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Suffisante Excellente

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4. TRANSFERT DE CONNAISSANCES

4.1. Quels groupes spécifiques, parmi les cliniciens, professionnels de la santé, décideurs, ou la

population en général pourraient bénéficier des informations contenues dans ce GUO?

Tableau G-2 Traitement des commentaires des lecteurs externes

COMMENTAIRES DES LECTEURS EXTERNES RÉPONSES DE l’INESSS

Lecteur externe 1

QUALITÉ SCIENTIFIQUE= 9/10 1. CONTENU GÉNÉRAL

1.1. Oui l’information est claire pour chaque syndrome.

Aucune action requise

1.2. Oui elle est adéquate. Aucune action requise

1.3. Oui elles tiennent compte de notre réalité locale. Aucune action requise 1.4. Oui à la lumière des connaissances actuelles. Aucune action requise 1.5. Oui dans l’ensemble sauf pour celles inchangées

et présentes dans les GUO des versions précédentes.

Aucune action requise

1.6. Oui assez simple. Aucune action requise

1.7. Oui Aucune action requise

2. CONTENU SPÉCIFIQUE

2.1. Je suis d’accord avec les descriptions cliniques des syndromes et leur traitement. Cela est congruent avec ce que j’observe dans les congrès scientifiques et en clinique.

Aucune action requise

4. TRANSFERT DE CONNAISSANCES

4.1. Les cliniciens et les professionnels de la santé principalement.

Aucune action requise

Lecteur externe 2

QUALITÉ SCIENTIFIQUE= 9/10 1. CONTENU GÉNÉRAL

1.1. Oui Aucune action requise

1.2. Oui Aucune action requise

1.3. Oui Aucune action requise

1.4. Oui Aucune action requise

1.5. Oui Aucune action requise

1.6. Oui Aucune action requise

1.7. Oui Aucune action requise

1.8. Oui Aucune action requise

2. CONTENU SPÉCIFIQUE

2.1. GUO, p. 1 : Bien que dans les documents du MSSS il ne soit pas clairement dit que le TAP ne s’applique pas aux syndromes cliniques, on parle d’infections à CT/NG… et dans l’avis de l’INSPQ, on précise que ce sont des infections

documentées. Puisqu’on ne parle pas du traitement de partenaires des personnes avec un syndrome d’ITSS pour le TAP (ceci dit ça ne semble pas clairement une exclusion non plus!), je suggère de clarifier auprès de Sylvie Venne ou directement auprès d’Anne Bruneau qui est l’auteure principale de l’avis de l’INSPQ.

Réponse obtenue : Le TAP n’apporte pas les meilleurs soins au contact. Personnellement, je ne favoriserais pas l’utilisation du TAP pour les syndromes

cliniques… Et tout le monde sait qu’il y a des

exceptions à toute règle (sinon on en crée) (L’exception pourrait s’adresser à des cliniciens « chevronnés » dans le domaine des itss et pour des patients bien connus d’eux).

La section sur le TAP a été complètement retirée du GUO sur l’approche syndromique.

2.2. GUO, p. 2 : Remplacer la phrase En l’absence de facteur de risque d’ITSS et de signe d’atteinte inflammatoire pelvienne, envisager de traiter qu’une fois les résultats des analyses de laboratoire obtenus PAR LA PHRASE En l’absence de facteur de risque d’ITSS et de signe d’atteinte inflammatoire pelvienne, il est possible d’attendre les résultats des analyses de laboratoire avant de traiter, à condition

Ce remplacement a été réalisé dans le GUO.

COMMENTAIRES DES LECTEURS EXTERNES RÉPONSES DE l’INESSS de convenir d’une façon fiable de joindre la

personne et de convenir de la modalité de prescription éventuelle.

2.3. GUO, p. 2 : Concernant la phrase L’ectropion du col utérin n’est pas une cervicite : Dit comme ça, c’est une évidence. C’est comme dire « une voiture n’est pas un autobus » … Je déplacerais l’info à propos de l’ectropion dans la section Manifestations cliniques (il y a de la place). Ex : Il ne faut pas confondre l’érythème associé à un ectropion à celui associé à la cervicite (ou quelque chose du genre).

Dans la section des manifestations cliniques de la cervicite, la phrase ne pas confondre l’érythème associé à un ectropion à celui associé à la cervicite a été ajoutée.

2.4. GUO, p. 2 : Traitement de la cervicite et de l’urétrite : la combinaison céfixime et doxycycline n’est pas une option ?

Après la re consultation des membres du comité consultatif, ceux-ci ont confirmé que la combinaison céfixime et doxycycline n’était pas une option pour le traitement de la cervicite et de l’urétrite. En effet, bien que la doxycycline soit le traitement privilégié pour les infections à CT, cet antibiotique n’a pas une activité idéale contre NG (la résistance de NG aux tétracyclines est bien installée). Et, il y a émergence de la résistance de NG à la céfixime. Ce schéma thérapeutique n’offre donc pas une activité adéquate contre NG alors que cette bactérie doit être couverte de façon optimale par les traitements empiriques recommandés pour les syndromes cliniques potentiellement associés à une ITSS.

2.5. GUO, p. 2 : Rappeler que la lidocaïne 1% sans épinéphrine est couverte via le programme de gratuité (code K).

Cette information n’a pas été jugée essentielle par les membres du comité consultatif puisqu’elle alourdirait le contenu des notes de bas de tableau qui est déjà très chargé. De plus, la phrase Le coût de la lidocaïne 1 % sans épinéphrine est couvert par le programme de gratuité dans le cadre du traitement d'une ITS ou d’un syndrome associé lorsqu’il est précisé sur l’ordonnance : « diluant à la ceftriaxone » apparaît dans la section gratuité de la médication du GUO.

2.6. GUO, p. 5 : Retirer la phrase Pour la LGV, la rectite peut aussi s’accompagner de lymphadénopathie inguinale ou fémorale douloureuse, de bubon ou d’ulcérations car c’est rarement associé à la rectite.

Cette phrase a été retirée.

2.7. GUO, p. 5, traitement de la rectite : je suis vraiment surprise qu’on ait éliminé céfixime +doxy… La cause la plus fréquente de rectite est Chlamydia et doxy est le premier choix… Donc si on n’a pas accès à ceftriaxone IM, doxy n’est pas dans les choix ? Si on est inquiet de

céfixime+doxy avez-vous pensé à la possibilité céfixime+azithro+doxy ?

Les membres du comité consultatif ont souhaité modifier le deuxième choix de traitement de la rectite à la suite de ce commentaire, qui consiste dorénavant à une trithérapie composée de céfixime, d’azithromycine et de doxycycline. En effet, les membres étaient un peu inquiets avec la combinaison céfixme et doxycycline (tel qu’expliqué ci-haut pour l’urétrite et la cervicite), mais cette inquiétude se dissipe avec la recommandation de la trithérapie. De plus, cette recommandation de

trithérapie est cohérente avec les principes de traitement contenus dans le GUO sur les infections non

compliquées à CT ou à NG.

2.8. GUO, p. 5 : remplacer la phrase L’emploi du schéma thérapeutique combinant la céfixime et l’azithromycine implique la réalisation d’un test de contrôle et ce, même si le pathogène en cause est C. trachomatis PAR LA PHRASE L’emploi du schéma thérapeutique combinant la céfixime et l’azithromycine implique la réalisation d’un test de

La phrase a été retirée puisqu’elle est devenue non pertinente à la suite de la recommandation de l’usage de la trithérapie pour la rectite.

COMMENTAIRES DES LECTEURS EXTERNES RÉPONSES DE l’INESSS contrôle si N. gonorrhoeae ou C. trachomatis est

détecté. Cette modification est suggérée car on ne fait pas de TOC si aucun pathogène n’est détecté.

2.9. Rapport en soutien : pourquoi la stratégie de ne traiter qu’une fois les résultats des analyses de laboratoire obtenus n’est abordée que pour la cervicite?

Cette stratégie fait partie des nouvelles informations présentes dans la version mise à jour du chapitre sur la cervicite des Lignes directrices canadiennes. Pour les autres syndromes, de telles stratégies n’ont pas été décrites dans les guides de pratique recensés.

4. TRANSFERT DE CONNAISSANCES

4.1. Médecins de famille et spécialistes, étudiants et résidents, infirmières, sages-femmes,

pharmaciens, ainsi que les personnes atteintes elles-mêmes.

Aucune action requise

Lecteur externe 3

QUALITÉ SCIENTIFIQUE= 10/10 1. CONTENU GÉNÉRAL

1.1. Oui. Lecture intuitive, plus que l’autre guide GUO chlamydia/gono

Même commentaire : Section Intervention auprès des partenaires : Il peut être justifié, dans certaines situations, de rechercher des partenaires sur une plus longue période. Dans quelle circonstance?

Aucune action requise

Concernant les situations pour lesquelles les partenaires doivent être recherchés sur une plus longue période, il avait été convenu de ne pas lister de circonstances particulières (afin de ne pas alourdir le texte) et de laisser une grande place au jugement du clinicien selon les caractéristiques propres à la situation de chaque personne atteinte.

1.2. Très bien! Aucune action requise

1.3. Oui sans problème. Aucune action requise

1.4. OUI, présentation claire. Aucune action requise 1.5. Très bonne méthodologie. Aucune action requise 1.6. Même si domaine pointu, oui, très accessible. Aucune action requise 1.7. Oui, adéquation avec consensus actuels. Aucune action requise 2. CONTENU SPÉCIFIQUE

2.1. Rien à rajouter. Très complet. Aucune action requise 4. TRANSFERT DE CONNAISSANCES

4.1. Même commentaire que l’autre guide (tous les professionnels de la santé en lien avec santé publique et communautaire)

Aucune action requise

RÉFÉRENCES

Agence de la santé publique du Canada. Lignes directrices canadiennes sur les infections

Documents relatifs