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MARCY (F 25-27) Précis de m achines électriques : par A Fouillé, librairie Parisienne de la radio, 45 rue de

Ouvrages reçus

H. MARCY (F 25-27) Précis de m achines électriques : par A Fouillé, librairie Parisienne de la radio, 45 rue de

D unkerque 75010 Paris. Un volum e de 248 pages et 311 schémas form at 15x21, broché, sous couverture pelliculée. Prix 52 F.

Dans cet ouvrage, l’auteur, pourvu d ’une longue expérience de l’enseignem ent a réussi à exposer dans m oins de 250 pages et en se plaçant au niveau du technicien supérieur, les connaissances que doivent posséder sur les m achines électriques non seulem ent l’électro- technicien, mais encore tous les spécialistes de l’électronique, du génie civil et m ême de la m écanique.

Com me l’indique son titre, il est très condensé, conduit par les voies les plus directes à la résolution des problèm es sur les m achines électriques et, par ailleurs, n ’om et aucune

des m achines m odernes qui, dans les servomécanismes ou les régulateurs de to u te nature, sont aujourd’hui associées à des m ontages d ’électronique.

A joutons que ce “Précis de Machines Electriques” fait corps avec le “ Précis d ’Electri- cité Fondam entale” publié par le m ême auteur aux éditions Desforges et en constitue la suite logique.

Microbiologie appliquée : par H. Leclerc, R. B uttiaux, J. G uillaum e, P. Waltre. Dans la collection Biologie appliquée publiée sous la direction de A. Obré et R. B uttiaux, éd. Doin.

Ce livre de Microbiologie A ppliquée est une nouvelle édition correspondant au tom e II du livre de Microbiologie édité en 1969 (auteur H. LECLERC). En effet, pour tenir com pte de l’évolution des connaissances d ’une p art, pour répondre à un besoin d ’autre p art, il est apparu o p p o rtu n de présenter un volume autonom e en faisant appel à plusieurs spécialistes de Microbiologie A ppliquée et en d o nnant à certaines de ces spécialités, le développem ent q u ’exige leur im portance.

• L ’une des nouveautés du livre ap p araît à la lecture du chapitre 1 où sont décrits les grands groupes de bactéries dans le cadre d ’une classification synthétique et schém atique. C ette revue constitue un prélim inaire indispensable p o u r aborder l’étude des diverses branches appliquées à la Microbiologie.

• Les chapitres “ M icrobiologie de l’air et de l’eau” o n t été revus com plètem ent com pte tenu des problèm es sanitaires et épidém iologiques qui se posent à l’heure actuelle dans ce dom aine (hygiène de l’air dans les hô p itau x , dans les usines ; transmission des infections entéritiques par les eaux).

• Le chapitre de M icrobiologie alim entaire a été rédigé par Monsieur le D octeur BLfT- TIAUX, D irecteur honoraire de l’In stitu t Pasteur de Lille, l’un des spécialistes m ondiaux de ces questions. 11 résume en une centaine de pages les connaissances acquises au cours d ’une longue et prestigieuse carrière tournée vers l’expérim entation et l’enseignem ent en M icrobiologie Alimentaire.

• La Microbiologie industrielle est une science relativem ent récente, carrefour entre la M icrobiologie, la Biochimie et la Technologie Appliquée au Génie chim ique. Ce chapitre qui exige des connaissances de M icrobiologie fondam entale et appliquée a été entièrem ent revu par Monsieur GUILLAUME, Professeur à la Faculté des Sciences de Lille.

• Enfin, le chapitre de Microbiologie Médicale a été remanié par le D octeur WATTRE, C hef de Travaux Pratiques d ’im m unologie à l’UER II de Médecine. Y sont brièvem ent décrites les infections bactériennes, virales et parasitaires.

Une illustration très abondante et en grande partie originale, un index com plet et une table des m atières détaillée fo n t de cet ouvrage un instrum ent de travail d ’un m aniem ent facile ; utile aux étudiants des I.U.T. e t des facultés de sciences ainsi q u ’aux étu d ian ts en m édecine et pharmacie.

MATHEMATIQUES. 6ème des CoUèges COLLECTION “ M” par D. G ERLL, Professeur agrégé honoraire. Lycée Louis-le-Grand, Paris. M. COHEN, Professeur au Lycée Henri IV, Paris. E. GA ILLARD, Professeur à l’Ecole active bilingue de Paris. C.J. PROUTE, Profes­ seur au Lycée Cl. Bernard, Paris. 1 vol., 17 x 24, 160 p. Ed. H achette.

L e livre de l ’élève : Le cours rigoureusem ent conform e au nouveau program m e applicable

en 1977, est réparti en 12 chapitres d o n t le tex te , aussi court que possible est clair, précis et adapté au niveau des élèves de 6ème.

Il com prend de très nom breux exercices entièrem ent nouveaux, soigneusement gra­ dués, d o n t beaucoup d ’exercices concrets. On trouvera en fin de volume, des problèm es com plém entaires devant servir de base à des activités d ’approfondissem ent. Une prem ière approche du raisonnem ent m athém atique a été faite à propos des opérations sur les décim aux, de la mesure des grandeurs et des décim aux relatifs.

Reine GUY : Axiologie et M étaphysique selon Joaquim XIRAU (Association des P ubli­ cations de Toulouse-le-Mirail, 1976, 309 pages).

La systém atique de XIRAU, penseur catalan aux intuitions novatrices, n ’est guère facile à définir. Sa pensée appartient à la même catégorie que celle de Vivès, de Montaigne et d ’U nam uno. L ’auteur de cette étude m éthodique, claire e t nullem ent reb u tan te s’est efforcée de dégager to u tes les articulations de son message, tous les aspects de sa pensée, laquelle se rattache aux courants spiritualistes et dualistes.

On constate dans son itinéraire spirituel une lente évolution vers les valeurs de l’Espa­ gne du Siècle d ’Or e t aussi vers celles de la Catalogne médiévale, sans to u tefo is renier le m oins du m onde le réalisme spiritualiste platonicien et axiologique. 11 fau t n o ter que, d ’après Xirau, l’Espagne fu t, très tô t, la prem ière nation à découvrir et à réaliser la d ém o ­ cratie.

Les sources les plus profondes auxquelles il a puisé sont to u t d ’abord les grands m aîtres espagnols, particuüèrem ent Lulle et Vivès. 11 doit beaucoup aussi à U nam uno, à Ortega, car sa philosophie axiologique s’enracine dans la philosophie ortéguienne de la vie ex p an ­ sive, étrangère au sec idéalisme abstrait, à Garcia M orente, qui a in tro d u it en Espagne la phénom énologie, et à la philosophie catalane traditionnelle tournée vers la m éthode réflexive et vers l’introspection.

Sa doctrine aux mille facettes irisées, difficile à cerner, déjoue souvent les analyses des historiens et des philosophes. D’aucuns c o n testen t sa façon d ’interpréter le progrès de la conscience en O ccident. D ’autres estim ent que son spiritualisme fait la p art tro p belle à l’idéalisme. On a pu reprocher à sa psychologie de ne pas reposer sur une base suffisam ­ m en t expérim entale.

Bien q u ’il soit socialiste, il n ’attache pas beaucoup d ’im portance aux références écono­ m iques. Sa philosophie de l’éducation a été taxée de m oraüsm e. Les psychanalystes relèvent de m ultiles lacunes dans ses investigations sur l’âme hum aine.

Par suite de l’influence profonde q u ’il a exercée en Catalogne, au M exique e t dans tous les pays de langue expagnole, il s’est taillé une place à p art, to u t à fait originale, au sein de la trad itio n de la philosophie du réalisme concret et spirituel. Sa leçon ultim e est que si l’on veut que le m onde soit intelligible, il fau t le prendre comm e une oeuvre d ’am our.

C ette thèse sur la pensée vivante e t polyvalente de Joaquim XIRAU, m o rt en 1946, particulièrem ent brillante et solide, m ériterait une analyse beaucoup plus approfondie. Puissions-nous du moins avoir donné une idée de son exceptionnel intérêt.

R. LARRIEU

Charles Y AUBRUN : La L ittératu re Espagnole (Presses Universitaires de France 128 pages, 1977).

Ce précis de littératu re espagnole, d ’une densité extraordinaire, n ’est entaché d ’aucune sécheresse. On le lit aisém ent tan t le style en est coulant et agréable.

Ce n ’est p o in t un b o ttin , mais un guide. T o u t n ’y est pas d it, et la liste des auteurs qui y figurent, quoique fo rt longue, n ’est nullem ent exhaustive. M. A ubrun s’est accordé la liberté de choisir, et il l’a fait à bon escient. Son choix est essentiellem ent fondé sur l’appréciation de la valeur perm anente des œuvres. Un em ploi ingénieux de certains signes conventionnels perm et de distinguer d ’un simple coup d ’œ il le principal du secon­ daire.

Trois genres o n t été privilégiés : la poésie épique, la poésie lyrique et la poésie dram a­ tique. Il est clair que les historiens, les philosophes e t les essayistes o n t été systém atique­ m ent négligés, car leur m érite fondam ental ne réside pas dans “ leur écriture littéraire” .

Le X V lIè siècle est largem ent traité dans ce livre parce q u ’à cette époque-lâ, en Espa­ gne, l’invention l’em porte sur la transm ission des valeurs du passé, alors q u ’au Moyen-

Age et aux XVIe, XVIIIe, XIXe et XXe siècles la littérature d ’acculturation prévaut largement,

11 n ’y est guère question de la personnalité des écrivains. L ’effo rt de no tre collègue p o rte sur la critique interne des textes. Il m et l’accent sur les grandes œuvres q ui cons­ titu e n t le noyau m ême, solide et brillant, de la culture espagnole, sur leur structure et leur signification profonde.

L’originalité de cet ouvrage est éclatante. En effet, il m arque un to u rn an t dans la m éthode de l’histroire littéraire. On y décèle un refus catégorique de l’existentialism e qui fait de l’œuvre littéraire un docum ent servant à la connaissance de l’au teu r, de sa façon d ’être et de son com portem ent dans le m onde. Il nous présente une recherche objective de la poéticité, c’est-à-dire du potentiel dans l’invention verbale et dans l’in­ vention logique. L’œ uvre y est considérée en soi, et non comm e un m aillon dans l’histoire de la littérature ou dans celle de la culture. La thèse essentielle p araît être la suivante : c’est le poète, c’est-à-dire le créateur, q u ’il soit un rom ancier, un dram aturge ou un lyri­ que, qui donne une form e à la société et à l’activité de l’esprit, et non le contraire.

On rem arquera notam m en t les jugem ents que M. A ubrun po rte sur Juan Ruiz, archi- prêtre de Hita, d o n t le traité sur l’A m our “ est un fin réseau de sentim ents et d ’idées” qui renferm e l’explication de n o tte “ confuse n atu re” , sur la Celestine d o n t il souligne “ l’actualité perm anente” , sur le Q uichotte, “ où chacun trouve son propre grain de folie,... l’hum our nécessaire pour jo u ir de la vie...” , sur la Com edia qui a donné à l’Espagnol “ une m anière d ’être dans le m onde qui, encore au jo u rd ’hui, le m arque et le différencie” , sur le rom an picaresque, etc.

Il fait peu de cas, par exem ple, de F eijoo, de Jovellanos, d ’Ortega y Gasset, e t d ’au ­ cuns sans d oute le lui reprocheront. Par contre, il tien t en très grande estim e les écri­ vains espagnols d ’origine israélite. Il affirm e m ême (p. 31) que “ tous les Espagnols qui co m p o rten t, notam m ent en littératu re, pen d an t le siècle d ’or, sont des juifs convertis” .

Plaisant aux uns, choquant ceux qui ne veulent pas être dérangés dans leur confort intellectuel, secouant la to rp eu r de tous, ce p e tit livre explosif o btiendra sûrem ent un très grand succès.

R. LARRIEU

Précam brien - ère paléozoique - Ch. Pom erol et Cl. Rabin, éd. Doin.

Ce livre qui s’inscrit dans le cadre d ’un tryptique d o n t les deux autres volumes déjà parus sont : M ésozoique et Cénozoique, évoque les racines de l’histoire de la terre e t les sources de la vie.

Né avec le globe, le Précam brien a le considérable privilège d ’abriter le plus prodigieux phénom ène que la Terre ait connu : l’apparition de la vie. Aux travers des nom breuses illustrations et des argum entations les plus récentes, nous pouvons suivre l’évolution des molécules protidiques qui acquièrent les facultés d ’autoconservation. Puis apparaissent les bactéries et les Cyanophycèes.

A la fin d u Précam brien, c’est-à-dire il y a 570 millions d ’années, la p lupart des groupes d ’invertébrés existent. Le décor est planté, la grande tragédie ou comédie de la vie peut com m encer au Cambrien. L'intrigue de la pièce : les mécanismes de l’évolution.

Après la lecture de cet ouvrage, on est en dro it de discuter les propos de Jam es H u tto n qui affirm ait en 1789 : “ Je ne vois ni vestige d ’un com m encem ent, ni perspective d ’une fin” . C’est pourquoi ce précis ne s’adresse-t-il pas uniquem ent aux étudiants et chercheurs mais aussi à to u te personne un peu curieuse qui s’intéresse à l’histoire de notre planète et à l’origine de la vie.

P. Bommel 72-76

E lectrotechnique et m achines électriques. B. SAINT-JEAN, Ing. Ed. Eyrolles, Paris, Sidec, Q uébec, Canada.

Ce livre ne possède pas de préface, sauf la reproduction de l’alinéa 1er de l’article 4c du Code pénal relatif au droit de reproduction. Aussi ne possède-t-on pas d ’indication a priori sur le niveau et la finalité de l’ouvrage. Le livre, d o n t l’auteur est Canadien, est divisé en 8 chapitres :

1 - Lois fondam entales en électrotechnique : rappels classiques de l’électrom agnétism e. 2 - M atériaux et circuits m agnétiques : lois des circuits m agnétiques, création des cham ps

dans les entrefers, couplages, circuits équivalents d ’Hopkinson.

3 - Transform ateurs : exposé classique, circuits équivalents. On peut regretter q u ’aucune allusion ne soit faite à la théorie des quadripoles.

4 - Machines à co u ran t continu. Là, encore, exposé classique avec description des d iffé­ rents types de machines.

5 - Circuits couplés m obiles et principes des échanges d’énergie électrom agnétique. Dans ce chapitre, on considère les machines com m e des circuits couplés. On exprim e la force électrom agnétique et le couple en fonction de l’énergie, on étudie en détail les exem ples suivants : relais électrom agnétiques, m oteur à réluctance (calcul du couple), circuits couplés linéaires m obiles en ro tatio n , étude d ’une bobine plate en ro tatio n , du variom ètre, des instrum ents de mesure (galvanom ètre, w attm ètre), convertisseur ro tatif à q u a tre circuits couplés, cas d ’un convertisseur à plusieurs paires de pôles, conditions générales pour que le couple soit différent de zéro (machines du type synchrone et du type asynchrone).

6 - Machines synchrones. E quations de la m achine déduites du “ convertisseur r o t a t i f ’, altern ateu r et m oteur synchrone, m achines à pôles saillants, transform ation de Blondel.

7 - Machines asynchrones. E quations de la m achine déduites du convertisseur ro tatif, couple, circuits équivalents, diagramme du cercle, m oteurs à induction m onophasés. 8 - Machines spéciales. M oteur série universel, m oteur à répulsion, am plidyne, m achines hom opolaires, m oteurs à ro to r plat, génératrices à tam bour, alternateurs hom opo- laires, m oteur à réluctance variable ou à aim ant perm anent, m o teu r de construction différentielle, m oteur linéaire à ind u ctio n , petits m oteurs m onophasés.

Le niveau de l’ouvrage p araît être celui des I.U.T. ou des écoles d ’ingénieurs.

La présentation est assez théorique mais sans exagération. La rédaction simple, claire et aérée contraste agréablem ent avec celle de beaucoup de manuels d ’électrotechnique d o n t l’abord est assez rebutant. Chaque chapitre se term ine par des exercices gradués d o n t l’on fo u rn it des solutions détaillées. L’ensemble laisse une très bonne impression.

Le lecteur français pourra se trouver surpris par quelques n o tatio n s anglo-saxones : ainsi, le rendem ent r; s’écrit

^ ^ Pou^ ^ puissance fournie ^ ^ .

Pf„ puissance consom m ée

les rhéostats p o rten t les indications " o f f ’ et “ o n ” , la fréquence standard est 60 Hz et la puissance des m oteurs s’exprim e quelquefois en HP. Ce dernier détail est un peu plus ennuyeux car il faut savoir que 1 HP = 745,7 W !

M. SCHWARTZ

G énérateurs, lignes, récepteurs. C.E. MOORHOUSE, trad u it de l’anglais par F. Milsant. Ed. Eyrolles. Ce livre se rattache à la collection E.E.A . dirigée par F. Milsant.

Com me l’indique l’avant-propos du trad u cteu r, ce livre est un com plém ent à l’enseigne­ m ent classique de l’électrotechnique car il traite des systèm es à courant fo rt (lignes de transport, transform ateurs, machines électriques) par les m éthodes usuelles de l’électroni­ que (théorie des dipôles, des quadripôles, em ploi des m atrices et des diagrammes circulai­ res). De nom breux exercices résolus illustrent l’exposé. Le livre est divisé en 9 chapitres :

Circuits à courant altern atif en régime perm anent, circuits de liaison, param ètres fondam entaux, lieux géom étriques 1,

lieux géom étriques 2, systèm es complexes,

circuits équivalents, considérations générales, lignes de transport d ’énergie,

transform ateur,

m achine asynchrone polyphasée, m achine synchrone polyphasée.

Le niveau de l’ouvrage est celui de l’enseignem ent supérieur et des écoles d ’ingénieurs. La présentation est claire et agréable. On peut se dem ander cependant pourquoi on a gardé le poin t anglo-saxon à la place de la virgule décim ale, les indices “ in ” et “ o u t” à la place “ d ’en trée” et de “ sortie” , la n o tatio n cosh 9, sinh e, les radicaux carrés incom plets sans barre horizontale. D’autre p a rt, la vérification num érique de la page 53 est d ’un intérêt dou teu x car on trouve AD - BC = 0,999 6. L’écriture correcte est :

0,885 3 8 7 5 + 0 ,1 8 9 2 5 j - ( - 0 ,1 1 4 6 1 2 5 + 0 ,1 8 9 2 5 j) = 1 ,0 0 0 0 0 0 0 . Cela indiquerait-il que le trad u cteu r n ’aurait pas eu le tem ps de vérifier tous les calculs ?

M. SCHWARTZ

Solutions de problèm es sur les circuits logiques. D. ZISSOS avec la collaboration de F.G. DUNCAN. T raduit de l’anglais par M. MILSANT. Ed. Eyrolles, Paris. Ce livre se rattache à la collection E.E.A. dirigée par F. Milsant.

Ce livre com plète celui de Maurice MILSANT sur les autom atism es à séquences. Il se présente sous form e de problèm es avec leur solution. Le chapitre 1 rappelle quelques n otions fondam entales sur la conception des circuits logiques. Le chapitre 2 traite des sys­ tèm es séquentiels asynchrones. Dans le chapitre 3, en aborde les systèm es séquentiels synchrones, puis les com pteurs au chapitre 4 , les systèm es com binatoires au chapitre 5. Un appendice rappelle quelques notions et théorèm es fondam entaux d ’algèbre booléenne.

Com me tous les livres de la collection E.E.A ., celui-ci s’adresse aux étudiants de l’ensei­ gnem ent supérieur, I.U .T., écoles d ’ingénieurs, etc...

M. SCHWARTZ

110 études pratiques de l’am plificateur opérationnel. R.M. MARSTON. T raduit de l’an­ glais par F. MILSANT. Ed. Eyrolles, Paris. Ce livre se rattache à la collection E.E.A.

Le titre de l’ouvrage est quelque peu accrocheur et il est difficile de vérifier l’exactitude du nom bre d ’études indiqué, certaines réalisations n ’é tan t que des variantes d ’un schéma de base ne différant que par d ’infimes détails (changem ent de valeurs des résistances, déplacem ent d ’une connexion ; exem ple : figures 2.4a et 2.4b page 19, page 20, etc...).

L ’am plificateur opérationnel est actuellem ent utilisé dans de nom breuses applications en courant a ltern atif ou continu, soit à usage industriel (oscillateur, com m andes d ’asser­ vissements), soit à usage dom estique (dispositif de sécurité, appareils de contrôle).

Le m érite de cet ouvrage est de présenter sous une form e simple, avec des données très précises, un grand nom bre de dispositifs utilisant les am plificateurs opérationnels. Aussi ce livre, essentiellem ent pratique, sera-t-il apprécié à la fois par l’élève ingénieur, qui doit constam m ent avoir en vue l’application de ses connaissances théoriques et par les techni­ ciens de l’industrie soucieux de se tenir au courant des techniques nouvelles.

Ici encore, on peut regretter que les dessins restent anglo-saxons ainsi que les notes de m usique (page 99 et 101).

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