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Evolution et répartition du capital social

Conformément à la délibération de l’Assemblée Générale du 30 Aout 2005, le directoire, réuni le 31 Aout 2007, a constaté qu’au 31 Juillet 2007, 191.756 actions nouvelles de 0,05 euros de valeur nominale ont été émises par conversion des Obligations convertibles, le capital de la société se trouvant porté à 6.521.725 euros divisé 130.434.500 actions de 0,05 euros de valeur nominale ; Aux termes d’une délibération en date du 18 Septembre 2007, le directoire, usant des pouvoirs conférés par l’Assemblée Générale du 30 Aout 2005, a procédé à une augmentation de capital de 103.250 € par incorporation de réserves et attribution d’actions gratuites aux salariés et mandataires sociaux de la société par application de l’article L.225-197-2 du code de commerce. Le capital social de la société s’est trouvé porté à 6.624.975 euros divisé en 13.249.950 actions d’une seule catégorie entièrement libérées, de 0,5 € de valeur nominale.

Les statuts ont été mis à jour afin de prendre en compte les augmentations de capital décrites ci-dessus.

Dissolution sans liquidation de INFLUE SI et INFLUE ILLICOM

Le 23 Mars 2007, les actionnaires de la société GENERIX ont approuvé à la majorité l’apport de la totalité des titres du groupe INFLUE au profit de GENERIX, devenant de ce fait l’actionnaire unique du groupe INFLUE.

Le directoire de GENERIX, réuni le 31 Aout 2007, a décidé la dissolution sans liquidation de la société INFLUE SI. De même, le Conseil d’Administration de la société INFULE SI a décidé la dissolution sans liquidation de la société INFLUE ILLICOM.

Composition du Comité de direction

NOM FONCTION

Jean-Charles Deconninck Président du Directoire Corine Lemeunier Secrétaire Générale Philippe Seguin Directeur Edition

Didier Bonjour Directeur Commerce et Alliances Michel Jardat Directeur Alliances Internationales Fernand Damotte Directeur Développement International Gérard Vérin Directeur du Support & Hébergement Sylvie Brunet Directrice Marketing et Communication Bénédicte Outhenin Chalandre Directrice Ressources Humaines Virginie Meleux Directrice Administration et Finance Philippe Petit Directeur Conseil et Services

Marché

Les enjeux des industries de la distribution

Les entreprises de la distribution et de prestations logistiques ont bâti leur performance d’une part à partir d’un référentiel adapté à leurs marchés (qualité, disponibilité, positionnement, prix) et, d’autre part, grâce à une logistique performante (taux de service élevés, délais, niveau de qualité minimisant les erreurs d’expédition, gestion des retours).

Puis, pour maintenir leur avance, ces entreprises sont entrées dans les approches d’automatisation, de réduction des délais et de personnalisation de la relation client. En parallèle, les canaux de commercialisation se sont étoffés à travers les centres d’appels, les sites de commerce électronique (BtoB et BtoC), le foisonnement des catalogues. Il en a été de même dans la relation avec les fournisseurs et prestataires de service de toute nature ou les communications inter et intra entreprise se sont fortement internationalisées.

Ces nouvelles formes de commerce ont vu apparaitre de nouveaux acteurs à forte compétence verticale venant concurrencer les schémas établis, et augmenter les attentes et exigences du client et, par la même, sa volatilité.

Cette nouvelle donne oblige les modèles organisationnels à évoluer rapidement pour apporter plus de réactivité sur l’adaptation de l’offre, la disponibilité des produits et une relation clientèle de plus grande proximité. Les distributeurs, industriels et prestataires doivent créer un ensemble réactif : piloté par une information accessible, pertinente et à jour, tout en diminuant les couts liés au traitement de cette chaine et des écosystèmes économiques. A court terme, ces écosystèmes seront au centre de l’expression du besoin d’un client de plus en plus mondial qui interagit à travers de multiples canaux avec la marque commerciale.

Les spécificités du marché du Logiciel dans les industries de la distribution

Si la valeur de la dépense en informatique générée par les entreprises du secteur Commerce &

Distribution reste plus faible comparée à celle des secteurs de la banque, de l’assurance ou des télécommunications, elle reste néanmoins maintenue par de nombreux enjeux d’évolutions métiers du secteur. Les recours aux solutions de gestion, de la relation client, de planification des flux, d’automatisation des réassorts et de gestion du merchandising afin de maximiser le taux de service rendu au consommateur final sont au cœur des préoccupations de la profession.

Ces enjeux créent de nouvelles problématiques dans les divers métiers du secteur qui rendent indispensables l’optimisation des systèmes d’information existants. Face à ce contexte nouveau, la refonte et/ou migration des architectures informatiques, la progicialisation des applications métiers, la sécurité des systèmes décisionnels sont en première ligne pour soutenir les transformations à venir des systèmes d’information des entreprises du secteur Commerce & Distribution.

Selon IDC, le montant total de l’investissement informatique des entreprises du secteur Commerce &

Distribution a atteint 4,5 milliards d’euros en 2006, en croissance de 2,9% par rapport à 2006. Une croissance qui devrait se poursuivre en 2007 à un rythme de 5,5% selon IDC, portant le montant des investissements IT à 4,7 milliards d’euros.

Le marché du logiciel, qui représente 27% de la dépense IT des entreprises du secteur Commerce &

Distribution en 2006, a connu la plus forte dynamique en 2006 (+5,3% à 1206 M€). Ce poste devrait bénéficier d’une croissance plus forte en 2007 (+7,2% à 1293 M€). le segment des services IT qui représente 45% de la dépense IT du secteur Commerce & Distribution a connu un rythme de croissance supérieur à la moyenne du secteur en 2006 (+3,8% à 2 052 M€) ; cette tendance se poursuivra en 2007 (+5,9% à 2 173 M€).

A l’inverse, la dynamique des investissements en matériel a accusé un recul en 2006 (-0,6% à 1 237 M€). La dynamique de ce segment qui subit de plein fouet une érosion significative des prix des serveurs et des PC, devrait encore se substituer en net retrait par rapport à la croissance moyenne du secteur en 2007 (+3,2% à 1 276 M€).

Tendance 2011

IDC prévoit une consolidation de la croissance des investissements informatiques des entreprises du secteur Commerce & Distribution à l’horizon 2011.

Après un fort ralentissement en 2004-2005, l’investissement informatique des distributeurs semble retrouver la même dynamique qu’en 2001-2002 ; ceci étant vrai plus particulièrement pour les chaînes généralistes, les chaînes alimentaires et les magasins spécialisés dans l’aménagement et l’équipement de la maison. Cette reprise de l’investissement s’explique pour deux raisons. D’une part, les distributeurs ont un intérêt croissant pour le e-commerce et doivent donc s’équiper en conséquence. D’autre part, 2007 correspond au début du cycle de remplacement des caisses, devenues obsolètes, dont la durée de vie est d’environ 7 ans.

Par ailleurs, le renforcement des stratégies orientées clients ainsi que le renforcement des processus de gestion opérationnelle plus sécurisés, efficaces et performants devraient constituer les moteurs importants de la croissance. Les investissements informatiques des entreprises du secteur Commerce

& Distribution devraient ainsi croître à un rythme annuel moyen de +6,7% entre 2007 et 2011, portant le montant des investissements IT à 5 816 M€ en 2011.

Vu sous un angle fonctionnel, les postes logiciels et services IT devraient bénéficier des croissances les plus élevées en termes d’investissement informatique au sein du secteur Commerce &

Distribution. Une dynamique qui s’explique par le fait que la valeur ajoutée des programmes informatiques structurants prévus à l’horizon 2011 sera essentiellement portée par les intégrateurs et les éditeurs ; ceux-ci verront leurs revenus se renforcer en 2011 au détriment de ceux des constructeurs matériels.

L’analyse des projets d’évolution autour des logiciels en place au sein de SI des entreprises du secteur Commerce confirme que c’est bien sur les logiciels ERP que les entreprises de commerce de détail et de gros concentrent en premier lieu leurs projets d’amélioration. Près d’une entreprise sur deux relevant de ce secteur fera évoluer son ERP en place principalement en le faisant migrer de version ou en l’enrichissant de nouvelles fonctionnalités (45% des entreprises équipées d’un ERP ayant un projet d’évolution) et en réalisant de leur ERP en place de nouveaux paramétrages ou des développements spécifiques additionnels (30%).

Les stratégies croissantes orientées vers le client et le rendement des ventes sont les principaux moteurs de la croissance d’investissements autour des applications métiers en France. En mettant notamment en corrélation les tendances d’adoption en solutions métiers avec celles d’adoption des logiciels transversaux, nous prévoyons que les investissements IT à court terme dans ce secteur porteront sur les principaux domaines suivants :

> Le renforcement de la chaîne logistique

Le renforcement de la chaîne logistique continue d’être au sommet des priorités des directions générales des entreprises de commerce de détail et de gros. En la matière, il y a encore une vaste marge de progression en France et dans l’Europe de l’Ouest qui passe notamment par une gestion synchronisée et efficace entre les flux d’information transactionnels et les flux d’information physiques

; les pays en voie de développement (BRIC) s’équipent, quant à eux, avec les derniers niveaux de produit de gestion des approvisionnements, d’entrepôts et de transport.

En effet, si l’on constate des taux d’adoption élevés sur les logiciels métiers de gestion des stocks et des commandes (81%), l’adoption par les entreprises des logiciels de gestion des entrepôts reste encore en retrait (5 9%). Une situation que les entreprises de ce secteur souhaitent corriger puisqu’on constate au même moment chez elles une plus forte propension à investir à court terme autour des applications de gestion des entrepôts et de transport, pour traiter, entre autre, la multiplicité des modèles logistiques : massification et picking qui doivent cohabiter dans l’usage simultané des canaux de vente par réseau de magasins et par commerce électronique.

> L ‘optimisation de la gestion des points de vente

Point de vente, opérations de magasins et gestion des marchandises : pourtant maturs en matière

d’adoption ces axes restent des zones de forte concentration d’investissements à court terme.

Par ailleurs, et de manière moins spécifique, l’investissement logiciels devrait également être porté à court et moyen terme par:

- la mise en place de nouvelles stratégies clients visant à augmenter les revenus et la fidélité des consommateurs

- l’optimisation de la politique de tarification

- la vente et le suivi d’achats multicanaux, qui, à terme, offrira aux compagnies des opportunités supplémentaires de croissance des revenus en matière de gestion optimisée des catégories de produit en fonction des canaux de ventes.

V – EVENEMENTS POSTERIEURS AU 24 AOUT 2007 (date