On part de l’excursion browniennee:
Igor Kortchemski (Université Paris-Sud, Orsay) Universalité de la triangulation brownienne
Objets discrets Objet continu Comment prouver la convergence ? Étude approfondie des dissections uniformes
Construction de l’objet limite
On part de l’excursion browniennee:
0.2 0.4 0.6 0.8 1
0.
Igor Kortchemski (Université Paris-Sud, Orsay) Universalité de la triangulation brownienne
Objets discrets Objet continu Comment prouver la convergence ? Étude approfondie des dissections uniformes
Construction de l’objet limite
On part de l’excursion browniennee:
0.2 0.4 0.6 0.8 1
0.
Soittun instant de minimum local.
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Objets discrets Objet continu Comment prouver la convergence ? Étude approfondie des dissections uniformes
Construction de l’objet limite
On part de l’excursion browniennee:
0.2 0.4 0.6 0.8 1
0. t
Soittun instant de minimum local.
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Construction de l’objet limite
On part de l’excursion browniennee:
0.2 0.4 0.6 0.8 1
0. t
Soittun instant de minimum local. On notegt=sup{s < t;es=et}et dt=inf{s > t;es=et}.
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Construction de l’objet limite
On part de l’excursion browniennee:
0.2 0.4 0.6 0.8 1
0.gt t dt
Soittun instant de minimum local. On notegt=sup{s < t;es=et}et dt=inf{s > t;es=et}.
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Objets discrets Objet continu Comment prouver la convergence ? Étude approfondie des dissections uniformes
Construction de l’objet limite
On part de l’excursion browniennee:
0.2 0.4 0.6 0.8 1
0.gt t dt
Soittun instant de minimum local. On notegt=sup{s < t;es=et}et dt=inf{s > t;es=et}. On trace alors les cordes
e−2iπgt,e−2iπt , e−2iπt,e−2iπdt
et
e−2iπgt,e−2iπdt .
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Objets discrets Objet continu Comment prouver la convergence ? Étude approfondie des dissections uniformes
Construction de l’objet limite
On part de l’excursion browniennee:
0.2 0.4 0.6 0.8 1
0.gt t dt
e−2iπgt
e
−2iπdte
−2iπtSoittun instant de minimum local. On notegt=sup{s < t;es=et}et dt=inf{s > t;es=et}. On trace alors les cordes
e−2iπgt,e−2iπt , e−2iπt,e−2iπdt
et
e−2iπgt,e−2iπdt .
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Construction de l’objet limite
On part de l’excursion browniennee:
0.2 0.4 0.6 0.8 1
On fait cela pour tous les instants de minimum local.
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Construction de l’objet limite
On part de l’excursion browniennee:
0.2 0.4 0.6 0.8 1
0.
Soittun instant de minimum local. On notegt=sup{s < t;es=et}et dt=inf{s > t;es=et}. On trace alors les cordes
e−2iπgt,e−2iπt , e−2iπt,e−2iπdt
et
e−2iπgt,e−2iπdt .
On fait cela pour tous les instants de minimum local.
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Objets discrets Objet continu Comment prouver la convergence ? Étude approfondie des dissections uniformes
Construction de l’objet limite
On part de l’excursion browniennee:
0.2 0.4 0.6 0.8 1
0.
Soittun instant de minimum local. On notegt=sup{s < t;es=et}et dt=inf{s > t;es=et}. On trace alors les cordes
e−2iπgt,e−2iπt , e−2iπt,e−2iπdt
et
e−2iπgt,e−2iπdt .
On fait cela pour tous les instants de minimum local.
L’adhérence de l’objet obtenu, notéeL(e), est appeléetriangulation brownienne.
Igor Kortchemski (Université Paris-Sud, Orsay) Universalité de la triangulation brownienne
Objets discrets Objet continu Comment prouver la convergence ? Étude approfondie des dissections uniformes
Théorème (Curien & K. ’12)
Pour n>3, soitχn une dissectionuniforme dePn, ou un arbrenon croisé uniformedePn ou encore une transpositionnon croiséeuniformedeP2n.
Alors :
χn −−−→(d)
n→∞ L(e),
où la convergence a lieu en loi au sens de la distance de Hausdorff parmi les sous-ensembles compacts du disque.
Conséquences :
I La longueur de la plus longue diagonale deχn converge en loi vers la mesure de probabilité de densité :
1
Ceci provient d’un petit calcul dans le cas des triangulations uniformes (Aldous ’94) !
I L’aire de la plus grande face deχn converge en loi vers l’aire de la plus grande face deL(e).
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Théorème (Curien & K. ’12)
Pour n>3, soitχn une dissectionuniforme dePn, ou un arbrenon croisé uniformedePn ou encore une transpositionnon croiséeuniformedeP2n. Alors :
χn −−−→(d)
n→∞ L(e),
où la convergence a lieu en loi au sens de la distance de Hausdorff parmi les sous-ensembles compacts du disque.
Conséquences :
I La longueur de la plus longue diagonale deχn converge en loi vers la mesure de probabilité de densité :
1
Ceci provient d’un petit calcul dans le cas des triangulations uniformes (Aldous ’94) !
I L’aire de la plus grande face deχn converge en loi vers l’aire de la plus grande face deL(e).
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Théorème (Curien & K. ’12)
Pour n>3, soitχn une dissectionuniforme dePn, ou un arbrenon croisé uniformedePn ou encore une transpositionnon croiséeuniformedeP2n. Alors :
χn −−−→(d)
n→∞ L(e),
où la convergence a lieu en loi au sens de la distance de Hausdorff parmi les sous-ensembles compacts du disque.
Conséquences :
I La longueur de la plus longue diagonale deχn converge en loi vers la mesure de probabilité de densité :
1
Ceci provient d’un petit calcul dans le cas des triangulations uniformes (Aldous ’94) !
I L’aire de la plus grande face deχn converge en loi vers l’aire de la plus grande face deL(e).
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Objets discrets Objet continu Comment prouver la convergence ? Étude approfondie des dissections uniformes
Théorème (Curien & K. ’12)
Pour n>3, soitχn une dissectionuniforme dePn, ou un arbrenon croisé uniformedePn ou encore une transpositionnon croiséeuniformedeP2n. Alors :
χn −−−→(d)
n→∞ L(e),
où la convergence a lieu en loi au sens de la distance de Hausdorff parmi les sous-ensembles compacts du disque.
Remarques :
I Aldous ’94 : cette convergence a lieu lorsqueχn est une triangulation uniformede Pn.
I Il existe un équivalent « stable » deL(e)avec de gros trous (K. ’11). Conséquences :
I La longueur de la plus longue diagonale deχn converge en loi vers la mesure de probabilité de densité :
1
Ceci provient d’un petit calcul dans le cas des triangulations uniformes (Aldous ’94) !
I L’aire de la plus grande face deχn converge en loi vers l’aire de la plus grande face deL(e).
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Objets discrets Objet continu Comment prouver la convergence ? Étude approfondie des dissections uniformes
Théorème (Curien & K. ’12)
Pour n>3, soitχn une dissectionuniforme dePn, ou un arbrenon croisé uniformedePn ou encore une transpositionnon croiséeuniformedeP2n. Alors :
χn −−−→(d)
n→∞ L(e),
où la convergence a lieu en loi au sens de la distance de Hausdorff parmi les sous-ensembles compacts du disque.
Remarques :
I Aldous ’94 : cette convergence a lieu lorsqueχn est une triangulation uniformede Pn.
I Il existe un équivalent « stable » deL(e)avec de gros trous (K. ’11).
Conséquences :
I La longueur de la plus longue diagonale deχn converge en loi vers la mesure de probabilité de densité :
1
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I L’aire de la plus grande face deχn converge en loi vers l’aire de la plus grande face deL(e).
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Théorème (Curien & K. ’12)
Pour n>3, soitχn une dissectionuniforme dePn, ou un arbrenon croisé uniformedePn ou encore une transpositionnon croiséeuniformedeP2n. Alors :
χn −−−→(d)
n→∞ L(e),
où la convergence a lieu en loi au sens de la distance de Hausdorff parmi les sous-ensembles compacts du disque.
Conséquences :
I La longueur de la plus longue diagonale deχn converge en loi vers la mesure de probabilité de densité :
1
Ceci provient d’un petit calcul dans le cas des triangulations uniformes (Aldous ’94) !
I L’aire de la plus grande face deχn converge en loi vers l’aire de la plus grande face deL(e).
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Théorème (Curien & K. ’12)
Pour n>3, soitχn une dissectionuniforme dePn, ou un arbrenon croisé uniformedePn ou encore une transpositionnon croiséeuniformedeP2n. Alors :
χn −−−→(d)
n→∞ L(e),
où la convergence a lieu en loi au sens de la distance de Hausdorff parmi les sous-ensembles compacts du disque.
Conséquences :
I La longueur de la plus longue diagonale deχn converge en loi vers la mesure de probabilité de densité :
1
Ceci provient d’un petit calcul dans le cas des triangulations uniformes (Aldous ’94) !
I L’aire de la plus grande face deχn converge en loi vers l’aire de la plus grande face deL(e).
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Théorème (Curien & K. ’12)
Pour n>3, soitχn une dissectionuniforme dePn, ou un arbrenon croisé uniformedePn ou encore une transpositionnon croiséeuniformedeP2n. Alors :
χn −−−→(d)
n→∞ L(e),
où la convergence a lieu en loi au sens de la distance de Hausdorff parmi les sous-ensembles compacts du disque.
Conséquences :
I La longueur de la plus longue diagonale deχn converge en loi vers la mesure de probabilité de densité :
1
Ceci provient d’un petit calcul dans le cas des triangulations uniformes (Aldous ’94) !
I L’aire de la plus grande face deχn converge en loi vers l’aire de la plus grande face deL(e).
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Objets discrets Objet continu Comment prouver la convergence ? Étude approfondie des dissections uniformes
Théorème (Curien & K. ’12)
Pour n>3, soitχn une dissectionuniforme dePn, ou un arbrenon croisé uniformedePn ou encore une transpositionnon croiséeuniformedeP2n. Alors :
χn −−−→(d)
n→∞ L(e),
où la convergence a lieu en loi au sens de la distance de Hausdorff parmi les sous-ensembles compacts du disque.
Conséquences :
I La longueur de la plus longue diagonale deχn converge en loi vers la mesure de probabilité de densité :
1
Ceci provient d’un petit calcul dans le cas des triangulations uniformes (Aldous ’94) !
I L’aire de la plus grande face deχn converge en loi vers l’aire de la plus grande face deL(e).
Igor Kortchemski (Université Paris-Sud, Orsay) Universalité de la triangulation brownienne
Objets discrets Objet continu Comment prouver la convergence ? Étude approfondie des dissections uniformes
III. Comment prouver la convergence de tous ces modèles non croisés uniformes vers la triangulation
brownienne?
Point clé :chacun de ces modèles peut-être codé par un arbre de Galton-Watson conditionné.
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Objets discrets Objet continu Comment prouver la convergence ? Étude approfondie des dissections uniformes
III. Comment prouver la convergence de tous ces modèles non croisés uniformes vers la triangulation
brownienne?
Point clé :chacun de ces modèles peut-être codé par un arbre de Galton-Watson conditionné.
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