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HURMIC Mais non

Dans le document Monsieur le Maire (Page 166-173)

ADOPTE A LA MAJORITE

M. HURMIC Mais non

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M. LE MAIRE

C’est bien. Allez. Qui souhaite prendre la parole maintenant ? J’avais pris dans l’ordre. Qui avait demandé ? Allez, Madame WALRYCK.

MME WALRYCK

Oui, Monsieur le Maire, mes Chers Collègues, je vais être très brève puisque Monsieur le Maire, vous avez répondu tout à l’heure brièvement, mais clairement à Pierre HURMIC. Je voulais juste rappeler à Pierre HURMIC, et il le sait fort bien, qu’évidemment sur toutes les actions qui sont engagées avec une forte accélération, depuis un an, par rapport au défi climatique ou de la biodiversité, les compétences et donc les budgets ad hoc, ils se sont évidemment très fortement concentrés comme vous ne pouvez l’ignorer, à la Métropole. À la fois de par la loi qui nous a donné les compétences très renforcées en la matière, et à la fois dans le cadre de la réorganisation, et de la mutualisation des services et des directions. Donc, vous ne pouvez pas vous étonner de ne pas trouver le gros du budget évidemment qui soit inscrit dans ce projet de budget.

Et la deuxième chose que je voulais dire, et vous ne pouvez pas l’ignorer, même si vous persistez à le faire, nous avons présenté, j’ai présenté avec mes collègues, à l’occasion du Conseil municipal du 20 novembre dernier, à la fois le bilan de notre politique et à la fois toutes les actions qui étaient engagées, qui étaient prévues, engagées avec une grosse accélération, et un plan d’adaptation que nous avons voté le mois précédent, au mois d’octobre dernier. Je voulais juste rappeler cela.

M. LE MAIRE

Merci. Madame FRONZES.

MME FRONZES

Oui, Monsieur le Maire, merci. Je voulais juste dire à Monsieur HURMIC qu’avec les mêmes masses budgétaires, on peut faire les choses différemment, avec des nouvelles orientations. Par exemple concrètement, on peut réhabiliter les extérieurs des écoles, les cours de récréation à l’identique,ou on peut le faire différemment en renforçant la végétalisation et en implantant des dispositifs qui rafraîchissent l’air. Les actions dans ce sens bien sûr, initiées en 2019, seront poursuivies en 2020, et renforcées en 2021 suite à la mise en place d’un schéma directeur dont l’étude a été fléchée dans le budget en 2020.

Mais Monsieur HURMIC, votre tendance à sortir un élément, et dans le cas présent une ligne de son contexte, pour faire des généralités sur une politique m’agace un tout petit peu. C’est soit de la méconnaissance, mais je n’y crois pas, soit de la mauvaise foi. Chaque année, vous pointez la ligne

« Gestion du patrimoine arboré » en faisant croire qu’elle résume la politique de la Ville en la matière.

Et chaque année, je prends le temps de la pédagogie pour vous expliquer. Il est clairement inscrit en page 154, à la ligne « Plantation d’arbres et arbustes » qui effectivement s’élève à 105 000 euros sur le Budget 2020 et 65 000 euros sur le budget précédent, cette ligne, elle est inscrite dans le tableau « Immobilisations corporelles hors opérations ». Concrètement, elle correspond à l’achat des arbres pour le renouvellement et le développement du patrimoine arboré dans les parcs et jardins. Et cette augmentation - on observe effectivement une augmentation - liée, en effet, à la volonté d’accélérer l’arborisation de la Ville dans le cadre du Plan Canopée y compris en densifiant les plantations d’arbres dans les parcs et jardins. Et est également liée, cette augmentation, aux conditions climatiques malheureusement en 2019 qui ont été très difficiles pour les arbres entre une sécheresse importante cet été, assez forte, une pluviométrie et des coups de vent que l’on a connus cet automne. Donc, il faudra remplacer de nombreux arbres l’année prochaine. Et non cette ligne, de 105 000 euros, ne résume pas à elle seule la volonté et l’ambition du Plan Canopée. Cela ne compte pas les plantations d’arbres dans les cours d’école, dans les opérations de réhabilitation et d’aménagement des espaces verts, dans les requalifications de voiries et d’espaces publics qui ne dépendent pas de la compétence municipale, dans la création des espaces verts dans les projets urbains, etc. qui souvent d’ailleurs dépendent d’autres budgets que ce soit de la Métropole, ou de l’OIN Eurantlantique. Par exemple, concrètement, l’aménagement de la séquence Deschamps du Parc aux Angéliques n’est jamais apparu dans le budget « Paysages urbains » de la Ville de Bordeaux, et pourtant ce parc a été inauguré en 2016. Je vous remercie.

M. LE MAIRE

Merci. Monsieur BRUGÈRE.

M. BRUGÈRE

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Merci, Monsieur le Maire. 92 % des personnes qui ont 85 ans et plus, Michèle DELAUNAY, vivent à domicile à Bordeaux, et c’est une politique que l’on mène, depuis longtemps, pour le maintien à domicile.

L’ensemble de la population aspire à vivre à domicile. Si nous faisons toutes les actions que nous menons en particulier avec la plateforme autonomie sénior, avec le 0 800 625 885, numéro que l’on a mis en place auquel toute personne peut accéder, que ce soit la personne âgée, l’entourage de la personne âgée, ou un professionnel. Si nous réalisons 1 200 évaluations par an autour des personnes âgées, c’est parce que les personnes aspirent à rester à domicile. Et pourtant, nous avons 15 résidences autonomie, et pourtant en réhabilitant déjà 7 des 15 résidences autonomie, nous avons 70 appartements de plus que nous avons mis à disposition des personnes qui, malgré tout, aspirent à rester à domicile et qui viennent en résidence autonomie quand elles ne peuvent pas faire autrement. Toute cette politique est mise en place et on va la développer. Et la question que je veux vous poser : « Avez-vous envie, vous, de venir vivre dans une résidence autonomie ou préférez-vous rester vivre chez vous ? » La politique majeure que nous menons, elle est menée pour que chacun des citoyens, vous y compris, reste vivre à domicile le plus longtemps possible.

M. LE MAIRE

Merci. Monsieur GUYOMARC’H.

M. GUYOMARC’H

Merci Monsieur le Maire. Juste, je ferai très court. Je m’adresserai à Matthieu ROUVEYRE et par ricochet à Pierre HURMIC concernant la question qu’ils posent ou enfin la critique qu’ils formulent systématiquement, et je m’attendais à ce qu’ils la formulent sur la délibération concernant la gestion en AP-CP. Matthieu ROUVEYRE, avec les connaissances qu’il a en matière de finances publiques territoriales associées à des qualités oratoires certaines et des effets de manche auxquels nous assistons régulièrement, se plaît à dire que nous ne sommes pas capables d’avoir des taux de réalisation dans nos investissements qui soient dignes de nos programmes. Moi, j’ai envie de lui répondre avec le bon sens paysan qui me vient de mes origines qu’il vaut mieux faire peu d’un grand programme que beaucoup de quelque chose qui est inconsistant.

Et puis, ma deuxième réflexion, c’est que je suis comme vous tous ici, un Bordelais depuis plusieurs décades, un citoyen contribuable engagé dans ce Conseil municipal, et j’ai une vraie fierté quand je me promène dans les rues de la Ville à voir des chantiers, des grues, des camions qui œuvrent pour que nous construisions des bâtiments publics, des crèches, des écoles, et cela, c’est la vraie réponse à votre question qui est obsessionnelle. C’est ma façon à moi de vous dire au revoir, mon cher Mathieu.

M. LE MAIRE

Merci. Madame SIARRI.

MME SIARRI

Oui, quelques petits éléments de complément, Monsieur le Maire.

D’abord pour Pierre HURMIC. Peut-être faudrait-il, Pierre, que tu voies avec Delphine JAMET puisque tout à l’heure je me suis entretenue avec elle sur ce que tu évoquais, sur la baisse des budgets cohésion sociale et territoriale. En commission, cette question a été abordée et a fait l’objet d’une réponse. Delphine m’avait dit que cela lui paraissait clair. Donc, je confirme ce que j’ai déjà dit précédemment : le pacte de cohésion sociale et territoriale s’est vu doter par le Maire, Nicolas FLORIAN, de 500 000 euros de plus, ce n’est donc pas une baisse, mais une augmentation parfaitement substantielle.

Deuxième chose, je crois et je le redis, il y a une petite différence, en effet, d’appréhension des enjeux de la transition écologique. Je continue sur l’idée de Magali à laquelle je souscris complètement. Il faut faire confiance aux habitants et aux structures associatives qui font beaucoup de choses autour de l’économie des ressources, de l’eau, de l’énergie, sur le covoiturage, sur une façon de rentrer dans l’économie circulaire, sur une façon de travailler l’alimentation qui ne se traduit pas exclusivement par une augmentation de budgets et de subventions publiques. Tout ne passe pas par l’argent public. Nicolas FLORIAN a reçu les 140 acteurs principaux qui font aussi partie des plus grosses associations de la Ville de Bordeaux. La réunion était entièrement dédiée aux enjeux écologiques sur la présentation de ce que les uns et les autres font, et je crois qu’il est très important d’aller voir quand même ce qui se passe sur le terrain puisque ces gens-là font beaucoup avec moins d’argent, et en libérant toute leur inventivité. Il ne faut pas dire dans cette assistance en permanence que la transition écologique ne dépendrait que de nos mains, à nous, les élus, et sur la base de budget. Voilà. Il y a aussi beaucoup, beaucoup de gens qui font, et crois-le, Pierre, sur le terrain, ces

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gens-là font énormément, et sur ces mandats depuis 6 ans, les choses se sont beaucoup développées, et notamment depuis que Nicolas FLORIAN est Maire.

Ensuite, je voudrais répondre à Vincent FELTESSE sur le financement triennal des associations, pour lui dire que depuis 6 ans, et je vais encore passer une délibération aujourd’hui, on travaille justement pour que les associations aient des budgets de fonctionnement et qu’elles n’aient plus à répondre à des appels à projets. Et les associations des Aubiers, dans le pacte de cohésion sociale et territoriale…

M. FELTESSE

(Sans micro, inaudible.) MME SIARRI

Tu vas me laisser finir parce que le pacte est quand même…

M. LE MAIRE

C’est aussi cela, respecter les femmes, hein, Vincent FELTESSE.

M. SIARRI

Donc il y a un très, très gros travail sur les structures associatives des principaux quartiers qui, aujourd’hui, ont des budgets de fonctionnement là où elles n’avaient que des réponses à des appels à projets.

Je voudrais dire que l’on a quand même un CPOM avec l’ACAQB sur un financement triennal. Sur la délibération que je vais passer tout à l’heure, que vous aviez choisi de ne pas dégrouper, GP IntenCité, Foyer fraternel et Bordeaux nord se voient dotés, cette année encore, de 25 000 euros de budget de fonctionnement supplémentaires et que nous avons, sur six années et je remercie les services – travaillé sur un schéma d’animation de la vie locale en accord avec la CAF qui permet justement, chaque année, d’avoir des agréments concomitants et qui nous permettent de faire en sorte que chacun se sente sécurisé.

Et on a un travail avec l’ensemble des centres sociaux et des espaces de vie sociale pour se nourrir de l’expérimentation du CPOM et pour voir si, réellement, c’est une si bonne idée pour eux. Plutôt que de se lancer de façon théorique, on essaie de travailler au cas par cas en s’appuyant sur ce qui est fait, sur un travail qui est très, très long.

Je voudrais continuer sur cette notion de péréquation sur les quartiers Politique de la Ville. Il ne faut pas partir Vincent FELTESSE puisque, finalement, la péréquation dans les quartiers, cela s’appelle la Politique de la Ville, et je voudrais dire que vous avez été Conseiller du Président HOLLANDE, qui a fait passer les bénéficiaires de la Politique de la Ville de 47 000 Bordelais à 17 000 Bordelais, soit 30 000 Bordelais de moins bénéficiant de la Politique de la Ville, qui est justement ce que l’on appelle de la péréquation. Cela ne se limite pas à ce qui se passe dans le FIL. Précisément quand on regarde le Pacte de cohésion sociale et territoriale, il est fléché en priorité dans les quartiers qui sont les plus fragiles. Donc, je trouve qu’entre la théorisation et la réalité de ce qui a été produit par vous-même et par le Président que vous serviez, et la réalité de la connaissance de terrain, il y a quand même un gouffre.

M. LE MAIRE

La parole est à la défense, un peu, quand même. Allez, Monsieur FELTESSE.

M. FELTESSE

J’adore absolument les leçons de Madame SIARRI. Je voudrais que vous me donniez les extraits du texte parce que je pense que je vais les apprendre chaque soir. De manière précise, à chaque fois parce que j’aime bien la précision, revenons sur la politique de François HOLLANDE sur la politique de la Ville, non pas sur Bordeaux, mais au niveau national. quartiers les plus défavorisés au niveau national pour qu’il y ait une vraie péréquation ? Ce n’était pas une revendication du Conseil national de la Ville ?

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MME SIARRI

Je ne siégeais pas au Conseil national de la Ville.

M. FELTESSE

Non, non, ou dans d’autres associations. Ce n’était pas une revendication du Conseil national de la Ville que ce soit les quartiers les plus précaires, au niveau national, qui soient le plus aidés ? Ce n’était pas une vieille revendication ?

MME SIARRI

(Sans micro, inaudible) M. FELTESSE

D’accord, mais sur Bordeaux. Sur d’autres territoires puisque vous adorez ce mot de « solidarité » sur d’autres territoires, est-ce qu’il n’y a pas eu plus de crédits ?

M. LE MAIRE

C’est bien d’être croyant et pratiquant, Monsieur FELTESSE.

M. FELTESSE

Est-ce que sur les crédits Politique de la Ville, il y a eu une augmentation ou une baisse ? M. LE MAIRE

Il y a une baisse. Sur Bordeaux, il y a une baisse.

M. FELTESSE

Mais je ne parle pas de Bordeaux. Madame SIARRI m’attaque sur la question de la péréquation. Je lui dis :

« Est-ce que cela n’a pas été une opération de péréquation nationale de concentrer davantage de crédits sur certains territoires ? »

M. LE MAIRE

Au total, les crédits de la Politique de la Ville ont baissé de 11 % dans ce quinquennat-là, mais enfin peu importe.

Monsieur ROBERT.

M. ROBERT

Monsieur le Maire, mes Chers Collègues, quelques éléments de réponse et une conclusion. D’abord pour Matthieu ROUVEYRE, je serai souriant puisque c’est sa dernière intervention. À bientôt, Monsieur FELTESSE, j’avais aussi une réponse, mais ce n’est pas grave.

Par rapport à Matthieu, effectivement, on ne peut pas fabriquer ces propres ratios de dettes. On ne peut pas commencer à vouloir faire ces divisions, ajouter le stade alors que l’on a eu ce débat la dernière fois. La propriété du stade est transférée à la Métropole et donc la dette l’est également. Et donc, l’encours de la dette à Bordeaux, il est très clair, il est de 985 euros par habitant. Il est inférieur aux Villes comparables, et il est en baisse. Et cela, c’est vérifiable, et la Chambre régionale des Comptes examinera ces documents comme à chaque fois, et elle ne les remet jamais en cause.

À l’attention de Pierre, on peut évidemment dénoncer la constance des chiffres, mais la constance des chiffres, c’est aussi la constance des objectifs de politiques que nous nous sommes fixés, et c’est aussi une vertu effectivement d’une année sur l’autre, on ne change pas d’avis. On maintient nos objectifs politiques.

On augmente à certains endroits. On diminue parfois à d’autres, mais dire que vous ne voyez pas dans ce budget la patte du Maire de Bordeaux, eh bien, c’est un peu insincère. C’est un peu malhonnête. Dites

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que vous n’êtes pas d’accord avec nous. Dites que nous n’allons pas assez loin, mais le Plan Canopée qui triple la plantation d’arbres dans la Ville, mais le plan en faveur de la sécurité… Dans ce budget, regardez les ressources humaines : recrutement de policiers municipaux, recrutement dans les écoles, recrutement à l’état-civil, cela c’est concret, c’est chiffré et c’est une priorité voulue par Nicolas FLORIAN.

La Faïencerie, c’est un projet qui vous est cher. La Jallère, c’est un projet qui vous est cher. Ce sont des décisions du Maire de Bordeaux, Nicolas FLORIAN. Donc, ne dites pas qu’il n’y a pas dans ce budget des éléments concrets qui attestent de cette dynamique.

Quant au budget participatif, on vous explique à chaque fois qu’il se vérifie à hauteur de 2,5 millions dans les dépenses que l’on exécute. Elles sont nichées dans toute une série d’autres lignes du budget parce que cela concerne plusieurs lignes de notre budget. Néanmoins, je vous rappelle que ce budget, il a été primé.

Alors, il n’est peut-être pas suffisant à vos yeux, mais il a été primé au niveau international, notamment parce qu’il est consacré au développement durable.

Par rapport à Delphine, transformer le statut ou revoir le statut de l’Opéra n’est pas synonyme d’économies.

Cela, c’est un lien que vous faites que moi, je ne fais pas. Vous êtes aussi au Conseil d’administration de l’École des Beaux-arts. Quand on en a fait un EPCC, la Ville a transféré sa subvention à l’EPCC.

C’est absolument neutre financièrement. Et que se passe-t-il quelques années après ? On réaugmente nos financements pour tenir compte de l’augmentation nécessaire du budget de notre établissement partenaire.

Donc, il y a un lien direct entre nos comptes et un EPCC. Je ne suis pas sûr que cela règle le problème de l’Opéra qui représente 17 millions d’euros environ sur 70 millions d’euros. Donc quand vous dites 70 % de la création, c’est le calcul que vous faites. Je ne le mets pas en cause, vous le faites et très bien. Moi, je compare ce que nous donnons à l’Opéra à l’ensemble du budget culturel de la Ville. Et il n’y a que cela qui a du sens parce qu’à l’Opéra, il y a de la masse salariale, il y a de la création, il y a de l’investissement et il y a toute une série de dépenses. Et donc la seule comparaison qui a du sens, c’est de comparer ce que nous donnons à l’Opéra à l’ensemble du budget culturel de la Ville, et c’est 20 %, ce qui ne me paraît pas infamant pour un opéra national.

Cher Vincent, je ne vais pas vous parler de politique nationale ou du Crédit municipal. Je vais vous parler d’associations culturelles en tant que Conseiller régional, et je m’adresse également à Madame AJON.

Vous avez revu vos critères d’attribution des subventions, très bien. Vous mettez à terre le Pont tournant.

Je le dis comme je le pense, en passant de 15 000 euros à 0, vous mettez à terre ce théâtre situé à Bacalan et à deux rues d’un quartier prioritaire. Si vous voulez mettre en adéquation vos propos avec les actes, faites-en sorte que ce théâtre populaire de Bordeaux puisse survivre faites-en maintfaites-enant votre financemfaites-ent. Rifaites-en ne justifie, comme le dit le Directeur de la culture de la Région dans le journal, rien ne justifie de dire, je cite : « Le Pont tournant ne rentre plus dans les cases. » Pardonnez-moi, mais ce n’est pas un argument.

Donc, nous avons fait une réunion avec tous les partenaires. La Région était absente. Madame AJON s’est aussi émue du fait que nous n’allions pas assez loin avec nos structures de proximité, eh bien, aidez le Pont tournant, continuez de le soutenir. Son action est remarquable. L’État, le Département puisque vous êtes

Donc, nous avons fait une réunion avec tous les partenaires. La Région était absente. Madame AJON s’est aussi émue du fait que nous n’allions pas assez loin avec nos structures de proximité, eh bien, aidez le Pont tournant, continuez de le soutenir. Son action est remarquable. L’État, le Département puisque vous êtes

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