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Réhabilitation/Réinsertion

IV. BILAN ET ANALYSE DES ACTIONS DE LUTTE CONTRE LA TRAITE DES

4.5. Réhabilitation/Réinsertion

Tableau 6 : Situation des activités de réinsertion/réhabilitation réalisées par région

Régions

Nombre d'enfants placés en apprentissage

Nombre d'enfants placés en apprentissage ayant

abandonné

Nombre d'enfants inscrits ou réinscrits à

l'école

Nombre d'enfants inscrits ou réinscrits à l'école ayant abandonné

Nombre d'enfants bénéficiaires d'AGR

F G T F G T F G T F G T F G T

Boucle du Mouhoun 12 16 28 0 1 1 1 0 1 0 0 0 0 0 0

Cascades 14 49 63 0 5 5 0 0 0 0 0 0 0 0 0

Centre 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0

Centre-Est 31 63 94 3 8 11 32 90 122 13 15 28 2 10 12

Centre-Nord 2 10 12 1 3 4 5 6 11 1 3 4 0 4 4

Centre-Ouest 3 10 13 0 1 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0

Centre-Sud 0 11 11 0 5 5 14 10 24 2 1 3 0 0 0

Est 9 17 26 0 3 3 1 4 5 0 0 0 0 1 1

Hauts-Bassins 23 47 70 2 4 6 0 0 0 0 0 0 0 0 0

Nord 5 14 19 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0

Plateau Central 13 28 41 0 10 10 2 0 2 0 0 0 1 1 2

Sahel 16 23 39 0 0 0 0 11 11 0 0 0 4 17 21

Sud-Ouest 4 9 13 1 1 2 7 4 11 2 1 3 25 33 58

TOTAL 132 297 429 7 41 48 62 125 187 18 20 38 32 66 98

Source : données DLVE 2016

Le tableau ci-dessus fait le point des activités de réinsertion réalisées. Il s’agit du placement en apprentissage, de l’octroi d’Activités Génératrices de Revenus (AGR) et de l’inscription ou la réinscription à l’école.

En effet, sur 429 enfants placés en apprentissage il y a eu 48 abandons soit un taux de 11,19%. En ce qui concerne la scolarisation, sur 187 inscrits, il y a eu 38 abandons soit un taux de 20,32%. Ces abandons pourraient se justifier par l’insuffisance ou l’absence de mesures d’accompagnement au profit des enfants placés ou scolarisés.

En d’autres termes, la plupart ne bénéficie pas de bourses pour permettre de répondre à leurs besoins primaires. De même, certaines familles ne reçoivent pas d’appui à même de pouvoir répondre aux besoins de l’enfant qui est influencé par ces pairs de retour de leur aventure. Ces situations les conduisent à abandonner les opportunités de réhabilitation qui leur sont offertes à travers la formation ou la scolarisation. Toute chose qui les expose de nouveau à la traite.

En faisant le croisement entre les interceptions et les activités de réinsertion ou de réhabilitation, on remarque que des efforts sont faits pour la réhabilitation des personnes interceptées en ce sens que les régions du Sud-Ouest et des Hauts-Bassins qui ont intercepté le plus grand nombre d’enfants en 2016, sont celles qui ont réussi à réhabiliter plus d’enfants que les autres excepteé la région du Centre-Est.

Tableau 7 : Situation du suivi des enfants

Régions Nombre de sorties de suivi des enfants

Source : données DLVE 2016

Les activités de réinsertion/réhabilitation des enfants présumés victimes ou à risque de traite sont suivies par les travailleurs sociaux. Au total, 1 178 sorties de suivi des enfants bénéficiaires des activités de réinsertion/réhabilitation ont été réalisées au profit de 845 enfants dont 257 filles et 588 garçons. Les différentes activités de suivi ont permis de s’assurer de la bonne conduite des activités de réinsertion. De même, le suivi a permis de soutenir, d’encourager et de résoudre certaines questions concernant les relations entre les enfants et leurs encadreurs et parfois entre les enfants et leurs familles. Toute chose qui a permis de réduire aussi peu qu’il soit le nombre d’abandons.

4.6. SUIVI ET COORDINATION

Conformément à ses attributions, le suivi et la coordination des actions des services publics et privés intervenant dans le domaine de la lutte contre la traite des personnes au Burkina Faso est dévolu à la DLVE, structure technique de la DGEPEA.

De façon générale, il existe une bonne collaboration entre la structure de coordination et la majorité de ses partenaires. Cependant, certaines interventions dans la lutte contre la traite des personnes échappent au suivi de la DLVE, toute chose qui ne favorise pas la capitalisation exhaustive des résultats.

Pour le compte de l’année 2016, la DLVE a bénéficié d’un soutien financier de la part des partenaires, notamment l’Unicef, pour la réalisation des suivi/supervision tant par le niveau déconcentré que par le niveau central. Ces suivis-supervisions ont concerné l’ensemble des structures membres des CVS au niveau déconcentré. Ainsi, les DPFSNF ont réalisé le suivi des enfants victimes et présumés victimes de traite interceptés et retournés en famille ainsi que ceux à risque de traite placés en atelier d’apprentissage, à l’école ou ayant bénéficié d’activité génératrice de revenus (AGR).

Les DRFSNF ont quant à elles effectué le suivi des activités de lutte contre la traite dans chaque direction provinciale de leur ressort administratif.

Le suivi du niveau central a été effectué par la DLVE. Celui-ci a consisté en des sorties dans les quarante-cinq (45) directions provinciales. Il a eu le mérite de faire la situation de la mise en œuvre des activités de lutte contre la traite sur le territoire national. Ces sorties ont permis d’évaluer le fonctionnement des cadres de concertation, d’identifier les forces et faiblesses rencontrées dans la mise en œuvre des activités de lutte contre la traite puis d’apporter un appui-conseil aux acteurs et proposer des mesures palliatives pour résoudre les difficultés et faiblesses constatées. Du reste, les données collectées à cet effet ont contribué à la rédaction du présent rapport.

Afin de permettre la mise en œuvre des activités de proximité, des cadres de concertation ont été mis en place. C’est ainsi qu’en 2016, l’on a dénombré quarante-six (46) rencontres des cadres de concertation dont neuf (9) rencontres de CVS et trente-sept (37) rencontres des Réseaux de Protection de l’Enfance (RPE).

A l’analyse de la tenue des cadres de concertation, l’on se rend à l’évidence de la vitalité des Réseaux de Protection de l’Enfance (RPE) dont l’installation n’a pas encore

couvert tout le territoire national. Quant aux CVS, ceux-ci végètent dans une léthargie dans la plupart des provinces.

VI. PARTENAIRES

Les acquis engrangés au cours de l’année 2016 dans la lutte contre la traite des personnes au Burkina Faso ont été possibles grâce aux concours et à la collaboration des différents partenaires. Les domaines d’intervention de ceux-ci couvrent les aspects relatifs aux financements des activités de suivi supervision, de la prise en charge des enfants interceptés, leur réinsertion et réhabilitation ainsi que l’appui technique des structures déconcentrées et centrales du Ministère de la Femme, de la Solidarité Nationale et de la Famille. Ce sont :

 Départements ministériels

Ministère de la Fonction Publique, du Travail et de la Protection Sociale ;

Ministère de la Justice, des Droits Humains et de la Promotion Civique ;

Ministère de l’Education Nationale et de l’Alphabétisation ;

Ministère de la Défense Nationale et des Anciens Combattants ;

Ministère de la Sécurité ;

Ministère de la Jeunesse, de la Formation et de l’Insertion Professionnelles ;

Ministère de la Santé ;

Ministère des Affaires Etrangères, de la Coopération et des Burkinabè de l’Extérieur

 les collectivités territoriales

 Institutions spécialisées de l’ONU

Unicef

Organisation Internationale pour les Migrations (OIM) ;

 Coopération bilatérale

Ambassade des Etats-Unis d’Amérique

Coopération allemande à travers le projet Fonds Enfants/KfW et le programme GIZ/PRO enfant ;

 ONG Internationales

Save the Children international ;

Plan International Burkina ;

Terre des hommes Lausanne ;

Christian Children’s Found of Canada (CCFC);

Bureau International des Droits des Enfants (IBCR)

COUNTERPART International

End Child Prostitution, Child Pornography and Trafficking of Children for Sexual Purpose (ECPAT).

 ONG/associations nationales

Association des Enfants et Jeunes Travailleurs du Burkina (AEJTB) ;

Syndicat National des Transporteurs Routiers et Voyageurs du Burkina (SNTRVB) ;

Réseau Afrique de l’Ouest pour la Protection de l’Enfant (RAO) ;

Association d’Aide à l’Enfance KEOOGO

Croix Rouge Burkinabè ;

VII. DIFFICULTES RENCONTREES DANS LA LUTTE

La lutte contre la traite des personnes, en particulier celle concernant les enfants, se heurte à plusieurs difficultés qui entachent les efforts significatifs fournis par le Gouvernement et ses partenaires techniques et financiers. Les difficultés majeures sont entre autres :

le dysfonctionnement du Comité national de vigilance et de surveillance (CNVS) et de ses démembrements (CRVS, CPVS, CVS) dans de nombreuses localités ;

l’insuffisance voire l’absence des cadres de concertation des acteurs de la protection de l’enfance dans certaines localités ;

la faible couverture du territoire en centres de transit et le mauvais état des centres existants ;

l’absence de RPE et de services sociaux dans certaines localités, toute chose ne permettant pas la systématisation des gestions de cas ;

l’insuffisance de formation des acteurs en techniques de collecte de données et la faible capitalisation de toutes les actions menées par les acteurs terrain ;

l’insuffisance de formation des acteurs de terrain sur l’approche gestion des cas et son utilisation systématique ;

la réticence des populations dans le signalement des trafiquants dans certaines localités ;

l’insuffisance de ressources logistiques et financières qui limite les capacités d’intervention des forces de l’ordre et minimise les réponses en termes de prise en charge des victimes, notamment dans les volets prévention et réhabilitation ;

l’application timide des mesures répressives résultant de la lourdeur de la procédure criminelle liée à l’application de la loi N°029-2008/AN du 15 mai 2008, portant lutte contre la traite des personnes et les pratiques assimilées qui criminalise la traite ;

la non maîtrise des mécanismes du RAO4 par les acteurs au niveau déconcentré ;

la non disponibilité de la ligne téléphonique d’assistance aux enfants (116) 24h/24 et sa facturation sur le réseau téléphonique Orange.

VIII. PERSPECTIVES

Il est nécessaire de renforcer les actions déjà entreprises pour réduire la traite des personnes.

Pour ce faire, il est impérieux non seulement d’impliquer plusieurs acteurs mais aussi d’aller vers le réseautage dans toutes les localités pour donner plus de sens à l’approche système de protection de l’enfant prônée par le MFSNF et ses partenaires.

4 Mécanisme de référencement transnational des personnes victimes de traite transfrontalière.

L’atteinte des résultats optimums suppose également plus de compétences des acteurs avec le renforcement de leurs capacités en matière de prise en charge en lien avec les évolutions des connaissances et la capitalisation des bonnes pratiques dans le milieu de la protection.

Ainsi les actions suivantes sont-elles envisagées :

l’amélioration progressive de la couverture nationale en centres de transit et la réfection des centres existants ;

le renforcement de la collaboration entre les acteurs à travers la mise en place des RPE dans les provinces qui n’en disposent pas et l’appui au fonctionnement de l’ensemble de ces réseaux ;

la mise en place des services sociaux dans les localités, notamment les communes, et leur dotation en moyens de fonctionnement adéquats ;

la dynamisation du CNVS et de ses démembrements en plus de la poursuite des formations et les recyclages de leurs membres et tous les acteurs de protection ;

le renforcement des capacités et des compétences de l’ensemble des acteurs pour l’appropriation de l’approche mobilité prenant en compte la problématique de la traite ;

la poursuite de la prise en charge et de la protection de toute personne victime quels que soient ses besoins ;

l’élaboration et le financement d’un plan d’action national de lutte contre la traite des personnes en particulier des enfants ;

le suivi des accords bilatéraux et multilatéraux en matière de lutte contre la traite et leur relecture pour prendre en compte l’évolution de l’environnement de la protection de l’enfant ;

la finalisation de l’accord tripartite de coopération en matière de protection des enfants en situation de mobilité transfrontalière entre le Burkina Faso, le Togo et le Bénin ;

le renforcement des actions d’information et de sensibilisation à l’endroit de la population surtout des leaders d’opinion ;

la vulgarisation de la ligne téléphonique d’assistance (116) et sa gratuité sur le réseau Orange ;

la mise en place d’une base de données pour faciliter la collecte et le traitement des données ;

la mutualisation des efforts et des ressources des différents acteurs intervenant dans la protection de l’enfance pour une plus grande efficacité dans les interventions ;

la prise en compte des questions relatives à la lutte contre la traite et les autres pires formes de travail des enfants dans la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) extractives. Cette mesure envisagée devrait s’étendre également aux exploitants des mines et carrières artisanales.

CONCLUSION

Le présent rapport a mis en évidence la progression du nombre de personnes interceptées au cours de l’année 2016 par rapport à celui de l’année précédente ; dans un tel contexte, l’on est en mesure de dire que la traite des personnes est une triste réalité qui persiste au Burkina Faso.

Le rapport a aussi révélé les efforts fournis par les différents acteurs intervenant dans la lutte contre la traite des personnes au Burkina Faso. Ces efforts ont consisté à la sensibilisation des populations dans une optique de prévention, de l’interception des victimes et de leur prise en charge à travers la scolarisation, la réinsertion et l’octroi d’AGR.

Cependant, en dépit des résultats forts encourageants obtenus par les différents acteurs, il sied de relever l’existence de difficultés dans la réalisation des activités.

Pour ce faire, des perspectives ont été dégagées pour des actions encore plus efficaces et efficientes.

Par ailleurs, dans un contexte sous régional marqué par l’expansion des mouvements terroristes et des bandes armées, il est plus qu’urgent que les actions de lutte contre la traite des personnes soient renforcées tant au niveau national que transfrontalier afin d’éviter que ceux-ci ne soient la proie de ces individus qui, de plus en plus, recrutent dans la catégorie d’âge des enfants et surtout ceux vivant dans des conditions difficiles.

ANNEXES

Annexe 1 : Fiches synthétiques des données des CVS

ACTIVITES NOMBRE PERSONNES TOUCHEES TOTAL

1- SENSIBILISATIONS

Filles Garçons Femmes Hommes 1.1 Causeries

1.2 Ciné-débats 1.3 Emissions radio 1.4 Plaidoyers 1.5 Counselings

1.6 Formations dispensées 1.7 Conférences organisées

1.8 Autres (stand marché, théâtre, etc.) Total des activités de sensibilisation

FICHES SYNTHETIQUES DES DONNEES DES CVS

Région de :

CVS du :

Période de :

ACTIVITES NOMBRE PERSONNES TOUCHEES TOTAL 2- INTERCEPTIONS

Internes Externes

Age Internes Externes

TOTAL Ex.S5 Ex.E6 Ex.S Ex.E Filles Garçons Filles Garçons

2.1

Enfants interceptés et pris en charge (Nationaux) N.B : pour la traite des personnes

adultes 18 ans et + :

Total

2.2

Enfants victimes de traite pris en charge par le CVS mais référés par un autre CVS dans le cadre du retour en famille.

Enfants étrangers interceptés et pris en charge (précisez les nationalités) :

………

5 Ex.S : Exploitation sexuelle des enfants à des fins commerciales

ACTIVITES NOMBRE PERSONNES TOUCHEES TOTAL Total

2.4 Trafiquants identifiés

NOMBRE CARACTERISTIQUES

Individus : ………

Age sexe Profession Autres détails

Réseaux : ………

2.5 Traitement des trafiquants

Gardés à vue et relaxés :……..

Déférés et relaxés :………

Déférés et condamnés :……….

2.6 Responsable des interceptions

Police (nombre) : ………….

Gendarmerie (nombre) : ……..

2.7 Responsable/auteur des signalements des interceptions

Communauté (nombre) : …….

Transporteurs (nombre) : ……..

Appels du No vert 116 : ………

Autres (Préciser): ………..

ACTIVITES NOMBRE PERSONNES TOUCHEES TOTAL 3 Contrôles et patrouilles

Filles Garçons femmes hommes 3.1 Nombre de patrouilles

3.2 Nombre d’enfants interceptés lors des patrouilles

3.3 Nombre de véhicules contrôlés 3.4 Nombre de véhicules interceptés

3.5

Nombre de contrôle sur les lieux de travail des enfants (précisez le lieu : exploitation agricole, verger, site aurifère, etc.)

4 Activités de réinsertion (pour le détail se reporter à la fiche synthétique)

Filles Garçons 4.1 Nombre d’enfants placés en

apprentissage

4.2 Nombre d’enfants placés en apprentissage ayant abandonné

4.3 Nombre d’enfants inscrits ou réinscrits à l’école

4.4 Nombre d’enfants inscrits ou réinscrits à l’école ayant abandonné

4.5 Nombre d’enfants bénéficiaires d’AGR

ACTIVITES NOMBRE PERSONNES TOUCHEES TOTAL 5 Activités de suivi des enfants

Filles Garçons 5.1 Nombre de sorties de suivi des enfants

interceptés et ramenés en famille (VAD).

5.2 Nombre de sorties de suivi des enfants placés à l'école, en apprentissage /AGR.

5.3 Nombre d'enfants suivis

6 Réunion/AG du CVS et du RPE/Tenue d’autres cadres de concertation

6.1

Réunions du CVS

(précisez la date et le nombre de membres présents à chaque réunion)

Date Type de

rencontre Nombre de

participants Femmes Hommes

1.

participants Femmes Hommes

1.

2.

3.

7 Supervisions

7.1 Supervision des CVS et autres structures (date et lieu)

Supervisions effectuées (préciser la structure et la date)

Supervisions reçues

8. Circuits de la traite (A partir de la synthèse des fiches d'interception) Localisation des circuits de la traite (province à province ou province à pays)

Structure responsable de l'interception

Présence d'un intermédiaire

Qualité de l'intermédiaire (marabout, parent, employeur,…)

8.1 Traite interne

Localité de départ Localité de destination

8.2 Traite externe

Localité de départ Localité de destination

8.3 Transit

Localités de départ Localités de transit

Localités de destination

Annexe 2 : Fiche synthétique relative aux enfants placés

Enfants

(Nom-Prénom)

Sexe

(M/F) Age Année du

placement Secteur d'activité Durée du placement

Bourse (O/N, date,

montant)

Appui à l'artisan/ANPE (O/N ; date ; montant)

Appui à la famille (O/N ; date,

montant) 1.

2.

3.

4.

5.

6.

7.

8.

9.

10.

NB :

Prendre en compte tous les enfants placés, victimes de traite ou exposés à la traite sans distinction des sources de financement

Observations complémentaires s’il y a lieu :

Annexe 3 : Situation des centres de transit publics par province :

REGION PROVINCE ANNEE

D’OUVERTURE NOM DU CENTRE ETAT DU CENTRE

ANNEE DE LA DERNIERE REFECTION

PARTENAIRES AYANT APPUYE LE

CENTRE OBSERVATION

Annexe 4 :Situation des centres de transit privés par province :

REGION PROVINCE COMMUNE ANNEE

D’OUVERTURE NOM DU CENTRE ETAT DU CENTRE PROMOTEUR OBSERVATION

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