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4 l’évaporation annuelle des précipitations, des températures et le régime climatique du bassin :

NCarte n° 14 : Carte des isohyètes du bassin versant

B. Le régime pluviométrique saisonnier de l’oued Biskra :

IV- 4 l’évaporation annuelle des précipitations, des températures et le régime climatique du bassin :

gelé ne ue mo axim au mois de décem

(environ 9 jours) et une absence totale de pte e.

ce q onc la e, tati es onibles se limitent au nombre annuel de jours de chutes de neige et la durée de l’enn 1930) et le nombre mensuel de jours où il a neigé (sé .N 97 4)

ne èr ér d à l’échelle du bassin (8 jours à

Batna).

e p t e onds

pendant la saison chaude, avec un maximum 35 lle vap io yenne annuelle pour

la péri 19 8 m es u c t m e au

facteurs climatiques.

r l io i les ts s a is r l ir ns s es s

intensi ils e ent ac des t nsp on s p omè

érosifs, les vents dominants dans la direction Nord-Ouest venant de l’Atlantique du Nord chargés de l’humid

x té de cti d N u ou e ir as ts

des sables caractéristiques dans cette pa nts pendant les mois de mars, avril et mai. Cependant, on peut noter leur apparition pendant les autres saisons avec une faible fréquence.

umidité relative, d’après la série de données

- La m ne ma nu e

- La m e n es 5

Sur le plan saisonnier, le total t de 71% (décembre) le total

d’hum mi le is t d %( t)

Le nom d’h s m nn ens llem pa r e 9 eur

La valeur maxim e e reg e r

La valeur min e eg e rs o ja ( / j

L’évapomètre piche est l’appareil le plus fréquemment utilisé dans les stations du rés

ale=323mm. aporation moyenne minimale=215mm.

’ensoleillement et le couvert végétal.

La combinaison des deux principaux facteurs climatiques températures et précipitations est L’in ation ensu e ef ive au m enn 83,1 eure e ma

(148,78 heure) en février.

La e a u fréq nce yenne de 37 jours /an, avec un m

ge o é m

um bre

lée p ur la p riode ai-se mbr En ui c erne neig les s stiqu disp

eigement au sol (série P.Seltzer 1922/ rie O .M 1 5/198 .

D’u mani e gén ale, la urée de l’enneigement rest aiblee f

L’évaporation est m surée ar évapomètre de type " Bac" elle at eint s s valeurs plaf de 0 mm en jui t, l’é orat n mo

ode ( 75-19 4) est de 2943 m ; c vale rs con orden étroite ent avec cell s des tres Pou a stat n de B skra, ven ont c ractér és pa eurs d ectio , leur vitess et leur tés, xerc une tion truc rice ; augmentant l’évapotra irati et le hén nes

partie Sud du bassin en hiver sont de ité.

Ceu de l’é sont dire on Su /Est - ord/O est, s s form de S occo séchant les ven rtie de la région, sont fréque

L’h des 10 années d’observations on constate que :

st 0,1 . oyen mini le an elle de 4 6% oyenn maximale an uelle t de 4 ,50%.

d’humidité maximale enregistré es idité nima enreg tré es e 24 juille .

bre eure oye es d’ olei ent r jou st de ,28 h es. al imale st en st enr istré istré

au cours du mois de juillet (12 h/ jou ). our). au cou du m is de nvier 7,09 h

eau O.N.M en Algérie, ce qui est le cas de la station de Biskra.

L’évaporation est un paramètre étroitement lié à la température, la partie Sud du bassin versant de l’oued Biskra est située en zones à fortes températures, les quantiles d’eau évaporées sont aussi relativement

importantes.

9 L’évaporation moyenne mensuelle=300mm. 9 L’évaporation moyenne maxim

9 L’év

Cette différence de l’évaporation démontre que le phénomène de cette dernière doit être régi par un autre facteur autre que la température, tel que la vitesse de vent, le taux d’humidité, le taux

d

IV-4 l’évaporation annuelle des précipitations, des températures et le régime climatique du bassin :

Pour avoir la relation entre la température et la précipitation on utilise le diagramme

ombrothermique de Gaussen et Bagnouls (figure n°21), qui est établi à partir des données de températures

mensuelles pour les deux stations.

ation

moyennes mensuelles et des précipitations moyennes mensuelles avec une échelle P=2T, qui sont représentées dans le tableau n°32.

Tableau n°32 : Température moyennes mensuelles et précipitations moyennes

St Mois Sep Oct Nov Déc Jan Fév Mar Avr Mai Jui Juil Aou moyenne

T (C0) 20,57 15,62 10,32 6,69 5,66 7,18 9,4 12,65 17,2222,46 26,35 26,0 15,01 Batna P (mm) 47,39 26,57 36,21 33,69 32,21 29,30 36,91 35,02 36,2421,10 8,63 15,71 359,00 T (C0) 28,71 22,78 16,88 12,86 12,35 14,03 16,76 20,11 25,0230,45 33,56 33,28 22,23 Biskra P (mm) 12,49 9,65 15,59 8,89 14,48 5,98 13,40 12,72 8,25 5,55 0,62 3,68 111,30

Comme le montre le diagramme ombrothermique de la station de Batna située hors du bassin vers le Nord-Est de ces limites Nord, on observe une saison sèche de cinq mois. Elle commence à la

t dure jusqu’à la moitié de décembre.

la région d’étude, les valeurs d’altitudes des ment, ainsi qu’une assin versant à étudier.

entre deux zones limatiques : l’une située au Nord avec ses faibles températures et ses fortes précipitations et l’autre fin de mai et dure jusqu’à la fin de septembre (figure n°21).

Cette répartition n’est que moyenne, car les variations interannuelles des précipitations sont très grandes et certaines années réelles échappent à cette schématisation.

La station de Biskra située hors du bassin aussi dans le Sud, on trouve ici une saison sèche de onze mois, elle commence à la moitié de janvier e

En conclusion, on peut remarquer qu’il existe une dépendance étroite entre la durée de la sécheresse qui est un trait climatique dominant dans

précipitations et de températures des stations météorologiques citées précédem influence considérable du climat saharien aride sur le régime thermique du b

Ce qu’on constate, c’est que le bassin versant de l’oued Biskra est situé c

Figure n°21 : Diagramme ombrothermique de la station de Biskra (1979/2002). Station Biskra 0 5 10 15 20 25 30 35 40 S O N D J F M A M J J A Températures (c°) Précipitations (mm) P (mm)

Figure n°21 : Diagramme ombrothermique de la station de Batna (1973/1998). Station Batna 0 5 10 15 20 25 30 35 40 45 50 S O N D J F M A M J J A températures (c°) précipitations (mm) P (mm)

V- L’évapotranspiration :

L’évapotranspiration : est la restitution de l’eau sous forme de vapeur de la surface terrestre quelque soit sa nature (sols, végétaux et eaux libres) à l’atmosphère.

Il est utile de distinguer entre la notion d’évapotranspiration potentielle ETP, qui est la quantité d’eau nécessaire à la transpiration non ralentie, d’un tapis végétal couvrant entièrement le sol et alimenté régulièrement en eau.

Elle commande les excès et les déficits des régions humides ou arides, l’évapotranspiration réelle ETR ; c’est le retour de l’eau à l’atmosphère sous forme de vapeur, elle résulte de deux phénomènes ; l’un physique (évaporation) et l’autre biologique (transpiration).

Bien souvent, L’évapotranspiration est calculée plus que mesurée, en jouant sur les paramètres thermiques et les vents.

De nombreuses formules ont été établies pour calculer l’TEP, les noms de Penman, Thornthwaite et Turc sont associés à des formules de l’évapotranspiration potentielle. Pour notre région, on a utilisé la formule dite ETP ANRH-Penman.