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Tableau 1: composition de miel ... 19

Tableau 2: composition moyenne du miel ... 20

Tableau 3: les cas d'omphalocèle classés en tableau ... 38

Tableau 4: les cas de brûlures classés en tableaux ... 41

Tableau 5 : les cas de délabrements classés en tableaux ... 43

Tableau 6: classificationn des brûlures ... 74

Tableau 7: les concentrations minimales de miel pour obtenir 50% d'inhibition de croissance de chaque espèce bactérienne sur 8h : ... 88

Tableau 8: les nombres d'inhibiines de 5 variétés de miel ... 94

Tableau 10: résultats d'antibiogramme de différents types de miel vis à vis de 4 espèces bactérienne ... 96

Tableau 11: déterminattion de l'activité antibactérienne de différents miels ... 98

Tableau 12: teneur en polyphénol, valeur ORAC et absorbance de différents miels ... 100

Introduction ... 1 Rappels ... 3 A -L’abeille ... 4

B- Le miel ... 7

B-1- Définition du miel ... 7

B-2- Le miel à travers l’histoire ... 8

B-3- La fabrication du miel ... 15

B-4- La composition du miel. ... 19

B-5) Le miel et sa flore microbienne ... 32

B-6 /Propriétés biologiques du miel ... 33

Matériels et méthodes ... 36 A- Matériel : Population qui participe à l’étude ... 37

B- Les méthodes utilisées pour effectuer l’étude ... 45

C- Présentation de cas cliniques ... 45

Résultats... 51  Caractéristiques généraux des trois groupes ... 52

Discussion ... 69 A-Introduction ... 70

B- Champs d’application du miel ... 71

a/ L’omphalocèle ... 71

b/ Les brûlures ... 73

c/ Les pertes de substances ... 76

B-2- La cicatrisation chez l’enfant ... 77

C- propriétés et mécanisme d’action du miel dans le traitement des plaies ... 81

C-1 / L’activité antibactérienne du miel ... 81

a) L’osmolarité ... 82

b) L’effet du pH ... 83

c) Les facteurs phytochimiques ... 87

C-2- Variation de l’activité antibactérienne. ... 92

C-3-Degré de variation observé ... 92

C-4 - Spectre antibactérien des miels. ... 94

C-5-Particularité du miel de thym : ... 97

C-6- Bioactivité du miel dans le processus de cicatrisation ... 98

a) Stimulation du système immunitaire ... 98

b) Action anti-inflammatoire ... 99

c) Action antioxydante ... 100

d) Stimulation de la croissance cellulaire. ... 101

e) Innocuité du miel ... 102

C-7 -Mode d’application du miel ... 108

C-8- Rapidité de la guérison ... 111

C-9- Démarrage du processus de cicatrisation ... 112

C-10- Elimination de l’infection ... 113

C-11- Action nettoyante sur la plaie ... 114

C-12- Confort lors des changements de pansement ... 115

D- Etudes cliniques effectuées dans d’autres services ... 116

Conclusion ... 122 Résumé ... 126 Annexe ... 130 Bibliographie ... 133

Utilisé surtout comme aliment, le miel est aussi un « outil » thérapeutique très précieux. Son usage sur des lésions cutanées est ancien et est retrouvé dans de nombreuses cultures. De nos jours, son utilisation dans diverses plaies est largement répandue à travers le monde. La médecine moderne s’intéresse à ce produit traditionnel et l’étudie afin de rationaliser et d’optimiser son usage dans le traitement des plaies.

Dans la première partie de ce travail est présenté le miel dans sa globalité. Au cours de la deuxième partie, sont présentées les expériences d’usage du miel au sein du SERVICE DES URGENCES CHIRURGICALES PEDIATRIQUES, CHU IBN SINA, RABAT, dans un troisième temps sont analysés et expliqués ses effets lors de son application sur les plaies.

A -L’abeille:

Type de description : L’abeille mellifique

Longtemps appelée « mouche à miel », l'abeille mellifique, fascine surtout par ses activités de butineuse et par son aptitude singulière à vivre et à s'organiser en colonie. (figure 1)

Figure 1: colonie d'abeille

Une colonie comprend trois sortes d'abeilles adultes: une reine unique, avec sa double fonction de reproductrice et de régulatrice; quelques 2500 mâles – appelés aussi faux-bourdons –, qui ont pour seule fonction de féconder la nouvelle reine d'un nid, lors du vol nuptial; et enfin, les ouvrières – 50000 environ –, qui vivent 38 jours en été et 6 mois en hiver et qui, au cours de leur vie, sont tour à tour nourrices, ménagères, bâtisseuses, magasinières, gardiennes et butineuses.

Elles sont dirigées par la reine qui, par des sécrétions, les phéromones, leur transmet des ordres chimiques et peut, par exemple, appeler ainsi tout son monde autour d'elle. Quant aux larves, elles occupent le couvain, qu'on peut comparer à une nurserie.

Cette colonie vit dans un nid constitué de rayons de cire que les ouvrières entretiennent en permanence. Celui-ci comporte deux parties: la réserve de

nourriture, où se fait le miel, et la nurserie, où est élevé le couvain. Quand il y

a surpopulation, la reine émigre avec une partie des ouvrières pour créer une nouvelle colonie, c'est L'ESSAIMAGE. [1].

MORPHOLOGIE DE L’ABEILLE:

Le corps de l’abeille est divisé en plusieurs segments (figure 2). On distingue facilement trois parties, caractéristiques de la classe des insectes, composant le corps de l’abeille: la tête, le thorax et l’abdomen.

Figure 2: morphologie de l'abeille

La tête est en quelque sorte le centre nerveux et sensitif de l’abeille. On y

retrouve les organes des sens (antennes, ocelles, yeux composés) et les pièces buccales. La tête renferme le cerveau de l’abeille, très développé, dû au haut niveau de socialisation de l’abeille. Les glandes hypopharyngiennes, labiales et mandibulaires sont également situées dans la tête de l’abeille.

Le thorax est composé de trois segments soudés: le pro-, méso- et

métathorax. Il porte les éléments locomoteurs de l’abeille : trois paires de pattes et deux paires d’ailes membraneuses. Le thorax contient de puissants muscles alaires.(Adam, 2010 Ecole d'Apiculture Sud-Luxembourg) .

L’abdomen est formé de 7 segments ou anneaux chez la femelle, de 8 chez

le mâle. Il est séparé du thorax par le pédoncule qui est son premier segment. Chaque segment est formé d’un tergite dorsal et d’un sternite ventral. Les 4 derniers sternites portent chacun les orifices d’une paire de glandes cirières; entre l’avant-dernier et le dernier tergite, se trouve la glande de Nassanov, visible quand l’abeille bat le rappel. [3].

B- Le miel