• Aucun résultat trouvé

LA CONJURATION DU SECRET

Ils n’étaient certainement pas nombreux ceux qui, en Égypte, avaient assez d’intelligence pour assimiler le message de l’Homme de Tiahuanaco. Ceux-là, des prêtres, écrivirent sans doute sous la dictée le premier livre de l’Histoire inconnue des Hommes. Ils y dessinèrent des machines, des plans de moteurs, la carte du globe.

L’Homme de Tiahuanaco62

Ce continent, les prêtres lui donnèrent logiquement le nom – avec les mots de l’époque – de Pays d’outre-Atlantique que l’on peut identifier avec l’Atlantide de Platon ou l’Amérique du Sud, qui sont d’ailleurs vraisemblablement le même continent

connaissait la géographie par ses aïeux, qui avaient survolé la Terre avant d’atterrir sur les Andes, et il avait appris aux Égyptiens qu’il existait, par-delà l’Océan, un continent d’où il était venu.

63

Bien que leur étude pratique ait duré des années, les prêtres n’avaient pu tout comprendre. D’ailleurs, l’Atlante ne pouvait pas être un maître en chaque discipline. Il avait dû limiter son L’Atlantide avait disparu, sans doute au cours d’un grand . cataclysme qui détermina la fin de Tiahuanaco.

62 Entendons-nous bien : l’Homme de Tiahuanaco existait en de nombreux exemplaires qui s’égaillèrent sur tout le globe et principalement en direction de l’Égypte, de l’Asie Mineure, de l’Himalaya et de la France.

63 Platon a bien spécifié que l’Atlantide était un continent. Ce qui éloigne de l’idée Amérique du Sud, c’est l’histoire de l’engloutissement par déluge. Mais il est permis de supposer que le continent américain pouvait, au large du Brésil ou du Venezuela, se poursuivre dans l’Océan. Ces terres submergées de nos jours seraient en ce cas l’Atlantide où l’Homme de Tiahuanaco aurait fait une escale avant d’aller en Égypte. Il n’y a donc pas incompatibilité avec le récit de Platon.

enseignement à l’essentiel : la genèse, l’astronomie, la médecine, la fusion des métaux, la lévitation, et à des applications pratiques de l’électricité, des ultrasons et des forces encore inconnues de nos jours.

Les prêtres eurent la révélation de secrets trop subtils pour eux, d’une mise en pratique impossible. Alors, la nécessité du secret s’imposa et tout naturellement, le naos des sanctuaires se referma sur la science supérieure pour ne laisser filtrer que la science possible.

D’un seul coup, l’Égypte, un désert, fait éclater la plus fantastique civilisation de tous les temps : Héliopolis, Thèbes, Busiris, Abydos, Memphis, les pyramides et le Sphinx. Des routes, des canaux, des barrages, sont construits et les prêtres s’efforcent de créer un corps enseignant et de laisser le témoignage de leur savoir non dévoilé.

Nous sommes ici dans le domaine des suppositions, mais par quelle autre hypothèse expliquer le message des pyramides, du Sphinx, de l’Arche d’Alliance, du Temple et des découvertes archéologiques effectuées en Chaldée, en Assyrie et ailleurs ?

Le message de la pyramide de Chéops a certainement été falsifié, mais le document demeure, avec, comme corollaires, les autres pyramides du Mexique, de Perse et des Indes.

Il est impossible de savoir à quelle date elles furent édifiées, si Napoléon et les historiens modernes avancent quarante siècles pour Chéops, les auteurs anciens donnent non sans vraisemblance des dates beaucoup plus reculées.

LE SECRET DE LA GRANDE PYRAMIDE

D’après l’historien arabe Abou-Zeyd-el-Balkhy,

« l’inscription gravée sur les pyramides fut traduite en arabe.

Elle apprenait l’époque de la construction ; le temps où, dit-il, la Lyre se trouvait dans le signe du Cancer ».

En calculant, on trouva deux fois 36 000 ans solaires avant l’hégire, soit environ 73 300 ans. Estimation exagérée ?

Peut-être ; Hérodote assure pourtant que les prêtres de Thèbes lui ont montré 341 statues en bois, représentant la succession de pères en fils des grands prêtres les ayant précédés depuis plus de 11 000 ans, ce qui prouve la très haute ancienneté du Sanctuaire64

On a voulu faire dire – surtout à Chéops – mille sottises inacceptables, mais il est prouvé néanmoins que ce monument est un témoignage, « un agrandissement des symboles » comme l’a très bien compris Eliphas Lévi, après Diderot et avant Georges Barbarin

Eliphas Lévi, érudit rationaliste du . XIXe siècle, pense que l’ancienne Égypte était un pentacle dédié à Hermès Trismégiste.

Plus les grands hiérophantes mettaient de soin à cacher leur science, plus ils cherchaient à en multiplier les symboles. En ce sens, les pyramides représentaient leur métaphysique, établie sur la science de la nature et des secrets transmis depuis onze millénaires.

Les plus anciennes, comme celle de Saccarah dans le Djezer, étaient à six gradins selon le principe bitrinitaire atlantéen.

65

64 Hérodote, Histoire, II, 143.

65 Georges Barbarin, Le Secret de la Grande Pyramide, Adyar, 1955.

D’après une tradition copte, la pyramide fut construite 300 . ans avant le Déluge, ce qui nous reporterait aux limites acceptables de 8 000 à 11 000 av. J. C. Georges Barbarin rapporte le texte de l’écrivain copte Masoudi (957 de notre ère) dont le manuscrit se trouve à Oxford :

Surid... un des rois de l’Egypte avant le Déluge, construisit les deux grandes pyramides... Il ordonna aussi aux prêtres de déposer à l’intérieur la somme de leur sagesse et de leurs connaissances dans les différents arts et sciences d’arithmétique et de géométrie, de manière à demeurer comme témoignage pour le bénéfice de ceux qui pourraient éventuellement les comprendre...

Dans la pyramide orientale (Kéops) furent inscrites les sphères célestes et les figures représentant les étoiles et leurs cycles ; et en même temps l’histoire et la chronique du temps passé, du temps à venir et de chacun des événements futurs qui surviendront en Égypte.

Le manuscrit de Makrisi renforce cette révélation : « La première pyramide fut consacrée à l’Histoire et à l’Astronomie ; la deuxième à la science médicale. »

Ce sont en effet surtout des données astronomiques et mathématiques que l’on veut voir dans la Grande Pyramide, la seule qui soit orientée exactement nord-sud avec une erreur de 4’35’’, approximation qui paraît admirable quand on sait que l’Observatoire de Paris n’est orienté vers le nord réel qu’à 18°

près.

Un méridien passant par Gizeh partage très exactement en deux parties égales les continents et les océans (nous l’avons vérifié), ce qui rend regrettable le choix de Greenwich comme méridien international66

« Mais, raconte sir Flinders Petrie, un de ses disciples fut bien déçu quand un jour il trouva Smyth essayant de limer la La somme des quatre côtés de la base (931,22 m) divisée par . deux fois l’axe vertical (148,208 m x 2) donne comme résultat le chiffre = 3,14. La hauteur : 148,208 m multipliée par 1 million donne approximativement la distance de la Terre au Soleil = 149 400 000 km.

On peut faire dire encore bien des choses à la Grande Pyramide, mais, calculs savants ou coïncidences, ces révélations sont loin d’être décisives, surtout quand elles s’aventurent dans le domaine de la prophétie.

L’astronome anglais Piazzi Smyth (1819-1900), un des ardents thuriféraires de Kéops, consacra tout un hiver à la mesurer dans ses moindres détails. En 1864, il déclara que ces mesures correspondaient à des relations géométriques et prophétiques précises :

66 Cette coïncidence ne résulte d’aucune science ; elle n’est que le fait d’un hasard heureux et... de la dérive des continents.

saillie granitique de l’antichambre royale, afin de la ramener aux dimensions requises par la théorie.67

Il est plus aisé de juger les pyramides d’un strict point de vue architectural. Cette étude apporte la preuve qu’aucun État du XXe siècle n’oserait entreprendre avec ses puissants moyens techniques modernes un travail aussi colossal, nécessitant l’emploi de 200 à 300 000 ouvriers, de plusieurs millions de mètres cubes de pierre taillée et des millions de millions de francs

»

68

Les experts les plus sages estiment que l’Égypte du temps des pyramides devait nourrir plus de 100 millions d’habitants et posséder des machines d’une grande puissance et d’une perfection inconnue en notre siècle, pour avoir pu mener à bonne fin des travaux aussi gigantesques

.

69

LE SON ET LA LEVITATION

Toutes les explications, échafaudages, remblai, plans . inclinés, rampes de terre glaise, ne résistent pas à l’examen.

Une hypothèse est avancée : les Égyptiens avaient peut-être une connaissance encore inimaginable de la puissance des ultrasons et des forces antigravitationnelles.

De nos jours, à l’Institut Pasteur de Paris, le professeur Prudhomme peut, avec de faibles puissances ultrasonores, soulever des balles de liège. Mais il n’apporte pas de preuves. Le physicien américain Hooper, en 1958, avait abouti à un résultat intéressant en libérant partiellement de la pesanteur un anneau de ferrite tournant dans un champ magnétique à plus de 15 000 tours/minute.

67 L’Égypte Secrète, Paul Brunton.

68 Kéops pèse 6 millions de tonnes. Bonaparte avait calculé qu’avec les pierres des trois édifices on pouvait ceinturer la France d’un mur haut de 1,50 m et épais d’un mètre.

69 Plus de 180 pyramides connues existent en Égypte et en Nubie.

L’allégement constaté était de l’ordre de 1 % : impossible encore d’imaginer le tapis volant, le déplacement de Notre-Dame de Paris sur la Butte Montmartre et de la basilique du Sacré-Cœur dans l’île de la Cité !

En France, le Dr Pagès est à l’avant-garde des recherches avec le principe suivant : faire tourner un champ électrostatique par un champ magnétique à la vitesse de la lumière, c’est-à-dire l’inverse de ce que réalisait l’Américain Hooper.

Sur ces bases révolutionnaires, par polarisation des champs de pesanteur, il devient théoriquement possible de soulever et de déplacer aisément des blocs de pierre de plusieurs tonnes.

Nous n’en sommes pas encore là, mais la lévitation des énormes pierres de Kéops, de Ba’albek et du Pérou70

La lévitation par agravitation ou par ultrasons réalisera les mêmes prodiges ; et si nous associons les ultrasons à

y trouve déjà un début d’explication.

L’automobile de Cugnot roulait à 10 km/heure ; nos automobiles atteignent le 634 à l’heure ! L’avion d’Ader volait au pas d’un homme ; l’X 15 des Américains troue l’antique mur du son à 6 500 km/heure.

70 Il est dérisoire de vouloir expliquer n’importe quel miracle par des pouvoirs occultes non contrôlables (magie noire) ou par des hypothèses scientifiques sans base. Toutefois, le développement fantastique de la science nous autorise à croire que les faibles performances des sciences occultes embryonnaires, actuellement, seront très nettement améliorées dans un proche avenir. La lévitation expliquée par un pouvoir surnaturel est peut-être une vérité, mais inacceptable dans l’ordre des connaissances acquises. La lévitation expliquée par les ultrasons ou par l’antigravitation est une solution acceptable parce que déjà l’antigravitation force les portes de demain. Et il est certain que l’avenir réservera en ce sens des surprises considérables, d’autant que le prince de Broglie, après une première attitude réticente, vient de faire volte-face à propos de l’énergie locale du vide qui est directement en relation avec la gravitation, et déclare : « Le vide nous apparaît comme le siège d’une quantité formidable d’énergie, soit : 1027 joules par centimètre cube », soit très exactement l’énergie de fusion de l’hydrogène. Nous ne voulons pas en faire état, mais il est certain également que la volonté de puissance d’un organisme humain peut s’exprimer en joules (énergie = matière), ce qui très audacieusement encore, pourrait expliquer les « matérialisations » en magie noire, la lévitation de saint Diego et la marche du Christ sur les eaux. Quoi qu’il en soit, il s’avère de plus en plus que la science donnera une explication rationnelle à tous les miracles des contes de fées ; tapis volant, anneau qui rend invisible, parole qui tue, parole qui fait apparaître un géant ou une table richement pourvue.

l’agravitation, c’est parce que la tradition égyptienne semble nous le permettre.

Le son, qui est peut-être une dimension inconnue, possède un pouvoir que la science moderne étudie depuis peu de temps.

On a parlé d’une bombe à ultrasons susceptible d’anéantir toute vie animale dans le périmètre d’une grande ville, sans détériorer les monuments et les objets.

En médecine, on peut briser un os en produisant des ultrasons et entraîner la mort par un ébranlement cervical sonore. Par ailleurs, il est certain que le simple bang des avions supersoniques ébranle les nerfs et peut être mortel pour les sujets atteints de maladie de cœur. Il passe à tort ou à raison pour gêner la couvaison des faisans et provoqua même un incident curieux à Noisiel (Seine-et-Marne) où un garde-chasse, soudain furieux, tira des coups de fusil contre les avions.

Les occultistes assurent que le son des cloches est désagréable aux personnes sataniques. Jean-Jacques Rousseau a écrit : « Le son des cloches m’a toujours singulièrement affecté », ce qui fut ou est aussi le cas pour Karl Marx, Maurice Thorez et un certain nombre d’athées militants.

Une légende – mais est-ce bien une légende, car elle fut rapportée par les témoins de l’agonie du dictateur russe ― veut que Staline ait été tué par le tintement soudain d’une cloche du Kremlin !

Quoi qu’il en soit, des ultrasons qui déterminent la mort ou la lévitation, aux ultrasons qui firent peut-être crouler les murailles de Jéricho, il existe une inconnue scientifique qui fut mise à l’épreuve dans l’Antiquité.

SESAME, OUVRE-TOI

D’après des palimpsestes égyptiens, les prêtres de Karnak, d’Abydos et de Thèbes devaient avoir la voix juste, forte et belle.

En prononçant un seul mot, d’une certaine façon, ils pouvaient

faire ouvrir toutes grandes les lourdes portes d’un temple. Ce fait rapporté plusieurs fois – les récits orientaux fourmillent de portes magiques donnant accès à des temples, des cryptes, des cavernes – a pu être provoqué par des stratagèmes ingénieux ou des truquages71

Savante : les sons ou les ultrasons impressionnent une cellule électrique comme le ferait la lumière

, mais sa persistance et le mystère des pyramides portent à croire à une explication scientifique, simple ou extrêmement savante.

Simple : certains sons, à une vibration donnée, déclenchent des mécanismes à ressorts.

72

71 Une corde tressée en chanvre sec, humidifiée par de la vapeur d’eau ou inversement, une corde humide séchée au brûle-parfum est un truquage employé de nos jours par les sorciers noirs (rapporté par Henry de Monfreid).

72 Les Américains construisent des machines à écrire qui tapent d’elles-mêmes à la dictée par le processus de cellules à ondes sonores.

Le mot magique bien connu « Sésame, ouvre-toi ! » n’est . pas une invention gratuite : la graine de sésame, logée dans une capsule, éclate d’elle-même quand elle est mûre. Mais un son grave provoque aussi l’ouverture prématurée de la gousse. Ce phénomène n’était pas inconnu des Égyptiens, des Hébreux et des Orientaux et il y a peut-être lieu de croire que leurs plus hautes connaissances scientifiques reposaient sur un certain pouvoir de la voix. « Au début était le Verbe », disent les écrits sacrés, soutenus par saint Justin, et il est possible que la puissance du verbe ait été plus exotérique qu’on le croit.

Traditionnellement, la colère de Dieu s’exprime par la foudre ou le verbe tonitruant qui foudroie. On prétend qu’aux lointains temps préhistoriques l’homme était muet ou, en tout cas, privé de langage explicite. Les circonstances qui lui ont donné l’empire de la nature sont à peu près inconnues, mais il a toujours eu une haute idée du privilège que la parole lui conférait. Dans les premiers âges, le Verbe se confondait avec la Sagesse, avec le Pouvoir et avec la Magie. Le Verbe était la gloire de l’homme, au-dessus de la force, puisqu’un mot pouvait arrêter ou commander l’acte brutal, dompter, courber, attendrir, pardonner.

Il est probable que l’homme préhistorique a su commander aux animaux par la magie du son, mais le secret s’est perdu au cours des siècles en même temps qu’une autre science se substituait aux paroles miraculeuses et qu’on brûlait les sorciers accusés de magie noire73

73 Les hommes de la préhistoire connaissaient le phénomène des vibrations, qui leur permettait de tailler le silex en utilisant les ondes de choc. Connaissance millénaire dont ils avaient conservé une parcelle de souvenance.

Toutefois, en Egypte, par révélation atlantéenne, la science . du son et de la lévitation qui avait permis la construction des cités cyclopéennes d’Amérique, était, d’après la tradition rapportée, particulièrement en honneur. La lévitation n’était qu’un effet scientifique au même titre que l’antigravitation abolissant la pesanteur. Il fallait, en effet, pouvoir abolir la pesanteur pour transporter et mettre en place, pour tailler peut-être, ces énormes blocs de pierre qui constituaient les pyramides.

Il est intéressant de signaler que le sultan perse Melik al Aziz, en 1196, ayant eu l’idée stupide de détruire les pyramides, mobilisa des dizaines de milliers de travailleurs, sapeurs, et carriers et dépensa des sommes fantastiques pour un résultat dérisoire.

Les ouvriers s’attaquaient à la pyramide rouge, la plus petite des trois ; chaque jour, avec beaucoup de peine, ils enlevaient une ou deux pierres qui basculaient et s’enterraient dans le sable d’où il fallait alors les retirer. Après huit mois de travail harassant, la démolition fut abandonnée : la Petite Pyramide, de loin, ne paraissait même pas égratignée.

D’après Garcia Beltran, les pyramides d’Égypte constituaient des répliques de celles qui existaient dans les Andes.

A ce propos, il faut noter que la plus ancienne pyramide d’Egypte est celle de Saccarah, dans le Djezer, à 30 km du Caire et que le nom primitif de Tiahuanaco était Chucara. En outre, le monument est à six gradins, comme au pays des pré-Incas.

D’après M. Beltran :

Les pyramides avaient été créées, outre leur destination transcendantale, dans le but pratique de faire pleuvoir.

Elles étincelaient à des centaines de kilomètres, on les appelait « les Lumières », car elles étaient recouvertes de plaques de métal blanc très lisse, qui eût dû être de l’argent, mais que l’on avait remplacé par un alliage, l’argent étant trop rare en Égypte.

On retrouve ce métal actuellement, mélangé à un revêtement calcaire, sur les murs des mosquées et notamment sur ceux de la mosquée du Caire, qui ont un reflet brillant et argenté.

Les archéologues égyptiens savent que ce revêtement provient du pillage des plaques de métal des pyramides.

Il y a 10 000 ans, ces monuments, beaucoup plus anciens qu’on le dit, dominaient une région verdoyante et cultivée, irriguée avec art et qui produisait des moissons abondantes.

Memphis était alors la ville la plus peuplée du monde et la capitale de l’empire. La campagne était un véritable jardin de verdure et de vie, car la pluie tombait à volonté.

En effet, le rôle exotérique des pyramides était de répercuter le verbe magique, de refléter la lumière lunaire en la changeant de polarité et d’ensemencer l’atmosphère de manière à faire pleuvoir à certaines lunes.

Aujourd’hui, de même qu’à Tiahuanaco, on ne voit plus que des ruines et le désert, car les pyramides ont été détruites ou détériorées par les adeptes de fausses et ténébreuses doctrines74

Sur les aérodromes des États-Unis, le brouillard est dissipé par de puissantes émissions ultrasonores qui condensent les

.

Cette relation, à première vue incroyable, est en réalité l’expression littérale de connaissances scientifiques profondes qui peuvent échapper au profane, mais aussi frapper d’étonnement certains savants.

Les pyramides servaient à faire pleuvoir ? Ce n’est pas impossible.

74 M.O.I. Garcilaso de La Vega, documents secrets.

gouttelettes et les font tomber en pluie. En 1961, on a inauguré à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) une fontaine « aérienne » inventée par M. André Pasquet, débitant 300 litres d’eau par

gouttelettes et les font tomber en pluie. En 1961, on a inauguré à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) une fontaine « aérienne » inventée par M. André Pasquet, débitant 300 litres d’eau par

Documents relatifs