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La Compagnie Lanabel de annabelle Bonnéry et

indexAtion – émotions –

7 La Compagnie Lanabel de annabelle Bonnéry et

François Deneulin ; le double fonds d’alberto Testa pris en charge d’une part par le Teatro Regino de Torino et la Bibliothèque andrea della Corte ; la danse baroque contemporaine (Compagnie Fêtes galantes, Compagnie de l’Éventail, Compagnie maître-Guillaume) ; le Centre national de la danse – CnD et le musée de la danse – Centre Chorégraphique national de Rennes et de Bretagne.

archiver : documenter, conserver, prolonger

La mise en archives a été questionnée de diverses manières. elle a été envisagée comme geste de documentation et de conservation de manière attendue, mais aussi comme une forme de prolongation. Documenter a d’abord renvoyé essentiellement à la question du manque à combler. Le manque de traces ou l’impossibilité d’en laisser s’est posé au regard des arts performatifs qui génèrent une documentation souvent abondante quant au processus de création, mais n’en laissent finalement que peu en ce qui concerne la performance elle-même. Cette dernière, l’œuvre en tant que telle, a pour caractéristique d’être liée à un moment fini dans le temps et de n’être jamais reproductible à l’identique. La nécessité de documenter ces moments, si elle est largement reconnue, reste cependant problématique quant aux moyens utilisés.

au-delà du geste de documenter, et en lien direct avec lui, la conservation a été le second niveau de réflexion autour du geste d’archiver. il a été souligné à plusieurs reprises que la possibilité de conserver est soumise à la condition de pouvoir transmettre ce qui a été conservé et à sa formalisation sous forme d’une narration. ainsi, qu’il s’agisse des installations de Lise Robichaud, des œuvres textiles d’Hélène Brousseau, des archives de la danse ou encore de celles de la troupe montréalaise de théâtre yiddish Dora Wasserman, la question commune dépasse les problématiques archivistiques classiques en proposant une réflexion sur la possibilité de documenter et de conserver quelque chose, non seulement du processus de production des documents, mais aussi de l’objet final de ce processus et de sa trajectoire dans le temps. il est apparu que seule la mise en récit permet la transmission de la trajectoire, comme le montre l’expérience présentée par Besson. La narration devient alors elle-même documentation. Dès lors, il s’agit moins de conserver que de prolonger cette trajectoire en maintenant vivant l’objet de la mise en archives.

L’objet de la mise en archives : document, trace, performance

en prenant en compte le geste producteur en tant qu’objet de mise en archives, les acteurs du champ culturel élargissent et revisitent la notion même d’archives en repoussant en quelque sorte les limites. ils mettent ainsi en question ce qui est présent dans les archives et interrogent leur capacité à transmettre quelque chose du passé. Qu’il s’agisse de l’enregistrement vidéo d’une performance, du manuscrit d’un roman ou d’une notation chorégraphique, le document brut ne suffit plus à conserver et transmettre le moment de la création. il devient nécessaire de l’inscrire dans un dispositif explicite de transmission relevant de la mise en récit. Dès lors que le document est envisagé comme la représentation de

quelque chose qui le dépasse,le geste d’archiver se déplace du matériel à l’immatériel, en même temps que les archives sont comprises comme la possibilité de traduction d’un moment, plutôt que comme la conservation de la documentation d’un événement.

ainsi, l’apparition, ces dernières années, du livre d’archives, telle que l’a présentée annie Lecompte-Chauvin, peut être vue comme le signe d’un élargissement de la notion d’archives du document à sa périphérie. Le livre d’archives constitue en effet une prolongation des manuscrits tout autant que de l’œuvre achevée. en publiant les manuscrits, c’est le processus de création littéraire en tant que tel qui est exposé par le biais des archives qui autorisent alors une nouvelle forme d’appropriation de l’œuvre.

il semble que la plasticité du numérique ait induit un changement majeur dans la relation au médium et généralise une certaine pratique de la traduction qui pourrait être le propre de la mise en archives. en effet, la volonté de conserver une trace de l’expérience opère des déplacements grandement facilités par les nouvelles technologies : de la danse à la notation, du texte à l’image en littérature, du texte au textile, etc. Si le numérique facilite ces changements, c’est qu’il rassemble les différentes formes d’expression dans un même espace – celui de l’écran – qui opère finalement une indétermination des supports. Cette indétermination facilite la réutilisation de documents nécessitant initialement des appareils techniques distincts.

Les archives apparaissent donc comme la possibilité de prolongation d’un moment ou d’un objet plutôt que comme un reflet de l’événement dont elles attestent. Ce qui est interrogé ici, depuis et au-delà de la question de la performance, c’est, pour finir, la mise en archives du vivant. Qu’elle soit volontaire ou inconsciente, la dimension spectrale des archives est toujours présente. C’est ainsi que les fonds sont parcourus de fantômes et que le manque devient constitutif des archives qui ne commencent, somme toute, qu’avec la mort de quelque chose que l’on cherche à prolonger. Là où Lavoie-marcus parle de paramètres fixés dans le vivant, Brousseau évoque le textile comme vivant et, souligne Denis Lessard, quand on touche le vivant, on touche l’humain, on arrive à l’émotion. Le parergon envisagé par Lavoie-marcus, cet au-delà de l’œuvre qui en participe en même temps pleinement, intègre le savoir des danseurs, indispensable à la transmission de l’expérience et donc au maintien de la danse vivante. De la même manière, Scarpulla indiquait que la mémoire de la danse se situait tout autant dans la documentation du processus de création – comprise comme trace qu’il définissait comme entité vivante

témoignant de l’action de création –, qu’à même le corps des danseurs porteur d’une mémoire sensible essentielle.

Le produit de la mise en archives : enregistrement, narration, survivances

Si le geste d’archiver a été envisagé dans sa forme de prolongation et l’objet de l’archivage s’est avéré être la performance, le vivant, le produit de la mise en archives a lui aussi été revisité. Les archives, à proprement parler, ont été appréhendées de diverses manières. Depuis l’enregistrement de l’action – qu’il s’agisse du manuscrit, de la notation chorégraphique, de la captation vidéo, ou encore de l’enregistrement sonore – en vue d’en conserver une trace, jusqu’à la prolongation de cette action dans le temps, les archives semblent changer de fonction, et par là même peut-être de nature, sous le regard et l’action du champ culturel.

en effet, quand l’archivistique considère traditionnellement les documents d’archives comme le produit organique d’une activité qu’il soutient – c’est-à-dire un corollaire nécessaire et presque involontaire de cette activité –, le champ culturel assume pleinement la production volontaire et consciente d’archives visant à faire mémoire. il s’agit d’un bouleverse- ment majeur dans la conception des archives que les archivistes postmod- ernes revendiquent, pour ce qui concerne la constitution des archives définitives, depuis les années 1990, comme l’ont souligné Lemay et Klein. Ce glissement de la conception des archives comme objet naturel aux archives comme objet construit, résultant du geste archivistique, est cependant dépassé par les pratiques du champ culturel qui tendent, à toutes fins pratiques, à gommer la distinction traditionnelle entre documentation (accumulation volontaire et raisonnée de documents) et archives (accumulation organique et automatique de documents). Dans cette perspective, où les archives sont constituées en pleine con- science en fonction d’un objectif précis, leurs caractéristiques tradition- nelles s’estompent – sans disparaître pour autant – au profit de la mise en avant d’une fonction qui leur était inhérente, mais qui semble devenir fondamentale : la mémoire.

Visant à faire mémoire d’un moment, unique et non réitérable par définition, est-on pourtant certain de ce que les archives enregistrent ? Fraser et Klein ont proposé, chacune à leur manière, que les archives sont un lieu d’inscription de l’inconscient collectif (Klein) et que de ce fait elles sont traversées de fantômes (Fraser). Klein proposait de ne plus concevoir le passé comme fini mais plutôt comme étant toujours d’actualité et, de ce fait, les archives seraient moins une trace fixée une fois pour toutes de ce qui a été qu’un élément de durée toujours vivant, une survivance. Comme le notait Lessard pendant sa synthèse de la

journée, l’archiviste est lui-même un fantôme hantant les archives dans la mesure où son travail est toujours inachevé. il erre toujours dans les documents. et c’est aussi ce que révèle d’une certaine façon Besson lorsqu’il archive les différents gestes producteurs et organisateurs du fonds Dora Wasserman. Ce faisant, il reconnaît et signale les différents éléments susceptibles de laisser leur trace dans les archives.

Finalement, l’ensemble de cette journée a été sous-tendue par un examen du rôle de l’archiviste dans le domaine culturel. S’il est apparu que les artistes, dans leur pratique proprement créative, sont libres face aux archives et se les approprient avec souplesse, cette souplesse et cette liberté se retrouvent dans le geste d’archiver et la conception de la mise en archives tels qu’ils se déploient dans le champ culturel. L’archiviste y devient lui-même un créateur dans la mesure où l’on reconnaît que sa pratique façonne et marque les archives. Côté-Lapointe illustre cette conception lorsqu’il présente un cycle de vie de la création à partir d’archives sonores. Ce cycle en trois étapes (création, organisation, diffusion) permet de rapprocher les actions créatrices et archivistiques. C’est aussi, d’une tout autre manière, la position défendue par Scarpulla pour qui l’archive est une création en soi qui permet, dans certains milieux, la reconnaissance de l’œuvre d’art tout en l’inscrivant dans la mémoire collective.

ConCLuSion

en conclusion, la réunion de chercheurs et de praticiens issus de l’archivistique, des arts visuels et performatifs ou encore de l’histoire a montré la pertinence et la nécessité d’ouvrir un lieu d’échange et de mise en commun des préoccupations. On a constaté, en effet, la communauté des perspectives et des points de réflexion par-delà la diversité des approches.

il semble que les archives et les modalités de leur constitution, si elles représentent un objet d’étude depuis au moins une vingtaine d’années, ne cessent de susciter de nouvelles voies de réflexion.

Au-delà des nouvelles perspectives archivistiques ouvertes par l’étude de l’exploitation artistique des documents et le déploiement d’une pensée critique des archives, c’est l’ensemble du champ culturel qui est touché par l’effervescence générée par la question de l’enregistrement et de l’inscription de soi (tant dans le temps que dans l’espace social) autorisés par les archives d’une part, et par le numérique d’autre part.

Car s’il n’a pas été au centre des présentations lors du colloque « archives et création », l’environnement numérique est certainement l’une des causes des changements et déplacements opérés dans la conception du geste d’archiver, de l’objet et du produit de la mise en archives. Les nouvelles technologies, en effet, non seulement permettent, mais finissent par imposer le geste d’archiver tout en le transformant.

bibliogrAphie

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Mémoires et thèses :

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Articles, communications et comptes rendus :

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Production d’œuvres d’expression originale :

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Collection « archives en mouvement », sous la dir. d’yvon Lemay. Papyrus, eBSi – Professeur(e)s – Travaux et publications. <http://hdl.handle.net/1866/3647> (consultée le 28 octobre 2014). Lessard, Denis. 2010. La part d’émotion. Collection « archives en mouvement », sous la dir. d’yvon Lemay. Papyrus, eBSi – Étudiant(e)s de 1er cycle – Publications. <http://hdl.handle.net/1866/3526> (consultée le 28 octobre 2014).

Journées de formation et colloques :

Klein, anne, anne-marie Lacombe et yvon Lemay, sous la dir. de. 2014. archives et création, regards croisés sur les archives : tournant archivistique, courant artistique. Colloque tenu lors du 82e Congrès

de l’ACFAS, montréal, Université Concordia, 16 mai. <http://www.acfas.ca/evenements/congres/ programme/82/300/319/c> (consultée le 28 octobre 2014).

Promotion : Klein, anne, yvon Lemay et anne-marie Lacombe. 2014. archives et création.

La Chronique. Bulletin de l’Association des archivistes du Québec XLIV, no 1 : 28-29.

Compte rendu : Klein, anne, Lessard, Denis et anne-marie Lacombe. 2014. archives et création, regards croisés : tournant archivistique, courant artistique. La Chronique. Bulletin