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Le volume rédigé p ar le D r Bessis, intitulé « Le sang et la tra n s ­ fusion sanguine » débute p ar un historique de l’étude des cellules du sang — connues déjà à la fin du x vii' siècle ! — agrémenté de citations e t de croquis de l'epoque. L ’exposé des techniques d’études modernes qui vient ensuite ne nous en émerveille que davantage ! le microscope électronique a révélé un aspect nouveau des mito- chondries, des détails im pressionnants sur le reticulum endoplas- mique et les grains de Palade. « On peut espérer atteindre » écrit l’auteur « le domaine des grandeurs moléculaires, c’est-à-dire le niveau où la forme et la fonction deviendront identiques ».

Puis l’auteur met au point les connaissances actuelles sur les cellules sanguines et leur formation, la coagulation du sang, les groupes sanguins, le facteur Rh. Même dans ce domaine classique, on trouve le détail nouveau, l’exemple bien choisi, ou quelque « his­ toire » de découverte qui rendent la lecture agréable et satisfont l’esprit.

Dans une description des cas pathologiques du sang, le D r Bessis donne des détails peu connus sur les maladies des plaquettes san­ guines, rappelle le traitem ent efficace récemment découvert de l’hé­ mophilie et, après avoir étudié la redoutable maladie hémolytique du nouveau-né humain, expose ses travaux personnels, effectués en collaboration avec le D r Caroli, qui triom phèrent d’une maladie identique du mulet nouveau-né. « Pour une fois, c’est l’étude d’une maladie humaine qui a éclairé la pathologie animale ».

Les derniers chapitres sont particulièrem ent instructifs. Ils con­ cernent la transfusion et l’ex-sani^ino transfusion totale dont l’au­ te u r promet, pour un proche avenir, la pratique courante.

C’est dans ces pages qu’est reproduit un dessin d’exsanguino- transfusion d atan t de 1660 ! — à côté de ce commentaire savoureux d’une transfusion de sang de veau à l’homme : « Le sang d’un veau est plus chaud que celui d’un homme. Comment, dès lors, espérer rafraîch ir le malade ? Sans compter qu’il est à craindre que le sang du veau ne communique à l’homme la stupidité e t les inclinaisons brutales de cet animal. Enfin, que deviennent, dans les veines de l’homme, les particules de ce sang que la natu re a destinées, chez le veau, à produire des cornes ?... »

Le livre du Docteur Bessis est un exposé direct et vivant de tou­ tes les connaissances actuelles sur le sang et une étude des cas. pathologiques de celui-ci faite avec la clarté et la rigueur d’un hom­ me de science compétent.

Il est à recommander aux étudiants en Sciences naturelles et en Médecine et à tous les scientifiques désireux d’élargir leurs connais­ sances.

Madame BOUE

A \aurice DENIS-PAPIN. ■— R ésum és d e P h ysiq u e • R ésum és d e

C h i m i e (A l b a i n M ic h e l ).

Deux petits ouvragées de poche de 350 et 200 pages environ des­ tinés d’une p a rt aux diverses catégories de techniciens, spécialistes de ces disciplines exclus, présentant avec une extrême concision une fresque d’ensemble de toute la physique ou la chimie élémentaire, d ’au tre p a rt aux candidats à des examens du niveau des classes term inales du 2' degré, pour servir d’aide-mémoire. Connaissant l ’importance des ouvrages scolaires qui tra ite n t les programmes du æ cond cycle, nos camarades devineront l’effort de condensation effectué p a r l ’auteur, et ne s’étonneront pas de l’extrême brièveté de chaque paragraphe. Dans l’ouvrage de physique se trouvent de nombreux renvois à des ouvi-ages spécialisés du même auteur. Signa­ lons que certaines pages de l’ouvrage de chimie, celles relatives à la sidérurgie p a r exemple, pourraient être supprimées.

R. MERLET. ■— T ech n ologie p ro fessio n n elle d'électricité. T om e II.

3® é d i tio n .

Production, transform ation et tran sp o rt de l’énergie électrique. Les m oteurs à courant continu e t à courants alternatifs. A ppareil­ lage, mise en marche et contrôle automatique des machines élec­ triques.

L ’ouvrage tien t compte des derniers perfectionnements industriels, par^ exemple dans le domaine des redresseurs secs. C’est même p ar excès de modernisme que se trouvent rassemblées des descriptions, en quelques mots, de chacun des types de réactions nucléaires. P a r contre on peut apprécier sans réserve l’étude des petits moteurs à courant a lte rn a tif monophasé, étude souvent négligée dans les pro­ grammes m algré le développement des appareils ménagers. A id e -M é m o ire DUNOD M écan iq ue - P h ysiq u e g én ér a le . 6°

éd itio n .

Bréviaire physico-mécanique de l’étudiant, de l’ingénieur et du physicien.

HEINY e t LE GARFF. — N orm es e t sch ém as d 'électricité (F o u - c h e r ) .

Cet ouvrage s’adresse aux candidats aux divers C.A.P. de l’in­ dustrie électrique, en vue de la préparation de la partie de l’épreuve de dessin relative au schéma électrique. La connaissance des prin­ cipaux symboles graphiques utilisés pour représenter, conformément aux normes U.T.E., les circuits, les appareils et les machines, est indispensable à tout électricien. De nombreux exemples de schémas d ’installations d’éclairage, de sonnerie, de machines, de postes de transform ation, m ontrent comment il fa u t appliquer les règles de l’U.T.E. à des cas concrets.

L’ouvrage est présenté sous forme de 69 planches qui apparais­ s e n t claires et bien ordonnées; un texte très condensé explique suffi­ samment des figures impeccablement dessinées. Ce manuel rendra les plus grands services dans toutes les classes d’élèves électriciens.

NEY ROUGEMONT. — H y g iè n e e t v ie pratique ( D u n o d ) . L’en se i^ e m e n t de l’hygiène et des sciences appliquées présente de réelles difficultés car il fa it appel à de bonnes connaissances scientifiques intelligemment exploitées en vue de la compréhension ou de la rationalisation des fa its techniques.

Les auteurs nous disent qu’ils ont eu ces préoccupations. Pour­ tan t, ils ont abordé en un volume de 191 pages agréablement pré­ senté p a r l’éditeur les problèmes suivants :

Hygiène de l’habitation, chauffage, ventilation, éclairage, évacua­ tion des m atières usées.

L’hygiène de l’alim entation; l’eau, les boissons, l’alcoolisme, les conserves alim entaires, les accidents causés p a r l’alimentation. — L’hygiène générale.

Les microbes, les maladies contagieuses, vaccinations et séro­ thérapie.

— Accidents du tra v a il; leur prévention. — Les maladies professionnelles.

— Les parasites. — Les soins externes.

— Quelques notions d’hygiène des ateliers.

Les auteurs considèrent que les élèves ont acquis, quand ils se servent de ce livre, de solides connaissances scientifiques sur les­ quelles ils s’appuient.

C’est aussi

qu’ils conseillent une alimentation variée sans avoir beaucoup insisté sur l’intérêt de chaque groupe d’alim ents;

que le professeur devra largem ent développer la lu tte de l’orga­ nisme contre l’invasion microbienne, expliquer en quoi consiste la phagocytose;

__ que les troubles physiologiques de la tuberculose n ’ont pas été étudiés.

D’au tre p a rt je regrette l’emploi du term e « fléaux sociaux > appliqué à des maladies telles la tuberculose, la syphilis; cette appellation risque de m ettre le malade dans un é ta t de crainte paralysante.

En résumé, ce volume aidera les professeurs des centres d’appren­ tissage : il correspond à un trav ail de synthèse intéressant. Les bons élèves y trouveront des exposés clairs dont ils tirero n t profit si leurs connaissances scientifiques sont bonnes.

M. L. DEBESSE. — La v ie é c o n o m iq u e fran çaise (B ailliè re e t fils). Mme Debesse publie dans la collection de Géographie pour l’E n­ seignement Technique éditée p a r Baillière, une vie économique fra n ­ çaise. Cet ouvrage est conçu dans le même esprit que la vie économi­ que du Globe dont il a été rendu compte dans notre bulletin de janvier 1958. Nous y retrouvons avec plaisir une géographie où nos élèves « apprendront à connaître les grands problèmes français > et prendront conscience de la complexité des problèmes économiques et de leurs répercussions sociales. Grâce aux cartes, aux figures, aux illustrations, au souci de présenter une documentation très à

jo u r, il y a, la, un. excellent outil et un ouvrage précieux pour nos

E. VERDIER. — G éograp h ie h um aine et é c o n o m iq u e - 3 ' Tech­ n i q u e ( D e l a g r a v e ) .

conçu spécialement en fonction des programmes de iiii.i., est le fru it de Fexpérience de M. Verdier,

Le texte, simple et clair, se complète p a r des cartes (parlantes), des graphiques, des illustrations soigneusement sélectionnées, des lectures.. L ouvrage perm ettra de faire réfléchr les élèves et de leur m ontrer 1 evolution des activités humaines jusqu’à leurs aspects les plus récents : énergie nucléaire, tran sp o rts aériens, circulation de la pensee... Un bon instrum ent de trav ail fécond pour nos élèves. M . ROUABLE. — G éo g ra p h ie d e l'Union Française (cl. 1*'. -

D u n o d ) .

Ce volume tra ite le programme de la classe de première et sera utile aux eleves de l’Enseignement Technique p rép aran t le bacca- la u p a t. Les chapitres su r la géographie physique et économique sont très développes. L ’auteur a tra ité en 10 chapitres l’étude éco­ nomique d ensemble, ces problèmes étant ceux qui intéressent le plus les eleves. Les chiffres de production sont ceux de 1956. Une illus­ tration abondante, des croquis, des cartes et des exercices complè­ te n t cet ouvrage et en font un bon instrum ent de travail.

H a rle y CARTER. — Introduction à l'o scillo sco p e à faisceau é le c ­

tron iqu e ( t r a d u c t i o n H en ry P i r a u x ) . B i b lio th è q u e te c h n i q u e

Philips. D ép o sitaire : D u n o d .

L’oscilloscope est devenu l’outil fondamental ^u technicien radio et du ÿ p a n n e u r. Son rôle dans l’enseignement est aussi très impor­ tan t. Seuls^ quelques professeurs connaissent les possibilités des divers modèles actuellement dans le commerce et peuvent en adapter les caractéristiques aux problèmes pratiques qui se présentent. Le petit ouvrage de vulgarisation de la bibliothèque Philips intéressera vivement les autres professeurs de sciences; ils y trouveront par exemple l’étude de la base de temps, les principes de la conversion de phénomènes non électriques en phénomènes électriques, diverses applications techniques, et quelques schémas de montage d’oscillo­ scope. L’édition est très soignée..

J . P. L. MENDEL. — Pour le sou d eu r au chalum eau et le d écou p eu r

e t Pour le sou d eu r à l'art ( D u n o d . é d i t e u r ) .

Nous présentons ensemble ces deux ouvrages d’un technicien enseignant. Ils s’adressent en particulier aux apprentis, ouvriers, et artisan s soudeurs.

Ils ont aussi un public plus vaste car ce sont d’excellents manuels pour les ouvriers qui utilisent cette nouvelle technique qui a pénétré dans tous les garages de la ville et de la campagne. Quel est, aussi, le rép arateu r de machines agricoles successeur de l’ancien forgeron qui n ’a pas son poste de soudure au chalumeau ou à l’arc ?

Soudeurs ! vous, profane, n ’employez pas cette qualification avec un petit a ir de dédain ! Le « quitte ou double » en a rendu un célèbre p a r son érudition en chimie. L’homme au chalumeau est celui qui vous dépannera peut-être un jour quand vous n ’aurez pas sous la main la pièce de rechange introuvable, à rem placer dans une m a­ chine déjà ancienne...

Que ces petits manuels soient mis entre les m ains de tous les techniciens soudeurs...

G. J. E. S O D A N O . — Pour rA justeur-M écanicien (3® é d i t i o n ) . Un

v o l u m e 1 2 X 1 8 , 2 2 4 p p ., 4 5 0 fr.

Pour le Tourneur-M écanicien (3" é d i t i o n ) . 2 v o l u m e s 1 2 X 1 8 ,

2 8 2 p p ., 4 5 0 fr., 2 6 8 p p . , 4 5 0 fr. ( D u n o d ) .

Ces ouvrages constituent des instrum ents de base. Ils sont acces­ sibles aux jeunes apprentis et peuvent apporter aux élèves des C.T. et des E.N.P. une documentation sérieuse dans les domaines qu’ils concernent.

G. LANGLOIS. B. WASSILIEFF. — E m b outissage. R ègles p rincipales. C alcul.

E xem p les (2® é d i t i o n ) . Un v o l u m e 1 4 X 2 2 , 8 0 p p . , 5 6 0 fr.

D u n o d ) .

Ce livre intéresse les techniciens qui n ’ont pas trouvé jusqu’à présent une litté ra tu re suffisante dans le domaine de l’emboutissage. L ’étude technologique est appuyée su r de nombreux exemples con­ venablement illustrés et cette 2* édition fa it é ta t de récents tr a ­ vaux parus dans la presse française et étrangère.

G. LANGLOIS. M a th ild e POMES. — Trois autos sacram en tales d e C alderon t

La Vida e s su e n o . La Cena d el Rey Baltazar, El gran teatro d el m un do (C o lle ctio n T ém o in s d e l'E s p a g n e , librairie G.

Klincksiek, Paris, 1 9 5 7 ) .

La belle collection de textes bilingues Témoins de TEspagne, où a déjà paru le « Poema de mio Cid », si heureusement préfacé et tra d u it p a r M. E. Kohler, publie trois des plus célèbres pièces sacra­ mentelles de Calderon de la Barca : « Le festin de B althazar », qui fu t joué en 1634, le « Grand T héâtre de Monde », qui le fu t en 1649, et « La Vie est un Songe », de 1673, où le grand poète a repris su r le plan sacré la donnée essentielle de son dram e philo­ sophique universellement connu, représenté sous le même titre , en 1635.

La traduction en a été confiée à Mlle Mathilde Poinès, qui s ’en est acquittée avec bonheur et finesse. Ce n ’est pas un calque rigide de l’original espagnol qu’elle nous offre, mais une transposition intelligente, fidèle et nuancée. Afin de donner une idée du soin scrupuleux qu’elle a apporté à ce trav ail délicat entre tous, surtout quand il s’agit d’un texte trop souvent altéré, elle n ’a pas hésité

à s’adresser pour résoudre une difficulté particulière, aux plus hau­ tes autorités qui soient en m atière de langue classique et de philo- Jogie espagnoles, au grand critique Damaso Alonso et au m aître vénéré Don Ramon Menendez Pidal.

On lira avec profit la substantielle introduction où elle définit fo rt clairement Faute sacram ental — dont elle fa it un bref histo­ rique. Rlle énumère les principaux auteurs de ces pièces sacramen­ telles qui sont, selon la formule frappante de M. Bataillon, « sous un vêtement baroque, le plus savant aboutissement de la tradition des m ystères », rappelle les conditions dans lesquelles elles étaient jouées et nous fournit ta n t sur Calderon que sur les trois autos qu’elle a si adroitement trad u its toutes les indications et précisions utiles au lecteur français.

Ajoutons que leur traduction est complétée p a r des notes explica­ tives ou justificatives qui facilitent en bien des cas l’intelligence d u texte et où il y a beaucoup à glaner, même pour le lecteur his­ panisant.

Introduction, traduction et notes seront d’un grand secours pour- tous et notamment pour les étudiants qui disposent là d’un excel­ lent instrum ent de travail et de perfectionnement. On ne saurait trop leur en recommander le maniement.

R. LARRIEU. l o w e l l DUNHAM. — Romulo G a lleg o s, Vida y Obra (C oleccion

S t u d i u m , 15 Ediciones d e A n d r e a , M e xico, 1957. 3 2 7 p a g e s , # 3 . 8 5 ) .

On trouvera dans ce livre une abondante documentation sur la ■vie, les vicissitudes, les idées et surtout les œuvres du grand écri­ vain vénézuélien. L’auteur, de l’Université d ’Oklahoma, y consigne les résultats d’une enquête méthodique et approfondie sur l’activité politique et littéraire de Romulo Angel del Monte Carmelo Gallegos Freire, né à Caracas en 1884, bachelier en 1903, chef de gare de 1906 à 1908, journaliste dès 1909, à < La Alborada », m arié en 1912 à Teotiste Arocha Egui, compagne exemplaire, sous-directeur jusqu’à 1920 du Lycée de Caracas, où il donne des cours de philo­ sophie, teneur de livre dans une cordonnerie et dans une entreprise de pompes funèbres, directeur d’une revue, « La Novela Semanal » <en 1922), voyageur (il séjourne à P aris, en Espagne et en Italie en 1926 et en 1928), romancier rem arqué dès 1929, Dona Barbara, roman paru à Barcelone, ayant obtenu un succès retentissant, nom­ mé sénateur p a r le général Gomez, exilé volontaire à New-York en 1931, année où il se démet de sa charge de sénateur, chef du service des ventes de la National Cash Register Company à Madrid en 1932), de retour au Vénézuéla à la m ort du dictateur Gomez (1935), m inistre de l’Instruction publique, en 1936, dans le gouver­ nement de Lopez de Contreras, député au « Congrès national » jusqu’à 1940, victime d’un grave accident de voiture aux E tats- Unis (automne 1937), président du Conseil municipal de sa ville natale (1940), engagé à fond dans les luttes politiques (discours fam eux prononcé p a r lui à Caracas, en avril 1941), candidat m al­ heureux à la Présidence de la République en 1941, échec réparé en 1947, destitué p a r une ju n te m ilitaire, puis banni le 5 décembre 1948, vivant d’abord à Cuba, puis en Floride (à Miami), ensuite à Mexico (1949) et à Morelia, dans l’E ta t de Michoacan, de 1952 à

1955 (il avait perdu sa femme en 1950), séjournant ou voyageant aux E tats-U nis et en Europe (1955), se fixant enfin à Mexico.

Les détails biographiques sont précis, les notes e t les références nombreuses. L’évolution politique de Romulo Gallegos est nettem ent marquée, et les tra its essentiels de son caractère sont mis vigou­ reusement en relief. Si l’on veut savoir ce que fu t « l’Action Démo­ cratique » dans le cadre de la République Vénézuélienne, ce qui nous est dit du rôle éminent et déterm inant que joua dans ce parti l’au teu r de « Dona B arbara » suffit à en donner une idée juste.. Les liaisons multiples qui existent entre sa vie mouvementée et son activité littéraire sont fo rt clairement indiquées et soulignées.

A ses œuvres diverses, essais, contes, prem iers romans, chefs- d’œuvre, derniers romans, six chapitres sur neuf sont consacrés. Dans le dernier intitulé « Los patrones », apparaissent nettem ent analysées les diverses influences qu’il a subies, notamment celles des. Espagnols Pérez Galdos, Rio B aroja, Pérez de Ayala et Pereda, du F rançais Zola et des trois grands romanciers russes qu’il adm irait p a r dessus tout : Dostoievsky, Andréiev et Tolstoï. On y trouve également, en conclusion, des rem arques fo rt intéressantes sur son positivisme, son réalisme, sa technique natu raliste et sa façon si originale d’utiliser les symboles.

Bref, c’est là une étude trè s consciencieuse, bourrée de précisions et de citations, d’une lecture agréable, perm ettant de mieux com­ prendre e t d’apprécier comme il convient l'immense talen t de Ro­ mulo Gallegos.

R. LARRIEU.

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