• Aucun résultat trouvé

Voici les résultats de l’évaluation du module 7 :

> 1- Pour identifier sa contribution, il n’est pas nécessaire de s’intéresser aux états internes négatifs, s’intéresser à ce qui nous motive est suffisant :

✗ Vrai

✔ Faux

C'est faux. Identifier sa contribution, la clé n°4, nécessite de s'appuyer sur les 3 clés précédentes, c'est à dire les valeurs, les états d'être de sa vision, ses forces naturelles ou talents, et les cadeaux cachés de ses épreuves.

Pour cela, on va s'intéresser à ses états internes négatifs, ses relations douloureuses, ses épreuves de vie difficiles.

> 2 - Accueillir les émotions négatives, cela signifie :

✗ Ignorer leur présence jusqu’à ce qu’elles s’en aillent

✔ Les observer et les accepter comme partie de soi

✗ Tout faire pour les supprimer

Les observer et les accepter comme partie de soi, que ce soient des créations

désagréables ou agréables. Elles sont toujours l'expression de son pouvoir créateur.

Il est vraiment important d'accueillir ce qui est là, même - surtout - ce qui n'est pas agréable. Car c'est là qu'il y a le plus fort enjeu, le tremplin, la voie d'accès vers sa vision.

> 3 - La grille SEPAB est l’anagramme de :

✗ Situation, écoute, prise en compte, action, besoin

✔ Situation, émotion, pensée, action, besoin

✗ Sentiments, écoute, penser, action, besoin

Réponse 2 :

 le S comme Situation.

Décrire les faits

 Le E comme émotions,

Observer l'état émotionnel et ses manifestations physiques.

 Le P comme Pensées, Observer les pensées.

 Le A comme action

Observer et décrire les actions associées à ses émotions et ses pensées, paroles, gestes, comportements

 Le B comme besoin

Identifier les besoins qui sont cachés derrière ces réactions.

Derrière l'émotion, la pensée, les besoins sont toujours liés à la peur fondamentale, celle de manquer d'amour, toujours liée à cette illusion de séparation d'avec notre nature qui est l'amour.

La grille SEPAB est un outil qui va vous permettre d'accompagner l'observation d'un schéma, d'une émotion, d'une pensée, d'une croyance. Il va permettre à la personne coachée de se connecter à l'espace qui existe entre chacune de ces différentes étapes. 

> 4 - La pratique de la météo intérieure a pour objectif d’aider le client à mettre son focus uniquement sur ses états intérieur positifs :

✗ Vrai

✔ Faux

La météo intérieure est une pratique d'accueil, d'observation de tout ce qui est : états intérieurs positifs, états intérieurs désagréables. Pouvoir les observer, c'est leur dire

“je te reconnais, je vois que tu es là”.

Faire cela, c’est leur permettre de circuler, d'aller et venir, de ne pas s'accrocher.

C’est prendre une distance, marquer un recul, “je ne suis pas cet état intérieur positif ou négatif parce que je peux l'observer, je suis autre chose que cela”.

> 5 - La colère est une émotion :

✗ Qui a des répercussions physiques négatives

✗ Qui est considérée comme un poison dans beaucoup de religions

✗ Qui a beaucoup de choses à nous apprendre sur soi

✔ Ces trois réponses sont justes

Ces trois réponses sont justes. La colère est une émotion taboue, mal considérée et qui, si elle n'est pas acceptée, écoutée, entendue, peut avoir des répercussions physiques négatives.

 Une émotion désagréable, contenue, peut avoir des répercussions négatives, désagréables sur son niveau d'énergie et sur son corps physique.

 Elle est considérée comme un poison dans dans le bouddhisme et comme un péché dans la religion catholique.

 Au delà de ça, c'est une émotion signal, un messager qui a beaucoup de choses à apprendre sur la personne qui la ressent, sur sa vision, sur ce qui est vraiment important pour soi.

> 6 - On ne peut pas utiliser la grille SEPAB sur les situations de colère : 

✗ Vrai

✔ Faux 

C'est faux, la grille SEPAB est un outil d'observation de tous les états émotionnels, qui

permet de mettre une distance, de se connecter à son pouvoir créateur, à sa possibilité de créer ce qu'on veut créer et d'être qui on veut être.

On peut l'utiliser sur toutes les situations de colère, sur tous les états émotionnels désagréables, sur toutes les pensées, les croyances et les schémas limitants également. Il n'y a pas d'exclusion à cette pratique d'observation, de prise de conscience et de compréhension des états émotionnels.

> 7- L’une des clés de la gestion des conflits, c’est :

✗ D’oser dire tout ce qu’on pense

✗ De s’affirmer quoi qu’il en soit

✔ De tenir compte des besoins de l’autre

Dire tout ce qu'on pense, s’affirmer quoi qu’il en soit, je ne suis pas convaincue que ce soit toujours le plus juste, pour moi, la clé la plus importante, c'est tenir compte des besoins de l’autre, le traiter comme soi-même, cultiver cette connexion à l'autre, aimer l'autre comme soi-même.

C'est la peur fondamentale qui est à l'origine de tous les besoins de chaque personne et de tous les besoins de la personne coachée lorsqu'elle est en interaction difficile avec d'autres personnes.

Pour l’autre, c’est pareil : s'il y a une situation conflictuelle, c'est que ce besoin fondamental a été heurté par quelque chose. Tenir compte des besoins de l'autre dans sa façon de communiquer, dans sa façon d'être avec l'autre, c'est pour moi la meilleure clé de la gestion des conflits.

> 8 - Pour créer sa Vision, il faut nécessairement partir des créations mentales désagréables :

✗ Vrai

✔ Faux

C’est faux.

Pour l'aider à créer sa vision, il y a deux façons de procéder : soit vraiment choisir l'amour, nourrir sa vision, l'entretenir et chercher à la créer, soit partir des créations mentales désagréables et les transmuter pour créer sa vision. Il n'est pas nécessaire

de partir de là. On peut également partir de sa vision, la nourrir et la créer maintenant.

Souvent, les 2 approches vont être complémentaire et cela va dépendre de la situation de la personne coachée : est-ce qu'il/elle a des besoins particuliers, des symptômes particulièrement forts, des souffrances particulièrement vives qui font qu'il/elle a été amené(e), par exemple, à ce processus de coaching?

Il va falloir en tant que coach veiller à l’équilibre : toujours rebondir sur le choisir l'amour et ne pas s'enfermer dans les créations mentales sous peine de les nourrir.

> 9 - Revenir avec le coaché sur les épreuves douloureuses de sa vie, cela permet :

✗ De l’aider à accepter toutes les facettes de son être

✗ De l’aider à changer de regard sur ces événements

✗ D’identifier ce que pourrait être sa contribution

✔ Ces 3 réponses sont justes

Ces trois réponses sont justes.

Revenir avec le/la coaché(e) sur les épreuves les plus douloureuses de sa vie, va l'aider à accepter, puis à identifier les cadeaux cachés, en changeant de regard sur ces événements douloureux et difficiles.

> 10 - Le processus CAP® en 4 piliers s’applique uniquement à créer sa Vision en partant de sa Vision, pas des créations mentales limitantes :

✗ Vrai

✔ Faux

C'est faux. Il y a deux façons de créer sa vision, soit en partant de sa vision, soit en partant des créations mentales limitantes. Dans ce deuxième cas, on va garder toujours en fil directeur ce processus CAP® en 4 piliers.

 L'aider à écouter Pilier 1, prendre conscience, observer.

 L'aider à accueillir Pilier 3, accueillir, accepter, “je te reconnais, tu fais partie de moi”.

 L’aider à choisir l'amour à partir de cela, pilier 2.

 L’aider à ancrer ces changements sur la durée, Pilier 4.

> 11 - Les étapes de la transformation d’une croyance limitante en coaching, sont :

✗ Identifier la croyance limitante du client, favoriser la prise de conscience, puis la supprimer

✔ Identifier la croyance limitante du client, favoriser la prise de conscience, l’observer, l’accueillir, puis choisir une croyance plus conforme à sa Vision

✗ Identifier la croyance limitante, c’est suffisant

C'est la réponse 2.

On va d'abord identifier soi-même, en tant que coach, la croyance limitante de la personne coachée parce qu'il y a des étapes supplémentaires dès lors qu'on est face à des croyances, pensées, schémas, la phase de prise de conscience, d’identification.

Donc :

 Identifier cette croyance limitante chez son/sa client(e), favoriser sa prise de conscience et partager un ensemble de questions pour l'aider à réaliser qu'il/elle est face à une croyance limitante.

 Observer, prendre vraiment ce temps d'observation : “Comment se manifeste la croyance, quel est son impact physique?”

 L'accueillir, reconnaître qu'elle fait partie de ce pouvoir créateur, qu'elle est l'expression de ce potentiel

 Choisir l'amour, choisir une autre croyance plus conforme à sa vision, “quelles autres croyances pourraient être cultivées à la place?”

> 12 - Une croyance est forcément limitante : 

✗ Vrai

✔ Faux

C'est faux, une croyance est une pensée ancrée et récurrente, répétée tant et si bien que le/la coaché(e) la confond avec la réalité. La réalité est tellement complexe à appréhender, il y a tellement d'informations à chaque seconde qu'il est nécessaire d'avoir des raccourcis, des filtres à l'information, des croyances.

Certaines de ces croyances sont aidantes, stimulantes et vont l’aider à avancer.

Il y a des croyances qui vont le limiter. “Je suis nul”. “Je n'arrive jamais à rien”. “Je ne

suis pas motivé(e)”. “Je manque de confiance en moi”. Il y a des généralisations qui enferment, qui limitent.

Dès lors qu'on est face à des croyances limitantes, on va chercher à les transformer en croyances aidantes pour aider la personne coachée à avancer.

> 13 - Parmi les drivers classiques, on trouve :

✗ Sois fort, ne prends pas de risque, attends

✗ Sois fort, sois parfait, prends ton temps

✔ Sois fort, sois parfait, dépêche-toi

La réponse 3.

Les drivers, ce sont des messages tyrans, des croyances limitantes qu'on nous a inculquées, qu'on a entendues consciemment ou inconsciemment, qu'on a enregistrées et qu'on croit vraies.

“Dépêche toi, tu manques de temps, ne prends pas ton temps, prendre son temps, c'est être paresseux, il faut se dépêcher dans la vie, il faut faire beaucoup de choses”

“Fais plaisir aux autres avant de t'écouter.”

“Toi, tu es quelqu'un de timide.”

(Je mets dans cette catégorie toutes les étiquettes qu'on colle sur les autres et sur soi)

Vous allez régulièrement voir arriver à vous des personnes qui souffrent de ces étiquettes, de ces catégories. “Je suis quelqu'un qui manque de motivation”, “je manque de confiance en moi”, “je dois être parfait(e) pour être aimé(e)”, “je ne dois pas montrer mes émotions”, “je dois toujours me dépêcher”, “je dois faire plaisir aux autres avant de m'écouter moi même”.

Le rôle du coach : les identifier dans le discours de la personne coachée, l'aider à prendre conscience de l'existence de ces messages et créer des messages plus positifs, qui vont l'aider à avancer.

> 14 - L’ego c’est la partie de notre être qui ignore sa vraie nature :

✔ Vrai

✗ Faux 

L'ego, c'est la partie de nous, notre moi, qui a oublié l'amour, donc qui a peur d’en manquer.

De cette peur fondamentale là, naissent toutes les peurs, toutes les créations mentales qui sont à l'origine d'une souffrance.

Cet ego, c'est vraiment la partie de soi qui ignore sa vraie nature, qui ignore qui il est en profondeur, à savoir un être connecté aux autres, connecté à l'amour. De cette méconnaissance, de cet oubli naissent toutes les créations mentales, états émotionnels désagréables, schémas, pensées, croyances limitantes.

Tout ce qui n'aide pas à créer sa vision, tout ce qui n'aide pas à être pleinement épanoui(e), pleinement à sa place, à incarner sa plus belle vision de soi même, tout cela, ce sont des manifestations de l'ego.

> 15 - Lorsqu’il coache un client hypersensible, le coach :

✗ Le garde pour lui, n’en parle pas à son client

✗ Le renvoie dans tous les cas vers le corps médical

✔ En parle à son client et l’invite à accueillir son hypersensibilité comme un cadeau

C'est la troisième proposition.

Lorsqu'on s'aperçoit qu'on est face à un(e) client(e) hypersensible, je suggère de l’aborder avec le/la coaché(e). En gardant à l’esprit l'idée que connaître cette hypersensibilité a pour unique but d'être un soutien pour lui/elle, de l'aider à mieux se connaître et à avancer, pas de s'enfermer ensuite dans un profil.

Je mets toujours beaucoup d'attention à ne pas s'enfermer dans des étiquettes, dans des catégories, à prendre ses distances, à utiliser tout cela dès lors que ça aide, à le laisser de côté, dès lors que ça n’aide plus.

En parler à son/sa client(e) hypersensible, l'inviter à se renseigner davantage sur ce trait de caractère, si puissant et si présent, et à accueillir l'hypersensibilité comme un cadeau. Il y a des pratiques qui vont être particulièrement appropriées pour aider la personne coachée à accueillir cette hypersensibilité, et voir les cadeaux de cette hypersensibilité.

Le renvoyer dans tous les cas vers le corps médical, dès lors qu'il n'y a pas une souffrance répétée qui l'empêche de se connecter à ses ressources, je dirais que ce

n’est pas nécessaire.

Cela va dépendre des cas de figure, si les crises d'angoisse sont très présentes, très handicapantes, si il/elle a des difficultés à accéder à ses ressources, par exemple.

A FAIRE

 Revenez sur les points obscurs

 Participez aux prochaines sessions collectives

 Programmez vos sessions individuelles

 Préparez la suite : réservez votre prochain créneau de travail

Documents relatifs