouloir gérer la pêche plutôt que ces espèces qui sont toutes en grand danger, voire en danger d’extinction. Les fédérations de pêche associative ont voté contre ce texte qui a bien sûr été adopté tant notre représentation est faible dans cette instance. Mais notre combat continue et va aller crescendo ! Je vous le promets ! Il n’est pas concevable que les millions d’euros publics dépensés chaque année soient peine perdue. Par exemple, MIGADO c’est près de 4 millions d’euros par an et la passe à poissons EDF de Mauzac c’est 4 millions d’euros. Le dernier PLAGEPOMI s’est 130 millions d’euros en 6 ans. On arrive bien à protéger les éléphants et les orangs outans. Pourquoi pas le saumon et ses copains ?

Nous communiquons évidemment à propos de tous ces sujets. La communication est une action indispensable pour faire connaître nos actions en matière de protection et de restauration des milieux mais aussi pour promouvoir notre loisir. La fédération a fortement développé cette thématique à l’endroit des pêcheurs mais aussi de ceux qui ont abandonné ou n’ont jamais pratiqué cette activité. Savoir se montrer objectivement attractif n’est pas chose aisée et demande beaucoup d’inventivité. Je ne crains pas d’affirmer que si nos effectifs ont amorcé une courbe à la hausse depuis 2020 c’est grâce en partie à cette communication qui a su cibler les bons moments et les bons endroits. En complément des quotidiens régionaux et des revues spécialisées, l’utilisation des réseaux sociaux, lorsqu’elle est maîtrisée, est un formidable vecteur de communication.

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A ce sujet, l’information du jeune public est indispensable et capitale. Ce sont eux qui deviendront les pêcheurs et responsables de demain. Les sensibiliser aux problématiques environnementales au travers de l’eau est un devoir. Ils comprendront donc mieux ce qui les entoure et s’adonneront à la pêche en intégrant ce concept qui nous anime et nous attire au bord de l’eau. Bon nombre d’entre vous participe activement à cette mission au travers des Ateliers Pêche Nature mais aussi de vos animations régulières. Elle va se développer encore plus pour forger les esprits afin que « pêche à la ligne » soit associée à protection du milieu aquatique et non pas à une activité inutile, barbare et inique comme certains veulent le faire entendre auprès de notre jeunesse.

La communication prend également tout son sens dans le développement des territoires.

Favoriser le tourisme pêche n’offre que des avantages. Ce que nous avons entamé lors de ce mandat porte ses fruits. Il se parle de la Dordogne en termes de destination pêche et de dynamisme. Il ne se parle pas que de la Dordogne, mais il s’en parle ! Le Schéma Départemental du Développement du Loisir Pêche (SDDLP) est un formidable outil que nous utilisons, que vous utilisez et qui intéresse les élus locaux. Je rappelle au passage que le partenariat qui nous lie au conseil départemental depuis quelques années a franchi un palier fort appréciable et ne faiblit pas. Les 5 grands plans d’eau lui appartenant sont offerts à la pêche publique, avec des équipements appréciables et pertinents. Ils sont accessibles à tous, sans supplément et offrent une diversité de pratiques dans un cadre préservé. Les efforts consentis par le département à ce sujet sont remarquables. C’est loin d’être le cas partout. Pour ceux qui en doutent encore, renseignez-vous !

Et les poissons me direz-vous ? J’ai évoqué la problématique des migrateurs car elle est importante. Mais nous n’oublions pas les autres évidemment. Le programme mis en place en 1992 pour restaurer les populations de truites sauvages qui avaient quasiment disparu porte ses fruits même si les problématiques environnementales vont certainement nous obliger à revoir notre copie sur les répartitions géographiques. Je voudrais également tordre le cou à l’idée qu’ont certains à ce sujet. Nous avons suffisamment de recul pour affirmer que ces opérations fonctionnent. C’est bien beau de vouloir tout gérer en patrimonial, mais gérer un désert cela ne nous intéresse pas ! J’affirme, chiffres et observations à l’appui, que nous participons activement à la sauvegarde de la biodiversité à ce sujet. Remettre en cause les actions de certains alors que l’on ne fait rien pour traiter les causes du problème est un sport national. Si demain, les rivières salmonicoles n’ont plus besoin de ce coup de pouce, nous en serons les premiers satisfaits. Il aura fallu auparavant régler les problèmes tenant aux difficultés de reproduction de la truite. Nous y travaillons. « L’histoire enseigne aux hommes la difficulté des grandes tâches et la lenteur des accomplissements, mais elle justifie l’invincible espoir. »

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D’une manière générale, les nombreuses perturbations, couplées aux dérèglements climatiques, bouleversent indéniablement les cycles de reproduction de nos poissons ainsi que l’ensemble de la chaîne alimentaire. Les opérations de repeuplements ciblées que nous effectuons sont donc pour certaines espèces un complément écologique et halieutique indispensable à leur maintien dans l’écosystème aquatique.

Il n’est donc pas honteux d’affirmer que notre beau département offre encore de multiples occasions de s’adonner à notre loisir favori dans de bonnes conditions. Certes, il n’est pas toujours aisé d’accéder à la rivière mais vous savez qu’entretenir 4 500 km de cours d’eau en zones privées ou publiques mais entourées par une réglementation draconienne n’est pas du seul ressort d’une fédération de pêche. Nous proposons, nous agissons et nous finançons à la hauteur de nos moyens. Nous essayons de couvrir toutes les problématiques liées aux infrastructures. Le programme pluri annuel de restaurations et de créations de cales à bateaux sur nos grands cours d’eau en est un bon exemple.

Je souhaite aborder aussi un point particulièrement délicat : la police de la pêche. Alors qu’il s’agit d’une mission régalienne de l’Etat, elle n’est quasiment plus assurée par ceux qui en ont les prérogatives légales. Les raisons sont multiples : multiplication des missions pour les forces de police, de gendarmerie et de l’OFB avec des effectifs qui ne sont pas élastiques, contentieux inconnu chez la plupart des personnels habilités et perte de l’importance de la mission dans l’inconscient collectif de nos responsables. Cette mission est cependant importante. Elle est garante du respect de l’environnement en général. Elle conditionne en partie la réussite de nos opérations. J’avoue que nous avions fondé de grands espoirs voici deux ou trois ans lorsque nous avons essayé de mettre en place une « brigade fédérale » composée d’une partie de vos gardes-pêche particuliers. J’avais concurremment entamé des discussions à ce sujet avec le commandant du groupement de la gendarmerie de Dordogne qui avait été convaincu que des opérations de contrôles pouvaient aussi participer à la reconquête de certains espaces et s’inscrire pleinement dans la prévention de proximité. Mais la crise sanitaire est passée par là.

Nous n’avons pu qu’intervenir sporadiquement avec les difficultés que vous connaissez. Il s’agira de remettre le dispositif en marche !

La machine fédérale se modernise et évolue. Elle a notamment enrichi ses capacités à produire des données en matière de thermie en étoffant son arsenal technique. Désormais, le réseau hydrographique est couvert par une centaine de sondes qui nous permettront de disposer de données fiables sur les conséquences du changement climatique.

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Un important effort est également mené pour harmoniser les méthodes et structurer la donnée à l'échelle régionale, grâce à de nombreux échanges (journées techniques régionales) et la mise en place de trames et outils communs, notamment en lien avec l'Agence Régionale de la Biodiversité de Nouvelle-Aquitaine. Sous la houlette de l’ARPNA (association régionale des fédérations de pêche de Nouvelle-Aquitaine), le déploiement du WEBPDPG (version informatique du Plan Départemental pour la Protection des milieux aquatiques et la Gestion des ressources piscicoles) permettra de disposer de toutes les données bancarisées qui concernent les milieux et nos activités. Ces données pourront être partagées avec toutes les personnes ayant à en connaître ce qui témoigne de notre forte et pertinente implication dans la reconquête et la sauvegarde de la biodiversité.

Notre réseau associatif est solide. Consacrée par la Loi, sa légitimité n’est plus à prouver. La fédération nationale aide les fédérations départementales à pérenniser les emplois et à permettre certaines actions sur les milieux. L’association régionale se révèle être un relais indispensable avec la région Nouvelle-Aquitaine qui aide considérablement ses 12 fédérations.

Le département de la Dordogne s’inscrit dans une dynamique visant à préserver les milieux tout en offrant une attraction halieutique intéressante. Les autres collectivités territoriales en ont saisi tout l’intérêt pour la valorisation de leurs secteurs. Les outils sont donc présents. A nous de savoir les utiliser de façon raisonnée et efficace.

Mais tout ceci n’aurait aucune existence si vous n’étiez pas présents, vous les bénévoles qui consacrez une grande partie de votre temps à cette noble mission. Nous devons vous en être reconnaissants. Je faisais état de mes inquiétudes l’an dernier. Aujourd’hui, je suis plutôt confiant. Les espoirs se concrétisent à plus d’un égard. Je félicite l’ensemble des AAPPMA de Dordogne qui ont su trouver les ressources pour que perdurent leurs structures. Un taux de renouvellement de l’ordre de 25% dans les bureaux témoigne de l’intérêt que nous suscitons.

Le défi est grand pour les cinq années à venir. Continuer nos actions et prouver que nous obtenons des résultats. Renouveler les cadres en douceur et surtout retrouver un vrai relationnel qui a quelque peu été délaissé ces derniers mois pour les raisons que vous connaissez.

Les maîtres mots seront : ECOUTER, EDUQUER, SENSIBILISER, INVENTER & COMBATTRE.

Et comme celle-ci je l’aime bien, je la répète :

« Le courage c’est de chercher la vérité et de la dire. »

J.Jaurès

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Les actions de la FDAAPPMA 24 sont réalisées grâce aux soutiens technique et financier de nos partenaires :

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