• Aucun résultat trouvé

quel-que

tems;'mais parla fuiteelledevintfcreufe

&

glaireuf:.Le Chirurgien employa de nouveau

lesfriéfions mercurielles,

&

lesménageadefaçcn à éviterlefluxde bouche,parcequeleMalade étoitforcédevaqueràlesaffaires:ellesfurent continuées plufieursmoisfans luccès•,lesglandes devinrent dures 8c(aillantes-,lesbords de l’ulcere depuis long-temsrenveifés,feracornirent après feptouhuirmoisde traitement;lemaladefe re-buta,ilne cherchaqu’à réparerfesforcesépuife'es;

mais aulieudelesrecouvrer,ilperditl’apétit

&

lefommeil:illuifurvintdesdouleurs infuporta-blesaux omoplates8cauxbras

;unepuftule large d’un poucequ’ilavoic furle^ourcil droit. s’ulcé-ra;ilfèforma uneexoltofe furlacrêtedutibia delajambe gaucheverslapartiemoyenne;elle avoittroispoucesdelongueurfurun pouce de largeur

;ellefaifoitfaillie

,audeflusduniveau, d’environundemi-pouce.

Une

fièvre continue s’emparadu malade;elle étoicmarquéetousles foirsparun redoublementquinefinifloit le len-demainqu’au leverduSoleil.

Le malade encetétat futconfié à

mes

foinsau

commencement

du moisdeJuin

1754

.jene

pen-faid’abord qu’à lereftaurer;jel’envoyaiàla campagne

;je lepurgeai

&

je lemisaulaiét d’à-neffe

&

au quinquina:jecherchai àluiprocurer

un

fommeilartificiel,mais envain;eneffetquelle reflourcequandtoutcltfimptomatiquedans

un

•«1malade!Je pavoisbien qu’il n’y avoitque\z

DigitizedbyGoogle

mercurequifutcapabledetarirlafource detarit dedélordres.Jevainquislacraintequej’avois des contre-indications;jelemisle7. Juillet fui-vantà Pulagedesfrittionsmercuriellesdonnées entrès-petitesdofês;jecommençaipar dix grains de mercurelematin,

&

autantlefoir;ilen re-çut autantlelendemain;letroificme jourje paf-faià 50grains divifésen 'euxfrictions.

Au

bout dehuitjours

,tems auquelle maladen’avoit pas encorereçutroisgros demercure,lafièvre quit-ta,lefommeilrevint,lesglandesdel’aine le fon-dirent,lafupurationendevint louable.Je con-tinuailesfrittionsavecle

meme ménagement

; le vingt-umémejour l’ulceredel’ainefutcicatrifc; lesdouleurs des épaules

&

des brasnefefirentplus fentir;l’exoftofe futtotalementfondue,iln’y avoiraucune douleuràl’os.I^eschofesencet état fembloient nerienlaifferàdefircr;cependantje laiflaiencorelemalade dansleremede1

1jours,

pendantlefquelsilreçutencorehuit frittionsde ij grainschacune; maislejour qu’il quittales flanelles,ilfefitaugenoudroit

un

gonflement douloureux.Jenepenfai à rienmoinsqu’àle con-fidérer

comme

fimptôme;jel’attribuaiàquelque fraicheur,àlaquellelemalades’étoitexpofe;SC quand

même

j’auroistrouvequelque choie defim-promatique danscegonflement,jen’eulîepii con-tinuerleremede.Le maladecroittrop foiblepour qu’ileùtpùlefoutenirdavantage. J’auroisdifféré àunautretems;onletranfporra à la

campagne

ilfutmisaulaitd’ànefle

&

àun régime

reitau-rant

&

léger. Toutréponditd’abord àmes

inten-tions;ilreprit, Cesforces Scfutaumieuxà tous

égardspendant quinzejours

ou

troisTermines;il failoitplusieurs mille parjouràpied

&

àcheval;

ilparoifloit enfin jouirdelameilleure Tancé,au gonflementdu genouprès,

&

TedifpoToic à repren-dreTesoccupationsordinaires,lorfque tout à

coup

ilTefitdesgonflemens

œdémateux

aux coudes, auxpoignets 5cauxgenoux quidevinrentenpeu de remsfidouloureux,qu’ilsluiôterentle fom-meil. J’attribuai ces dcfordres à l’humiditédu fê-rain,àlaquelle j’avoistrouvélemalade expofc dans unjardinune heureaprèsleSoleilcouchéj

{

'e lepurgeai 5clemisà l’uTagedes bainsde boud-ons detripesdanslefquelsl’onfit bouillirles herbes aromatique^. Cesbains rétablirentla tranf-pirationquiavoir étélupprimée-,maislesTueurs devinrentfiabondantes quelaceflationdes bains

&

touslesremedeslesmieuxindiqués,ne purent

la tarirqu’après plusdedeuxmois;néanmoinsles gonflemensdesarticulationsne ceflerçnt pas, quoique pendantcesdeux moisj’euflemis en ufa-gelestopiqueslesmieuxappropriés.

La

fièvre éroitrevenue aveclesTueurs;l’apétit

&

le

fom-meilétoienttotalement perdus:lesdouleursdes épaules 5c des bras s’écoicnt renouvellées plus for-tement qu’avant depafler parlesfriéèions; l’exof-toTeenfinreparut;laconfiance que l’onavoit eue en

moi

,futnoyée danscedéluge de

fimptô-mes

,dansletems quejeprenoisde nouvelles mefures pourremettrelemalade danslesfriétions.

L’oneut recours à

un

Chirurgien,

Chef

d’un Hôpital de Véroles,6ccertainementauflïdignede cetemploi

,quedes autres qu’iloccupeavec dif-tinélion,Ilattaqua l’exoftofeparunetraincede

DigitizedbyGoogle

cautères:ilneparutaucune colle&ion de matière slachute del’elcarre;l’os s’e'toitfeulementnoir-.*

ci.Ilmiten

même

temslemalade dansles fric-tionsmercurielles:ellesfurentménagéesavec tant

defoin

&

dedifcrc'tion,qu’ilput recevoir quatre

onces de mercure dansl’efpacede feptfemaines fans

Hux

de bouche.Ily a lieudecroirequele maleût etctotalementdéraciné,filemaladeeût

pu

fupporterpluslongtemslereraede;carla fièvrecefladèslapremièreou fécondé femaine; lesgonflemensdes articulationsdéfempaterent en.

tiéicment quelquesparties,

&

diminuèrentde beaucoup end’autres;maislefommeil nerevint point;Pcxoftofe qui avoir étéabandonnée auleul pouvoir du mercure, fevermoulut,lesforces manquèrenttotalement;ilfallutnécelTairement abandonnerlesfriéfions,ouyvoir périrle

ma-lade.L’expériencearendulàge furcesévénemensi ilyaquaranteansquel’onavoir pourdevife Vaincreou mourir;maisaujourd’huiquel’on .penfcplusmodérément:l’onaimemieuxlaiifcr lûbfifterlemal pendant quelquetenas

&

attendre des laifonsoudes occafiens plus favorablespour levaincre.Le quarante-neuvièmejouron'tirale Maladedes linges,onluifitchangerd’air;mais

ilnereprit nifommeilni forces;lafièvre revint;

fesdouleursaugmentèrent;lesosducarpe

& du

métacarpelegonHerentavecdouleur;ilfeforma une nouvelle exoftofe àlaface internedutibia droit

,partieinférieuredelagroffeur

du

pouce.

J.eMalade encetcracétantabandonné de fon Chi-rurgien depuis plufieursmois,n’attendoicquela mort pourçtredélivrédelespeines,lorfqucfe$

DigitizedbyGoogle

[*«]

amis,malgréleurattention ànepas compromet-tre

ma

réputation,

me

prièrentle15 de

Mai

der-nier,del’allervoir. J’eus autantdepeine à

me

dé-terminerà cettedémarche,qu’elleétoitdélicate pourmoi;unefortedeprudence

me

retint d’a-bord;l’humanitélavainquit:iln’y avoir point de temsà perdre,carau

moment

quejefus re-quis,l’onnecroyoit pasqueleMaladepaffetoit lajournée.

Jeletrouvai réduit àunfibasde'gré d’épui-fement

,qu’ilne pouvoirfoutenirlamoindre lu-mière:fanslesperfonnes qui l’environnoientje n’auroispufçavoircequis’étoitpaffé depuis

7

ou8mois quejel’avoisperdudevue;iln’avoit paslaforce de foutenirundifcoursd’uneminute a peinepouvoir-ilarticuler.Je nevisdans cet

homme

d’autre refiourcequelagrandeconfiance qu’ilavoirenmoi,d’ailleursladocilitéquel’on trouve danslesmaladesréduitsfibas, eft

un

grandencouragement pour un Chirurgien qui fçaitfedécider,

&

quieftaffermi dans l’admi-niftration d’un remède telque le vôtre-,car jevousl’avoue franchement,fansvotre

Quin-teffcnce

,jen’auroisofé l’entreprendre

;maisfur

du remède,mesdoutesneportèrentquefurla difficultéderétablirlesfècrétions,fans lefquel-les jenepouvoisrien efpérer:ellesétoient pref-quetotalement abolies. Toutcequelemalade mangeoit

&

buvoitfansgoût

&

avec peine étoit enpure perte\ilrendoitlefolideprefque dansla

même

confiftancequ’ilPavaloit-,leliquide,quine feféparoitquetrèsdifficilement,reftoitenpartie danslefang,rendoitlespartiesfupérieuresœdéra**

DigitizedbyGoogle

t

tcufcs,

&

levifagebouffi-,lepeud’urinequi

pafloitétoit briquetéeépaifle, &cfeinblableà celledeshidropiques:leventreapplati par la maigreurétoitdur,lapeau étoitaride.Le

ma-ladefefournit à toutjjelemis danslepremier inftantàdeuxlivresdebouillon trèslegerpar jourpourtoute nourriturej

&

pour boiffonà

l’eaude veaujfaitesavecquatreoncesde ruelle, unelaitue,&c trente grainsdefeldenitre puri-fiédansfixlivresréduites à quatre.Ledéfirde guérirfaittoutentreprendre:efclavede ce ré-gime(cequieftrarepourun Anglois,

&

une belleleçonpourlesautresNations.)Ildevint bientôt libredetousfesfens,au boutde quatre jourslesfecrétionsferétablirent-,lesurines de-vinrentabondantes,labile

commença

àcouler aveclesexcréments\lapeaulerclacha

&

de-vintmolette:dansl’efpacedequinzeoufeize joursilfutpurgétrois fois

abondamment &

très aifenaent avecune once de mar.ne chaquefois.

Le

to de Juinilfutenétatd’êtretranfportéà

un

dehors delaville-,le11 ilfutpurgépour ladernierefois.Il

commença

leiz du

même

moisà prendrelaQuinteffence pardeuxgouttes; jelesaugmentaipeuàpeu,

&

deloinenldin:

àladouzièmeprifequin’étoitencore que de$ goutteslafièvrequitta;lesdouleursnefefirent lentirque

comme

unmalaifejlefommeilrevint ilfutdoux,tranquille

&

de cinqàfixheures confécutives;lesforcesfêrétablirentfi promp-tement,quelemaladefutenétatdeslapremière femaine de relierdouze outreizeheureshors

du

litaffisdevantunefenêtre-,

&

laleéture a

tou-DigiiizedbyGoogle

J&tiftfaitdepuis ce tems-là fonunique occupa-tion: notezqu’il y avoir dixmoisqu’ilnepou*

voit foutenirlalumière

du

jourleplus nébu-leux,àladix-huitiémeprifelegonflementdesos

du

carpe

&

du métacarpeétoitdéjàpafle: l’e-xoftofedutibiagaucheletrouvaalors réduiteà lagroffeur

&

àlafiguredelamoitié d’unnoyau decerife.

Ce

futce jour-làque

M*

deThierry vitlemalade,quiluifitlui

même

lere'citdefa étatpaffé

&

decelui

ilétoir,alors

M.

de Thierryluifitvingt queftions,dontles répon-fesfurentautantdefujetsde furprife

&

d’admi-rationpourceSçavantobfervateurqui cherchoit de

bonne

foilavérité.

Ce

quilefrappaleplust fut la vigueurqu’il remarqua dans lemalade qui d’exténuéqu’ilctoit, lorfqu’ilentradans l’ufàgedu remède, fetrouvaaudix-huitième jour pleind’efprits

&

deforce

&

rendutout entieràlui-

même.

Saderniere reflexionfutbien jtidicieufe:ce

phénomène,

dit-il,

me

faitplus deplaifirquelaceffation desfymptômes.Eten effetilméritebien d’êcreoblêrve

&

ildonne occafion àun argumentbienconcluantenfaveur devotreremèdejcarfi

,

parlesautres métho-desménagées avec toutelaprudencepoflible, lamaladienes’envaqu’aveclesforces

du

ma-lade,ilfautnéceflairemcntl’abandonnerquand lesforcesmanquent,cequieft lacaufe

ou

qu’elle neceflepas tout àfait

,ou duretourprompt8c familierdefesfymptômesfous différentesformes$ aprèslesdifférentstraitemens,or

comme

avec votreremèdelesmalades,loindes’affoiblirÔC s’exténuerdeviennentplus fortes,

&

repren-DigitizedbyGoogle

»entleurembonpoint,donconpeutle conti-nueraulïîlong-temsquelamaladiel’exigepour ladétruirejulquesdansTesracineslesplus pro-fondes.Aveccetargument, tout

homme

fans préjugédonneratoujours lapréférence à votre remèdepuifqu’ilaplus d’avantagesqu’aucun

au-tre

&

qu’il n’en apaslesinconvénients,auffi

l’ai-jefaitprendrejufqu’àpréfent'aumalade en queftion,quoiqu’il parut àlavingt-fixiéme prife, parl’extinàion deslÿmptômes

,qu’iln’en eût point befoin;

mon

deflfeincft

même

delelui continuertant qu’ilneferaaucun mauvaiseffet

,

convaincupar l’expérience,quel’onpeutenfaire ufageplufieursmois defuite;jcvous en donnaila preuveilyaquelquesmois aufujetdela

fem-me

quej’aiguéried’unfiuoralbxsobftiné

,qui

n’avoitpu céderàaucun remède.Elleenprit conftamment

66

prifesdefuite

&

elleauroit été enétatdeleprendre encoreautantde rems:ce n’eftniladifficultéde prendrevotreremèdeni laforcede fon opérationqui rebuteles mala-des,puifqu’iln’a riende dégoûtantnide fati-guant,c’eftlarigueurdu régimequi coûte;mais {

>ourfuppléera cedéfaut

,jepermetsaux

ma-niesde manger

un

peu de viandeàl’heure

du

dîner lorfque touslesfymptômesfont guéris,8c jeleuraccorde

un

verredevin,jen’aipas en-coreapperçû quecela yaitfaitaucun mauvais effet:niquel’aéfciondu remède enaitetc altéré enlamoindrechofe:ileftvraiquejefaisboire lesmalades

un

peuplusquedansletems du ré-gime en augmentantlaptifanned’untiers.Cette conduite aparu à

M.

de Thierrytrès

raifon-cable,5cîll’aadoptée

comme

principede ne-ceffité.

Au

reftel’exfoliationdutibian’eftpasencore faite

&

neleferavraifemblablement pasfi-tôt: c’eftl’ouvragedelanatureque nous ne pouvons ninedevc.is forcer.Je

me

fuiscontenté de l’ai-der deslespremiers jours,endétruisantparle cautèreaéh'el

&

parlarugine toute lapatrie Taillantedel’exoftofe.Toutcequej’aiemporté étoitvermoulu&crendoit uneabondance ex-trême defainienoiredontiln’étoitpas poflîble defupporter l’odeur,lacarieavoirtroispouces delongueurfurun pouce delargeur

&

d’épaif-feur,ce quim’aobligé d’approfondirplusde troislignesdanslafubftancedel’os.

Ce

n’eft quedepuisquelques joursquejevois dela dif-pofitionà laféparationdelalameofleufequi doitêtrechafleedehors parles

mammelons

char-nusdelafubftance faine,cettelamefedefféche touslesjoursdeplusenplus-,lorfqu’ellefera tout-à-fait détachée f,j’emporterai les bords del’ulcerequi latiennentenclavée danstoute facirconférenceScqui deviendront alorsun obf-tacleàfaféparation ;ily a lieu de croireque cetteexfoliationfeferatout àlafois.Sien at-tendantcetems-làquiferaencorelong,vous avez quelques confeils à

me

donner vous

me

ferez grandplaifir,

&

aumalade,quiplein de fanté cftobligéderefteraffis touclejourfansofer marcher,danslacraintedequelqueaccident

,

qui pourroitdonneroccafion àunefracture dans cettepartiedel’osextrêmementafloibliparla grande déperditiondefafubftançe.

L’exoftofe

L’exdftofedutibiadroit,dontjevousaiparlé ci-ddfusn’cftpas totalementdiflîpée,ellerefte toujours groirc

comme

lamoitiéd’unnoyeau de cerife,etrtapointchangéde figurenidegroifeue depuistroisfemaines,

comme

ellen’cftpas dou-loureufeetqu’elleneblefTeenrien l’actiondela partieje

me

donnerai biengardede l’attaquer ileut été à (ouhaiterquel’on eutagitde

même

i l’égarddel’autre,elle fe feroitpeut-êrrefondue de

même:

ilyauioitd’autant plus lieudelecroire que celaétoitdéjàarrivéunefois.

Au

furplus

comme

ileftfortdifficilequelesfibresoffeufes re-prennenttotalement leurreffort:cesgohfiemeus fubiiftentallésOrdinairementapresquelevice lo-cal a été détruit,(lir-toutlorlquel’onn’yapas remédiéalleztôt:nousl’obfervohs très

commu-,

nement auxglandescohglobéesparticulièrement auxtefticules

&

plus particulièrementencoreà l’Epididime,à plus forre raifon celadoit-ilarriver

auxos

&

fibresoffeufes relativementàleurrilfu

plus ferré

&

moinsfouple,ilneferoitpas éton-nant quecette petiteéminencereftantefubfiftât toujours5illeferoitencore moins,lielle s’efla-çoitaveclerems,il

ya desexemplesde l’un 8cdé l’autredecesfaits*

: ; I

J’ai1‘honrieur d’être

&c.

OBSERVATIONS*

Laquantité

&

ladiverfitédes cure*dontje viens de rendrecompre

,prouventl’efhcacitede iïionremede peutdéttuiielevice vénérien*Je

1

34]

croisdonc pouvoir avanceravecconfianceque c’eftunvéritablefpécifique

,puifque d’un côté ilopérédescuresextraordinaires,

&

guéritdes

maladiesquiontréüftéauxautresméthodes,&c que del’autre,aucuns Malades nefont

manqués

par fonufage,enobfervantunebonne prépara-tion,

un bon

régime,Scen donnant

mon

remede pendant

un

temsiuffilant-,mais

mon

remeden’eft lpécifiqueque pourlefeulvicevénérien-,ce vice fansdoutedonnenaifi'anceà bien des

maux

•,

mon

remedelesguériratous,s’ilsn’ont point d’an-trecaufe;aucontraire,s’ilsfontcompliqués,la caufc étrangèreauvice vénérien refteraavecles accidens quipeuvent provenir decettecaufe,

&

alorsilfaudra avoirrecoursaux

moyens

connus pourguérircequicftetrangerauvice vénérien.

Cetteréflexionquieftfondéefurl’expérience, conduitnaturellementlesmaladesàenfaireune pourleur plusgrandefureté;c’eftdele faireaider dansl’ufagede

mon

remede

,pardesperfonnes del’artdeguérir,fages

&

éclairées;c’eft ainftque dedeuxperfonnesdeconfidérationtraitéesà Lon-dres par

ma

méthode,unen’auroit pas été guérie

,

fi

M.

Arnaudn’eùtadminiftré

mon

remede.

Tou-tesdeuxavoientunevérole caraétérifée par des fimptômes

non

équivoques;mais toutesdeux avoientdes dartres: patlefeulufagede

mon re-mede

,uneguéritparfaitement;l’autre vit difpa-roîtrelesfimptômes

&

lesaccidens qui confta-toientlevicevénérien;maisfesdartres,loinde diminuer,firentdesprogrès:decette circonftan-cc,

M.

Arnaudtiraunpronofticjufte;ilpréfuma qu’unvice feorbutiquepouvoirlesoccafiouncr

DigltizedbyGoogle

f

Jfc-[55]

après l’ufagede

mon

remede;ilemploya lesanti-feorbutiques avec (accès,

&

leMaladeguérit.

après l’ufagede

mon

remede;ilemploya lesanti-feorbutiques avec (accès,

&

leMaladeguérit.

Documents relatifs