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Définition de la sémiologie (Saussure) :

Chapitre II : La sémiologie

1.1. Définition de la sémiologie (Saussure) :

Le tatouage est défini comme une forme de modification physique, c’est un dessin permanent sur une partie du corps humain qui peut être dessiné manuellement à travers le trou de la peau à l'aide d'aiguilles, puis en injectant de l'encre et en injectant des colorants dans la couche profonde de la peau c’est a dire: mettre le colorant à travers ces ouvertures pour

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rester à l'intérieur de la peau et ne pas disparaître. En perçant la peau et en y injectant de l'encre. 1

Selon le petit Larousse illustré 1983 : « N.M action de tatouer ; signe

exécuté en tatouant la peau »2

1.2. Etymologie :

Le mot vient du tahitien tatau, qui signifie marquer, dessiner ou

frapper et dérive de l'expression « Ta-atouas ». La racine du mot, ta

signifie « dessin » et atua signifie « esprit, dieu ». Le docteur Berchon, traducteur du deuxième voyage de Cook vers Tahiti en 1772, employa pour la première fois le mot tattoo ; le mot sera francisé en « tatouage » à la fin des années 1700. Il est d'abord introduit dans le Dictionnaire de l'Académie

française en 17982, puis dans la première édition du dictionnaire de Littré en 18633. Dans sa prononciation, ce mot est commun à la plupart des langues polynésiennes (le tahitien, le samoan, le tongien, le maori de Nouvelle-Zélande et l'hawaïen).

1.3. Histoire :

Les tatouages, existent depuis de nombreux siècles dans la plupart des civilisations du monde :

1.3.1. En Egypte

En Egypte, l’utilisation du tatouage remonte à très loin dans le temps. Les momies tatouées connues dateraient de 2000 av. JC. Et les tribus les plus célèbres qui opèrent Ocham "Ainu", une tribu qui vivait au Japon, et

1 Mary L. Gavin, MD, «Tatouages», www.kidshealth.org, consulté le 12-12-2017. Édité

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étendent le tatouage dans les tribus Altayal à Taiwan, Nigéria, Maori en Nouvelle-Zélande, Amazigh et Tamazgha en Afrique du Nord.

Cette pratique émouvante est considérée comme répandant à des buts esthétiques, ou encore médicaux, c’est-à-dire préventif ou curatif. Les anciens Egyptiens pensaient que le tatouage éloignait les mauvais esprits et permet aussi de se protéger contre les dégâts de la magie. Cela fait aussi des décennies que les Arabes s’en servent comme une arme pour enlever les dommages de l'œil.

A titre d’exemple, lorsque une femme redevient mère et elle perd son enfant, elle fait tatouer sur son enfant un point au milieu du front, et un autre sur la face externe de la cheville gauche. Ces deux points seraient le symbole d’un barrage contre la mort. C’est un signe de faible esprit. Pour ce faire, le tatoueur utilise des aiguilles, le colorant est un mélange de noir de fumée et de lait de femme.

1.3.2. En Tunisie

En Tunisie, les tatouages sont apparus avec les Amazighs, les peuples autochtones du pays, comme un héritage de la culture amazighe et une partie de son identité.

Le tatouage prend une dimension esthétique dans l'Amazigh et est considéré comme l'un des plus importants moyens de parure pour les femmes tout au long de sa vie, tatoué à la puberté pour annoncer à travers les formes, symboles et dessins entrant en maturité. Et mettre le tatouage dans différentes zones de son corps3, comme le visage et le bras et la main et la poitrine ces dessins qui remplissent ce dernier ne sont pas absurdes, et chaque symbole a ses connotations. L'un des dessins les plus marquants de

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la majorité des Amazighs est le signe plus (+), qui est peint sur la joue et signifie la lettre T dans les caractères amazighs, qui est l'abréviation de Tamtut, qui signifie la belle femelle. Les significations des symboles varient en fonction de leur position dans le corps.

Les tatouages ont aussi des fonctions métaphysiques, pensées pour éliminer les mauvais esprits et nier la magie, et la pauvreté et la misère sont éliminées par des symboles et des symboles soigneusement dessinés.

Parmi les symboles les plus courants, citons les abeilles, les escargots, les serpents, les germes de blé, le soleil, les scorpions, les étoiles, les branches d'olivier et d'autres symboles, dont certains symbolisent la place de chaque tribu amazighe.

Le tatouage du corps humain Amazigh à une peinture riche en symboles et dessins, racontant les générations suivantes des caractéristiques de cette civilisation4, et reflètent le système de valeurs et les communautés culturelles. Au cœur du litige, le sens même du métier. Pour Tin-Tin, le tatoueur est un artiste. « La seule chose qui nous sépare des peintres, c'est

que nous travaillons sur la peau, pas sur une toile. » Pas question

d'envisager un CAP ou des écoles spécialisées. « C'est un art qui se

transmet de maître tatoueur à élève, comme dans les ateliers des peintres de la Renaissance. »5

Les dessins qui remplissent le corps de la fille ne sont pas absurdes et chaque symbole a ses connotations. L'un des dessins les plus marquants de la majorité des Amazighs est le signe plus (+), qui est peint sur la joue et signifie la lettre T dans les caractères amazighs, qui est l'abréviation de

4 ROUDIER (C), des tatouages, revue passerelles, novembre 1983 p 17.

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Tamtut, qui signifie la belle femelle. Les significations des symboles varient en fonction de leur position dans le corps.

1.3.3. En Algérie

En Algérie, la pratique traditionnelle est appelée « le wcham » ou « elâyacha » désignant « celui qui fait vivre », ce qui dénote la fonction thérapeutique ou protectrice qui lui est attribuée.

Le tatouage dans la société algérienne est utilisé pour soigner certains cas de maladie, tout en étant un outil de décoration en particulier chez la femme, notamment dans la région des Aurès. Il permet également l’expression d’une appartenant tribale.

Selon l’anthropologue Yasmin Bendaas, durant la colonisation certaines femmes ont effectivement adopté des tatouages à des fins politiques. Ces derniers auraient été empreints de symboles locaux de résistance et de protection masculins.

La chercheuse, qui s’est intéressée aux tatouages traditionnels des femmes Chaouia de la région des Aurès, souligne que le manque de connaissance sur la signification des tatouages traditionnels indique que la tradition était déjà en voie de disparition bien avant que les générations actuelles ne se fassent tatouer durant les années 1930 et 1940. De plus, les symboles choisis étaient souvent choisis par le (la) tatoueur (euse) plutôt que par la personne tatouée, rendant la recherche de sa signification et de son origine d’autant plus difficile à déterminer.

En effet, de nombreuses femmes de la région se sont fait tatouer par celles que l’on nomme « adasiyat », des femmes appartenant à des populations nomades originaires du Sahara algérien, de l’Oranie ou de la Tunisie. Pour Yasmin Bendaas, les adasiyat échangeaient leurs services

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de tatouage en échange de denrées ou produits divers. La pratique du tatouage traditionnel aurait disparu avec la fin de cette forme de commerce, en conjonction avec l’alphabétisation et la diffusion de pratiques religieuses interdisant les modifications corporelles.

Si le tatouage traditionnel disparaît au fil des mutations de la société, les symboles ont cependant été transmis de génération en génération. En effet, à travers les peintures rupestres ou l’artisanat dont le tissage, la poterie, la broderie, la peinture ou encore la gravure, ils occupent une place unique dans les arts et constituent un élément fondamental du patrimoine algérien.

1.3. Sortes de tatouage :

1.3.1. Le tatouage temporaire

Pour lequel les encres utilisées relèvent de la catégorie des produits cosmétiques ; Une des substances responsables de cette sensibilisation est la para-phénylènediamine (PPD), ingrédient interdit dans les produits cosmétiques autres que les teintures capillaires (dans cette dernière utilisation, sa concentration est limitée à 2%). Elle est ajoutée au henné afin de renforcer la coloration noire lors de l’application sur la peau.

1.3.2. Le tatouage permanent

Dont la réalisation est effectuée par des professionnels qui utilisent des encres soumises à une réglementation distincte. Le tatouage permanent est un dessin pratiqué sur le corps au moyen d’aiguilles à usage unique qui

introduisent sous la peau des colorants indélébiles.

Le consommateur doit toujours rester prudent et s'informer au préalable sur les règles d'hygiène employées par le tatoueur.

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Le tatouage est un dessin esthétique et symbolique réalisé sur la peau en plaçant de l’encre entre le derme et l’épiderme. On rencontre cette tradition de l’Afrique du Nord à l’Océanie en passant par le Moyen Orient. Le terme provient dtahitien tatau signifiant dessiner ou marquer la

peau.

2. Que signifie le tatouage :

2.1. Une inscription corporelle

Dans la mesure où le tatouage est l’inscription corporelle par excellence, puisque il ornemente le corps de façon durable ou non durable. Ce dernier est considéré comme une décoration corporelle, il est soumis aux attentions des autres. En ce cas la il ne pourrait être observé que comme l’expression banale d’un goût, ce ci est donc une construction sociale. Contrairement à l’idée répandue, le goût n’est pas un choix spécifiquement personnel. En effet, « C’est l’entourage social qui façonne

le goût individuel en proposant à l’individu le goût « commun »6. Son départ est particulièrement du à sa propagation et à sa vulgarisation grâce aux média. Telle que la publicité, car le tatouage est un outil d’expression et d’affirmation de soi utilisant leur langage, ce dernier contribué à façonner l’espace, afin d’inscrire dans une pratique culturelle universelle.

Le tatouage, ne peut être considéré comme une simple caractéristique esthétique donc c’est l’action d’un sujet sur un corps. Son action n’appartient pas à la sphère domestique mais nécessite une action dans une bordure professionnelle. Ce fléau artistique s’explique de différente manière et selon plusieurs point de vue bien qu’étant un style de modification parmi tant d’autre, il implique des stratégies spécifique.

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Cependant il fait tout de même parti des « agirs corporels », définis plus haut, et selon Liven Vandekerckhove, comme « tout agir exécuté par

l’individu en sa qualité d’être corporel » et « tout agir dont le sens, qui lui est octroyé par le sujet agissant, a trait au corps »7 .Ces explications nous

permettent de contextualité le tatouage dans le domaine du corps,

2.2. Un moyen de communication

Le tatouage, est une forme d'art moderne qui stimule la jeunesse, aussi il est considéré comme étant un acte d’expression. C’est la voix de la masse, une façon de résister aux règles, ou de crier haut et fort.

2.2.1. Pour marquer son identification:

L'idée principale de ce fléau artistique, c'est la compétence de communication et la voie de dessiner ou d’écrire avec déférentes langues

« Le tatouage, c’est l’autobiographie de ceux qui ne savent pas écrire »8

soit la langue Arabe (arabe algérienne ou classique), soit les langues étrangères (français, anglais..) ou par les langues berbères (kabyle, Chaouïa..), afin de faire transmettre le message, Le tatou prend les démarches du miroir de la société.

Un des objets les plus anciens pour lesquels un tatouage a été trouvé, où un symbole particulier a été tatoué sur un groupe de personnes appartenant à une organisation ou un camp comme des soldats, des prisonniers ou des membres de gangs.

7 Lieven VANDEKERCKHOVE, Ibid., p 45

8 Le petit ouvrage A fleur de peau : médecins, tatouages et tatoués : 1880-1910, édition établie par Philippe Artières.

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Les expériences sur les sujets ou les activités lancent une diffusion sur le règlement présent des jeunes et sur la gestion de la société en conférant le «programme de la modernité »9

Donc pour certains, c’est une fondamentale formule d’amertume, d’un trouble passionnel produit par des situations distinctifs.

2.2.2. Pour marquer sa créativité

Le tatouage est un excellent moyen de stimuler la créativité des jeunes et de les pousser à développer leurs talents, et donnée que des nouveaux sur le terrain, cela est justifié par ce qui disent Adorno l’affirme: « Le Nouveau

subit la pression de l’Ancien, lequel a besoin du Nouveau pour se réaliser. [...] L’art radicalement fabriquées réduit au problème de son élaboration »

10 Du coup, ces jeunes ont davantage à exercer un réel impact sur le

territoire de la mode et la créativité artistique dans le but de développer leur compétence et leur art.

L’art des tatouages va au-delà de la limite entre art et non-art, ou entre l’art avec un grand A et un art envisagé également inférieur, en créant une imagerie abordable et ouverte culturellement.11

Dans ces tatouage nous avons vu qu’il y’a un brassage des langues et des cultures a cause de l’état géographique qui est un lieu plurilingue connu par le contact de plusieurs langues, en fin le but c’est de bien circuler les messages avec les divers méthodes, langues et dessins, écriture.

La notion d’identité sociale place l’individu au carrefour du sociologique et du psychologique. Elle démontre à quel point

9 Jean -François Lyotard La condition postmoderne: rapport sur le savoir, Paris: Minuit, 1994, p. 7

10 Theodor W. Adorno, Théorie Esthétique, trad. Marc Jiménez, Paris: Llincksieck, 1974, p. 34-39

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l’appartenance parallèle à divers groupes sociaux est déterminante, dans la formation de l’identité personnelle.

L’identification sociale se définit comme « la catégorisation des

autres individus (il est de sexe masculin ; elle est étudiante…) et la définition de soi en terme de catégorie sociale (je suis une femme, je suis une française…) »12

2.2.3. Pour transmettre un message aux autres :

Le tatouage est souvent utilisé pour transmettre des messages politiques, sociaux, et comme une forme de propagande, il est également considéré comme une forme d'art moderne, vu dans le corps des artistes célèbres et même chez des gens simple. malgré l'utilisation répandue de ce type d'art et de la direction pour atteindre les objectifs de bienfaisance, on voit que cet art a rencontré l'opposition dans ses premières années, mais il est à l'heure actuelle jeté, mais accepté par la société.

« Le corps est aujourd’hui un autre soi-même disponible à toutes les

modifications, preuve radicale et modulable de l’existence personnelle, et affichage d’une identité provisoirement ou durablement choisie. L’investissement sur le corps propre répond à la désagrégation du lien social, et donc à l’éloignement de l’autre, à la dislocation des anciens liens

communautaires.»13

Nous pouvons, dire que le tatouage sert à informer et à communiquer un message.

12 Vinsonneau G., 1999, Inégalités sociales et procédés identitaires, 1999, Armand Colin, Paris: p.32).

13 David Le Breton, Une anthropologie du tatouage contemporain Journal français de psychiatrie,

30 2.2.4. Pour exprimer le mal vivre social :

Le tatouage est utilisé par les jeunes dans le but d’exprimer « le mal vivre social ». Ils veulent aussi écrire ou dessiner de nouveaux mots. Il peut s’agir aussi bien : d’annonces électorales, de publicités, de messages à contenu politique, religieux un moyens d’expressions privilégiées de toutes les contestations. Ils développent souvent leurs sentiments dans un contexte de tensions politiques ou sociales. Il s’agit très souvent de motivations très personnelles, voire intimes, inspirées par la vie courante et qui occasionnent de vivre des émotions de parts et d’autres. Ces émotions, positives ou négatives, doivent être transposées.

Le tatouage est une façon primitive de montrer sa dissemblance face à l’autre.

Ce fléau artistique a donc bien évolué en se démocratisant, mais reste toujours un sujet tabou pour certaines personnes ainsi que certaines sociétés.

2.2.5. Dans le but de troubler la paix :

Il y’a des jeunes qui s’utilisent le tatouage, afin de troubler la paix, de détruire la société. Ils déforment l’image du tatouage, ainsi que pour la plupart des tatoueurs -artistes, le besoin de vivre dangereusement, de prendre des risques, de défier l’autorité ou de performer dans l’illégalité s’avère une grande inspiration, une motivation importante.

Les tatoueurs, passent par un autre circuit que la communication institutionnalisée, pour traduire soit leur « mal être » soit un « désir » qu’ils ne veulent pas dire par un moyen simple, classique et lisible.

Mais les tatoueurs, notent également un besoin de marquer leur identité, de « laisser son empreinte », « une trace visible » Certains tatou

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expriment et communiquent « le mal être » de son auteur à un endroit, mais en même temps son appartenance à ce territoire.

2.2.6. Pour le prestige :

Le tatouage ne cherche même plus à modifier son environnement mais uniquement à exister, à être réel Certains pensent que le tatou ou lewcham est acceptés par la population, car il faut conserver ces arts, puisque ceux sont des fruits de la création humaine et que leur but n’est pas de dégrader mais d’embellir ou d’informer, car le dessin corporelle est le témoin des préoccupations propres à chaque âge. Cet art, peut être public, privé, religieux, populaire, ou politique. Étroitement lié à l’imagination de ses artistes.

Pour cela ils vont le faire perdurer pour qu'il continue d'exister et d'être offert à d'autres, mais il n'est plus besoin de le "créer". La société est déjà modifiée.

3. Un moyen pour soigner :

Le tatoué soigne le mal par le mal : il soigne sa peine psychologique par une douleur physique, s'apparentant à l’incision qui laissera une trace éternelle telle une cicatrice. On peut donc dire que le tatouage n'est, en fait, qu'une sorte d'expression d’un profond mal-être. Toute fois cette théorie n'est avancée que par certains psychologues, il ne s'agit en aucun cas de généralité.

 Pour augmenter la taille des lèvres chez les femmes, surtout si elles sont petites et minces.

 Mettez le tatouage comme une alternative à l'eyeliner sur les paupières.

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 Pour cacher les imperfections dans la couleur de la peau comme (couleur blanche) comme un vitiligo particulier sur le visage et les mains.

Le tatouage est utilisé dans le cas de la radiothérapie sur une zone spécifique du corps, est enseigné, et utilisé dans le traitement de certaines maladies de la peau, qui entraînent un changement de la couleur de la peau, cela veut dire : les tatous médicaux sont utilisés pour déterminer l'emplacement de la radiothérapie qui dépend du traitement répété sur le même lieu plus d'une fois, il est utilisé, pour attirer l’entourant du mamelon14 comme une forme de reconstruction mammaire. Le tatouage est également utilisé pour développer des informations médicales sur le titulaire de tatouage (tels que le groupe sanguin et l'état de santé..). Les tatouages sont utilisés pour colorer la peau avec le vitiligo et les troubles de la pigmentation de la peau.

Conclusion :

Comme mentionné ci-dessus, l'art du tatou n’est nouveau pour notre espèce. Sa version la plus actuelle pourrait être considérée comme une nouvelle forme d'art postmoderne, mais néanmoins, il continue d'être ancré dans la controverse.

L’art de ce fléau, n’est plus le reflet des inhalations d’une élite brisée aux formes falsifiées de la culture. Il puise ses racines et ses références dans les modes populaires d’expression d’une jeunesse urbaine devenue entité sociologique et culturelle à part entière.

Chapitre II :

La sémiologie

34 Introduction

Le deuxième chapitre de ce mémoire, sera consacré à la définition de notre champ d’étude et les concepts qui s y rapportent et que nous allons croiser tout au long de ce travail, à savoir : la sémiologie, la sémiotique et la sémantique.

1. Sémiologie et sémiotique:

Avant toutes choses la sémiologie et la sémiotique sont deux termes

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