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Emplois dans les pourvoiries en 2005

C- COMPARAISONS DÉTAILLÉES ENTRE DIVERS ENSEMBLES 17

1.5 Emplois dans les pourvoiries en 2005

Figure 7 : Nombre moyen d’emplois Sud du Québec et Nord-du-Québec En 2005, les pourvoiries du sud du Québec comptaient en moyenne

moins d’employés rémunérés que celles du Nord-du-Québec. En effet, les pourvoiries du sud du Québec comptaient en moyenne 4,2 employés rémunérés, alors que celles du Nord-du-Québec en comptaient 5,7.

4,2

5,7

Nombre d'emplois rémunérés Sud du Québec Nord-du-Québec Figure 8 : Nombre moyen de semaines travaillées

Sud du Québec et Nord-du-Québec

63,1

15,2 31,9

5,6

Nombre de semaines travaillées et rémunérées

Nombre de semaines travaillées et rémunérées par employé Sud du Québec Nord-du-Québec

Par contre, même si les pourvoiries du Nord-du-Québec comptaient en moyenne davantage d’employés rémunérés que celles du sud, ces employés travaillent pendant des périodes plus courtes dans le Nord-du-Québec. En effet, le nombre de semaines travaillées a été en moyenne en 2005 deux fois plus élevé dans les pourvoiries du sud du Québec que dans celles du Nord-du-Québec.

En moyenne donc, les employés des pourvoiries du sud du Québec travaillaient un peu plus de 15 semaines par année, soit plus de deux fois plus longtemps que les employés des pourvoiries du Nord-du-Québec qui travaillaient en moyenne un peu moins de 6 semaines par année.

1.6 Revenus et dépenses

1

des pourvoiries en 2005

Figure 9 : Revenus et dépenses moyennes Sud du Québec

En 2005, les pourvoiries du sud du Québec ont réalisé en moyenne des revenus de 187 000 $. Des trois sources citées, c’est la pêche qui a contribué le plus à ces revenus, loin devant les autres activités et la chasse, respectivement deuxième et troisième.

90 781 $

40 469 $ 49 328 $

187 090 $

70 085 $

166 118 $

Revenus de

la pêche Revenus de

la chasse Revenus des autres activités

Revenus

totaux Dépenses en

masse salariale

Dépenses totales

Les dépenses se sont, quant à elles, chiffrées à plus de 166 000 $ en moyenne par pourvoirie dans le sud du Québec en 2005. La masse salariale représentait pour sa part 70 000 $ par pourvoirie.

La situation des pourvoiries du Nord-du-Québec différait considérablement de celle des pourvoiries du sud. Tant au niveau des revenus que des dépenses, les montants en cause pour les pourvoiries du Nord-du-Québec étaient en 2005 nettement plus importants que ceux pour celles du sud.

Figure 10 : Revenus et dépenses moyennes Nord-du-Québec

Avec des revenus de près de 403 000 $ par pourvoirie, le Nord-du-Québec a enregistré des revenus moyens plus de deux fois supérieurs à ceux du sud du Québec. En outre, c’est la chasse et non la pêche qui est l’activité qui contribue le plus aux revenus des pourvoiries du Nord-du-Québec.

51 125 $

257 922 $

51 882 $

402 591 $

95 318 $

399 811 $

Revenus de la pêche

Revenus de la chasse

Revenus des autres

activités

Revenus totaux

Dépenses en masse salariale

Dépenses totales

Par contre, les dépenses des pourvoiries du Nord-du-Québec ont été en moyenne nettement plus élevées que dans le sud. Le faible écart entre les dépenses et les revenus supporte les commentaires de plusieurs pourvoiries qui soulignaient la situation financière difficile vécue dans le Nord-du-Québec. La masse salariale était plus élevée en moyenne dans le Nord-du-Québec et ce, malgré le nombre de semaines travaillées inférieur dans cette région. Par contre, celle-ci occupait une part moins importante des dépenses totales dans le Nord-du-Québec que dans le sud.

1 Voir la mise en garde à la page 17 sur la comparabilité des données sur les revenus et les dépenses.

2- Sud du Québec (Pourvoiries avec et sans droits exclusifs)

2.1 Introduction

Toutes les pourvoiries du Québec tombent soit dans la catégorie des pourvoiries avec droits exclusifs (PADE) ou dans celle des pourvoiries sans droits exclusifs (PSDE). Cette section se concentre uniquement sur les pourvoiries du sud du Québec, car celles du Nord-du-Québec sont influencées de manière différente par le fait d’avoir ou non des droits exclusifs.

Certaines pourvoiries disposent de zones en exclusivité pour les camps mobiles. De plus, les non-résidents ont l’obligation d’utiliser les services d’une pourvoirie pour la pratique des activités de chasse et de pêche.

Une pourvoirie avec droits exclusifs s’assure de l’exclusivité de l’exploitation de la faune sur un territoire donné en vertu d’un bail signé avec le ministère des Ressources naturelles et de la Faune du Québec.

Au contraire, les pourvoiries sans droits exclusifs n’ont pas ce privilège et doivent exercer leurs activités sur des territoires du domaine de l’État ou en terres privées.

Les pourvoiries du Nord-du-Québec sont presque exclusivement sans droits exclusifs. Par contre, leur emplacement éloigné et l’étendue du territoire qu’elles occupent leur confèrent souvent de facto une certaine exclusivité sur la faune d’un territoire donné. Cette situation, en plus des autres particularités des pourvoiries du Nord-du-Québec explorées à la section précédente, fait en sorte que la présente section se limite aux pourvoiries du sud.

Dans le sud du Québec, la majorité des pourvoiries sont sans droits exclusifs. Sur les 572 pourvoiries du sud du Québec, on retrouvait, en 2005, 380 PSDE et 192 PADE. Les PADE ont retourné leur rapport d’activités dans une plus grande proportion que les PSDE. Au total, 176 PADE nous ont retourné leur rapport d’activités, comparativement à 342 PSDE.

Globalement, les PADE attirent davantage de clientèle que les PSDE, comptent sur un nombre plus important d’employés et ont des revenus et des dépenses nettement plus élevés que les PSDE.

Tableau 11 : Répartition des pourvoiries PADE et PSDE (sud du Québec) Type de

droits (sud du Québec)

Nombre de pourvoiries ayant produit

un rapport

Nombre total de pourvoiries

Proportion de pourvoiries ayant produit

un rapport

PADE 176 192 91,7%

PSDE 342 380 90,0%

Total 518 572 90,6%

La même mise en garde concernant les données des revenus et des dépenses s’applique à cette section qu’à la précédente.

2.2 Nombre de jours-activité des personnes ayant séjourné à la pourvoirie en 2005

Figure 11 : Moyenne de jours-activité, clientèle avec séjour PADE

Les 174 PADE en opération ayant produit un rapport d’activités ont accueilli, en 2005, environ 127 000 clients ayant séjourné à la pourvoirie, soit environ 45 % des clients ayant séjourné dans une pourvoirie du sud du Québec. Ces clients ont séjourné dans les PADE

pendant près de 409 000 jours-activité. 1 328

230

303

1 861

212

490 171

107

0 500 1 000 1 500 2 000

Pêche

Chasse

Autres activités

Total

Moyenne de jours Résidents Moyenne de jours Non-résidents En moyenne, une PADE a accueilli 730 clients avec séjour en 2005,

pour une durée totale de séjour de plus de 2 350 jours-activité.

La pêche est l’activité qui a le plus contribué à l’achalandage total avec 66 % du total des jours-activité.

Les clients non résidents ont représenté 21 % du total des jours-activité des PADE.

Figure 12 : Moyenne de jours-activité, clientèle avec séjour PSDE

Les 325 PSDE en opération ayant produit un rapport d’activités ont, quant à elles, accueilli plus de 153 000 visiteurs pour 715 000 jours-activité à la pourvoirie.

En moyenne, les PSDE ont accueilli un moins grand volume de clients que celles avec droits exclusifs, avec 471 clients par pourvoirie ayant séjourné pendant environ 2 200 jours.

La pêche représentait une proportion similaire de l’achalandage à celle des PADE (65 % du total des jours). Les autres activités ont davantage contribué à la fréquentation des PSDE (31 %) qu’à celle des PADE (20 %).

Les non-résidents représentaient 21 % du total des jours-activité des PSDE, une proportion similaire à celle des PADE.

1 183

511

1 741

239

461 47 47

175

0 500 1 000 1 500 2 000

Pêche

Chasse

Autres activités

Total

2.3 Durée moyenne du séjour de la clientèle avec séjour en 2005

Figure 13 : Séjour moyen PADE

En moyenne, pour les PADE, un client ayant séjourné à la pourvoirie a passé 3,2 jours chez celle-ci. La moyenne varie par contre énormément d’une activité à l’autre. Alors que le séjour moyen du pêcheur a duré 3,3 jours, celui du chasseur était beaucoup plus long à 4,8 jours. Dans le cas des autres activités, le séjour moyen était beaucoup plus court, se situant à 2,5 jours.

3,15

4,77

2,60

3,17 4,34

2,32 3,27 3,40

4,84

2,49

3,22 4,98

Pêche Chasse Autres activités Total

Résidents Non résidents Total Les non-résidents restaient un peu plus longtemps que les

résidents en moyenne. Ces derniers restaient moins longtemps pour la chasse et surtout pour la pêche, mais un peu plus longtemps pour les autres activités.

Figure 14 : Séjour moyen PSDE

5,77

3,99 4,18

5,08 5,14

2,29

3,48 5,64

4,46

3,46

4,67 5,06

Pêche Chasse Autres activités Total

Résidents Non résidents Total

Dans les PSDE, le séjour moyen en 2005 a été plus long que dans les PADE. En outre, ce sont plutôt les résidents qui sont restés plus longtemps en moyenne dans ces pourvoiries que les non-résidents.

Avec 5,6 jours, la durée moyenne du séjour pour la pêche était

atégories, ce sont davantage les résidents que nettement plus longue que dans les PADE. Il en était de même pour les autres activités. Par contre, en ce qui concerne la chasse, la durée moyenne du séjour dans les PSDE se situait en dessous de celle des PADE.

Dans chacune des c

les non-résidents qui se distinguent entre les pourvoiries avec et sans droits exclusifs.

2.4 Nombre de jours-activité des personnes n’ayant pas séjourné à la pourvoirie en 2005

Figure 15 : Moyenne de jours-activité, clientèle sans séjour PADE

En 2005, la clientèle sans séjour a représenté un peu plus de 8 % du total des jours-activité des PADE. En moyenne, chaque PADE a reçu près de 215 clients qui n’ont pas séjourné à la pourvoirie. La clientèle sans séjour a principalement pratiqué la pêche (52 % des jours) et les autres activités (47 %). En fait, la chasse a été de loin l’activité la moins populaire auprès de ce type de clientèle, représentant moins de 1 % du total des jours-activité de la clientèle sans séjour.

108,1

176,6 37,0

1,5

67,0 33,8

0,3

2,9

0,0 50,0 100,0 150,0 200,0

Pêche

Chasse

Autres activités

Total

Moyenne de jours Résidents Moyenne de jours Non-résidents Seulement 17 % de la clientèle sans séjour provenait de l’extérieur du

Québec, soit une proportion moindre que celle de la clientèle avec séjour. Les non-résidents ont pratiqué à plus de 90 % les autres activités.

Figure 16 : Moyenne de jours-activité, clientèle sans séjour PSDE

Similairement aux PADE, la clientèle sans séjour a représenté en 2005 un peu moins de 8 % du total des jours-activité des PSDE.

55,3

139,7 42,3

76,3 8,1

3,4

1,3

37,5

0,0 50,0 100,0 150,0 200,0

Pêche

Chasse

Autres activités

Total

Moyenne de jours Résidents Moyenne de jours Non-résidents

Les autres activités devançaient la pêche pour les PSDE, avec 62 % des jours-activité de la clientèle sans séjour, alors que la pêche se contentait de 32 %. La chasse, toujours loin derrière les deux autres catégories, faisait tout de même mieux pour les PSDE que les PADE, avec 5 % du total des jours-activité de la clientèle sans séjour.

Avec plus de 23 % des jours-activité de la clientèle sans séjour, les non-résidents représentaient une part plus importante de ce type de clientèle pour les PSDE que pour les PADE et représentaient également une part plus élevée de la clientèle sans séjour des PSDE que de celle avec séjour. Tout comme pour les PADE, les non-résidents ont très largement pratiqué des activités autres que la chasse et la pêche.

2.5 Emplois dans les pourvoiries en 2005

Figure 17 : Nombre moyen d’emplois PADE et PSDE

En 2005, les PADE comptaient, en moyenne, plus de deux fois plus d’employés rémunérés que les PSDE. En moyenne, une PADE comptait 6,4 employés rémunérés, alors qu’une PSDE en comptait

3. 6,4

3,0

Nombre d'emplois rémunérés

Avec droits exclusifs Sans droits exclusifs Figure 18 : Nombre moyen de semaines travaillées

PADE et PSDE

88,7

13,9 50,1

16,6

Nombre de semaines travaillées et rémunérées

Nombre de semaines travaillées et rémunérées par employé Avec droits exclusifs Sans droits exclusifs

Bien que les PADE aient enregistré un nombre moyen de semaines travaillées et rémunérées largement plus élevé que les PSDE, la différence entre leur nombre d’employés rémunérés fait en sorte que les employés des PSDE ont travaillé, en moyenne, légèrement plus longtemps que ceux des PADE.

En effet, avec un total de près de 89 semaines travaillées par PADE, les employés de ces pourvoiries ont travaillé, en moyenne, pendant 14 semaines en 2005. Par contre, même si une PSDE ne comptait en moyenne que 50 semaines de travail en 2005, ses employés ont travaillé en moyenne pendant plus de 16 semaines.

2.6 Revenus et dépenses

2

des pourvoiries en 2005

Figure 19 : Revenus et dépenses moyennes PADE

En 2005, les PADE ont réalisé des revenus moyens de 268 000 $. Des trois sources citées, c’est la pêche qui contribuait le plus aux revenus des PADE, davantage que la chasse et les autres activités réunies.

Parmi ces deux dernières, la chasse contribuait 50 % plus aux revenus que les autres activités en 2005.

135 218 $

79 823 $

50 669 $

267 624 $

80 062 $

293 132 $

Revenus de

la pêche Revenus de

la chasse Revenus des autres

activités

Revenus

totaux Dépenses

en masse salariale

Dépenses totales

Les dépenses se sont, quant à elles, chiffrées à une moyenne de 293 000 $ pour les PADE en 2005. Ce chiffre n’indique pas nécessairement une situation moyenne déficitaire, mais pointe tout de même dans la direction d’une situation difficile pour les PADE. La masse salariale représentait, quant à elle, plus de 80 000 $ par PADE.

Dans le cas des PSDE, les revenus et les dépenses moyens ont été beaucoup moins élevés que dans le cas des PADE. La répartition des revenus est également différente.

Figure 20 : Revenus et dépenses moyennes PSDE

63 035 $

16 653 $

47 707 $

136 519 $

60 821 $ 67 977 $

Revenus de

la pêche Revenus de

la chasse Revenus des autres

activités

Revenus

totaux Dépenses

en masse salariale

Dépenses totales

La pêche demeure l’activité contribuant le plus aux revenus, mais les autres activités occupent pour les PSDE une place plus importante dans les revenus que la chasse. En fait, les revenus attribuables aux autres activités sont près de trois fois supérieurs à ceux générés par la chasse.

L’écart entre les dépenses moyennes des PSDE et des PADE est encore plus important que celui entre leurs revenus. Ceci laisse croire que la situation des PSDE est probablement meilleure que celle des PADE. En outre, la masse salariale semble occuper une place beaucoup plus importante dans le total des dépenses de PSDE que dans celui des PADE, bien qu’elle ne soit en moyenne que de 61 000 $ par PSDE.

2 Voir la mise en garde à la page 17 sur la comparabilité des données sur les revenus et les dépenses.

3- Les régions administratives du sud du Québec

3.1 Introduction

On retrouve des pourvoiries dans 14 des 16 régions administratives du sud du Québec. Seuls Montréal et Laval ne comptent aucune pourvoirie.

Nous présenterons donc dans cette section les caractéristiques moyennes des pourvoiries selon leur région d’activité pour faire ressortir les différences régionales.

Certains éléments nous ont amenés à établir notre comparatif sur une base parfois légèrement différente de ces 14 régions. D’une part, la région de la Mauricie et celle du Centre-du-Québec sont regroupées dans une même entité géographique, pour permettre des comparaisons avec les données passées, alors que ces deux régions n’en formaient qu’une seule. D’autre part, la région de la Côte-Nord a été subdivisée en trois ensembles distincts. Les pourvoiries de l’Île d’Anticosti ont été regroupées ensemble, celles qui se spécialisent dans la pêche au saumon également et toutes celles restantes ont formé une troisième catégorie. Cette distinction a été effectuée dans le but de mettre en valeur les différences qui existent entre les différents types de pourvoiries de la Côte-Nord. Les pourvoiries de pêche au saumon se spécialise évidemment dans la pêche, alors que celles de l’Île d’Anticosti ont une taille sans aucune commune mesure avec celles du reste du Québec. Finalement, les régions de l’Estrie et de la Montérégie ont été regroupées ensemble pour permettre de préserver la confidentialité de leurs données, vu le petit nombre de pourvoiries (2) ayant retourné leur rapport d’activité dans la région de la Montérégie.

Au moins 85 % des pourvoiries ont retourné leur rapport d’activités dans chacune des régions, sauf dans Lanaudière où ce taux se chiffrait à 62,5 % et en Montérégie où il n’atteignait que 50 % (77,8 % lorsque combiné avec l’Estrie).

Les figures de cette section seront parfois tronquées à cause de l’importance de certaines valeurs. Le symbole ** indiquera que le nombre de répondants pour une région aura été trop faible pour en dévoiler le résultat.

Tableau 12 : Répartition des pourvoiries Régions du sud du Québec

Région

Nombre de pourvoiries ayant produit

un rapport

Nombre total de pourvoiries

Proportion de pourvoiries ayant produit

un rapport

01 Bas-Saint-Laurent 12 13 92,3%

02 Saguenay–Lac-Saint-Jean 46 46 100,0%

03 Capitale-Nationale 20 23 87,0%

04-17 Mauricie – Centre-du-Québec 71 80 88,8%

05-16 Estrie – Montérégie 7 9 77,8%

07 Outaouais 83 90 92,2%

08 Abitibi-Témiscamingue 85 100 85,0%

09 A. Côte-Nord Anticosti 4 4 100,0%

09 S. Côte-Nord Saumon 15 15 100,0%

09* Côte-Nord* 64 69 92,8%

11 Gaspésie – Îles-de-la-Madeleine 15 15 100,0%

12 Chaudière-Appalaches 23 26 88,5%

14 Lanaudière 15 24 62,5%

15 Laurentides 58 58 100,0%

TOTAL 518 572 90,6%

Le symbole * suivant le nom de la région Côte-Nord indique le sous-ensemble des pourvoiries exclues par les catégories Saumon et Anticosti.

3.2 Nombre de jours-activité des personnes ayant séjourné à la pourvoirie en 2005

Figure 21 : Moyenne de jours-activité, clientèle avec séjour Pêche

Lanaudière

séjour de p 005, suivie de près par celle des Lauren gie qui en a réalisé le moins.

scamingue est la région qui a réalisé le plus de jours-activit

prove classa Les ré

la-Madelein s pourvoiries ont réalisé, en moye

pêche

Fi

urvoiries de l’île d’Anticosti ont d loin réali en moyenne l c séjour d asse de toutes les

les réside s que les n -réside

ent au deuxiè ang en la matière, suivis de par la région de l’Outaouais.

bi-Témiscamingue comptait à uveau un rte pr de jours-activité dus à la clientèle e rovenan l’exté Québec, mais à un niveau beaucou ins élevé

ions se que de pêche.

est la région ayant réalisé le plus de jours-activité avec êche par pourvoirie en 2

tides. C’est l’Estrie–Montéré L’Abitibi-Témi

é avec séjour de pêche par pourvoirie de clientèles en nance de l’extérieur du Québec. À ce chapitre, l’Outaouais se

it deuxième.

gions de l’Abitibi-Témiscamingue et de la Gaspésie–Îles-de-e sont cGaspésie–Îles-de-ellGaspésie–Îles-de-es dont lGaspésie–Îles-de-e

nne, la plus forte proportion de jours-activité avec séjour de de clientèles en provenance de l’extérieur du Québec.

gure 22 : Moyenne de jours-activité, clientèle avec séjour, Chasse

Les po e sé e

plus de jours-activité ave

du Québec et ce, tant pour e ch

nt régions

nts. Les on

Laurentides se classai me r près

Outre l’Estrie–Montérégie et l’Île d’Anticosti, toutes les rég comptaient en 2005 moins de jours-activité avec séjour de chas

408 25

01 B as-Saint-Laurent Saguenay-Lac-St-Jean 03 Capitale-Natio nale ie - Centre du Québec -16 Estrie - M o ntérégie 07 Outao uais A bitibi-Té

04-17 M auric 05

Moyenne de jours Résidents Moyenne de jours Non-résidents

247

01 B as-Saint-Laurent 02 Saguenay-Lac-St-Jean 03 Capitale-Natio nale 7 M auricie - Centre du Québec 05-16 Estrie - M o ntérégie 07 Outao uais

24

2 750 59

08 A bitibi-Témiscamingue 09 A . Cô te-No rd A ntico sti spésie - Îles-de-la-M adeleine

12 Chaudière-A ppalaches 14 Lanaudière 15 Laurentides

2 204

400

Figure 23 : Moyenne de jours-activité, clientèle avec séjour tres activités

Tout comme dans le cas de la chasse, les pourvoiries de l’Île d’Anticosti dominent de façon impressionnante toutes les autres au

ng pour le nombre de jours-activité avec séjour des

Figure 24 : Moyenne de jours-activité, clientèle avec séjour, Total

Au total, ce sont évidemment les pourvoiries de l’Île d’Anticosti qui, n moyenne, ont connu la fréquentation la plus élevée de la part de la clientèle avec séjour et ce, autant pour les résidents que les

de la part des clients en

01 B as-Saint-Laurent 02 Saguenay-Lac-St-Jean 03 Capitale-Natio nale 04-17 M auricie - Centre du Québec 05-16 Estrie - M o ntérégie 07 Outao uais 08 A bitibi-Témiscamingue 09 A . Cô te-No rd A ntico sti 09 S. Cô te-No rd Saumo n 09* Cô te-No rd*

11 Gaspésie - Îles-de-la-M adeleine 12 Chaudière-A ppalaches 14 Lanaudière 15 Laurentides

00 80

niveau du nombre de jours-activité avec séjour des autres activités. Cependant, dans ce cas-ci, cette domination s’exerce uniquement au niveau de la clientèle résidente, et non pas également pour la clientèle non résidente. À ce niveau, c’est Lanaudière qui se classe en tête, devant la Mauricie–Centre-du-Québec.

Les pourvoiries de pêche au saumon de la Côte-Nord se classent au dernier ra

autres activités, juste derrière la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine qui

autres activités, juste derrière la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine qui

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