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Questionnaire « Orthophonistes »

Bonjour, je m’appelle Céline Delaunay et suis étudiante en orthophonie à Nice. Dans le cadre de mon mémoire de fin d’études je m’intéresse aux personnes âgées et à leur prise en charge gériatrique.

Ce questionnaire vous prendra environ 5 minutes. Toutes les réponses sont strictement anonymes. Je vous remercie par avance de prendre le temps d’y répondre. Votre participation est précieuse.

Afin de permettre l’analyses des résultats, merci de compléter également les renseignements suivants :

-Initiales : -Sexe : -Age :

-Profession actuelle :

-Nombre d’années d’expérience dans domaine professionnel : -Ville d’exercice :

Préambule :

Dans ce questionnaire nous entendons par « fragiles » les patients à risque de perte d’autonomie, c’est-à-dire ceux à risque d’entrer dans la dépendance comme c’est le cas pour Mr G, 76 ans, et non pas ceux qui sont dépendants :

Mr G., 76 ans et ancien guide de haute montagne, est amené à l’hôpital à la suite d’une chute à son domicile. Il ne semble pas blessé et veut rentrer chez lui. Il est d’ailleurs complètement autonome à domicile. Le médecin qui l’examine apprend que Mr G. vit seul depuis le décès récent de sa femme ; c’est sa femme de ménage qui a prévenu les secours. Il découvre aussi que Mr G. sort de moins en moins, présente une vitesse de marche très ralentie et s’épuise rapidement. Le bilan de débrouillage aux urgences est sans particularités. Néanmoins, le patient étant isolé et semblant peu enclin à faire un bilan de chute en ville, l’urgentiste décide de l’hospitaliser en unité de court séjour gériatrique pour le réaliser. Il relève par ailleurs des prises médicamenteuses quotidiennes pour son diabète et sa tension, un manque d’énergie associée à une diminution de ses activités physiques, et une perte de poids de quelques kilogrammes ces derniers mois.

Par « dysphagie » nous ciblons les troubles de la déglutition, depuis l’introduction de l’aliment ou de la salive dans la bouche jusqu’à sa descente dans l’œsophage.

1)-Le patient fragile à l’hôpital

1. Quelle place occupe, pour vous, l’alimentation dans la qualité de vie ?

1 signifiant que l’alimentation ne fait pas partie de la qualité de vie, 5 signifiant qu’elle est l’élément le plus important pour une bonne qualité de vie.

1 2 3 4 5

2. Concernant la notion dysphagie, vous vous sentez plutôt:

Très en difficulté En difficulté Mitigé A l’aise Très à l’aise

3. Concernant la notion de fragilité, vous vous sentez :

Très en difficulté En difficulté Mitigé A l’aise Très à l’aise

4. La perte de poids évoque-t-elle pour vous spontanément la dysphagie ?

Oui Non

2)- L’environnement hospitalier

5. L’évaluation de la déglutition chez les patients fragiles est à votre sens : Inexistante Faible Fréquente mais

6. Quelle(s) est(sont) la(les) raison(s) de ce manque d’évaluation (2 maximum)?

Manque d’effectifs Manque de matériel Manque de communication entre les professionnels Manque de sensibilisation à cette problématique Raisons propres au patient Autre Précisez : ………….

7. Existe-t-il une consultation d’évaluation de la fragilité dans votre établissement ?

Oui Non Ne sais pas

8. Arrive-t-il que des patients se présentent spontanément et de leur propre initiative aux consultations fragilité ?

Oui Non Ne sais pas

3)-Le travail en équipe

3.1- L’équipe pluridisciplinaire

9. Quels sont à votre sens les principaux professionnels impliqués dans le travail auprès des patients fragiles dysphagiques à l’hôpital (5 maximum)?

Agent des services

hospitaliers Diététicien Kinésithérapeute Infirmier Orthophoniste

Dentiste Assistant social

Médecin Aide-soignant Psychologue Animateur Ergothérapeute

10. La communication au sein de l’équipe est plutôt :

Simple Compliquée

11. Vos contacts avec les médecins et diététiciens se font plutôt : Jamais Mensuellement Plusieurs fois par

mois Hebdomadairement

Plusieurs fois par

semaine Quotidiennement

12. Vos contacts avec les aides-soignants et infirmiers se font plutôt : Jamais Mensuellement Plusieurs fois par

mois Hebdomadairement

Plusieurs fois par

semaine Quotidiennement

13. Dans l’équipe pluridisciplinaire, vous diriez que vous êtes plutôt :

14. Les différents professionnels vous contactent-ils facilement ?

Oui Non

15. Le fait qu’un patient soit fragile implique-t-il davantage de discussion pluridisciplinaire que pour un patient robuste ?

Oui Non

16. Le patient fragile dysphagique est-il davantage surveillé que le patient uniquement dysphagique ?

Oui Non

17. Chez le patient fragile, les troubles de la déglutition peuvent-ils être prioritaires sur les autres troubles ?

Oui Non

18. Plus que faire leur travail, diriez-vous que les différents membres de l’équipe pluridisciplinaire présentent un intérêt pour la déglutition du patient fragile ?

Oui Non

19. Les différents professionnels (autres que les orthophonistes) sont-ils impliqués dans l’évaluation de la déglutition chez le patient fragile ?

Oui Non Ne sais pas

3.2-Votre place en tant qu’orthophoniste

20. Dans le cas d’un patient dénutri, y a-t-il systématiquement une évaluation de la déglutition, même en l’absence de symptômes ?

Oui Non Ne sais pas

21. Intervenez-vous dans les consultations fragilités ?

Oui toujours Oui parfois Non

22. Consacreriez-vous davantage de temps à l’évaluation de la déglutition des patients fragiles si vous étiez moins sollicité par ailleurs?

23. Estimez-vous avoir davantage de connaissances sur la notion de fragilité que d’autres soignants ?

Oui Non

24. Estimez-vous que les conséquences de la dysphagie soient plus importantes chez un patient fragile dysphagique que chez un patient uniquement dysphagique ?

Oui Non

25. Estimez-vous avoir davantage conscience des risques de la dysphagie chez le patient fragile que les autres membres de l’équipe pluridisciplinaire ?

Oui Non

26. Votre évaluation de la déglutition est-elle différente entre un patient âgé et un patient âgé fragile ?

Oui Non

27. Y a-t-il davantage d’examens objectifs (fibroscopie, vidéofluoroscopie…) pratiqués pour évaluer la déglutition chez les patients fragiles que chez les non fragiles ?

Oui Non

28. Faites-vous des réévaluations plus régulières chez un patient fragile dysphagique que chez un patient dysphagique non fragile ?

Oui Non

29. Avez-vous davantage un rôle de prévention dans la dysphagie des patients fragiles que dans la dysphagie seule ?

Oui Non

30. Avez-vous davantage un rôle de dépistage dans la dysphagie des patients fragiles que dans la dysphagie seule ?

Oui Non

31. Disposez-vous d’outils de dépistage de la dysphagie spécifiques aux patients fragiles ?

32. Les conseils/formations que vous dispensez concernent-ils parfois spécifiquement le sujet fragile ?

Oui Non

33. A votre connaissance, les informations et/ou conseils que vous donnez ont-ils déjà permis à d’autres professionnels de repérer des symptômes de dysphagie chez un patient fragile ?

Jamais Rarement Parfois Souvent

34. Estimez-vous avoir vous-même besoin de davantage de sensibilisation à la notion de fragilité ?

Oui Non

35. Pensez-vous que les prochaines générations d’orthophonistes (cursus master) seront davantage au fait de la notion de fragilité ?

Oui Non

36. Pensez-vous que davantage de sensibilisation des professionnels à la dysphagie du patient fragile serait utile dans votre travail ?

Oui Non

Merci de faire part de vos remarques :

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