• Aucun résultat trouvé

de la mer et des eaux

Dans le document GRECQUE ET ROMAINE MYTHOLOGIE (Page 75-96)

L’Océan

table

Pour les anciens, l'Océan primitivement est un fleuve immense qui entoure le monde terrestre. Mans la mythologie, c'est le premier dieu des eaux, fils d'Uranus ou le Ciel et de Gaïa, c'est-à-dire la Terre ; c'est le père de tous les êtres. Homère dit que les dieux tiraient leur origine de l'Océan et de Téthys. Dans le même poète on voit que les dieux allaient souvent en Éthiopie visiter l'Océan et prendre part aux fêtes et aux sacrifices qu'on y célébrait. Enfin on raconte que Junon, dès sa naissance, fut confiée par Rhéa, sa mère, aux soins de l'Océan et de Téthys, afin de la dérober à la cruelle voracité de Saturne.

Océan est donc vieux comme le monde même. C'est pourquoi on le représente sous la forme d'un vieillard assis sur les ondes de la mer, avec une pique à la main et un monstre marin près de lui. Ce vieillard tient une urne et verse de l'eau, symbole de la mer, des fleuves et des fontaines.

On lui offrait habituellement en sacrifice de grandes victimes, et, avant les expéditions difficiles, on lui faisait des libations. Il n'était pas seulement vénéré par les hommes, mais encore par les dieux. Dans les Géorgiques de Virgile, la nymphe Cyrène, au milieu du palais du Pénée, à la source de ce fleuve, fait un sacrifice à l'Océan ; à trois reprises différentes, elle verse le vin sur le feu de l'autel, et trois fois la flamme rejaillit jusqu'à la voûte du palais, présage rassurant pour la nymphe et son fils Aristée.

Téthys et les Océanides

table

Téthys, fille du Ciel et de la Terre, épousa l'Océan, son frère, et devint mère de trois mille nymphes appelées les Océanides. On lui donna encore pour enfants, non seulement les fleuves et les fontaines, mais encore Protée, Éthra, mère d'Atlas, Persa, mère de Circé, etc. On dit que Jupiter ayant été lié et garrotté par les autres dieux, Téthys, avec l'aide du géant Égéon, le remit en liberté.

Elle se nommait Téthys d'un mot grec qui signifie nourrice, sans doute parce qu'elle est la déesse de l'eau, matière première qui, suivant une croyance antique, entre dans, la formation de tous les corps.

Le char de cette déesse est une conque d'une forme merveilleuse et d'une blan-cheur d'ivoire nacré. Quand elle parcourt son empire, ce char, traîné par des chevaux marins plus blancs que la neige, semble voler à la surface des eaux. Autour d'elle les dauphins en se jouant bondissent dans la mer ; elle est accompagnée par les Tritons, qui sonnent de la trompette avec leurs conques recourbées, et par les Océanides couronnées de fleurs, et dont la chevelure flotte sur leurs épaules au gré des vents.

Téthys, déesse de la mer, épouse de l'Océan, ne doit pas être confondue avec Thétis, fille de Nérée et mère d'Achille. L'orthographe de ces deux noms est d'ailleurs différente.

Nérée, Doris, et les Néréides

table

Nérée, dieu marin, plus ancien que Neptune, était, selon Hésiode, fils de l'Océan et de Téthys, ou, selon d'autres, de l'Océan et de la Terre. Il avait épousé Doris, sa sœur, dont il eut cinquante filles, appelées les Néréides.

On le représente comme un vieillard doux et pacifique, plein de justice et de modération. Habile devin, il prédit à Paris les malheurs que l'enlèvement d'Hélène devait attirer sur sa patrie, et apprit à Hercule où se trouvaient les pommes d'or qu'Eurysthée lui avait ordonné d'aller chercher.

Son séjour ordinaire est dans la mer Égée, où il est environné de ses filles, qui le divertissent par leurs danses et leurs chants.

Les Néréides sont représentées comme de belles jeunes filles à la chevelure entrelacée de perles. Elles sont portées sur des dauphins ou des chevaux marins, et tiennent à la main tantôt un trident, tantôt une couronne ou une Victoire, tantôt une branche de corail. Quelquefois on les représente moitié femmes et moitié poissons.

Neptune, en grec Poseidon, et Amphitrite

table

Neptune, ou Poséidon, fils de Saturne et de Rhéa, était frère de Jupiter et de Pluton. Sitôt qu'il fut né, Rhéa le cacha dans une bergerie d'Arcadie, et fit croire ensuite à Saturne qu'elle avait mis au monde un poulain qu'elle lui donna à dévorer.

Dans le partage que les trois frères firent de l'univers, il eut pour son lot la mer, les îles et tous les rivages.

Lorsque Jupiter, son frère, qu'il servit toujours très fidèlement, eut vaincu les Titans, ses terribles compétiteurs, Neptune les tint enfermés dans l'Enfer, et les empêcha de tenter de nouvelles entreprises. Il les maintient derrière la clôture infran-chissable formée par ses flots et ses rochers.

Il gouverne son empire avec un calme imperturbable. Du fond de la mer où se trouve sa paisible demeure, il a le sentiment de tout ce qui se passe à la surface des ondes. Que les vents impétueux répandent inconsidérément les vagues sur les rivages, qu'ils causent d'injustes naufrages, Neptune apparaît et, avec une noble sérénité, fait rentrer les eaux dans leur lit, ouvre des canaux à travers les bas-fonds, soulève avec son trident les navires pris dans les rochers ou enfoncés dans les sables, rétablit en un mot tout le désordre des tempêtes.

Il eut pour femme Amphitrite, fille de Doris et de Nérée. Cette nymphe refusa d'abord d'épouser Neptune, et se cacha pour se soustraire à ses poursuites. Mais un dauphin, chargé des intérêts de Neptune, la trouva au pied du mont Atlas, lui persuada d'accéder à la demande du dieu, et, pour sa récompense, fut placé parmi les astres.

Elle eut de Neptune un fils appelé Triton et plusieurs nymphes marines : elle fut aussi, dit-on, la mère des Cyclopes.

Amphitrite sur un Triton

“ un char en forme de coquille, traîné par des dauphins ou des chevaux marins. ”

Figure 27

Voir la gravure sur le site Les Classiques des sciences sociales

Le bruit de la mer, sa profondeur mystérieuse, sa puissance, la sévérité de Neptune qui ébranle le monde, quand avec son trident il soulève ses énormes rochers, inspirent à l'humanité un sentiment de crainte plutôt que de sympathie et d'amour. Le dieu semblait s'en rendre compte, toutes les fois qu'il s'éprit soit d'une divinité, soit d'une simple mortelle.

Il avait alors recours à la métamorphose ; mais le plus souvent, dans ses transfor-mations mêmes, il conserva son caractère de force et d'impétuosité.

On le représente changé en taureau dans ses amours avec une fille d'Eole ; sous la forme du fleuve Enipée pour rendre Iphiomédie mère d'Iphialte et d'Otus ; sous celle d'un bélier, pour séduire Bisaltis ; sous celle d'un cheval pour tromper Cérès ; enfin

sous celle d'un grand oiseau dans l'intrigue de Méduse, et d'un dauphin avec Mélantho.

Son fameux différend avec Minerve au sujet de la possession de l'Attique est une allégorie transparente où les douze grands dieux, pris pour arbitres, indiquent à Athènes ses destinées. Ce dieu eut encore un différend avec Junon pour Mycènes, et avec le Soleil au sujet de Corinthe.

La fable veut que Neptune, chassé du ciel avec Apollon pour avoir conspiré contre Jupiter, bâtit les murailles de Troie, et que, frustré de son salaire, il se vengea de la perfidie de Laomédon en renversant les murs de cette ville.

Neptune était un des dieux les plus honorés en Grèce et en Italie. Il y possédait un grand nombre de temples, surtout dans le voisinage de la mer : il avait ses fêtes, ses jeux solennels. Ceux de l'isthme de Corinthe et ceux du Cirque de Rome lui étaient spécialement consacrés, sous le nom d'Hippius. Indépendamment des Neptunales, fêtes qui se célébraient au mois de juillet, les Romains consacraient à Neptune tout le mois de février.

Près de l'isthme de Corinthe, Neptune et Amphitrite avaient leurs statues non loin l'une de l'autre, dans le même temple : celle de Neptune était d'airain et haute de dix pieds et demie. Dans l'île de Ténos, une des cyclades, Amphitrite avait une statue colossale, haute de neuf coudées. Le dieu de la mer prenait sous sa protection les chevaux et les navigateurs. Outre les victimes ordinaires et les libations en son honneur, les aruspices lui offraient particulièrement le fiel de la victime, par la raison que l'amertume convenait aux eaux de la mer.

Neptune est ordinairement représenté nu, avec une longue barbe, et le trident à la main, tantôt assis, tantôt debout sur les flots de la mer, souvent sur un char traîné par deux ou quatre chevaux, quelquefois ordinaires, quelquefois marins, ayant la partie inférieure du corps terminée en queue de poisson.

Neptune

“ Par son attitude, son air calme et les attributs qui l'accompagnent, il exprime visiblement sa puissance souveraine sur les eaux, les navigateurs et les habitants des mers. ”

Figure 28

Voir la gravure sur le site Les Classiques des sciences sociales

Ici on le représente tenant son trident de la main gauche, un dauphin de la main droite, et posant un pied sur la proue d’un navire. Par son attitude, son air calme et les attributs qui l'accompagnent, il exprime visiblement sa puissance souveraine sur les eaux, les navigateurs et les habitants des mers.

Amphitrite est dépeinte se promenant sur les eaux dans un char en forme de coquille, traîné par des dauphins ou des chevaux marins. Parfois, elle tient un sceptre d'or, emblème de son autorité sur les flots. Les Néréides et les Tritons forment son cortège.

Triton

table

Triton, fils de Neptune et d'Amphitrite, était un demi-dieu marin : la partie supé-rieure de son corps jusqu'aux reins figurait un homme nageant, la partie infésupé-rieure était celle d'un poisson à longue queue. C'était le trompette du dieu de la mer qu'il précédait toujours, en annonçant son arrivée au son de sa conque recourbée ; quelquefois, il est porté à la surface des eaux, d'autres fois, il paraît dans un char traîné par des chevaux bleus.

Les poètes attribuent à Triton un autre office que celui d'être trompette de Neptune : c'est de calmer les flots et de faire cesser les tempêtes. Ainsi, dans Ovide, Neptune, voulant rappeler les eaux du déluge, commande à Triton d'enfler sa conque, au son de laquelle les eaux se retirent. Dans Virgile, lorsque Neptune veut apaiser la tempête que Junon a excitée contre Enée, Triton, assisté d'une Néréide, fait ses efforts pour sauver les vaisseaux échoués.

Les poètes admettent plusieurs Tritons avec les mêmes fonctions et la même figure.

Protée

table

Protée, dieu marin, était fils de l'Océan et de Téthys, ou, selon une autre tradition, de Neptune et de Phénice. Les Grecs lui donnent Pallène, ville de Macédoine, pour patrie. Deux de ses fils, Tmolus et Télégone, étaient des géants, monstres de cruauté.

N'ayant pu les ramener à des sentiments d'humanité, il prit le parti de se retirer en Egypte, avec le secours de Neptune, qui lui creusa un passage sous la mer. Il eut aussi des filles, et entre autres la nymphe Eidothée, qui apparut à Ménélas, lorsque, en revenant de Troie, ce héros fut poussé par les vents contraires sur la côte de l'Egypte, et lui enseigna ce qu'il avait à faire pour apprendre de Protée, son père, les moyens de retourner dans sa patrie.

Protée était le gardien des troupeaux de Neptune, c'est-à-dire des gros poissons, des phoques ou veaux marins. Pour le récompenser des soins qu'il en prenait, Neptune lui avait donné la connaissance du passé, du présent et de l'avenir. Mais il n'était pas aisé de l'aborder, et il se refusait à ceux qui venaient le consulter.

Eidothée dit à Ménélas que, pour le décider à parler, il fallait le surprendre pendant son sommeil, et le lier de manière qu'il ne pût s'échapper ; car il prenait toutes sortes de formes pour épouvanter ceux qui l'approchaient : celle d'un lion, d'un dragon, d'un léopard, d'un sanglier ; quelquefois, il se métamorphosait en arbre, en eau, et même en feu ; mais, si on persévérait à le tenir bien lié, il reprenait enfin sa première forme, et répondait à toutes les questions qu'on lui faisait.

Ménélas suivit ponctuellement les instructions de la nymphe. Avec trois de ses compagnons, il entra, dès le matin, dans les grottes où Protée avait coutume de venir, au milieu du jour, se reposer en même temps que ses troupeaux. À peine Protée eut-il fermé les yeux et pris une position commode pour dormir que Ménélas et ses trois compagnons se jetèrent sur lui et le serrèrent étroitement entre leurs bras. Il avait beau se métamorphoser : à chaque métamorphose, ils le serraient encore plus fort. Enfin, quand il eut épuisé toutes ses ruses, Protée revint à sa forme ordinaire et donna à Ménélas les éclaircissements qu'il lui demandait.

Au quatrième livre des Géorgiques, Virgile, imitant Homère, raconte que le berger Aristée, après avoir perdu toutes ses abeilles, alla, sur le conseil de Cyrène, sa mère, consulter Protée sur les moyens de réparer ses essaims, et eut recours aux mêmes artifices pour le faire parler.

Glaucus

table

Glaucus, fils de Neptune et de Naïs, nymphe de la mer, fut d'abord un célèbre pêcheur d'Anthédon, en Boétie. Un jour, ayant mis sur l'herbe du rivage des poissons qu'il venait de prendre, il s'aperçut qu'ils s'agitaient d'une manière extraordinaire, et se jetaient dans la mer. Persuadé que cette herbe avait une vertu particulière, il en goûta et suivit leur exemple. L'Océan et Téthys le dépouillèrent de ce qu'il avait de mortel, et l'admirent au nombre des dieux marins. Anthédon lui éleva un temple et lui offrit des sacrifices. Plus tard, il eut même dans cette ville un oracle souvent consulté par les matelots.

On raconte que Glaucus devint amoureux d'Ariane, lorsqu'elle fut enlevée par Bacchus, dans l'île de Dia.

Le dieu, pour le punir, le lia avec des sarments de vigne, dont il trouva moyen de se dégager.

Ce fut lui qui apparut aux Argonautes sous la figure d'un dieu marin, lorsque Orphée, à l'occasion d'une tempête, fit un vœu solennel aux dieux de Samothrace.

Dans le combat livré entre Jason et les Tyrrhéniens, il se mêla avec les Argonautes et fut le seul qui en sortit sans blessures.

Interprète de Nérée, il prédisait l'avenir, et avait appris à Apollon lui-même l'art des prédictions.

Dans son aspect, il a beaucoup de rapport avec Triton. Sa barbe est humide et blanche, et ses cheveux flottent sur ses épaules. Il a les sourcils épais et réunis, de sorte qu'ils semblent n'en faire qu'un. Ses bras sont faits en forme de nageoires, et sa poitrine est couverte d'algues. Le reste de son corps se termine en poisson dont la queue se recourbe jusqu'aux reins.

Saron

table

Saron, ancien roi de Trézène, aimait passionnément la chasse. Un jour qu'il chassait un cerf, il le poursuivit jusqu'au bord de la mer. Le cerf s'étant jeté à la nage, il se jeta après lui ; et, se laissant emporter par son ardeur, il se trouva insensiblement en haute mer, où, épuisé de forces et ne pouvant plus lutter contre les flots, il se noya.

Son corps fut rapporté dans le bois sacré de Diane et inhumé dans le parvis du temple. Cette aventure fit donner le nom de golfe Saronique au bras de mer qui fut le lieu de la scène, près de Corinthe. Quant à Saron, il fut mis par ses peuples au rang des dieux de la mer, et, dans la suite, il devint le dieu tutélaire des matelots.

Thaumas et Electra - Les Harpyes

table

Thaumas. fils de la Terre, et son épouse Electra, fille de l'Océan et de Téthys, divinités mystérieuses de la mer, ont donné le jour à l’éclatante Iris, messagère de Junon, et aux Harpyes, monstres hideux qui effrayent et infectent le monde.

Elles étaient au nombre de trois : Célæno, l'Obscurité, Ællo, la Tempête, Ocythoé ou Ocypète, la Rapide au vol ou à la course.

Ces monstres au visage de vieille femme, au corps de vautour, au bec et aux ongles crochus, aux mamelles pendantes, causaient la famine partout où elles pas-saient, enlevaient les viandes sur les tables, et répandaient une odeur si infecte qu'on ne pouvait approcher de ce qu'ils laissaient. On avait beau les chasser, ils revenaient toujours ; Jupiter et Junon s'en servaient contre ceux qu'ils voulaient punir. Les Harpyes avaient établi leur demeure aux îles Strophades, dans la mer d'Ionie, sur la côte du Péloponèse.

La peinture et la sculpture personnifient les vices par des Harpyes ; par exemple, une Harpye sur des sacs d'argent désigne l'avarice.

Ino ou Leucothoé - Mélicerte ou Palémon

table

Ino, fille de Cadmus et d'Harmonie, et sœur de Sémélé mère de Bacchus, épousa Athamas, roi de Thèbes, en secondes noces, dont elle eut deux fils, Léarque et Mélicerte. Elle traita en vraie marâtre les enfants qu'Athamas avait eus de Néphélé, sa première femme, et chercha à les faire périr, parce que, par le droit de progéniture, ils devaient succéder à leur père, à l'exclusion des enfants du second lit. Thèbes étant désolée par une cruelle famine, elle fit dire par les oracles que, pour faire cesser sa désolation, il fallait immoler Hellé et Phryxus, enfants de Néphélé. Ceux-ci évitèrent

par une prompte fuite le barbare sacrifice dont ils devaient ètre les victimes. De son côté, Athamas, ayant découvert les cruels artifices de sa femme, fut si transporté de colère contre elle, qu'il écrasa contre un mur le petit Léarque, un de ses fils, et poursuivit Ino jusqu'à la mer, où elle se précipita avec Mélicerte, son autre fils. Mais Panope, une Néréide, suivie de cent nymphes, ses sœurs, reçut en ses mains la mère et l'enfant, et les conduisit sous les eaux jusqu'en Italie. Ino avait mérité cette faveur et ces égards parce que, après la mort de Sémélé, elle s'était chargée d'élever le petit Bacchus.

À la prière de Vénus, Neptune reçut Ino et Mélicerte au nombre des divinités de son empire, la mère sous le nom de Leucothoé, le fils sous celui de Palémon.

Leucothoé avait un autel dans le temple de Neptune à Corinthe. Elle eut aussi un temple à Rome, où elle était honorée sous le nom de Matuta.

Palémon était particulièrement honoré dans l'île de Ténédos, où une superstition cruelle lui offrait des enfants en sacrifice. À Corinthe, les jeux Isthmiens avaient d'abord été institués en son honneur ; ils furent interrompus dans la suite et rétablis

Palémon était particulièrement honoré dans l'île de Ténédos, où une superstition cruelle lui offrait des enfants en sacrifice. À Corinthe, les jeux Isthmiens avaient d'abord été institués en son honneur ; ils furent interrompus dans la suite et rétablis

Dans le document GRECQUE ET ROMAINE MYTHOLOGIE (Page 75-96)