• Aucun résultat trouvé

EVOLUTION ET PRONOSTIC

D- LE PRONOSTIC

XI- EVOLUTION ET PRONOSTIC

Les facteurs déterminant le pronostic de ces tumeurs kystiques sont les mêmes que pour le cancer solide [15] (Âge>60 ans, altération de l’état général, stade TNM et grade histologique, type histologique, infiltration vasculaire et ganglionnaire, localisation secondaire).

Les carcinomes à forme kystique sont habituellement peu agressifs et de bas grade ce qui diminue leur processus métastatique. Cependant la gravité réside dans le retard de diagnostic de malignité de ces lésions dont l’aspect radiologique peut parfois être rassurant.

Ce pronostic serait certainement amélioré par un diagnostic précoce grâce à l’analyse minutieuse de l’échographie et la TDM de tout « kyste rénal suspect », avec au moindre doute l’exploration chirurgicale avec examen extemporané de la totalité de la paroi kystique seule garante d’un diagnostic précoce et donc d’un pronostic meilleur.

C

Au terme d’une étude portant sur 3 observations de patients porteurs de kyste rénal suspect colligés dans le service d’Urologie « A » du CHU IBN

SINA de RABAT, et à travers une revue de la littérature, nous pouvons retenir

que toute anomalie de l’imagerie médicale dans l’exploration d’un kyste rénal laisse planer le doute sur sa bénignité.

Le risque d’un diagnostic erroné diminuerait considérablement avec une exploration complète basée essentiellement sur la pratique d’un examen tomodensitométrique. Si au terme de ce bilan le doute persiste, l’exploration chirurgicale nous paraît s’imposer. Celle–ci ne permet pas toujours de trancher même avec le recours à l’analyse extemporanée de préférence de la pièce de néphrectomie partielle.

La néphrectomie totale élargie était la thérapeutique de référence. La néphrectomie partielle peut être discutée étant donné la faible agressivité habituelle du cancer kystique, et les données actuelles semblent valider cette attitude thérapeutique.

R

RESUME

Le kyste rénal est une pathologie fréquente qui peut dans certains cas correspondre à une tumeur maligne. La difficulté est souvent de pouvoir affirmer ou infirmer le caractère bénin ou malin du kyste.

A travers l’étude de 3 cas cliniques de patients porteurs de kyste rénal suspect, hospitalisés au service d’Urologie « A » de l’hôpital IBN SINA de

RABAT, et à la lumière de la littérature, nous avons essayé de déduire un

certain nombre de conclusions permettant de faire le point sur la stratégie diagnostique de ces lésions :

La clinique est le plus souvent de peu d’utilité pour différencier kyste bénin et cancer.

L’imagerie est par contre un élément essentiel pour le diagnostic :

- l’échographie permet de suspecter le diagnostic en montrant une formation kystique atypique nécessitant la réalisation d’un scanner.

- la TDM est l’examen de référence permettant, dans la majorité des cas, de confirmer ou de suspecter fortement le diagnostic en se basant sur la classification de BOSNIAK des masses kystiques du rein, et en détectant des stigmates de néoplasie (envahissement régional, adénopathies, thrombus rénal…). Cela a été le cas pour l’un des patients de notre étude.

- L’IRM semble permettre une analyse très précise du contenu du kyste.

- l’ASP et L’UIV ne sont pas d’un grand apport en matière de cancer kystique du rein.

- l’artériographie est utile si une néphrectomie partielle est envisagée.

L’étude histologique de la tumeur kystique peut se réaliser:

- en pré-opératoire à travers la cytoponction ou la biopsie percutanée qui peuvent constituer des moyens d’affiner le diagnostic. Il est licite d’y avoir recours lorsque les investigations radiologiques n’apportent pas la conviction, et dans des cas de rein unique où l’indication doit se poser avec certitude, quoique l’incidence des faux négatifs n’est pas négligeable.

- en per-opératoire grâce à l’examen anatomopathologique extemporané. Cet examen effectué sur la totalité de la pièce de néphrectomie partielle semble intéressent et devrait être réalisé chaque fois qu’il y a un doute diagnostique afin d’éviter un geste radical inutile.

Le traitement curatif repose sur la néphrectomie totale élargie. Un geste conservateur peut être discuté du fait de la faible agressivité de ces tumeurs.

Le retard de diagnostic de malignité de ces tumeurs kystiques aggrave leur pronostic malgré leur faible agressivité habituelle. Ce qui nécessite de pousser les investigations devant toute image kystique suspecte.

SUMMARY

The renal cyst is a frequent pathology which can sometimes correspond to a malignant tumour. The difficulty is often to be able to affirm or cancel the benign or malignant character of the cyst.

Through the study of 3 clinical cases of patients carrying suspect renal cyst, hospitalized in the department of UROLOGY “A” at the IBN SINA hospital in

RABAT, and through the review of the literature, we tried to deduct some

conclusions which allows giving a progress report on the diagnostic strategy of these lesions:

Clinical study is not always useful to differentiate benign cyst and cancer.

The imagery is on the other hand essential for the diagnosis:

- Ultrasonography can suspect the diagnosis by showing an atypical cystic formation requiring the realization of the computed tomography.

- The CT is the reference examination; it allows to confirm or to suspect strongly the diagnosis while being based on the BOSNIAK classification of cystic renal masses, and by detecting signs of neoplasy (regional invasion, metastatic nodes, renal thrombus…). That was the case for one of the patients of our study.

- The MRI seems to allow a very precise analysis of the contents of the cyst.

- The abdomen radiography and the intravenous urography have not great contribution as regards cystic cancer of the kidney.

- The arteriography is useful if a partial nephrectomy is considered.

Histological examination of the cystic tumour can be carried out:

- Before the operation through the ponction or the percutaneous biopsy which can constitute means of refining the diagnosis. We can use them when the radiological investigations do not bring the conviction, and in case of only kidney where the indication must be applied with certainty, though the incidence of the false-negative results is not negligible.

- Intraoperative thanks to the frozen section histological examination. It seems interesting when it’s carried out on the totality of the partial nephrectomy specimen, and it should be done when there is a doubt diagnoses in order to avoid an useless radical surgery.

The curative treatment is the total enlarged nephrectomy. The partial surgery can be discussed because of low aggressiveness of these tumours.

The delay of diagnosis of malignity of these cystic tumours worsens their prognosis in spite of their low usual aggressiveness. This requires improving investigations when we have a suspect cystic image.

-B

[1] BOSNIAK M.A.

The current radiologic approach to renal cysts.

Radiology 158 (1986), pp. 1–10.

[2] ROSSI D., RICHAUD C., TAIB E., SERMENT G.

Problèmes diagnostiques et thérapeutiques posés par des masses rénales ou parentérales d'allure kystique.

J. Urol. (Paris), 1988 ; 94 : 3 : 127-131.

[3] PFISTER C., MOHAMED HAROUN, BRISSET J.M.

Kystes atypiques rénaux: à propos de 31 cas.

Progrès en urologie, 1993, vol. 3, no3, pp. 453-461.

[4] JOFFRE F., THOM-KANY M., ROUSSEAU H., ESCOUROU G., SOULIE M., CANAZZI F., TREGANT Ph.

Les masses rénales kystiques : problèmes de diagnostic . Revue d’imagerie médicale , 1994, volume 6, n°5, 277-286.

[5] CUKIER J., CHARBIET L.

Classification anatomique des adénocarcinomes du rein, réflexion à propos de 270 cas traités chirurgicalement.

[6] ROSSI D., GHAZAROSSIAN E., COULANGE C., BLADOU F., DISTEFANO D., MASSANDE J.

Les cancers du rein d’aspect kystique : A propos de 14 observations. Progrès en Urologie (1991), 1, 575 - 585.

[7] GIBSON T.E.

Interrelationship of renal cysts and tumors : report of 3 cases.

J. Urol, 1954, 71, 241-252.

[8] HARTMAN D., DAVIS C.J., JOHNS T., GOLDMAN M.

Cystic renal cell carcinoma.

Urology, 1986, 28, 145.

[9] LOOCK P.Y, DEBIERE F., WALLERAND H., BITTARD H., KLEINCLAUSS F.

Kystes atypiques et risque de cancer du rein. Intérêt et « danger » de la classification de Bosniak.

Progrès en Urologie (2006), 16 : 292-296.

[10] ] KOZOMARA M. , PAVLOVIC S. , LOKIC Z., STOJKOVIC D., BRKIC Z., LEZAIC V.

« Malignant renal cysts ».

Srp Arh Celok Lek.1996; 124 Suppl. 1:229-30. Serbian.

[11] STEG. A.

Les affections kystiques du rein de l’adulte. Urol. Nephrol., 1975, 81,1-282.

[12] DELONGCHAMPS N.B. and PEYROMAURE M.

Cystic disease of the kidney.

Annales d’Urologie, February 2006. Volume 40, issue 1, Pages 1-14.

[13] HELENON O.

Kystes du rein

Collège des enseignants en radiologie de France., Juin 95.

[14] JANANE A., HACHI H., TIJAMI F., JALIL A., OTHMANI M., BOUGHTAB A., BENJELLOUN S., AHYOUD F. and SOUADKA A.

Cancer du rein : à propos de 47 cas.

Annales d’urologie, volume 37, issue 2, 1 April 2003, Pages 57-60.

[15] EL KAMEL R., BARRAK A., ROMDHANE M., KORBI S., MOSBAH A.

Les cancers du rein d’aspect kystique : A propos de 6 observations. Annales d’Urologie, 1999, 33, n°6-7, 403-406.

[16] RICHARD F., CHATELIN C., JARDIN A., GRELLET J.P., CURET Ph.,

KUSS R.

Résultats comparatifs de l’échotomographie, de la tomodensitométrie et de l’artériographie dans l’exploration des masses rénales.

[17] DANA A., MICHEL J.R., AFFRE J., RAUST J.U., MOREAU J.F., TSCHOPP N., JOURNEL C., EL RAKHAWY M.

Les possibilités et les limites diagnostiques de l’artériographie dans les cancers nécrosés du rein.

J. Radiol. Electrol., 1977, 58, 785-795.

[18] CURRET P.H., FRANCIOLI C.H., RICHARD F., GRELLEY J.P.

Fiabilité de l’artériographie rénale.

Séminaires d’uro-néphrologie, 1981, 22-29.

[19] FEKI W., DEROUICHE A., BEN MOUELLI S., HAMMAMI A., BEN HASSINE L., CHEBIL M., AYED M.

L’intérêt de l’embolisation préoperatoire de l’artère rénale dans les néphrectomies élargies pour cancer du rein : étude comparative.

Société tunisienne d’Urologie : 6eme congrès national d’Urologie ; Tunis, 3-4 février 2006, publication n°4.

[20] LIVINGSTON Jr W.D., COLLINS T.L. and NOVIK D.E.

Incidental renal masses.

Urology 17 (1981), pp. 257–259.

[21] FRANCOIS TRANQUART, JEAN-MICHEL CORREAS AYACHE BOUAKAZ et OLIVIER HELENON.

Échographie de contraste : Méthodologie et applications cliniques.

Springer Paris, Book chapter, 10.1007, partie 3 , 231-250.

[22] NILSSON Anders.

Contrast-enhanced ultrasound of the kidneys.

European radiology, 2004, vol. 14, pp. P104-P109, SUP8.

[23] TRANQUART F., CORREAS J.M., MARTEGANI A, GREPPI B. et BOKOR D.

Etude de la faisabilité de l'échographie de contraste en temps réel dans la pathologie rénale.

Journal de Radiologie janvier 2004, Vol 85, pp. 31-36.

[24] CHRISTOPHE AUBE, JEROME LEBIGOT

Echographie de contraste : place dans le diagnostic et la caractérisation des tumeurs du foie.

Masson, Paris ,Gastroentérologie clinique biologique 2003 ;27 : B63-B70.

[25] CORREAS J. M. , CLAUDON M. , TRANQUART F. , HELENON O.

Echographie de contraste : les applications rénales.

Journal de radiologie 2003, vol. 84, no 12 pp. 2041-2054.

[26] ASCENTI G., MAZZIOTTI S., ZIMBAR G., SETTINERI N., MAGNO C., MELLONI D., CARUSO R., SCRIBANO E.

Complex cystic renal masses: characterization with contrast-enhanced US.

[27] CLEVERT D.A., MINAIFAR N., WECKBACH S., JUNG E.M., STOCK K., REISER M., STAEHLER M.

Multislice computed tomography versus contrast-enhanced ultrasound in evaluation of complex cystic renal masses using the Bosniak classification system.

Clinical Hemorheology and Microcirculation , Volume 39, Number 1-4 / 2008, 171-178.

[28] BYUNG KWAN PARKA, BOHYUN KIMB, SEUNG HYUP KIMC, KYUNGRAN KOA, HYUN MOO LEED and HAN YONG CHOI.

Assessment of cystic renal masses based on Bosniak classification: Comparison of CT and contrast- enhanced US.

European Journal of Radiology, volume 61, issue 2, February 2007, pages 310-314.

[29] JEAN-LOUIS DAVIN, MARC DE FROMENT, JEAN MICHEL

CORREAS, JEAN ALEXANDRE LONG, YANN NEUZILLET, ARNAUD MEJEAN, HERVELANG.

Tumeurs kystiques du rein.

Comité Cancérologique de l’AFU, forum AFU 15 novembre 2007.

[30] ISRAEL G.M. and BOSNIAK M.A.

How I do it: Evaluating Renal Masses.

[31] ISRAEL G.M. and BOSNIAK M.A.

Follow-up CT studies for moderately complex cystic Lesions of the Kidney (Bosniak category IIF).

AJR Am J Roentgenol 2003; 181:627–633.

[32] CURRY N.S., COCHRAN S.T., BISSADA N.K.

Cystic renal masses : accurate Bosniak classification requires adequate renal CT.

AJR 2000 ; 175 : 339-342.

[33] JEAN YVES MEUWLY

Imagerie de l’appareil génito-urinaire : reins et surrénales.

Service de radiodiagnostic et radiologie interventionnelle, CHU Vaudois, Lausanne.

[34] HERVE J.M., CHOPIN D.K, BELLOT J., ANTIPHON P., ABBOU C.C.

Les cancers kystiques du rein.

Annales d’Urologie, 1990, n°6, 512-518.

[35] ISRAEL G.M., BOSNIAK M.A.

MR imaging of cystic renal masses.

[36] GARY M. ISRAEL, MD, NICOLE HINDMAN, MD and MORTON A. BOSNIAK, MD.

Evaluation of Cystic Renal Masses: Comparison of CT and MR Imaging by Using the Bosniak Classification System.

Radiology 2004; 231:365-371.

[37] JEAN-PHILIPPE FENDLER. DÉPARTEMENT D’UROLOGIE, HÔPITAL SAINT-JOSEPH-SAINT-LUC, LYON, FRANCE.

Apport de la détection cytologique dans les tumeurs kystiques du rein.

Progrès en Urologie (2003), 13, 1402-1405.

[38] STUART G. SILVERMAN, MD, YU UNN GAN, MD, FRCR,

KOENRAAD J. MORTELE, MD, KEMAL TUNCALI, MD and EDMUND S. CIBAS, MD.

Renal Masses in the Adult Patient: The Role of Percutaneous Biopsy.

Radiology 2006; 240:6-2.

[39] AUVERT J., ABBOU C.C., LAVARENNE V.

Needle tract seeding following puncture of renal oncocytoma.

Prog Clin Biol Res 1982;100:597–598.

[40] WEHLE M.J., GRABSTALD H.

Contraindications to needle aspiration of a solid renal mass: tumor dissemination by renal needle aspiration.

[41] SMITH E.H.

Complications of percutaneous abdominal fine-needle biopsy: review.

Radiology 1991;178:253–258.

[42] ABE M., SAITOH M.

Selective renal tumour biopsy under ultrasonic guidance.

Br J Urol 1992;70:7–11.

[43] SLYWOTZKY C.,MAYA M.

Needle tract seeding of transitional cell carcinoma following fine-needle aspiration of a renal mass.

Abdom Imaging 1994;19:174–176.

[44] WOOD B.J., KHAN M.A., Mc GOVERN F., HARISINGHANI M., HAHN P.F., MUELLER P.R.

Imaging guided biopsy of renal masses: indications, accuracy and impact on clinical management.

J. Urol 1999;161:1470–1474.

[45] LANG E.K., MACCHIA R.J., GAYLE B., RICHTER F., WATSON R.A. AND THOMAS R. ET AL.

CT-guided biopsy of indeterminate renal cystic masses (Bosniak 3 and 2F): accuracy and impact on clinical management.

[46] HARISINGHANI M.G., MAHER M.M., GERVAIS D.A., Mc GOVERN F., HAHN P., JHAVERI K., VARGHESE J., MUELLER P.R.

Incidence of malignancy in complex cystic renal masses (Bosniak III): should imaging-guided biopsy precede surgery?

Am. J. Roentgenol., 2003; 18: 755-758.

[47] KLEIST H., JONSSON O., LUNDSTAM S., NAUCLER J., WILSON A.e, PETERSSON S.

Quantitative lipid analysis in the differential diagnosis of cystic renal lesion.

Brit. J. Urol., 1982, 45, 441-445.

[48] LJUNDBER G., HOLMBERG G., SJODIN J.G., HIETALA S.O., STENLING R.

Renal cell carcinoma in a renal cyst: a case report and review of the literature.

J. Urol., 1990; 143: 797-799.

[49] LI G, CUILLERON M., FENG G., LAURENT D., GENTIL-PERRET A., COTTIER M., GENIN C. TOSTAIN J.

Measurement of CA9 level in FNA for differentiation of malignant cystic renal tumours.

[50] BIELSA GALI O., ARANGO TORO O., CORTADELLAS ANGEL R., CASTRO SANTAMARIA R., GRINO GARRETA J., GELABERT-MAS A.

The preoperative diagnosis of complex renal cystic masses.

Arch. Esp. Urol., 1999; 52 : 19-25.

[51] LEVY Ph., HELENON O. , MERRAN S. , PARAF, F. MEJEAN A., CORNUD F. et MOREAU J.F.

Journal de Radiologie (Février 1999), Vol 80 - N° 2 -p. 121 – 121.

[52] PATRICE BOULLANGER.

Stratégie diagnostique et thérapeutique devant un kyste atypique du rein.

Séminaire d'Urologie de l'Ouest (1997), 1, 57.

[53] LEMAITRE L.

Séméiologie « radiologique » de l’appareil urinaire.

Service de radiologie, Hôpital HURIEZ.

[54] MZABI R. and DZIRI C.

Les échinococcoses extra-hépatiques : diagnostic et traitement.

Rev. Prat. 40 (1990), pp. 220–224.

[55] HETET J. F., VINCENDEAU S., RIGAUD J., BATTISTI S, BUZELIN J. M, BOUCHOT O., MIANNE D.

Kyste hydatique du rein : Diagnostic de présomption et impliquation thérapeutiques.

[56] AMHAJJI R., GHADOUANE M., ALAMI M., ZANNOUD M. and ABBAR M.

Pseudotumeur inflammatoire du rein : à propos d’une observation de bilharziome.

Annales d’Urologie, volume 37, issue 4, 1 August 2003, Pages 147-149.

[57] TAZI K., EHIRCHIOU A., MAAZAZ K., EL KHADIR K., KOUTANI A., IBN ATTIYA A., HACHIMI M. and LAKRISSA A.

Les pseudotumeurs inflammatoires du rein : à propos d’un cas.

Ann. Urol., 2001; 35 : 30-33.

[58] DAKIR M., TAHA A., SARF I., ATTAR H., ABOUTAIEB R., MEZIANE F.

Les pseudotumeurs inflammatoires du rein: à propos de 2 cas.

Progrès en Urologie (2003), 13, 135-139.

[59] ROY C., JEANTROUX J., TETEKPOR S., LINDNER V.

Tumeurs du rein.

Journal de Radiologie (Septembre 2006), Vol 87 - N° 9 - p. 1025 – 1055.

[60] COMPERAT E., CAMPARO P., VIEILLEFOND A.

Classification anatomo-pathologique des tumeurs du rein.

[61] THIERRY HANNEDOUCHE.

Diagnostic différentiel des maladies polykystiques du rein.

Nephrohus learning, 19 septembre 2007.

[62] LIN C.J., CHEN Y.C., CHEN H.H., WU C.J., HSU J.M.

Renal cell carcinoma presenting as a huge simple renal cyst.

Med Oncol. 2008;25(1):104-6.

[63] CAMPBELL S.C., FICHTNER J., NOVICK A.C., STEINBACH F., STOCKLE M., KLEIN E.A., FILIPAS D., LEVIN H.S., STORKEL S., SCHWEDEN F., OBUCHOWSKI N.A., HALE J.

Intraoperative evaluation of renal cell carcinoma: A prospective study of the role of ultrasonoghraphy and histopathological frozen sections.

J. Urol., 1996 ; 155 : 1191-1195.

[64] MARSHALL F.F, TAXYJ B., FISHMANE K., CHANG R.

Feasability of surgical enucleation for renal cell carcinoma.

J. Urol, 1986,135,231.

[65] MUKAMEL E. KONICHEZKI M. ENGELSTEIN D. SERVADIO C.

Incidentall small renal tumor accompanying clinically over renal cell carcinoma.

[66] JEAN-ALEXANDRE LONG.

Kystes rénaux atypiques : prise en charge.

Comité de cancérologie association française d’urologie, Colloque médical du jeudi 31/01/2008 ; Recommandations 2007 CCAFU.

[67] PHILIPPE CAMPARO.

Carcinome tubulokystique du rein. Club d’Uropathologie, 15 février 2008.

[68] SPALINERO M., HERTS B.R., MAGI-GALLUZI C.

Laparoscopic partial nephrectomy for cystic masses.

J. Urol 2005; 174: 614-619.

118

-2008

235

– – – –

Documents relatifs