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Tableau 1. Dénombrement par matière première des pièces en matières dures animales travaillées et/ou utilisées découvertes dans les couches châtelperroniennes (couches VIII-X) et moustériennes (XI-XII). (* raccord entre fragments)

Tableau 2 – Origine taxinomiques des supports en matières dures animales utilisés pour l’industrie osseuse des couches châtelperroniennes (couches VIII-X) et moustériennes (XI- XII).

Tableau 3.1. Informations contextuelles sur les éléments en ivoire de classe A des couches châtelperroniennes (couches VIII-X).

Tableau 3.2. Informations contextuelles sur les éléments en ivoire de classe B des couches châtelperroniennes (couches VIII-X).

Tableau 3.3. Informations contextuelles sur sur les éléments en ivoire de classe C des couches châtelperroniennes (couches VIII-X).

Tableau 3.4. Informations contextuelles sur les ébauches et déchets en ivoire des couches châtelperroniennes (couches VIII-X).

Tableau 3.5. Informations contextuelles surun possible brunissoir en ivoire

Tableau 4.1. Informations contextuelles sur les poinçons en os de type A des couches châtelperroniennes (couches VIII-X) et moustériennes (XI-XII).

Tableau 4.2. Informations contextuelles sur les poinçons en os de type B des couches châtelperroniennes (couches VIII-X). Les astérisques indiquent les poinçons datés directement (Higham et al. 2011) à 21150 ± 160 OxA-21590 (*) et 38100 ± 1300 OxA-21557 (**).

Tableau 4.3. Informations contextuelles sur les poinçons en os de type C et D des couches châtelperroniennes (couches VIII-X) et moustériennes (XI-XII). Les astérisques indiquent les poinçons datés directement (Higham et al. 2011) à 36200 ± 1100 OxA-21592 (***) et daté à 37000 ± 100 OxA-21594 (****).

Tableau 4.4. Informations contextuelles sur les poinçons portant des « marques » et indication de leur figure d’origine.

Tableau 5. Informations contextuelles sur les « lissoirs » sur côte des couches châtelperroniennes (couches VIII-X).

Tableau 6. Informations contextuelles sur les « brunissoirs » en os des couches châtelperroniennes (couches VIII-X). (* raccord entre fragments)

Tableau 7. Informations contextuelles sur les diaphyses de mammouth retouchées ou utilisées et les retouchoirs en os des couches châtelperroniennes (couches VIII-X).

Tableau 8. Informations contextuelles sur les artefacts en os d’oiseaux des couches châtelperroniennes (couches VIII-X). * deux fragments, ** huit fragments.

Légende des figures

Figure 1. Relation largeur/épaisseur des fûts et ébauches de fût en ivoire des couches châtelperroniennes de la Grotte du Renne. L’épaisseur ou la largeur des fûts fragmentaires des groupes 2-5 ont été reconstituée à partir de leurs sections.

Figure 2. Fûts de grande taille en ivoire (classe A).

Figure 3. Préforme en ivoire (no 1), fragment d’ivoire (no 2) qui remonte sur la préforme (no 1) et

fragments de supports débités en ivoire (no 3-4).

Figure 4. Détails des traces de raclage encore visibles sur le fragment mésial poli du fût en ivoire « 61 Xb1c-B9.3097 » (a : fig. 2 - no 2) et des incisions sur le fragment mésial du fût en ivoire

« Xb-A13 » (b : fig. 2 - no 8). Les crochets ouvrant indiquent les zones élargies sur la droite. Figure 5. Détails du petit bout d’os accolé au fragment proximal de fût en ivoire «Xb-C9 » (a :

fig. 2 - no 1) et des incisions irrégulières sur les fragments proximaux en ivoire « IX- X14.1551 » (b : fig. 2 -no 10, « 61 Xb1b-C9 » (c : fig. 2 - no 12) et « 59 IX-C8.3324 » (d : fig. 2 - no 11). Les crochets ouvrant indiquent la zone élargie sur la droite. Echelle = 1cm.

Figure 6. Traces de raclage visibles sur le fragment « Xc-Y12 » (a : fig. 3 - no 2) qui remonte avec la préforme de fûts en ivoire « Xc-A12 » (fig. 3 - no 1) et sur le fragment triangulaire « 56

IX-X/Y 12/13 » (b : fig. 3 - no 3). Les crochets ouvrant indiquent la zone élargie sur la droite. Echelle = 1cm.

Figure 7. Fûts de taille moyenne en ivoire (classe B).

Figure 8. Traces de raclage (a-c) et de finition (d) visible sur les fûts en ivoire de moyenne taille (classe B) « 59 Xb-C13 » (a : fig. 7 - no 10), « Xb-A8 » (b : fig. 7 - no 11), « 59 Xa-C7.3536 » (c : fig. 7 - no 12) et « 62 Xb2-B8 » (d : fig. 7 - no 14). Les crochets ouvrant indiquent la zone élargie sur la droite. Echelle = 1cm.

Figure 9. Fûts de petite taille en ivoire (classe C).

Figure 10. Traces de raclage visible sur les biseaux du fût de petite taille en ivoire (classe C) « IX-B13 » (a : fig. 9 - no 4) et de la pointe à zone mésiale renflée « 62 Xc-Z11.2504 » (d : fig.

9 - no 32) ainsi que les traces de réaffutage visible sur les pointes fines en ivoire « 63 IX-C13 » (b : fig. 9 - no 29) et « Xb-Z11.1129 » (c : fig. 9 - no 30). Les crochets ouvrant indiquent la zone élargie sur la droite. Echelle = 1cm.

Figure 11. Ebauches et déchets en ivoire. Les numéros 22-34 proviennent du même mètre carré. Figure 12. Traces de raclage visibles sur les ébauches en ivoire « Xa-s.n.) » (a : fig. 11 - no 11) et

« Xa-Y13 » (b : fig. 11 - no 3). Les crochets ouvrant indiquent la zone élargie sur la droite. Echelle = 1cm.

Figure 13. Brunissoir en ivoire « 58 Xa-Y12 ». Figure 14. Poinçons allongés (type A).

Figure 15. Extrémités proximales de deux poinçons entièrement façonnés présentant à leur extfrémité proximale les restes très régularisés d’un sectionnement par sciage et flexion (a :

« Xb1c-E11.2880 », fig. 14 - no 1 et b : « XI-C8 », fig. 14 - no 2)) et, dans un cas (a) une gorge au-dessus de la « tête » trapézoïdale.

Figure 16. Poinçons sur os long peu modifiés de type B1 (no 1-8) et B2 (no 9-10). Figure 17. Poinçons sur os long peu modifiés de type B3.

Figure 18. Poinçons sur éclats allongés de diaphyse (type C).

Figure 19. Poinçons massifs à pointe courte de type D (no 1-2) et déchets de débitage (no 3-4). Figure 20. Détails de traces de rainurage présentes sur deux déchets (a,b : « Xb-Y11 ») fig. 19 -

no 3, c,d : « Xc-Z6.18 », fig. 19 - no 4). Remarquer les dépôts d’ocre présents sur le premier (a,b) et les traces des impacts (flèches) ayant permis le détachement du support. Echelle = 1mm.

Figure 21. Photos au MEB de la zone active de poinçons archéologiques (a : « XII-A12 », fig. 18 - no 11 ; b : « Xb2-W9 », fig. 18 - no 2 ; c : « Xa-A13 », fig. 14 - no 19) et expérimentaux (d-e). Les stries d’utilisations sur le poinçon expérimental ont été obtenues après 350 perforations effectuées avec un geste rotatif sur du cuir (échelles fines = 1 mm ; échelle épaisse = 100 μm). Figure 22. Photos au MEB de facettes produites par abrasion pour réappointer l’extrémité d’un

poinçon (« Xa-C11.3966 », fig. 14 - no 4) ayant subi des micro-enlèvements d’utilisation. (a- b) : l’orientation des stries indique que le réaffûtage a été effectué avec des gestes subparallèles (facette distale) et perpendiculaires (facette proximale) à l’axe de l’outil ; (c-d) : sur l’autre côté de la même piècce on observe le reste d’une autre facette d’abrasion. Les flèches montrent les stries dues à un mouvement de rotation du poinçon lors d’un usage antérieur (échelles = 1 mm).

Figure 23. Fragments de poinçons présentant sur la fracture proximale des stries de raclage et un émoussé (a : « VIII-C6 », fig. 14 - no 9) ou un émoussé (b : « Xc-A12.1255 », fig. 14 - no 8) indiquant une reprise du fragment (distal) après fracture.

Figure 24. Largeur et épaisseur des différents types de poinçons mesurés à 5, 10, 15, 20, 30 et 50 mm de la pointe.

Figure 25. Localisation des incisions présentes sur certains poinçons châtelperroniens.

Figure 26. Photos au MEB des incisions en série présentes sur les poinçons châtelperroniens (a- b : « X-VIII », fig. 25 - no 4 ; c : « Xc-B8 », fig. 25 - no 16 ; d-f : « Xb2-C11 », fig. 25 - no 10). Figure 27. Incisions produites en série par un tranchant non retouché sur le poinçon « Xb2-C11 »

(fig. 25 - no 10). Les différents degrés d’usure des incisions indiquent qu’elles ont pu être réalisées sur la pièce à des moments différents.

Figure 28. Lissoirs-plans sur côtes de mammouth (no 1) et de cheval (no 2).

Figure 29. Lissoirs-plans sur côtes plates de mammouth ou cheval/boviné fracturées anciennement.

Figure 31. Lissoirs distaux sur côtes fendues de cheval/boviné ou renne.

Figure 32. Détails du lissoir « Xa-X13.5105 ». Le crochet ouvrant indique la zone élargie sur la droite. Echelle = 1cm.

Figure 33. Brunissoirs robustes à extrémité mousse. Figure 34. Autres brunissoirs à extrémité mousse.

Figure 35. Détails des extrémités des brunissoirs ou possibles pioches présentant des zones émoussées et lustrées (a : « Xb1-C8.1775 », fig. 34 - no 2 ; c et d : « Xc-Z12, fig. 33 - no 5), et des possibles impacts (b : « Xa-D11 », fig. 33 – n°5). Echelle = 1 cm.

Figure 36. Diaphyse de mammouth retouchées (« 59 X-C12 (113) »). Figure 37. Diaphyse de mammouth retouchées (« X-BC6-7(166) »). Figure 38. Fragments de retouchoirs sur diaphyse de cheval.

Figure 39. Fémur de mammouth utilisé en « billot » (« 56 Xc-B12 »).

Figure 40. Os d’oiseaux avec traces de sciage. nos 1, 3, 4 et 6 – vautour fauve ; no 2 et 3 – oiseau indéterminé ; no 5 – vautour moine.

Figure 41. Os d’oiseaux avec traces de sciage. n°1 - cygne sauvage ; n°s 2 et 3 – os décorés sur diaphyses d’oiseaux indéterminés ; n° 4 - lot de huit fragments d’une diaphyse d’os d’oiseau indéterminé, dont deux portent des traces de sciage.

III.4 Notes de bas de page

Note 1 – Nous remercions vivement F. David et C. Mourer-Chauviré pour les déterminations anatomiques et taxinomiques des supports de l’industrie osseuse.

Note 2 – Il faut indiquer que la plupart des pièces décrites dans ce chapitre ont été enduites d’un vernis de consolidation, ce qui a parfois oblitéré les modifications anciennes de surface.

Note 3 - Ce poinçon « A9 (ex C8).1822 » a été marqué comme provenant de la couche XI mais il est indiqué, dans le cahier de fouille, qu’il se trouvait à la limite supérieure de cette couche, au contact avec le niveau Xc.

Note 4 - Le poinçon A12 (fig. 18 – no 11) a été marqué comme provenant de la couche XII mais il se trouvait directement à l’aplomb de l’un des trous de poteau repérés lors de la fouille du niveau de base Xc (voir chap. IV.4), ce qui suggère qu’il a probablement été enfoui involontairement lors du creusement de ce trou de poteau.

Note 5 – Rappelons que l’ensemble du matériel lithique est extrêmement altéré par la patine et qu’aucune analyse tracéologique n’a pu être réalisée sur les outils.

Note 6 - Originellement conservée au musée d’Avallon, cette pièce fut apportée avec le reste du matériel au musée national de Préhistoire des Eyzies, suite à l’acquisition de la collection Leroi-Gourhan, et nous remercions J.-J. Cleyet-Merle et les responsables des collections de nous l’avoir signalée et d’en avoir réalisé les clichés reproduits ici.

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