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03 (Pierrette Van de Velde) Deux ou trois secondaires travaillant avec le premier degré. -Problème de l'isolement dans les établissements

Dans le document La brèche n° 7 (Page 42-48)

52 (Dom

inique Pètit) 4,

5 participants par réunion organisation de la classe, techniques, analyse du travail, qui était Freinet. Difficultés

:

harmonisation entre disciplines, comment un angliciste peut-il conseiller des matheux ?

972 (Gérard Bailly-Maitre) Une assemblée générale et démarrage des deux ateliers de lettres (dé-blocage de l'expression

-

Dissertation au second cycle). Contacts individuels en langues (une expé-rience parallèle entre Anglais et Espagnol) et maths. Rien aille,urs. Une vingtaine de participants

à

l'AG et aux ateliers. Par ailleurs l'équipe pédagogique 3e et 1ere du lycée de filles rassemble sur une base Freinet des collègues non militants du mouvement et des camarades du mouvem

ent. Le

second trimestre s'annonce plus riche, au moins en projets, avec notamment une Journée d'étude ("La part du maître") et de détente le dimanche 2 février

ainsi qu'un week-end

d'ateliers sur la Presse Martiniquaise, le 2 mars. L'animation du groupe est maintenant

ass

urée par un embryon de bureau associant

à

égalité des camarades martiniquais et des métropolitains. Un effort va

ê

tre entre-pris pour faire connaître notre groupe aux enseignants martiniquais. Nous ne sommes encore im-plantés que dans cinq établissements, et il nous faut penser

à

donner au groupe une assise durable

.

Un projet de dépôt CEL est

à

l'étude. Une gerbe de textes libres aussi

.

75 Région parisienne (Jean Marin) 5 réunions,

20 à

30 pa rticipants

:

limite de l'expression libre, sexualité adulte et implication pédagogique. Di ffi cu ltés : répondre exactement et efficacement à la demande des participants. Un très important travail de restructuration se fait

sur la

R.P. Jean Marin traitera un peu plus tard d'une manière détaillée ce qui se fait

:

programmation rigoureuse des convocations etc. bref des techniqu

es

utiles

à

l'animation des grosses métropoles.

44 (Claude ReJet) 10 _ participants : démarrage des chantiers : hi

stoire-géographie,

orthographe, jour-née départementale sur le texte libre. Difficultés : depuis 68 de nombreux collègues ont décroché, les stagiaires CPR et PEGC hésitent longtemps avant de se lancer dans la pédagogie Freinet.

17

(Jean-Louis Broucaret) Un petit noya

u de 5-6 camarades : organisation des rencontres

d'uni-versité ouverte notamment avec Montagné, Leroy-Ladurie, Laborit. Notre

activité

limitée aux ren-contres d'un

iversité ouverte nous

permet à la fois de toucher beaucoup de monde au nom de I'ICEM et de leur communiquer notre information relative au mouvement.

54 (Françoise Vaillant) Equipe réduite 6 ou 7, environ un mois après le premi

er

rapport de Fran-çoise. Qésir d'asseoir le groupe solidement avant de songer

à

une expansion ultéri

eure.

Difficultés : une collègue qui a un mauvais rapport de l'inspection générale.

72 (Michèle Poslaniec) Une dizaine de camarades, travail avec le primaire. Mise en place des chan-tiers

.

Difficultés : les personnes ne se déplacent pas volontiers.

64 (Reine Accoce) De 8

à

14 camarades : comment favoriser l'expression libre chez les adoles-cents, langues, les élèves au congrès de Bordeaux, trava il libre et notation, rentabilisation des élèves, la lecture.

38 (Marie-Thérèse Mache) De 10

à

20 camarades

:

création de groupes de travai 1

,

problèmes d'au

-torité, travail des

adolescents,

corrections, discussion

sur l'enquête

participation

.

Existence d'un

groupe

"expression" composé

de

camarades

du mouvement et de

sympa

thisants. Difficultés : parti

-cipation irrégulière des camarades.

22 (Jean-Pierre Salaün) 5 camarades : le texte libre est-il vraiment libre ? le débat. Difficultés : on tourne un peu en rond.

33 (Marie-Claire Duboscq) Une réunion par mois de 18 h 30 à 22 heures, 20 camarades : le jour·

nal scolaire, étude critique de textes par le structuralisme, revision du "Pour tout classer" en fonc·

tion des besoins du second degré. Difficultés : difficultés à faire adhérer les gens même au groupe girondin, réunions coupées du primaire et préparation du congrès de Bordeaux. Point positif

à

ajouter : déplacement de deux groupes de deux camarades dans deux CES de la région pour pré·

senter la pédagogie Freinet (sur demande de ceux-ci) : c'est le "Freinet Circus".

21 (Gérard François) Lancement du chantier K, K comme cas. On lira le texte libre de Gérard qui présente le problème. Voir annexes.

Annexe 1 le chantier K

Annexe 2 circulaire du groupe parisien

Annexe 3 compte rendu d'une réunion du groupe parisien Conclusions

Environ 15 groupes sur 60 en activité ont donné de leurs nouvelles. La bouteille est-elle pleine au 1/4 ou vide au 3/4 ?

Le dynamisme des uns doit dans l'avenir servir aux autres et donner des idées d'activités ...

Mais on ne peut s'en tenir à une idée aussi vague. Une étude est en cours sur le fonctionnement réel des commissions et des chantiers, sur leurs difficultés. Déjà des lignes de forces commencent à se dégager. Il en sortira des propositions précises examinées au congrès de Bordeaux. Nous pour-rons alors mieux synchroniser l'action des chantiers et celle des départements.

R. FAVRY

*

Annexe 1

LE CHANTIER K (020 21)

Moi : J'ai une proposition concrète à faire ! La foule : Ouais ! Complètement mégalo ce type !

Moi : Vous avez déjà remarqué skispasse dans certaines réunions ça se défoule dur mais sananalize guère.

C'est normal, on n'a pas le temps ...

La foule : Bof ! Et alors ? C'est discutable ! cause pour toi ! Yapaksa !

Moi : Et puis on a du mal à se mettre en position "écoute". Quand quelqu'un dit quelque chose, ça m'in· téresse à double titre. D'abord parce que c'est intéressant. Et ensuite parce que ça va me permettre de placer telle ou telle chose qui me préoccupe.

(bruits divers) (exclamations indignées) (cris enthousiastes) ...

La foule : Au fait ! Au fait !

Moi : On pourrait constituer des petits groupes de travail. Dans chaque groupe vlaskonfrai :

1) Il faut d'abord prendre des notes sur ce qui se passe dans notre classe à tous les niveaux : activités, production matérielle, organisation de l'espace et du temps, groupes, sous·groupes, tensions, évolution, progrès

42

scolaires, socialisation, l'élève moyen, quelques élèves significatifs, le maitre etc. etc. etc. etc. une heure de classe caractéristique ...

2) Y'en a un de nous qui accepte d'être sur la sellette pendant quelques séances. Il choisit le point plus précis qu'il veut exposer aux copains. Il planche.

3) On discute, on lui pose des questions, on lui demande de préciser, on lui propose des hypothèses, des tentatives de réponse ...

4) S'il réussit à survivre, il met au clair par écrit ce qui ressort des points · 2 · 3.

Ensuite c'est le tour d'un autre.

Il ne s'agit donc pas d'étudier un problème général mais de voir clair dans ce qui se passe dans cette classe précise, avec ce prof, dans cet environneme.nt...

Avantages :

- rédaction d'un travail précis sur des cas précis (publiables, éventuellement dans l'Educateur, La Brèche, une bulletin départemental, Le Bien Public, Salut les copains ... ). Ces dossiers pourraient faciÏiter l'accueil des nouveaux.

- l'approche de techniques d'observation (sociogrammes ... )

- un approfondissement de certaines notions que nous utilisons souvent mais qui restent floues et peu opérationnelles : non·directivité, phénomènes de groupe, part du maitre ...

- une approche concrète de la pédagogie institutionnelle

- la dédramatisation (enfin j'espère ... ) de nos problèmes. On peut parler, être écouté, se resituer par rapport aux problèmes et aux solutions des autres.

- une meilleure connaissance du personnage que nous sommes dans notre classe (les copains jouant le rôle de miroir).

En résumé : production, approfondissement, dédramatisation.

La foule : N'importe quoi 1 Y'en a qu'ont besoin de vacances Horreur !

D'abord il a piqué ça chez Oury 1 Une voix : Le fond de l'air est frais ...

ICEM·Pédagogie FREINET - Groupe Parisien Second Degré Cher camarade,

G. FRANCOIS

Annexe 2

A la demande de nombreux collègues voici les dates de nos prochaines réunions jusqu'à la fin de l'année : 26 février - 19 mars - 16 avril - 7 mai - 4 juin.

Un ou deux week·ends sont également envisagés : les dates vous seront communiquées le plut tôt possible.

Prochaine réunion :

Le mercredi 26 février à 14 h précises au CES du lycée H. Berlioz - 5 rue de l'égalité - à 3 mn du Métro Bérault à Vincennes

- le parking du lycée est à notre disposition rue V. Basch (voir plan) - la garderie pour enfants fonctionnera comme à l'accoutumée.

Au cours de cette réunion :

1 : Nous accueillerons ceux qui, pour une raison ou une autre n'avaient pu encore se joindre à nous.

2 : Nous poursuivrons nos travaux en commissions : français, maths, langues, biologie ...

Apportez tous les documents susceptibles d'intéresser les collègues : nous devons travailler sur du concret Toute expérience, même si elle fut un échec nous intéresse

3 : Nous y poursuivrons nos recherches et nos débats sur la sexualité adulte et ses incidences sur notre vie et notre travail - (voir compte rendu). Cela promet d'être passionnant.

4 : Nous ferons le point des activités en cours : visites de classes, correspondances entre les classes, cahiers de roulement, travaux des commissions ...

5 : Nous pourrons y aborder tout autre sujet que vous proposerez.

A bientôt ! L'équipe d'animation

Pensez à apporter vos documents : Travaux d'élèves, plans de travail, textes, poèmes ...

Pour tous renseignements complémentaires vous pouvez vous adresser ici, à :

Si vous êtes intéressés par les activités de ce groupe, écrivez votre nom ici :

Pensez à AFFICHER CETT.E CONVOCATION dans la salle des profs, après avoir découpé ou replié le bas (suivant le pointillé). inscrit votre nom (et adresse ou n° de tél. pour les gros établissements) et encerclé au stylo feutre les passages essentiels.

Autre suggestion : Travailler, discuter ... ç.-1 creuse 1 Alors la prochaine fois les chips, les biscuits, quelques fruits ... sont les bienvenus (le groupe fournit la boisson). Nous mettons tout en commun, y compris le plaisir de se retrouver : N'OUBLIEZ PAS !

Le congrès de Bordeaux approche (25·29 mars 1975) Pour avoir des renseignements vous pouvez consulter L'EDUCATEUR n° 9 ou écrire à l'adresse suivante :

31e Congrès ICEM Ecole d'Eynesse

33220 · Sainte·Foy·la·Grande tél : (56) 61. 61. 76

Mercredi 5 mars, dans la classe de Denise MAR ENT, 1 rue de I'Egalité à Vincennnes, des collègues de pri·

maire et de maternelle viendront nous initier aux techniques d'illustration simples de 9 h 30 à 18 h.

Apporter du matériel : encres, lino, limographe, pochoir, pinceau etc. et blouse de travail

A NE PAS MANQUER : l'exposition "Les plus beaux insectes du monde" accompagnée de remarquables dessins d'enfants, au Museum, 43 rue Buffon - métro Austerlitz.

Annexe 3

Compte rendu de la réunion - 22/1/75 Région Parisienne 2nd degré

Effectif : 30 personnes (77 - 78 - 91 - 92 - 93 - 94 - 95 - 75 - 02) Lieu : Vincennes - chez Denise Maran - annexe lycée Berlioz - rue de I'Egalité Activités :

A - mise au point : visite de classe : rappel des listes des classes qui accueillent adresses de classes parallèles

cahiers de roulement : en circulation Biologie (3)

appel de Vibert pour les gerbes (voir Colette Roy) projets en cours week·end magnéto 2e semaine février

B - commissions (par disciplines) Maths

techniques graphiques préciser)

Langues mini·réunion la semaine suivante pour continuer Biologie

Français : discussion sur le plan de travail la notation

la communication entre les élèves

démarrage d'un cahier de roulement sur ce dernier thème C - réunion générale : 2 thèmes

- pratique du travail de groupe (Karine Haddall) - sexualité adulte (les biologistes)

Karine s'étant excusée, la 2e proposition fut seule retenue.

Jean Marin propose un questionnaire - Francesca anime un groupe de discussion.

Compte rendu du groupe de Jean Marin Pourquoi un questionnaire ?

- pour éviter bavardages, lieux·communs, hors·sujets monopolisation de la parole

blocages

pour une prise de conscience par chacun de ses refus, conditionnements, réactions au questionnaire pour Jean : bien que l'ayant choisi, on chicane, on ergote, on fuit

pour Fernande : on aurait préferé attaquer certaines questions de vive voix Analyse des réponses :

20 au départ, 16 à l'arrivée ; les éléments masculins du groupe, sauf bien sûr le protagoniste du ques·

tionnaire, semblent s'être abstenus.

QUESTIONS ET REPONSES :

1 - Buts de l'éducation sexuelle ? R

=

16

- information ( 1 0) ; répondre aux curiosités et besoins des enfants (4) ; démystifier, épanouir, prévenir, éviter les "pépins" ( ) aider, rassurer, déculpabiliser, donner de suite les possibilités de contraception, fa·

ciliter les contacts entre les gens, prise de conscience de l'existence et de l'importance de la vie .·• xuelle, problèmes sexuels, droit au bonheur.

2 - Pourquoi je fais de I'E.S. mes buts ? - en faire des adultes épanouis

que les enfants puissent s'exprimer, vivre leur sexualité et leur désir d'une manière épanouie quelles que soient les modalités

vie plus heureuse dans l'enfance, puis dans l'âge adulte

mettre l'accent sur les rapports sexualité-affectivité et sous d'autres formes les mêmes réponses qu'à la question 1

3 Quelles raisons personnelles m'y ont poussé(e) ?

9 réponses-fuite : l'éducation de mes propres enfants

déconditionner les autres pour les amener à une vraie vie 7 réponses : manque d'information ou mauvaise information dans mon enfance

difficultés dans ma jeunesse longtemps peur de la sexualité

éveil tardif de la conscience de ma propre sexualité

difffcultés encore vécues, plus ou moins résolues ou omni-présentes fuites conscientes ou inconscientes intéressant à débattre

4 - La question que je n'ai jamais osé poser ?

7 dérobades et feuilles blanches ("je ne sais pas - pratiquement tout") 3 réponses : adolescente : règles, accouchement, faire l'amour

comment se pratique l'acte sexuel ? veux-tu faire l'amour avec moi ? 5 - Ce que je. n'ai jamais osé dire ?

7 feuilles blanches et "demi-réponses"

4 réponses : que j'avais des besoins sexuels que je me masturbe

à quelqu'un qui me plaît (à un homme) 6 - Ce que je n'ai jamais osé faire ?

9 feuilles blanches, 1 demi-réponse

3 réponses : Je ne peux pas répondre à cette question en l'absence de "faire"

avoir un amant

faire l'amour à plusieurs

être vue en train de faire l'amour 7 - Ce que je ne pourrai jamais faire ? 9 feuilles blanches

3 réponses : J'espère "rien"

l'amour libre (?)

certaines formes de gestes ou de caresses (mais il faudrait vérifier cela par l'expérience) 8 - Société idéale par rapport aux problèmes sexuels :

6 feuilles blanches

7 réponses : Sexualité intégrée à la vie sans la limiter à la procréation éducation affective liée à sexualité

respect des choix de chacun mais possibilité d'éducation oser être et devenir soi-même

individus authentiques : reconnaissant en eux et en autrui le désir sexuel, acceptant certaines

relations érotisées ·

pas de jugement moral

seule limite à la sexualité : dommage causé au prochain (? )

dispersion du potentiel d'amour sur les gens rencontrés et qui nous importent (?) possibilité de vivre les forces que donne l'énergie sexuelle

9 Difficultés que j'éprouve ou éprouverais à l'enseignement de ia sexualité ? 7 feuilles blanches ·

5 réponses : parler de l'homosexualité

me garder devant les demandes des jeunes faire distinguer la sexualité de la physiologie problèmes personnels non résolus

10 - Opinion sur le principe et la structure du questionnaire ? 3 feuilles blanches, 8 réponses : un point de départ comme un autre questions 4, 5, 6, trop vagues ("oser" ? )

discussion commune préférable

difficile de : répondre en si peu de temps, sans réflexion préalable

" par écrit

mais au moins on s'interroge plus facile que parler.

bonne base de départ pour une discussion orale.

A nn exe 4

Réunion du 26.2.

Second degré. thème histoire-géographie (groupe du Puy-de-Dôme)

Cette réunion nous a permis de parler de nos difficultés en ce domaine que nous sommes parfois amenés à laisser en retrait au profit du français qui mobilise l'essentiel de nos forces.

LES DIFFERENTS POINTS QUE NOUS AVONS ABORDES La conférence d'élèves est d'un abord difficile pour les élèves :

• recherche des documents

• les cor:nprendre

• en tirer des idées claires (et non pas copier purement et simplement)

• dominer le sujet traité

• présenter devant les camarades d'une manière directe, spontané, vivante.

En conséquence, le résultat du travail est souvent lourd, terne, livresque, superficiel. Il faut alors un corn·

plément important de la part du prof : apport de documents, questionnaire-guide, nombreuses explications pour les conférenciés ; complément de leçon pour l'ensemble de la classe après l'exposé.

Devant ces difficultés nous considérons que la conférence d'élèves n'est pas à pratiquer systématiquement (elle est une technique parmi d'autres) ; pour faciliter la tâche des enfants il faut un sujet très limité ( une conférence d'une dizaine de minutes seulement) et si possible en relation avec une expérience vécue (par ex. voyage dans le pays dont on présente un aspect).

La conférence d'élèves est intéressante

• par sa préparation : la démarche de la recherche, de l'analyse puis de la synthèse et formatrice pour celui qui la fait

• par le travai 1 en groupe : on apprend à se répartir les tâches, à bâtir une oeuvre collective.

En histoire nous la pratiquons peu ou pas du tout. En géographie assez souvent, l'intérêt des élèves se por·

tant surtout sur la vie quotidienne.

Le contenu et le contenant. Nous sommes souvent coincés par la nécessité d'harmoniser :

• les motivations de la classe, sa progression lente et le contenu à faire passer (programme)

• l'utilisation par les élèves des instruments : diapos, cartes, graphiques ... et leur maîtrise de ces instru·

ments qui doivent être décodés par le prof.

De plus les manuels scolaires sont souvent inadéquats :

• par la complexité du texte, le plus souvent inaccessible à 1ère lecture.

• par le choix des documents présentés (souvent pas de contexte, des questions proposées trop difficiles et souvent manque d'objectivité)

Les buts de notre enseignement en histoire

• la chronoiO<Jie· des faits historiques, par exemple représentation spatiale du temps par un dépliant (mini et personnel pour chaque élève, maxi pour la salle de classe)

par exemple diviser le classeur en autant de parties que de siècles et placer ensuite correctement chaque événement étudié par rapport à ceux qui sont déjà dans le classeur e comprendre l'enchaînement des faits principaux

• saisir les grands courants des différentes périodes historiques

• saisir à travers les événements et leur présentation officielle (propagande qui a existé à toutes les époques) la réalité, les causes profondes : introduire le doute qui est le départ de la réflexion donc relation avec l'ins·

truction civique

• connaître la vie des gens.

Différents moyens utilisés :

• étude de documents

e travail des élèves ou de groupes d'élèves sur un questionnaire

sur une question pour chaque groupe et synthèse (procédé long)

• mais aussi cours "l'histoire, ça se raconte" assure Evelyne

• à quoi sert le cahier ou· le classeur ?

recueil de documents divers (textes polycopiés, documents apportés par les élèves etc.) sorte d'album plans repères et idéès essentielles de la leçon

questions et réponses sur les leçons.

Enfin nous décidons de ne plus travailler isolément mais d'échanger nos recherches pour les mêmes niveaux de classe dans lesquels nous travaillons.

Dans le document La brèche n° 7 (Page 42-48)

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