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L’objectif de cette étude est d’élaborer une méthode permettant de mettre en évidence la distribution des mammifères qui utiliserait à la fois les techniques de recensement des grands mammifères, les caractéristiques étho-écologiques des espèces et les potentialités d’un SIG. En effet, ce dernier procède à une spatialisation des informations qui peuvent être exploitées de multiples manières. C’est ce que nous allons voir dans le paragraphe suivant.

4.1) Mise en place d’un Système d’Information Géographique.

Les Systèmes d’Information Géographique (SIG) utilisent des moyens informatiques pour stocker, partager, consulter et manipuler des objets représentés sur les cartes ou les plans (bâtiments, parcelles, noms des rues, lampadaires, canalisations, vannes, rivières, forêts…), ainsi que les informations qui leur sont directement ou indirectement attachées (nom et adresse du propriétaire, date de pose ou de dernière vérification, débit…). Leur diffusion est aujourd’hui très rapide dans le monde entier. (Rouet, 1991).

On effectue d’une certaine manière pour cette étude une spatialisation des informations qui pourront être exploitées pour réaliser de nombreux objectifs relatifs à la gestion des milieux. Les SIG aident à manipuler cette masse d’informations, à organiser les couches de base et à les trier en fonction des questions que les gestionnaires sont amenés à se poser. C’est un travail d’analyse spatiale qui par croisement et interprétation des cartes de référence va permettre de répondre à certaines questions. Les SIG aident ainsi à construire des scenarii pouvant servir de base à la planification des Parcs.

Les couches d’informations sont appelées également des relations qui peuvent être localisées ou pas. Pour les relations localisées, elles sont soit sous format vectoriel, et dans ce cas les vecteurs peuvent être des zones, des lignes ou des points, soit sous format raster. Les relations ayant un format raster sont en général des photographies aériennes, des images satellites ou des cartes topographiques qui peuvent, si nécessaire, être mosaïquées39.

Ces relations se décomposent en attributs qui peuvent contenir des données qualitatives, on parlera d’attribut nominal, ou quantitatives et dans ce cas on parlera d’attribut entier ou réel. Les relations sont exploitables également en utilisant des masques spatiaux. On peut ainsi caractériser une zone ou un élément d’une zone en créant un masque spatial, sachant que celui-ci pourra par la suite être traité avec un autre masque en réalisant une intersection, une union ou une différence. L’utilisation d’un masque spatial est alors très utile pour un grand nombre d’opérations sur l’aménagement de l’espace.

Pour que les inventaires des milieux naturels puissent effectivement et concrètement répondre à de multiples objectifs, il est important que les administrations des parcs nationaux puissent faire une analyse des enjeux présents sur l’espace. De nombreux enjeux tels que la chasse, la cueillette, les espèces emblématiques, le tourisme de masse sont communs à tous les parcs. Quand l’espace du parc est réparti en zones d’intérêt (typologie d’enjeux et plan de gestion), les objectifs sont plus facilement identifiables. L’outil SIG donne alors la possibilité d’affiner l’analyse en proposant des alternatives spatiales aux problèmes concrets de gestion et permet, entre autres, d’enclencher une démarche de planification pour la gestion (Rabeil, 1999).

39 Deux photographies aériennes de même échelle et ayant une partie commune peuvent par exemple être regroupées, si elles sont au préalable recalées l’une par rapport à l’autre, afin de n’avoir qu’une seule relation. Dans ce cas, la relation est appelée mosaïque.

Nous allons tenter d’expliquer en quoi les systèmes d’information géographique peuvent se révéler primordial pour notre étude.

Tout d’abord, on attend d’un SIG qu’il assure trois fonctions élémentaires : - une aide à la gestion quotidienne

- une aide à la décision

- une communication de l’information entre plusieurs utilisateurs. Une gestion des données géographiques et descriptives doit être mise en œuvre, il s’agit d’une gestion d’une base de données relationnelles appliquées aux objets spatiaux. La plupart des SIG gèrent l’espace géographique continu et il suffit alors d’indiquer la zone géographique et le système retrouvera la partie de la base correspondante.

Le stockage des données se fait sous forme vectorielle ou raster comme nous l’avons déjà précisé.

Les bases de données relationnelles sont les domaines, les relations, les attributs, les n-uplets et les clés. Les relations définissent le type d’objets, les attributs apportent des informations sur l’objet, de même que les n-uplets qui peuvent être par exemple des triplets d’information sur un objet, et enfin les clés caractérisent ou différencient les objets (Mering, 1999).

Précisons que les logiciels utilisés pour la réalisation du SIG sont Savane (IRD, Institut pour la Recherche et le Développement), Arcview et TNT (MicroImages), et que la projection de référence est l’UTM (Universal Transverse Mercator) zone 31.

Toutes les données GPS (Global Positioning Satellite, appareil de guidage qui permet de connaître sa position selon les coordonnées géographiques), que ce soient celles réalisées lors des comptages ou pour les transects botaniques ont été relevées en coordonnées degrés minutes secondes, avec comme ellipsoïde WGS 1984.

La carte topographique de Kirtachi au 1/200 000ème de l’IGNN (Institut Géographique National du Niger) a servi de référence au calage des autres couches d’informations. Il existe cependant des imprécisions de l’ordre de quelques mètres qui ont pu être constatées lors des repérages au GPS. Ces imprécisions n’ont aucune incidence sur notre travail, puisqu’il s’agit d’étudier un milieu naturel et non un milieu urbain et que les traitements que nous utilisons ne nécessitent pas une précision de l’ordre du mètre. Les couches d’informations que nous allons présenter vont servir de support à l’analyse des problèmes de gestion de l’aire protégée, mais elles ne dispensent pas de la nécessité de se rendre sur le terrain pour la prise de décision finale.

Tableau 3. Couches d’informations utiles à la gestion du milieu dans la zone d’étude

nom de la relation attributs Type

Carte topographique au 1/200 000ème

(référence) clé d’intégration raster

Carte topographique au 1/50 000ème x 3 (Kirtachi 1b, 2b, 2c, 1d)

clé d’intégration raster

Géologie (Joulia, 1978) *nom des différents faciès vecteur, type zonal Géomorphologie (Benoit, 1998b) *nom des différents faciès vecteur, type zonal Végétation (issue de la photo-interprétation

en 1975, Groben & Bello, 1980)

*nom des différents type végétal

vecteur, type zonal Végétation (issue d’une classification

d’image satellite de 1999) partie nord

*valeurs des différentes teintes de gris, correspondant à un type

végétal

raster, pouvant déboucher sur du zonal

après vectorisation Végétation (issue d’une classification

d’image satellite de 1999) partie sud *valeurs des différentes teintes de gris, correspondant à un type

végétal

raster, pouvant déboucher sur du zonal

après vectorisation Hydrogéologie (isolée de la figure topo de

référence)

clé d’intégration raster, pouvant déboucher sur du vecteur, type ligne Courbes de niveau (figure topo + MNT

ASTER)

valeurs altitudinales vecteur, type ligne Rivière (isolée de la figure topo) *nom des principales

rivières

vecteur, type ligne Rivière (isolée des images satellites) *nom des principales

rivières

vecteur, type ligne Pistes (isolées de la figure topo et d’une

figure touristique)

*nom de la piste longueur en km de la piste

vecteur, type ligne Villages (isolés de la figure topo) * nom du village

principale activité vecteur, type zonal Anciens villages (Benoit, 1999b) *nom du village

période de création et de fin vecteur, type point Braconnage (Bello, 1994) clé d’intégration vecteur, type zonal Pâturage illégal (Bello, 1994) *degré de l’activité vecteur, type zonal Feux illégaux (Bello, 1994) clé d’intégration vecteur, type zonal

Mares principales *nom de la mare vecteur, type zonal

Limites du Parc et de la RTFT *nom de la zone vecteur, type zonal Activité diurne de fréquentation de la faune

sauvage sur les principaux points d’eau, décomposées en 10 tranches horaires, d’où

10 relations

*espèce site nombre

vecteur, type point

* clé d’intégration à ajouter : cette clé fait le lien entre les données graphiques et les données decsriptives

4.2) Application à des problèmes d’aménagement.

Afin d’illustrer l’intérêt de cette base de données, nous allons mettre en évidence deux types d’applications possibles pour la gestion du milieu, avec l’étude de mares artificielles et la mise en place de postes de surveillance.

Les couches d’informations utilisées pour mener à bien ces deux opérations sont représentées sur la figure 29. Les données ayant servi uniquement à l’aménagement des mares ont une couleur de fond bleue, celles ayant servi à la mise en place de poste de surveillance ont la couleur jaune, et celles nécessaires aux deux types d’aménagement sont en blanc.

Figure 29. Couches d’informations utilisées pour deux applications liées à la gestion du milieu.

Pour illustrer la démarche entreprise, nous allons détailler la détermination de deux types de facteurs décisifs, l’un écologique et l’autre anthropique, dans la mise en œuvre de ce genre d’aménagement.

Dans le Parc du W, la savane arbustive constitue la formation végétale la plus commune. Avec les sols nus, ce sont les unités paysagères les plus pauvres en terme de densité faunistique et de couvert végétal. Elles paraissent plus propices pour accueillir les travaux d’aménagement d’une mare, pouvant altérer le paysage et créer des perturbations sur la faune sauvage. D’autre part les dérangements occasionnés par ces opérations ne seront pas trop contraignants, car les espèces résidant habituellement en savane arbustive telles que les bubales, les buffles ou les hippotragues ne présentent pas de comportements sédentaires, contrairement aux guibs harnachés ou aux vervets qui vivent en forêt galerie ou en savane boisée.

Nous avons donc créé un masque spatialisé à partir de la figure établie précédemment, permettant de localiser les formations végétales correspondant à la savane arbustive et aux sols nus.

Les facteurs anthropiques sont également d’une grande importance pour simplifier le déroulement de ce genre d’opération. Nous avons tenu compte de la proximité des pistes dans la mise en place des deux ensembles de zones aménagées, ces dernières ne devront pas être distantes de plus de 2 km des pistes déjà existantes (cf. figure 30).

Figure 30. Création d’un masque autour des pistes du Parc du W du Niger.

Pour déterminer les zones favorables aux aménagements envisagés, nous avons réalisé autant de masques que nous disposions d'informations sur chacun des facteurs écologiques ou anthropiques susceptibles d’influencer les conditions d’aménagement.

Nous avons par la suite procédé à des opérations entre ces masques, telles que des intersections ou des différences pour déterminer les zones les plus favorables d’implantation des aménagements.

Par exemple, pour localiser les zones favorables à la création de mares artificielles, les opérations successives doivent être réalisées sur les couches d’informations présentées précédemment. Les zones présentant des caractéristiques d’imperméabilité ont été sélectionnées sous forme de masque spatial sur les relations géologie et géomorphologie. Les formations végétales de savane arbustive claire et de sol nu ont été retenues de la même manière afin de ne pas nuire lors des travaux à la faune sédentaire des milieux fermés. Pour faciliter la réalisation de ces aménagements, nous avons considéré qu’ils ne devaient pas être éloignés de plus de 2 km des pistes existantes. Et enfin, les futures mares artificielles ne doivent pas interférer avec les autres points d’eau, ils devront donc être distants d’au moins 3 km.

Nous avons utilisé les potentialités offertes par les masques pour réaliser ce traitement. L’enchaînement de ces opérations est décrit par le schéma ci-dessous :

masque1 géologie (imperméabilité) ∩ masque2 géomorphologie (imperméabilité) ∩ masque3

pistes (2 km autour des pistes) ∩ masque4 végétation (savane arbustive claire et sols nus) ∩

masque5 courbes de niveau (zones de bas fond) ≠ masque6 rivière et mare (3 km autour des points d’eau pérennes en saison sèche).

Les entités spatiales résultant de ces opérations (cf. figure 31) pourront être considérées comme favorables au développement de nouveaux points d’eau ou à l’aménagement de points d’eau déjà existants mais temporaires, tels que certains cours d’eau secondaires.

Figure 31. Détermination des zones favorables à l’aménagement des mares artificielles dans le Parc du W du Niger.

La figure 31 a servi de référence aux gestionnaires du Parc en complémentarité à une étude de terrain menée distinctement par le Génie Rural en 2001. A cette époque nous avions déjà identifié, avec le conservateur adjoint M. Bello, plusieurs sites présentant les caractéristiques requises pour ce genre d’aménagement. Il s’agissait entre autres du kori40 Sapiega (cf. §

2.2.2.6), dont les coordonnées sont les suivantes (2°05’19’’ ; 12°19’34’’), du kori Boro Fouanou (2°16'05’’ ; 12°23'04’’) et du kori Kiba (2°40’09’’ ; 12°22’58’’). Tous ces sites ont également été retenus par le Génie Rural, sans concertation au préalable de la carte, ce qui aurait permis une certaine économie dans la prospection.

Le site de Boro Fouanaou a même reçu un aménagement particulier (surcreusement et forage accompagné d’une pompe à énergie solaire) et s’est vu doté d’un poste de surveillance à proximité de la mare, comparable à celui de Pérélégou.

Malgré l’expérience que les gestionnaires ont pu acquérir au cours de leur formation et de leur carrière, il arrive que les erreurs du passé se renouvellent. C’est ainsi que l’on a créé un poste de surveillance avec tout le dérangement que cela implique à proximité (moins de 100 mètres) d’une mare nouvellement aménagée.

L’aménagement d’une mare sans poste de surveillance à proximité aurait eu le double avantage de désengorger la fréquentation au niveau de la rivière Tapoa, et de fixer la faune dans la partie ouest du Parc, pour qu’elle profite des ressources végétales de cette zone habituellement désertée par manque d’eau.

Si les gestionnaires avaient analysé la carte retraçant les zones favorables pour la création de postes de surveillance, ils auraient pu s’apercevoir qu’on pouvait envisager de placer un poste à moins de 2 km par la piste de la mare aménagée, permettant de diminuer le dérangement de la faune et d’accroître l’efficacité au niveau de la lutte contre les activités illégales.

Les postes de surveillance doivent être situés à moins de 2 km des pistes, en savane arbustive claire ou dans une zone de sols nus pour les mêmes raisons que les mares artificielles. Ils doivent se trouver dans des zones où la pratiques des activités illégales sont très fréquentes. Par contre, les postes de surveillance génèrent une présence humaine susceptible de perturber la faune. Ils doivent donc impérativement être distants d’au moins 1 km des points d’eau permanents.

Les étapes pour déterminer les zones favorables d’implantation des postes de surveillances (cf. figure 32) ont été résumées par la chaîne de traitement suivante :

masque3 pistes (2 km autour des pistes) ∩ masque4 végétation (savane arbustive claire et sols nus) ∩ masque7 zone de braconnage ∩ masque8 zone de pâturage illégal ∩ masque9

zone de feux illégaux ≠ masque10 mares et rivières (1 km autour des points d’eau pérennes en

saison sèche).

Figure 32. Détermination des zones favorables à l’implantation des postes de surveillance dans le Parc du W du Niger.

Nous avons étudié dans ce qui précède les questions qui nous ont paru les plus urgentes en terme d’aménagement. Les informations disponibles dans la base de données pour la gestion du milieu permettent évidemment d’autres types d’exploitation, notamment à des fins touristiques. En effet, on peut très bien imaginer que le Parc propose en association avec un tour opérateur comme Point Afrique, un tourisme de vision répondant aux exigences des clients et de conservation.

Les données concernant les tranches horaires de fréquentation des principaux points d’eau par les différentes espèces du milieu, peuvent déjà conditionner un type de circuit en fonction de l’attrait des touristes pour tel ou tel animal. Dans le même esprit, la prise en compte des anciens campements peut ajouter un caractère historique au circuit. L’ajout de données de type ornithologique ou botanique permettra également de satisfaire une certaine clientèle occidentale, de plus en plus tournée vers l’écotourisme. Des travaux de recherches menés conjointement par des écologues, des géographes, des sociologues, des économistes et les gestionnaires du Parc permettraient de tirer profit au maximum des potentialités de l’aire protégée .

Les données de fréquentation des points d’eau s’avèrent très utiles aux gestionnaires du Parc dans ce contexte, mais elles n’ont pas été collectées au départ dans ce but. Leur présence s’insère dans une phase d’analyse de l’occupation spatiale de la zone d’étude par les grands mammifères, à quoi toute une partie de la base de données est dédiée.

4.3) Analyse spatiale de la distribution des grands mammifères.

Les données nécessaires pour analyser la répartition spatiale des grands mammifères se scindent en deux groupes :

- d’un côté on fait appel aux informations d’ordre écologique, comme la localisation des espèces lors des différents dénombrements et la localisation des ressources naturelles (habitat) par espèce.

- On utilisera d’autre part les informations concernant la localisation de certaines activités anthropiques, susceptibles de jouer un rôle dans la répartition de la faune, comme les zones de braconnage.

L’ensemble de ces informations (cf. tableau 4) doit nous permettre de cerner la répartition spatiale des principales espèces de grands mammifères et de comprendre leur répartition vis-à-vis des ressources naturelles du Parc, de la compétition inter-spécifique et des contraintes imposées par l’environnement en zone périphérique.

Les différentes options offertes par les SIG, nous informent sur les potentialités de distribution de la faune, à condition que les données récoltées soient suffisamment nombreuses. Nous avons exploité un certain nombre de techniques de dénombrement, en fonction des moyens dont nous disposions, à savoir un mirador amovible et un véhicule tout terrain. Nous avons pu voir les avantages et les limites que présentaient chacune de ces techniques. En revanche nous n’avons pas pu expérimenter deux méthodes de recensement (aérien et pédestre) par manque de moyens.

Il faut préciser que ces méthodes ont été par la suite mises en œuvre dans le cadre du programme européen ECOPAS. Nous avons pu participer non seulement à l’organisation et à la détermination des transects pédestres, mais aussi au recensement lui-même. La totalité des données n’a malheureusement pas été exploitée, faute de temps sur le terrain, mais des informations sur des espèces clés pour la conservation comme le damalisque, le buffle et l’éléphant ont été récupérées.

L'emploi de méthodes différentes peut apporter des informations similaires (effectifs, densités) mais également de nouvelles informations comme l'exploitation spatio-temporelle d'un milieu par une espèce. Dans les paragraphes suivants, nous allons passer en revue les différentes techniques de dénombrements, dont celles utilisées pour notre étude.

Nous présenterons également les méthodes récentes utilisées par les chercheurs et les gestionnaires pour disposer d’informations sur la dynamique de population.

Tableau 4. Couches d’informations utiles à l’analyse de la distribution des grands mammifères.

Hydrogéologie (isolée de la

figure topo de référence) Clé d’intégration Raster, pouvant déboucher sur du vecteur, type ligne Rivière (isolée des images

satellites)

*nom des principales rivières vecteur, type ligne

Mares principales *nom de la mare vecteur, type zonal

Evolution des mares en fonction de la saison

*nom de la mare période de durée

vecteur, type zonal Braconnage (Bello, 1994) clé d’intégration vecteur, type zonal Pâturage illégal (Bello, 1994) *degré de l’activité vecteur, type zonal Feux illégaux (Bello, 1994) clé d’intégration vecteur, type zonal Limites de la zone d’étude *nom de la zone vecteur, type zonal

Activité diurne de fréquentation de la faune sauvage sur les principaux points d’eau, décomposées en

10 tranches horaires, d’où 10 relations *espèce site nombre sexe âge durée d’abreuvement vigilance

vecteur, type point

Recensement en véhicule 1998, 1999, 2000, 2001 et 2002, soit 5 relations *espèce nombre total nombre d’adulte nombre de mâle nombre de femelle nombre de sub-adulte nombre de jeune heure d’observation date d’observation habitat brûlé ou non

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