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Partie empirique : Application à mon travail

Durant mon stage j’ai dû concilier engagement et objectivité scientifique, certaines difficultés et avantages, dont parlent les chercheurs que je prends comme référence par rapport à cette question, se sont retrouvé dans mon stage.

Quand par exemple Elias explique dans sa parabole « des pêcheurs dans le maelström », qu’il est difficile de rester rationnel et de ne pas être débordé par les émotions dans les situations extrêmes. Je le rejoins dans cette idée que sans tomber dans une situation aussi extrême que dans sa parabole, il arrive que des chercheurs soient confrontés à des situations où il est très difficile de ne pas être touché par l’émotion. Par exemple en côtoyant des personnes dans une grandes souffrances physique ou mentale, ou en faisant des recherches dans des milieux illégaux et dangereux. Je n’ai jamais été dans ce type de situation dans mon stage de master, par contre j’ai été confronté à des

personnes très chargés émotionnellement dans cette association écologiste qui étaient persuadés de devoir empêcher à tout prix un cataclysme pour le monde. J’ai aussi durant un autre travail d’université était confronté à des requérants d’asile inquiets de leur situation, certains craignant de finir par être expulsés. Hors, il est plus difficile de rester émotionnellement à distance d’un sujet d’étude en étant entouré de personnes ayant des paroles alarmantes.

La plus part des auteurs cités ont expliqué que le chercheur n’est jamais neutre et qu’il exprime toujours sa subjectivité dans les choix de ses sujets. Moi même durant mon stage j’avais un fort intérêt pour le sujet qui était lié à l’écologie. Même si je n’avais pas vraiment eu de choix pour le stage, s’était le seul pour lequel j’ai pu être prit sur des dizaines où j’ai postulé. Mais j’étais satisfait d’avoir eu ce sujet d’étude et il aurait été difficile de trouver un sujet d’étude qui m’aurait d’avantage intéressé. Je n’aurais pas pu non plus faire un aussi bon travail, si je n’avais pas été intéressé par le sujet. J’ai tenté d’autres offres de stages ou d’emploi nécessitant un diplôme universitaire pour lesquels le sujet du travail m’intéressais particulièrement tel que la mixité sociale en milieu urbain, l’étude des parcours de vie des étudiants ou l’inégalité de salaire homme-femme… J’insistais dans mes lettres de motivations sur le fait que ces sujets

m’intéressaient beaucoup et que je me considérais dans ce cas plus apte à les travailler.

Méthodologie de la récolte des données

Gonthier et Elias ont expliqué que les chercheurs ne peuvent pas étudier tous les aspects d’un sujet surtout quand le sujet est large et qu’ils sont obligés de sélectionner les aspects les plus parlants. Durant mon stage, il y a eu ce type de difficulté pour former un système d’enquête sur les comportements écologistes, ce qui est un sujet assez large qui nécessite la prise en compte de nombreux facteurs. Il fallait trouver le juste milieu entre un système d’enquêtes qui soit assez large et détaillé pour évaluer de manière crédible le niveau de durabilité de chaque personne. Mais qui ne soit pas trop vaste afin de rendre l’enquête réalisable, cela d’autant plus que nos enquêtes se font par

questionnaires. Or un questionnaire trop long et ayant des questions compliquées, du type « Quel est le pays de fabrication de la majorité de vos vêtements ? » risque de dissuader de nombreuses personnes de le remplir et formera un vaste biais pour les résultats. Car les personnes qui accepteraient de répondre à toutes les questions

risqueraient de ne pas être représentatives. Il fallait trouver le juste milieu entre la taille et la complexité des questionnaires et des schémas, qu’ils apportent suffisamment d’informations mais qu’ils soient simples à comprendre.

Comme le recommande Elias, j’ai dû présenter, surtout dans les schémas, certains objets comme étant des composants d’un système très complexe au lieu de les isoler. Je ne pouvais pas par exemple parler du choix d’un mode de transport sans parler de la

distance entre le domicile et le lieu de travail, ni de la qualité des transports en commun.

Cette complexité était aussi nécessaire pour la rédaction des commentaires dans les questionnaires. Il nous fallait prendre en compte toutes les situations possibles pour faire des recommandations aux personnes qui avaient des comportements peu durables et proposer plusieurs solutions.

Par exemple pour une personne qui aurait répondu « la voiture individuelle » à la question « Quel véhicule utilisez-vous habituellement ? », il fallait recommander d’utiliser de préférence le vélo, en ajoutant que si le trajet est trop long il est aussi possible d’utiliser le vélo électrique pour lequel des subventions peuvent être accordés.

Il fallait aussi ajouter que si la distance ne permet pas l’usage du vélo même électrique, il est aussi possible d’utiliser les transports publics en précisant qu’ils sont plus

économiques. Enfin, il fallait terminer par dire que si la personne ne peut pas non plus utiliser les transports publics il y a la possibilité d’avoir recours au covoiturage en ajoutant qu’il y a des sites internet pour aider à trouver des personnes intéressées.

Il fallait pour ces commentaires penser à toutes les possibilités de solutions avec pour chacune les avantages par rapport au comportement actuel de la personne. Nous devions proposer des solutions qui soient applicables et des arguments convaincants pour le plus grand nombre de profils possibles. Nous ne pouvions pas écrire sur un ton

catégorique aux personnes qui remplissaient nos questionnaires qu’ils doivent à tout prix utiliser les modes de vie les plus durables car certaines personnes ne le peuvent tout simplement pas pour des raisons financières, pratiques, de santé... Alors il fallait tenir compte de ces facteurs et proposer des solutions intermédiaires.

Statut de chercheur-militant

Elias affirme qu’il vaut mieux pour un sociologue être membre de groupes sociaux afin de mieux en comprendre les enjeux. Hors pour moi, s’est justement mon expérience personnelle d’écologiste, ainsi que celles d’autres écologistes membres des mêmes groupes que moi qui m’a permis de mener à bien mon stage de sociologue. Nous

cherchions à réduire nos empreintes écologiques sur le monde et à encourager d’autres personnes à faire de même. Ce qui m’a poussé à chercher des modes de vie plus durable avec leurs avantages et leurs inconvénients. Cela m’a aussi permit de mieux comprendre les difficultés de changer pour les personnes qui cherchent à adopter un mode de vie plus durable, ainsi que les difficultés des personnes qui cherchent à en convaincre d’autres de changer leurs habitudes. Tel que les difficultés à changer ses habitudes, à faire plus d’efforts physiques, à mieux se renseigner sur l’impact des produits achetés, à dépenser plus d’argent pour certains produits... Ainsi que les limites imposées à chacun par sa condition comme la nécessité pour certains d’avoir une voiture ou les moyens financiers qui empêchent de n’acheter que des produits bios.

Mon expérience personnelle m’a aussi appris les motivations autres qu’écologiques qui peuvent encourager à un mode de vie plus durable : plus d’économie, de sport, une meilleure santé, une vie plus éthique… qui peuvent servir à se motiver soi-même comme à motiver autrui. J’ai ainsi appris grâce à d’autres écologistes des méthodes pour mieux convaincre les autres, en évitant par exemple le ton moralisateur et fataliste, en utilisant des arguments autres qu’écologistes, en tenant compte de la situation des personnes et en ayant une solution adaptée à chaque situation. Toutes ces expériences m’ont permit de mieux comprendre les personnes souhaitant mener une vie plus durable, leurs difficultés et leurs questionnements et ainsi de mieux adapter les arguments à chaque situation ainsi qu’aux intérêts et aux convictions des personnes. En gros cette

expérience de militant-chercheur m’a permit de mieux comprendre les personnes que je devais justement étudier pour mon stage afin de mieux les convaincre. Toutes ces

choses auraient été beaucoup plus difficiles si je n’avais pas eu ce genre d’expériences d’engagement.

Un autre exemple de parallèle entre mon stage et les écrits analysés fut la nécessité de prendre en compte l’aspect émotionnel que représente pour de nombreuses personnes

la remise en cause d’un imaginaire collectif ou d’un paradigme très ancré dont parle Elias. J’y ai été confronté plusieurs fois seul ou avec des collègues de l’association quand nous tentions de convaincre des personnes, rencontrés dans des bars ou d’autres

endroits publiques, de changer leur mode de vie. Cela nous permettait de nous entrainer à argumenter pour des modes de vie plus durables.

Nous nous somme aperçus que si certains gestes tel que trier les déchets ou ne plus acheter de produits à l’huile de palme étaient relativement simples en général, car ils ne nécessitaient pas de grands efforts et ne bousculaient pas les paradigmes sur leur vie.

Pour d’autres gestes s’étaient plus compliqués pour les convaincre, tel que remplacer la voiture par le vélo (y compris électrique), de réduire leur consommation de viande et de produits laitiers, de réduire leurs déplacements en avion… Car cela bousculaient les paradigmes sur lesquels sont basés leurs idées du bien-être : la voiture comme meilleur moyen de se déplacer, la viande comme parti principale des repas quotidien, les voyages en avion comme meilleurs moyens de profiter de ses vacances… Ils étaient encore plus bousculés quand on leur parlait du fait que la seule solution à terme pour arriver à un monde durable serait dans les pays développés une politique de décroissance : une baisse de la consommation par habitant et du temps de travail. Ce qui choquaient de nombreuses personnes car les paradigmes qui dictes que le niveau de consommation est associé au bien être et qui valorisent le travail à plein temps, sont très ancrés

actuellement. Pour beaucoup de ces personnes cette idée de décroissance n’amènerait que misère et desoeuvrement. Nous avons tenté d’expliquer que la vie pourrait être plus agréable avec d’avantage de temps libre et de partage, qu’il existe de nombreux moyens de réduire la consommation sans trop réduire le niveau de vie tel que réduire les

diverses formes de gaspillage ou développer l’efficacité énergétique. Nous avons aussi essayé de faire comprendre que cette situation arrivera de toute façon un jour, peu de personnes l’acceptaient.

J’ai pu ainsi constater comment remettre en cause des paradigmes très ancrés dans la société même en ayant des arguments pertinents peut pousser les personnes à l’émotion et au dénie. S’est pourquoi dans nos questionnaires surtout pour les recommandations aux gestes plus durables, nous devions faire très attentions à adopter un ton qui ait le plus de chance de convaincre.

Je devais donc trouver des arguments pour des sujets assez sensibles sur les comportements écologistes. Dont certains remettaient en cause des visions très

implantées dans l’inconscient collectif comme l’idée qu’on peut manger tous les jours de la viande et/ou d’autres produits animaux. Alors que d’un point de vue écologiste s’est absolument intenable à l’échelle du monde car l’élevage est trop polluant et consomme trop de ressources. Hors, pour des sujets qui remettent en cause à ce point les habitudes quotidiennes de la majorité des personnes, les arguments rationnels sont souvent insuffisants car ils remette en cause un imaginaire. Dans lequel l’homme est en droit de tuer des animaux à sa guise pour se nourrir. S’est le genre de cas où pour éviter de trop bousculer les imaginaires des personnes, il fallait faire des recommandations sur le ton

de la suggestion et pas seulement des arguments rationnels, pour éviter un ton moraliste qui peut être repoussant pour de nombreuse personnes même s’il est

scientifiquement fondé. Il fallait éviter de dire par exemple « Vous devez réduire votre consommation de viande et de produits laitiers », et plutôt dire « Vous pourriez essayer de réduire votre consommation de viande et de produit laitier, peut-être même

l’apprécieriez-vous d’avantage ». Il fallait aussi faire des suggestions nuancées, ne pas seulement suggérer par exemple d’arrêter complètement de manger de la viande, mais aussi d’essayer d’en réduire la consommation petit à petit. Même chose pour les trajets en avions, qui vont à l’encontre de l’encouragement à voyager, à découvrir d’autre pays.

J’ai pensé avec d’autres collègues pour ce cas qu’il valait mieux suggérer de faire moins de voyage en avions, mais pour des séjours plus longs, que d’inciter à arrêter

complètement d’utiliser l’avion, car une position trop radical même fondée est généralement rejetée.

Je fessais d’autant plus ce genre de réflexions nuancées que des années avant ce stage, quand j’ai moi-même réalisé que certaines habitudes de mon monde de vie n’étaient pas durables comme le fait de manger quotidiennement de la viande, de prendre chaque année l’avion ou de me déplacer en scooter… Même si je sentais une forte culpabilité et que je devais admettre l’objectivité des faits, je ne pouvais pas les arrêter sur le coup, car cela aller à l’encontre d’un imaginaire que j’avais assimilé et d’habitudes que j’ai

pratiqué pendant des années. J’ai plutôt opté pour une réduction progressive de ces modes de vie, j’ai par exemple réduit sur une période s’étalant sur plusieurs années mon usage du scooter pour le remplacer progressivement durant cette même période par le vélo. Ce type d’expérience personnelle m’a fait comprendre la difficulté de sortir d’un imaginaire structurant, même quand les arguments sont parfaitement fondés. Cela m’a également fait comprendre la nécessité d’encourager les changements de pensés et de comportements progressifs plutôt que les changements brusques pour les personnes, ce qui par la suite pouvait encourager plus facilement des changements de gestes.

Avec mes collègues nous discutions et nous nous mettions à la place des personnes qu’il fallait convaincre, afin de savoir quelle était la meilleure manière. Il n’est déjà pas facile de convaincre quelqu’un de changer de mode vie et de remettre en cause des croyances très ancrés en lui parlant en face. Nous devions trouver des phrases résumant en

quelques lignes ce genre d’idées, tout en gardant une forme qui n’ait pas un ton

catégorique. Le plus difficile était de faire des commentaires courts suggérant de réduire ses dépenses et son temps de travail, afin de mener une vie plus simple et plus durable.

Mais, une telle suggestion va à l’encontre d’un paradigme dominant dans notre société, celui de la satisfaction par la consommation de biens et l’incitation à travailler à plein temps. Pour assimiler un tel changement de paradigme il faudrait bien plus que

quelques lignes, plusieurs pages peut-être des dizaines de pages, mais s’était impossible dans notre travail. Il fallait être synthétique pour ne pas fatiguer un éventuel lecteur par des textes trop long, d’autant que même sans les commentaires, les questionnaires sont

déjà long à lire et à remplir et le but est qu’ils prennent maximum 30 minutes. Il fallait donc concilier synthèse, changement de paradigme et ton incitatif.

Meilleur accès à des informations sur le mouvement

Pour Dunezat les statuts de militant et de chercheur se complètent, le statut de militant permet d’être en immersion dans les milieux militants et de mieux comprendre tout leurs aspects y comprit les conflits internes. Le statut de chercheur permet au militant de garder une distance avec son sujet, ne pas laisser ses engagements et ses passions altérer une analyse objective des faits, car les sentiments provoquent toujours des biais généralement inconscients dans les analyses. Les militants souvent censurent et

s’autocensurent au sujet des conflits internes et des disfonctionnements de leurs milieux par peur de le saboter et de nuire à leur cause. J’ai été moi même durant mes

expériences de militantisme en plus de celle avec le stage de Master dans ce type de situation, où mes statuts d’apprenti chercheur et de militant se complétaient. Mes connaissances de la méthodologie et de l’objectivité de la cherche me permettait de repérer les incohérences des milieux militants avec plus de recul et mes engagements au sein du milieu de le connaître de l’intérieur. Cela me permettait aussi d’obtenir

beaucoup plus facilement des témoignages de militants, dont certains ne parlent de leurs convictions et de leurs engagements qu’avec d’autres militants.

D’ailleurs, Dunezat explique que la position de militant peut être une porte d’entré sur le terrain (Dunezat, 2011, p.97), car certains milieux sont très fermés aux non-membres et surveillent beaucoup l’image que leurs membres en donne. Ce qui rend difficile pour un chercheur qui n’est pas considéré comme un membre d’entrer en immersion et d’en connaître les aspects observables seulement à l’interne. En étant membres, j’ai pu observer et discuter plus facilement avec les autres militants et récolter d’avantage d’information. J’ai ainsi aussi pu constater que comme Dunezat l’a expliqué plus haut que les militants peuvent avoir des raisons autres que la cause pour militer (Dunezat, 2011, p.97). J’ai remarqué que certains pouvaient militer d’avantage par besoin de faire partie d’un groupe très soudé et/ou pour effectuer un stage qui leur permettra d’avoir une expérience du monde professionnel pour leurs études et/ou leur CV. D’ailleurs, moi-même je m’étais inscrit en premier lieu pour accomplir un stage de Master valable pour mon diplôme de Master et pour avoir de l’expérience du monde professionnel. En racontant cela, d’autres collègues reconnaissaient plus facilement que s’était leur

principale raison d’être entrer à Gaea21, plutôt que le seul fait de participer à une cause.

J’ai aussi pu constater des conflits interne pour lesquels aucune trace (écrit ou

enregistrement) n’étaient laissé, même s’ils étaient rares et vite réglés. Des conflits qui tournaient surtout autour de l’intérêt des questionnaires sur des questions qui n’étaient pas liées à l’écologie, mais à la vie sociale et au sentiment de bien-être des personnes. Si je n’avais pas été membre et militant de l’association, je n’aurais pas été témoin de ces aspects et mes observations auraient été moins complètes.

Le fait d’avoir été militant et chercheur m’a permis d’éviter les mêmes biais que Dunezat. En étant membre de l’association je connaissais les fonctionnements internes qui auraient été très difficiles à voir de l’extérieur, car tous les travaux se faisaient par télétravail et la communication par des groupes fermés sur Skype et Hanghout. Je voyais ainsi comment étaient rédigés les questionnaires avec le partage des rôles entre les spécialistes des sciences naturelles et ceux des sciences sociales comme moi. Les premiers qui évaluent quelles sont les meilleures questions pour mesurer le niveau de durabilité d’un comportement et quel est l’impact des comportements alternatifs. Les seconds qui adaptent la forme des questions et des recommandations pour en rendre la lecture plus simple et agréable et qui éliminent les questions jugées trop compliquées. Je n’aurais donc pas pu les observer sans faire partie de l’association. J’aurais aussi moins bien saisi leurs méthodes et leurs objectifs, car il s’agit d’une association assez spéciale

Le fait d’avoir été militant et chercheur m’a permis d’éviter les mêmes biais que Dunezat. En étant membre de l’association je connaissais les fonctionnements internes qui auraient été très difficiles à voir de l’extérieur, car tous les travaux se faisaient par télétravail et la communication par des groupes fermés sur Skype et Hanghout. Je voyais ainsi comment étaient rédigés les questionnaires avec le partage des rôles entre les spécialistes des sciences naturelles et ceux des sciences sociales comme moi. Les premiers qui évaluent quelles sont les meilleures questions pour mesurer le niveau de durabilité d’un comportement et quel est l’impact des comportements alternatifs. Les seconds qui adaptent la forme des questions et des recommandations pour en rendre la lecture plus simple et agréable et qui éliminent les questions jugées trop compliquées. Je n’aurais donc pas pu les observer sans faire partie de l’association. J’aurais aussi moins bien saisi leurs méthodes et leurs objectifs, car il s’agit d’une association assez spéciale

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