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Panneau solaire

Figure 2.5  Vues s hématiques du LAT. Gau he : vue de dessus. Les 16 tours sont

identiées et les axes du repère instrumental sont indiqués. Droite : vue é latée. Une

tour du traje tographe au-dessus du module orrespondant du alorimètre sont mises

en éviden e. Le déte teur anti- oïn iden e (tuiles grises) est protégé par un dme

anti-mi rométéorites (en jaune) (g. 1[20℄).

in idente. Cela permet aussi une ertaine redondan e de l'information, don une plus

grande abilitéde l'instrument àlong terme.

Le traje tographe (TKR pour  tra ker )

Le traje tographe du LAT se ompose de 16 tours identiques. Cha une est un

em-pilement de 18  tiroirs  omprenant une ou he de tungstène (W) pla ée entre deux

plaques de 24 pistes de sili ium (Si) (voir g. 2.6). La harge importante du tungstène

favorisela onversiondes photons. Les

e+

et

e−

réés,en traversant lespistesde sili ium,

ydéposentassezd'énergiepour réerun ourantéle triquedanslesemi ondu teur.

L'ori-entationalternée despistesde sili ium(selonlesaxesXetY dudéte teur)etlastru ture

modulairede l'ensemble permettentde lo aliser haque petit déptd'énergie, l'ensemble

de es impa tsformantlatra e laisséepar haque parti ule. Lesdire tions des tra esdes

e+

et

e−

permettent de re onstruire la dire tion du photon in ident. Le faible rapport

hauteur/largeur (= 0,4) du traje tographe onfère au LAT son large hamp de vue (2,4

sr dans l'analyse usuelle,voirŸ 2.2.3).

L'épaisseur de la ou he de tungstène varie entre les tiroirs. Elle est ne (0,03

X0

) dans les 12tiroirs supérieurs pour limiter les diusions multiples des parti ules hargées

par le onvertisseur, ar elles- i dégradent la résolution angulaire. Dans les 4 suivants

elle est plus épaisse (0,18

X0

) pour augmenter la surfa e e a e, en parti ulier à haute énergie. Les deux derniers tiroirs en sont dépourvus, e qui limite les pertes d'énergie

des parti ules et permet une bonne re onstru tion de leurs traje toires. Les événements

(photons, parti ules hargées) dontlatra e démarre dans unedes 12 ou hes supérieures

Figure 2.6  S héma de prin ipe du traje tographe (g. 5 [20℄). La omposition d'un

tiroir ( tray ) et les espa es relatifs entre les diérentes ou hes le omposant sont

représentées, ainsi que l'alternan e d'orientation des pistes de sili ium. Plusieurs as de

onversion et déte tion de photons sont envisagés. (a) Cas idéal d'une onversion dans

la ou he de tungstène : lespistes de Si sontpla ées immédiatement au-dessous, auplus

près, pour que la lo alisation du point de onversion soit le moins possible ae tée par

les diusionsmultiples( as e). (b) Les pistessont assez étroites(228

µ

mde largeur)pour permettre de distinguer lesdeux tra es, e qui améliorelarésolution angulaireet lerejet

de rayons osmiques ne laissant qu'une tra e primaire. Ce i permet aussi de déte ter les

rares onversions n'ayantpas lieudans letungstène ( as e). ( ) Les ou hes de tungstène

ne ouvrentpaslesespa esentrelespistesdeSipourlimiterles onversionsmallo alisées.

Ces dernières n'ont lieuqu'aux extrémitésdes zonesa tives( as d).

Une parti ule hargée qui traverse le traje tographe laisse de l'énergie par diusion

dans les ou hes de onvertisseur qu'elle traverse. Ces dépts sont omptabilisés dans

l'estimation de l'énergiede laparti ule(éventuellement du photon) in idente, l'épaisseur

de la ou he de tungstène traversée et l'angle d'in iden e sont pris en ompte. Pour des

photons d'énergie inférieure à 80 MeV 'est la seule donnée utilisable, les se ondaires de

es événements n'atteignant pas le alorimètreen général.

Silebruitéle tronique dansunepiste dépasse leseuil orrespondantaupassaged'une

parti ule hargée, ettepistedevientinutilisable.Ce idiminuel'e a itédedéte tiondes

tra esetdon dégrade unpeulasurfa ee a eetlarésolutionangulairedel'instrument.

La fra tion de pistes à ignorer reste plus faible que 10

−4

à e jour, ainsi l'eet de e

vieillissementest en ore négligeable.

Le alorimètre (CAL)

Le alorimètre, situé au-dessous du traje tographe, est formé de barreaux d'iodure

de ésium (CsI) dans lesquels les parti ules hargées développent une gerbe et déposent

une grandepartie de leur énergie.Le matériau ainsi ex ité s intille,et la olle tionde la

lumière par diérentes photodiodes aux extrémités de haque barreaupermet la mesure

Figure 2.7  Gau he : Vue é latée d'un module du alorimètre du LAT (g. 6 [20℄).

Droite :Asymétrie de la olle tionde lumière de s intillation due au passage de muons

dans un barreau du alorimètre,en fon tionde lapositionde l'impa tsur lalongueur du

barreau. L'asymétrieestexprimée ommelelogarithmedu rapportdestensionsmesurées

aux extrémités du barreau. Test ee tué avant lan ement à l'aide de muons se ondaires

du rayonnement osmique. (g. 7[20℄).

À haque extrémité de haque barreau se trouvent deux photodiodes. Le ourant de

haque photodiode est amplié par deux gains, les 4 anaux disponibles permettent de

ouvrir entièrement la gammed'énergie déposée : de 2MeV à70 GeV par barreau. Pour

haque événement, seul le anal le plus adapté est lu, aux extrémitésde haque barreau

atteint.C'est ladiéren e d'intensité lumineuse entre lesdeux extrémités qui permet de

situer pré isément haque dépt. On lit la totalité des voies du alorimètre de manière

périodique pour l'étalonnage : si au une parti ule ne passe dans le déte teur au même

moment on lit la tension en l'absen e de signal. La moyenne de la distribution de es

le tures répétées donne, pour haque voie, le piédestal, valeur à soustraire de la tension

lue pour onnaître laquantité d'énergie ee tivement déposée. La moyenne et la largeur

de ette distributionsont déterminées par lebruit éle tronique.

La mesure et la lo alisationde haque dépt d'énergie permet d'aner la mesure de

l'énergie et de la dire tionde la parti ule in idente. Le pro édé est itératif: la dire tion

de l'événement est d'abord donnée par le bary entre des dépts d'énergie dans le CAL

et lesdeux premiersimpa ts dans le TKR. Cette informationest utiliséepour modéliser

la forme de la gerbe, e qui permet de orriger le dépt d'énergie mesuré en tenant

ompte des pertes dans les intersti es et de la partie non- ontenue dans le déte teur (la

profondeur du CAL est de 8,6

X0

). Cette estimation de l'énergie permet enn d'aner la mesure de dire tion dans le TKR, les probabilité de diusions multiples diminuant

ave l'énergie de la parti ule in idente. La modélisation de la gerbe fournit aussi une

informationsurlanaturedel'événement:unegerbehadroniqueestpluslargeparexemple

qu'une gerbe éle tromagnétique, e qui permet de re onnaître une partie des protons et

ions du rayonnement osmique.

Le bruit éle tronique, qui détermine les piédestaux, augmente ave la température,

et aussi éventuellement ave le temps. Quand le bruit est plus important que la

Figure 2.8  S héma de l'ACD (g. 9 [20℄). 89 tuiles re ouvrent le traje tographe : 25

sur le dessus et 16 sur haque fa e. Pour éviter de laisser des espa es non- ouverts, les

tuiles du dessus se hevau hent dansune dire tion. Dans l'autredire tion, quatre rubans

de bre optique passent entre les tuiles du dessus et des fa es et sont ouplés à deux

photomultipli ateurspla és àleurs extrémités aubas de haque fa e de l'ACD.

signi ativementles performan es du CAL.Les variations de températureobservées lors

d'observationspointéesétaientdel'ordrede2

Cetn'ontpasnonplusae tésensiblement

la mesured'énergie.

Ave le temps, le CsI irradié absorbe une fra tion de plus en plus importantede son

proprerayonnementdes intillation.Ce iréduitl'asymétrieentrelesdeuxextrémitésd'un

barreau, e qui ae te la modélisationde la gerbe. Pour prendre en ompte ette

évolu-tion, des runs dédiés à l'étalonnage sont ee tués tous les 3 mois environ pour mesurer

l'asymétrie dans haque barreau. Les référen es utilisées pour la re onstru tion des

ar-a téristiques des événements sont misà jouraufur et àmesure.

Le déte teur anti- oïn iden e (en anglais ACD)

Un déte teur anti- oïn iden e, formé de tuiles de s intillateur plastique, re ouvre le

dessusetles tésdutraje tographe(voirg.2.8).Cematériaunes intillequelorsqu'ilest

traversé paruneparti ule hargée, e quipermetd'utiliser e sous-déte teur ommeveto.

Dans la logique de dé len hement à bord, haque tour du TKR est asso iée à plusieurs

tuilesdel'ACDpla éesau-dessus.Lesévénementsde hauteénergie(

>

10GeV)réagissant ave lematériaudu alorimètreproduisentdes parti ules se ondaires dans l'ensemblede

l'instrument, dont ertaines peuvent déposer de l'énergie dans les tuiles de l'ACD. Seuls

les dépts situés dans les tuiles asso iées à la tour d'entrée du photon sont prises en

ompte dans la ondition de veto. Ainsi, seuls

20% des photons de es hautes énergies sont éliminéspar un veto appliqué àleurs parti ules se ondaires ( self-veto ).

Chaquetuile de s intillateurest reliéepar des bres optiquesàdeux

photomultipli a-teurs redondants.Lespiédestaux etgainsde eux- ivarientave latempérature. Ils

2.2.2 Du photon aux données nales

En vol : déte tion et pré-ltres

Cha un des sous-déte teurs dé rits i-dessus parti ipe à la déte tion des parti ules

in identes.Le TKRdéte te lepassagedes parti ules hargées(primaires ouse ondaires).

L'ACD,répartienzonesasso iées à haquetour duTKR,déte te l'entréed'uneparti ule

hargée.LeCALmesureledéveloppement des gerbeséle tromagnétiques.Un déptd'au

moins 2MeV est né essaire pour enregistrerlepassagedans un barreau. Deuxseuils sont

dénis pour distinguer le passagede parti ules de haute outrès haute énergie: 100 MeV

et 1GeV par barreau.

Ce i dénitune liste de onditions de base ou trigger primitives :

  externe ( ondition non-physique)

  solli ité ( ondition non-physique)

  périodique  : ( ondition non-physique) le ture, dé len hée à une fréquen e de 2

Hz, de l'ensemble des voies du CAL, an de suivre l'évolution de leurs piédestaux

(voirplus haut).

 TKR :aumoins troisimpa tsalignéssont né essairespour onserverun

événe-ment.

  ROI  :ACD en mode veto (voir plus haut).

  CNO : granddéptd'énergie dans l'ACD. Ce i sert àdéte ter lesions

relative-ment lourds(

Z > 6

),d'où son nom : CarbonNitrogen Oxgen .   CAL-LO  :CAL ave seuil à 100 MeV par ristal.

  CAL-HI : CAL ave seuil à 1 GeV par ristal.

Pour haque événement in ident, la première ondition remplie marque le début d'une

période de 1,5

µ

s appelée fenêtre de trigger, pendant laquelle les informationsde trigger de l'événement seront enregistrées. Les parti ules in identes sont réparties en fon tion

des ombinaisonsde onditions de bases qu'elles remplissent,ou trigger engines (voir

tab. 2.1). Par exemple, un photon d'origine astrophysique remplit d'abord la ondition

TKR, puis éventuellement CAL àl'un oul'autre seuil si son énergie est susante etson

in linaison pas trop importante, ela sans a tiver le veto de l'ACD, e qui orrespond

typiquement autrigger enginenuméro 7.

Unepremière étapedu rejet du rayonnement osmique adon lieui i.Sila ondition

ROI est remplie lapremière, e qui orrespond à un rayon osmique hargé,l'événement

n'est pas gardéen mémoire.Cette ondition peut être rempliependant lafenêtre de

trig-ger ouverte par un photon, si une parti ule hargée arrive pendant que ette fenêtre est

en ore ouverte. La ondition CNO ne doit pas non plus être remplie la première, ela

orrespondrait à un rayon osmique de haute énergie. La ondition CAL LOne doit pas

être remplie la première non plus, ela orrespond à des photons ou parti ules hargées

de haute énergie provenant de laTerre oudu rayonnement osmique Gala tique,qui

at-teignentleCALparledessousoulean .Commeilsnepassentpasd'abordparl'ACDon

ne peut pasdistinguer lesphotons desparti ules hargéesdon ilvaut mieuxtoutrejeter.

Les photons et parti ules de très haute énergie (remplissant la ondition CAL HI) sont

moins nombreux, età es énergies onpeut distinguer une gerbe éle tromagnétique d'une

gerbehadronique,ilssontdon retenusetanalysésausol.Pour ertaines ombinaisonsde

onditionsasseztypiques departi ules hargéeson hoisitdenepas gardertousles

35 4 0 0 0 1 x 1 1 1 oui 4 -5 0 0 0 1 x x x x oui 1 249 6 0 0 0 0 1 x x x oui 1 -7 0 0 0 0 0 x 1 0 oui 1 -8 0 0 0 0 0 1 0 0 oui 1 -9 0 0 0 0 0 1 1 1 oui 1 -10 0 0 0 0 0 0 1 1 oui 1 49

Table 2.1  Logique de dé len hement à bord. Chaque ligne indique la omposition d'un trigger engine, ombinaisondes onditions

de base outrigger primitives. Lespréfa teurs appliqués pour la mémorisationdes événements remplissantles diérentes ombinaisons

sontindiqués,ainsiquelenombrede anauxlusà haque boutde haque ristaldu alorimètre.La ombinaisonnuméro3sert ausuivi

mentdes ions du rayonnement osmique malre onstruits don inutiles pour l'étalonnage

de l'instrument.

Chaqueévénement est présenté àune sériede ltres,basés àlafoissur es onditions

de base etsurune re onstru tionsimpliéedes tra esee tuéeàbord :photon,ion

lourd (

Z

=6etplus), MIP  pour  parti uleau minimumd'ionisation  (essentielle-mentdesprotons)etdiagnostique.LeltreMIPn'estutiliséquelorsderunsdédiés

où onse sert du dépt d'énergie onnu de es parti ules omme étalon.Les autres ltres

sont onstamment utilisés. Les ltre  ion lourd  séle tionne des ions bien re onstruits

du rayonement osmique pour l'étalonnage, notammentde l'é helle de mesure d'énergie.

Leltrediagnostiquepermetdegarderdesparti ulesdetoutesnatures, enappliquant

des préfa teurs sur les ombinaisonsde onditions de base. Le ltre  photon applique

une séle tion jusqu'à20 GeV, eta epte tous lesévénements au-delà.

Au sol : re onstru tion et lassi ation

Les données brutes ontiennent des informations basiques telles que : date de

dé- len hement, informationsde trigger, pistes ayant vu l'événement, ristaux lus etdépts

d'énergie. Elle sont enregistrées à bord, et envoyées au sol 6 à 8 fois par jour, en ordre

quel onque, via leréseaude satellites

T DRSS

(Tra kingand DataRelay Satellite Sys-tem ) et ses antennes radio au sol [21℄. Les données brutes sont transmises au entre

de al ul du

SLAC

, où le traitement peut ommen er : re onstru tion des tra es et des vertex, al ulde l'énergiedesparti ules in identes.Lesparti ulessont lasséesparnature

probable en fon tion des étapespré édentes. Ce pro essus de re onstru tion etde

lassi- ationsuit un réseaude neuronesde type lassi ationtree [22℄.Lesbons andidats

photons sont onservés pourl'analyse. Une voiesupplémentaire aété ajoutée ré emment

pour la lassi ation etl'analyse des éle trons etpositrons [23, 24℄.

Les générations su essives de es réseaux de neurones sont appelées  Pass . Les

données publiques a tuelles sont issues de la lassi ation Pass6, trois lasses de

andi-dats photons y sont dénies, de moins en moins ontaminéespar le fondde rayonnement

osmique : transient qui maximise le signal des sour es transitoires, sour e prévue à

l'originepour l'étudedes sour espon tuelleseta tuellement inusitée,etdiffuse utilisée

pour l'étudedes sour es permanentes pon tuelles ou étendues. Une lasse extradiffuse

en ore plus  pure  a été mise au point pour l'étude de l'émission diuse

extragala -tique. La lassi ation Pass7 est a tuellement testée par la ollaboration,en interne,elle

omprend 10 lasses de photons, y ompris des événements re onstruits uniquemement

grâ e auTKR ou uniquement grâ e auCAL. Elle omprend aussi des lasses de leptons,

protons, noyaux d'hélium, et ions lourds lairement identiés. La génération suivante,

Pass8,est en oreen développementetimpliqueune nouvellere onstru tion.Celle- idoit

permettrede diéren ierla ontributiondel'événementre onstruit,de elled'événements

a identels, rayons osmiques hargésayantatteintledéte teurpeude tempsauparavant

et laissé une empreinte dans lessous-déte teurs. Ceux- ipeuvent générer un mor eau de

tra e supplémentaire dans le TKR ou déposer jusqu'à 30 MeV dans le CAL, e qui

dé-grade la qualité des événements re onstruits et diminue don l'a eptan e des lasses de

photons standard. Il s'agit essentiellement de rayons osmiques hargés de basse énergie,

dont leux dépend de laposition du satellitedans le hamp magnétique terrestre, etest

don orrélé au paramètre

L

de M Ilwain. Ce ux variable de parti ules hargées a été pris en omptepour réestimerlesfon tionsderéponsepourlesdonnées lassiées d'après

Étalonnage de l'instrument et tests des méthodes de re onstru tion

Les méthodes de re onstru tion ont été testées sur de grandes quantités de photons

simulés. Ces simulations ont été ee tuées à l'aide de gleam [25℄, programme dérivé de

geant4prenanten omptelagéométrieduLATetl'ensembledesréa tionspossiblesentre

la parti ule in idente et le déte teur. Les fon tions de réponse de l'instrument (IRF en

anglais)sontaussidérivées detellessimulations.Lafon tion d'étalementà un point(PSF

pour  Point Spread Fun tion) est la distribution des dire tions re onstruites

d'événe-ments provenant d'une même dire tionvraiesupposée. Celle- i est en général onsidérée

symétrique de révolution et seul son rayon de ontenan e à 68% est tabulé. La surfa e

e a e de déte tion (

Aef f

) est unese tione a e ma ros opiqued'intera tionentre une parti ulein idente etledéte teur- ible. Lafon tion de redistribution en énergieenn est

la distribution de l'énergiemesurée de photons de même énergievraie, salargeur est

ap-peléerésolution énergétique.Ces grandeurs sontparamétrisées, interpoléesettabulées en

fon tion de l'énergie vraie des parti ules simulées et de l'in linaison de la position vraie

de leur sour e dans le hamp de vuede l'instrument (voir Ÿ2.2.3).

Lessimulationsontétévalidées(et orrigées le asé héant)àpartirde vraiesmesures.

Avant le lan ement, plusieurs séries de tests sur fais eaux ont été ee tuées, au

CERN

(Genève), au

GSI

(Darmstadt,Allemagne),etau

SLAC

(Stanford,É.-U.)[26℄.L'unité d'étalonnage  onstituée de deux tours du TKR et 3 modules du CAL, a été soumise

à des fais eaux d'éle trons et de protons de 1 GeV à 300 GeV, et aux photons de leur

rayonnemement de freinage observés entre 50 MeV et1 GeV.

Un étalonnage en vol a également été ee tué, il est dé rit dans [27℄. L'étalonnage

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