Les idées politiques humanistes pendant la période de la Renaissance

La discussion sur les modifications de la pensée politique des humanistes italiens sur la période de Renaissance, reflète des buts et des conditions de participation des citoyens sur des différentes périodes. L’interprétation de la pensée politique par Dante, Pétrarque, Bruni, Machiavel, révèle que l’objectif de la participation des citoyens de la Renaissance est de construire un Etat civil, libre, qui pourrait pleinement refléter les opinions publiques. Ces pensées politiques ont eu une influence importante sur la naissance de la science politique moderne. La participation des citoyens exige la mise en place du nouveau gouvernement, ce qui non seulement peut fournir à la communauté avec un bon ordre social, mais aussi peut fournir une bonne vie pour les peuples. Cela indique que la participation citoyenne de la

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Renaissance, a dépassé la modèle de la grecque ancienne, romaine et la tradition médiévale. Elle s’est développée avec le mouvement politique du peuple pour construire des gouvernements modernes.

Pour la théorie morale et politique fondée sur la Période de Renaissance, allant de l’année 1300 à l’année 1370, ces 70 ans est la période fondatrice de la Renaissance italienne. Les troubles sociaux de cette période ont eu un impact grave sur la stabilité sociale et sur les secteurs civiques. D'une part, des nouvelles opportunités de développement sont à portée de main: l'élite intellectuelle peut entrer dans le cercle des élites car elle est formée. Mais ils sont également confrontés à un autre résultat du changement social: la ville est au pouvoir des riches. En dehors de l'expertise et du prestige, l'élite intellectuelle est dans une position relativement faible au regard des domaines économiques et la politiques. Ce contexte a conduit les citoyens à participer à la politique par deux façons: soit être un fonctionnaire travaillant directement dans le gouvernement, soit utiliser leur expertise dans la loi, la littérature ou la rhétorique et écrire des traitées politiques. Ils atteignent leur objectif de la participation à la politique au travers des dirigeants ou des exhortations ou encore à la propagande contre le peuple. Très tôt, les représentants de la période de la Renaissance, comme Dante, Pétrarque, Boccace et d'autres, ont participé à la politique par toutes ces façons. Dans le cercle civique, la position de l'élite intellectuelle est très bizarre. Ils sont au milieu, entre de la noblesse et les pauvres de la ville.

D’une part, ils sont traités avec les nobles de la ville, ils sont également avec les citoyens, mercenaires, chef de guilde, etc… Par rapport à la noblesse patricienne et aux guildes urbaines, ils savent qu'ils détiennent à une connaissance professionnelle pour servir les groupes communautaires. D'autre part, ce sont des dirigeants des pauvres urbains dont ils ressentent profondément la faiblesse, mais aussi ils se soucient du manque de cohésion interne de ces populations. Ils sentent vivement que pour réussir à maintenir un état de ville indépendante, il faut être capable de résister efficacement à l'invasion des puissances étrangères, à l'arriération culturelle et aux divisions de la ville qui rendent très difficile leur tâche. Ils sont très inquiets, confrontés à lutte pour le pouvoir, entre à la fracture riches qui

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pauvres conduit à des troubles sociaux. Ils essaient sincèrement de trouver une recette pour une stabilité au long terme pour la ville.

Pour le politique libre pendant le développement de la période de la Renaissance. Après la théorie de Pétrarque et de Boccace, la Renaissance est entrée dans une période en voir de développement, et également a engagé dans une nouvelle étape. Il y avait également de nouvelles fonctionnalités dans la participation idéologique des citoyens. A partir de 1370 à 1450, pendant ces 80 ans, elles sont souvent désignées comme l'apogée de la Renaissance. La Renaissance pendant cette période a donné de nouvelles améliorations aux Italiens. Salou et Bruni assument la mission pour établir une ville libre, nous pouvons voir que la Renaissance avait beaucoup d'avancements comparés avec la période précédente. A partir la théorie de Tati et de Bruni, la Renaissance n'est pas seulement le mouvement culturel personnel, elle a développé dans un objectif clair pour établir la liberté de circulation de la ville. Les raisons pour lesquelles cette situation est montré, c'est parce que elle est également étroitement lié avec les importances des postions de Tati et de Bruni pendant cette période. Salou Tati, Bruni ont commis à la réforme sociale, ont participé aux événements publics, à la fonction publique, ont fait avancer le système républicain, ont bien connu la culture du patriotisme de la culture du peuple, ces fonctions ont été considérées comme les missions les plus importantes pendant la période de la Renaissance. Pour les élites intellectuelles pendant cette période, ils ont fait la promotion personnelle pour contribuer à la société.

Pour la théorie de Prince à la fin de la période de la Renaissance, entre l'année 1450 et 1530, pendant ces 80 ans, c'est juste la fin de la Renaissance. Le caractère de politique dans cette période est d'établir la monarchie politique en Italie et même en Europe. Pendant cette période, les rapports entre les classes sont très tendus, à cause de la comparaison de l'équilibre du pouvoir, de grandes familles de noblesse ont pris le pouvoir en ce moment-là. Comme Florence, par exemple, à la fin du quinzième siècle, la ville de Florence a eu un bouleversement politique violent. Le pouvoir de la famille Medici a pénétré vers tous les coins de Florence, le ressentiment du public a refoulé, finalement en 1494 la famille des Médicis a été expulsée de Florence. Cependant, le gouvernement ne peut pas restaurer le contrôle effectif pour la ville de Florence, par conséquent, la famille des Médicis a fait une restauration à

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Florence par la puissance étrangère en 1512, elle a continué d'être la règle de Florence. Le politique de chaos de Florence ne peut jamais finir, et même comme la famille des Médicis s'est fondée sur les forces étrangères, la République Florentine est devenue précaire. En 1532, la famille des Médicis est devenue le duc, et puis Florence est devenue la mise en œuvre de politique de la monarchie au lieu de la politique République.

On peut se demander si la conception de l’organisation des Etats et de la politique à la Renaissance n’a pas été fondatrice de ce qui fera de l’Italie un lieu par excellence de cités politiques, d’institutions périmés, d’instabilité permanente.

Chapitre III. La raison pour laquelle l’Italie est devenue le berceau de la Renaissance en Europe

A la fin du Moyen Age, l’Italie est non seulement la région où les éléments capitalistes sont les plus développés, mais aussi le pays natal de la culture classique romaine. Elle est donc devenue le cœur, le lieu de naissance de la «Renaissance». Et le soutien des humanistes et pour les activités intellectuelles de certains régimes, a considérablement promu la montée et le développement de la Renaissance. L’attaque contre l’Église du mouvement hérétique et l'insurrection paysanne, l’apparition de la «papauté d’Avignon», le déclin du pouvoir religieux, ont tous constitué une occasion favorable à la naissance de la Renaissance. Tout cela a permis que la Renaissance ait lieu en Italie, mais pas dans d'autres régions d'Europe.

La Renaissance est une période importante qui a marqué le cours du développement culturel et idéologique européen. C'est également une période de grande lutte contre le féodalisme et la théologie dans le domaine idéologique menée par la bourgeoisie émergente. Cette lutte a brisé le joug du despotisme culturel médiéval, a apporté l'émancipation idéologique, a la permis l'apparition de géants de la passée et le développement scientifique. Elle a aussi donné naissance au nouveau système capitaliste. Engels a hautement apprécié la Renaissance «une ère qui fait l’appel aux géants, et qui a, en effet, engendré des géants». La raison pour laquelle la Renaissance a eu lieu tout d’abord en Italie, c’est parce que les graines de la mode de production capitaliste sont nées premièrement en Italie, ce qui est le fondement économique du

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mouvement de la Renaissance. L’Italie se trouve au bord de la Méditerranée, qui est la plaque tournante du commerce Est-Ouest.

3.1 Florence, le centre d’artisanat le plus grand en Italie

Au début du quatorzième siècle, des ateliers artisanaux capitalistes sont apparus dans les villes du nord de l’Italie comme Gênes, Venise, Florence, l'artisan et le commerce était déjà très développé. Le secteur banquier s'est développé également à cette période-là. Marx a dit: «Au cours des quatorzième et quinzième siècles, les germes initiaux de la production capitaliste sont déjà nées dans certaines villes du bord de la Méditerranée.» C'est-à-dire que principalement les villes italiennes. Florence est un exemple typique pour examiner le développement des germes du capitalisme italien.

Florence est le centre artisanal le plus grand d'Italie. Selon ce que célèbre historien Giovanni Villani a noté, en 1338 il avait déjà deux cents ateliers de laine, avec un rendement annuel de soixante-dix à quatre-vingts milles rouleaux du drap, ce qui créait une valeur d’environ 1,2 millions florins. La naissance de la soierie, arrivera un peu plus tard, à la fin du quatorzième siècle au début du quinzième siècle. La soierie européenne a été monopolistique. Le brocart doré produit, en Italie à une réputation qui vient deuxièmes seulement celle de la soie chinoise, sur les marchés de l’Europe occidentale et les pays du Moyen-Orient. Les ateliers florentins avaient une nature capitaliste.

Dans les ateliers de laine ou de soie, la plupart des participants engagés dans la production étaient des travailleurs embauchés. La division du travail de ce genre d’atelier, est plus précise que celle du Moyen Age. Dans les ateliers du drap il y avait normalement plus de vingt processus différents, et chaque travailleur s’occupait un seul d'entre eux. Marx a dit : « Ce genre d’atelier est historiquement ou logiquement, le départ de la production capitaliste ». Florence est non seulement développée dans l'artisanat, elle a aussi une échelle considérable du commerce. Grâce à sa position géographique, elle se trouve au milieu de la route de la soie terrestre des pays européens qui aboutissent à Rome, le pèlerinage annuel de l'Europe à Rome il y avait chaque année deux cents milles pèlerins qui allaient à Rome des divers pays

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européens, donc son commerce en tant qu'intermédiaire s'est développé. Florence s'est appuyé sur le port de Pise d'ouest pour le commerce d’outre-mer – Elle importait de la laine d'Espagne et du Royaume-Uni comme la matière première, et exportait ses produits dans les autres pays européens et au Moyen-Orient. Au début de quatorzième siècle, les marchands florentins comme Balducci et Picoudu, ont même fait du commerce avec Pékin en Chine.

En résumé, on peut voir que, l'économie capitaliste italienne était déjà développée à une échelle considérable. Afin de développer cette économie capitaliste récente, le développement de la nouvelle culture économique et commerciale devait inévitablement se débarrasser du joug de l’Église et se délivrer de la philosophie scolastique. Ceci explique que des luttes contre le système féodal et couché l’Église par bourgeoisie émergente aient éclatées eu raison des divers aspects culturels, faute des points de vue commun.

Aussi, les intellectuels de cette époque, au tout début ont tourné leur regard du Moyen Age vers l’antiquité, ils y ont trouvé le moyen d’expression de leur conscience de classe à travers l’art et la littérature grecque, et ils ont pris les articles qui protègent la propriété privée dans le droit romain. Ainsi, ils méprisaient la culture féodale qui était centrée sur la théologie chrétienne, appréciaient la culture laïque grecque et romaine qui tournait autour de l’humanisme. Ils ont utilisé la culture classique comme une arme contre la culture féodale, et ont ainsi déclenché le grand mouvement de la Renaissance.

Ce nouveau mouvement culturel a fonctionné comme un levier économique important pour la naissance de la Renaissance, levier au service de la politique et de l’économie bourgeoise, posant ainsi les germes initiaux du mode de production capitaliste. Mais un seul facteur important n’est pas suffisant, il est nécessaire de remarquer que, en même temps, la naissance de la Renaissance italienne est étroitement lié aux soutiens des certains régimes urbains.

3.2 La lutte contre les seigneurs féodaux par la bourgeoisie émergente

Dans des villes développées en Italie, de la Renaissance, on peut observer un développement de l'économie capitaliste. Les luttes contre les seigneurs féodaux ont été initiées sur politique le plan par la bourgeoisie émergente. Enfin, des villes ont obtenu le statut indépendant. Le régime urbain a été dominé par la couche supérieure de la bourgeoisie --- grands banquiers,

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grands commerçants et propriétaires d'ateliers. De nombreuses villes de l’Ouest italien ont formé la «république», et établi la domination oligarchique de la bourgeoisie supérieure. Ces régimes urbains, avaient d’une part un caractère réactionnaire opprimant les masses laborieuses, et réprimant les luttes des travailleurs embauchés pour obtenir un meilleur sort, mais d’une autre part ils ne réprimaient pas les luttes contre la culture féodale et la domination spirituelle de l’Église. D'ailleurs le régime urbain établi depuis peu, avait besoin de la bourgeoisie émergente pour lui donner une aide face à l’opinion publique. En conséquence, les régimes urbains ont encouragé la bourgeoisie émergente à étudier la culture classique, et a soutenu le mouvement de la nouvelle culture dirigé par la bourgeoisie émergente. La protection et le soutien des humanistes par le régime bourgeois urbain de Florence étaient plutôt typiques pendant l’époque de la famille des Médicis. Le règne de la famille des Médicis, c'est l'âge d'or de Florence. En vue d’embellir sa domination, la famille des Médicis a préconisé la littérature, elle a recruté de célèbres peintres, des poètes, des sculpteurs et des architectes, ce qui a donné à Florence une prospérité artistique sans précédent, et l’a fait devenir le centre de la vie artistique et culturelle d’Italie. Surtout sous le règne de Cosme premier et son petit-fils Laurent le Magnifique, la protection de la culture était plus évidente. Cosme est connu comme «ami et protecteur des savants», il a invité les figures les plus érudites de l'époque, un savant grec à Florence pour enseigner aux jeunes la philosophie grecque, et il a reçu chez lui le célèbre savant qui revit la philosophie platonicienne, en raison de la profonde admiration de ce savant grec, et pour lui permettre d'étudier plus considérablement, mais aussi dans l’intention de créer de communiquer avec lui, Cosme lui a même une sa propre maison qui est à proximité de sa propre résidence. Lorenzo, est non seulement le protecteur des littérateurs, il est aussi un savant distingué, il a des goûts pour l’architecture, la musique et la poésie, il a écrit de nombreux commentaires au sujet de ces arts, écrits qui sont été conservés jusqu'à aujourd'hui. Pour faciliter l'étude de la littérature aux jeunes florentins, il a établi une université à Pise, qui est présidée par les figures les plus éminents d'Italie. Sous son règne, la culture florentine a atteint son sommet.

En plus de Florence, il y a beaucoup de villes italiennes dans lesquelles des individus ou des groupes sociaux ont soutenu l’humanisme en déployant tous leurs efforts, et protégé les

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savants vivants parmi eux. La famille Sforza de Milan compte des érudits et elle est protectrice de la littérature. Cela montre une relation étroite entre l'effervessance des activités de la Renaissance et l’environnement tout à Florence que dans d'autres villes. En Italie, les régimes urbains tels que Florence, tout en tenant compte des besoins du règne, ont attaché de l’importance à l’humaniste et ont recruté un grand nombre de l’humaniste comme états-majors et fonctionnaires. Au milieu du quinzième siècle, les humanistes avaient envahi toutes les institutions gouvernementales du pays, avec leur participation à la vie politique de l’humanistes, la bourgeoisie émergente disposait de ses propres porte-paroles, ce qui a sans doute favorise le développement du mouvement de la Renaissance.

3.3 Le statut avancé de la culture en Europe

Pour l'émergence de la Renaissance en Italie, les facteurs culturels ont joué également un rôle décisif. Au tout début, la nouvelle bourgeoisie émergente n’était pas apte et n'avait pas la possibilité de lancer des opinions indépendantes systématiques. Ils ont donc lutté contre la théologie féodale principalement à l’aide de la culture classique. La plupart des œuvres traditionnelles classiques étaient conservées en Italie tout au long du Moyen Age. Les savants ont cherché amplement des œuvres de l’Antiquité perdues depuis longtemps, ont fouillé les ruines romaines, et ont trouvé des anciens livres précieux en nettoyant les vieux livres dans divers temples. Sur cette base, les humanistes ont créé de nombreuses grandes bibliothèques, parmi lesquelles les plus importantes sont la bibliothèque de Vatican, Lorenzo et Urbino. Les fonds de la bibliothèque Urbino était les plus riches, la plus complète d'Italie. Un grand nombre de livres classiques que cette bibliothèque collectionnant, a créé les conditions extrêmement favorables pour les savants humanistes italiens. Cependant, l’existence d’un grand nombre de documents classiques, pour mener une recherche profonde, c'est aussi surmonter les barrières linguistiques. Apprendre la culture classique, c'est principalement apprendre le latin, l'hébreu, le grec, le yiddish. Par conséquence, à la fin du quatorzième siècle, l’humaniste Archilles a invité sous l'aide de grand marchand florentin un savant grec qui fait preuve d’une maitrise exceptionnelle Crise, et ouvert des conférences de grec pendant quatre

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ans à Florence, et ainsi déclenché un essor d’apprendre le grec. Par l'amour de la culture classique, les humanistes italiens ont également appris l'hébreu afin d'étudier la culture orientale. Comme Borgia, lorsqu’il a participé au concile de Constantinople, il a appris l'hébreu avec les Juifs pendant son temps de repos. Les écrits éristiques antisémites écrits par le politicien et un savant florentin nous donnent les premières preuves pour affirmer qu’il y avait des personnes déjà bien versées dans la langue juive. Plus tard, l'apprentissage de l’hébreu a devenu si général et même plus populaire que celui du grec. Les problèmes linguistiques résolus, les érudits humanistes italiens et a poussé leurs études dans la culture classique. En outre, les savants byzantins ont fui vers l'Italie, et ont amené avec eux la culture grecque antique, ce qui a aussi contribué à la renaissance de la culture classique en Italie. Au milieu du quatorzième siècle, l'Empire byzantin était sous la menace sérieuse de l’Empire ottoman. Avec la chute de Constantinople, beaucoup de savants byzantins ont pris les manuscrits grecs ou latins, ont quitté Constantinople pour fuir vers l'Italie. Dont le plus connu est ce qui nous avons mentionné ci-dessus il y avait un savant Crise, il a établi un collège grec à Florence pour enseigner la philosophie, l'histoire et la littérature grecque ancienne, et il a formé un certain nombre de chercheurs qui s’intéressaient à la littérature classique, ce qui a provoqué un impact énorme. Beaucoup de ses élèves sont devenus plus tard les piliers du mouvement de la Renaissance.

En outre, en parlant des origines culturelles de la Renaissance, il faut aussi remarquer que le