• Aucun résultat trouvé

Conclusion générale

Le temps partiel apparaît comme un moyen d’emploi des femmes par excellence dans les pays de l’OCDE. Celles-ci constituent un instrument de flexibilité demandé notamment par les entreprises du tertiaire et des services. Mais les hommes sont aussi concernés de manière significative par ce régime d’emploi, notamment dans les pays tels que les Pays-Bas, la Suède, le Danemark et le Canada. Ce régime d’emploi habituellement lié au fonctionnement du marché secondaire du travail — au même titre que les contrats à durée déterminée — se présente aussi comme un moyen de concilier vie familiale et vie professionnelle d’après la littérature économique. Mais l’enquête que nous avons menée auprès de salariés à temps partiel et d’employeurs permet d’observer une autre tendance du marché du travail à temps partiel : postes à responsabilité; salaires élevés ; contrats de travail à durée indéterminée, mobilité « ascendante » temps partiel-temps partiel, etc. Le marché du travail à temps partiel se définit alors non plus systématiquement comme un espace de mobilités de précarité. Mais comme une sphère dans laquelle des possibilités de mobilités professionnelles « promotionnelles » sont réelles. Dans cette logique, le marché du travail à temps partiel peut se muer en segments primaire, secondaire ou professionnel avec possibilité de passage d’un segment à l’autre. Mais la mobilité professionnelle « ascendante » temps partiel-temps partiel suppose que certaines conditions soient remplies. La réalisation d’un tel phénomène de mobilité professionnelle « ascendante » nécessite la mise en œuvre de stratégies diverses.

L’enquête auprès de salariés à temps partiel et d’employeurs permet de valider les deux hypothèses de recherche que nous avons émises. L’examen de ces hypothèses montre que d’une part, le temps partiel n’est plus systématiquement lié au fonctionnement du marché secondaire du travail (Hypothèse1). Les résultats de cette enquête mettent ainsi en évidence certaines branches d’activité relevant traditionnellement du marché du travail à temps plein : la pharmacie, le conseil, le management, etc. Ces branches font aussi usage de temps partiel. D’autre part, la mobilité professionnelle « ascendante » temps partiel–temps partiel n’est habituellement pas étudiée en économie du travail alors qu’elle existe (Hypothèse 2). Dès lors, ce phénomène de mobilité professionnelle apparaît comme une piste de recherche nouvelle. Notre étude visait à combler certaines lacunes relevées dans la littérature économique récente. La validation de nos hypothèses autorise une remise en cause de la théorie traditionnelle de la segmentation du marché du travail et de la « théorie des préférences » en ce qui concerne la place habituellement accordée au travail à temps partiel.

Cette recherche s’accorde avec certains travaux de chercheurs irlandais et suédois sur une problématique de recherche qui est particulièrement d’actualité : la remise en cause des théories traditionnelles du marché du travail.

L’originalité de cette thèse est de permettre l’étude de la mobilité « ascendante » sur le marché du travail à temps partiel alors que la littérature économique n’en fait pas habituellement mention. La thèse intégre les stratégies individuelles des salariés à temps partiel, les stratégies d’entreprises et les politiques publiques de l’emploi et de la famille à la réflexion sur cette forme de mobilité. La « sécurisation » des trajectoires professionnelles des salariés à temps partiel en est le fondement essentiel. La question de la mobilité professionnelle « ascendante » ainsi posée ne concerne donc pas seulement les entreprises ou les pouvoirs publics. Les salariés à temps partiel sont aussi appelés à s’impliquer dans ce processus par une meilleure coordination des stratégies — plans d’action appropriés — d’offre de travail. La réalisation d’une mobilité professionnelle « ascendante » temps partiel-temps partiel reste néanmoins conditionnée par la prise en compte du travail à partiel-temps partiel comme un régime d’emploi à part entière et non systématiquement comme une forme d’emploi « atypique », à bas statut ou transitoire comme on a l’habitude de le présenter.

La principale contribution de cette thèse est d’abord de considérer le temps partiel comme une variante du temps plein, c’est-à-dire comme une forme d’emploi « ordinaire » au même titre que le temps plein. Ensuite, l’enquête que nous avons réalisée auprès de salariés à temps partiel et d’employeurs permet d’observer que la charge de travail — intensification du travail due au « partage » des objectifs de compétitivité des entreprises entre employeurs et salariés — reste relativement la même que sur les emplois relevant du temps plein. Nous constatons que travailler avec un horaire inférieur à celui du temps plein ne signifie pas forcément que la « qualité » du travail effectué soit inférieure. De plus, la compétence et la qualification ne sont pas toujours incompatibles avec des horaires de travail réduits. Enfin, si l’objectif reste la lutte contre le chômage de masse et la lutte contre la précarité de l’emploi, il convient de concevoir des politiques publiques de l’emploi fondées sur la création d’emplois à temps partiel de « qualité » et de faciliter le développement de la mobilité « ascendante » temps partiel-temps partiel. On contribuerait ainsi à la lutte contre la multiplication d’emplois précaires à temps partiel qui ne mènent qu’à une baisse ponctuelle du taux de chômage.

Notre étude empirique a mis en évidence les comportements de trois acteurs — le salarié, l’employeur et les pouvoirs publics — dans notre analyse du processus de mobilité « ascendante » temps partiel-temps partiel. Mais cette analyse a une portée très limitée. D’une part, les résultats de l’enquête réalisée ne peuvent pas être généralisés, l’échantillon n’étant pas aléatoirement distribué. Les données obtenues restent insuffisantes en nombre pour permettre un traitement économétrique. D’autre part, l’enquête ne concerne que quelques très petites et petites entreprises françaises et canadiennes.

Par ailleurs, notre enquête aurait sans doute pu fournir des résultats plus riches si elle avait été étendue à un espace communautaire : Union européenne et OCDE. Bien entendu, cela aurait nécessité plus de temps et de moyens financiers. Soulignons toutefois que le but initial de ce travail de recherche n’était pas de mener une enquête de grande envergure. Il s’agissait simplement d’explorer et d’illustrer le phénomène de mobilité « ascendante » temps partiel-temps partiel. L’étape communautaire pourrait alors constituer l’un des objets de nos prochaines recherches sur le thème de la mobilité professionnelle temps partiel-temps partiel.

Cette thèse s’inscrit dans le champ de l’économie du travail. Elle est fondée sur une nouvelle vision des théories du marché du travail qui rend compte des mutations actuelles de ce marché. La nouvelle économie du travail que nous abordons remet en cause la théorie traditionnelle de la segmentation du marché du travail et la « théorie des préférences » de Catherine Hakim. Dans notre logique, il n’existe pas de distinction nette entre temps partiel « choisi » et temps partiel « contraint » dès lors que ces deux modalités du temps partiel sont réunies dans le temps partiel « ordinaire » : une variante du temps plein. Cela laisse entrevoir deux espaces de mobilité professionnelle: le marché du travail à temps partiel et le marché du travail à temps plein. Compte tenu de l’hétérogénéité des emplois à temps partiel, notre thèse s’inscrit dans une logique de dualisme du marché du travail à temps partiel. Elle s’appuie plus précisément sur le fait qu’il existe des emplois à temps partiel relevant du segment secondaire et les emplois à temps partiel liés au segment primaire du marché du travail, le passage d’un segment à un autre étant possible grâce à une vision positive du travail à temps partiel.

Bibliographie

AARONSON Daniel, FRENCH Eric (2000), « Part-Time Work and Hourly Wages »,

Chicago Fed Letter, n°156, pp.1-4.

AKYEAMPONG Ernest B., NADWODNY Richard (2001), « Évolution du lieu de travail : le travail à domicile », Statistique Canada, n°75-001XPF au Catalogue, pp.33-40.

ALGAVA Élisabeth, BRESSÉ Sophie (2006), « Les bénéficiaires de l’Allocation parentale d’éducation : trajectoires et retour à l’emploi », DREES, Études et Résultats, n°399, pp.1-12. ALGAVA Élisabeth, RUAULT Marie (2003), « Les assistantes maternelles : une profession en développement », DREES, Études et Résultats, n°232, pp.1-12.

ALONZO Philippe (1998), « Les rapports au travail et à l’emploi des caissières de la grande distribution. Des petites stratégies pour une grande vertu », DARES, Travail et Emploi, n°76, pp.37-51.

AMOSSÉ Thomas (2003), « Interne ou externe, deux visages de la mobilité professionnelle »,

Insee Première, n°921, pp.1-4.

ANXO Dominique, FLOOD Lennart, KOCOGLU Yusuf (2001), « Allocation du temps et partage des tâches en France et en Suède », DARES, Premières Synthèses, n°11.2, pp.1-7.

ANXO Dominique, FLOOD Lennart, KOCOGLU Yusuf (2002), « Offre de travail et répartition des activités domestiques et parentales au sein du couple : une comparaison entre la France et la Suède », INSEE, Économie et Statistique, n°352-353, pp.127-150.

ARNAULT Sévérine (2005), « Le sous-emploi concerne 1,2 million de personnes », Insee

Première, n°1046, pp.1-4.

AUBRET Jacques, GILBERT Patrick (2003), Valorisation et validation de l’expérience

professionnelle, Dunod, Paris, 122 pages.

AUBRY Éric (1999), « Définition du travail à temps partiel », dans Gilbert Cette, Le temps

partiel en France, Rapport du Conseil d’Analyse Économique, La Documentation française,

Paris, pp.87-93.

BARBIER Jean-Claude (1999), « La stratégie européenne pour l’emploi : limites et potentialités », Centre d’études de l’emploi, Quatre Pages, n°31, pp.1-4.

BARBIER Jean-Claude (2000), « Stratégie européenne de l’emploi : les recommandations d’Helsinki », Centre d’études de l’emploi, Quatre Pages, n°37, pp.1-4.

BARBIER Jean-Claude (2004), « Une européanisation des politiques de l’emploi ? Réflexions d’étape à propos de la stratégie coordonnée pour l’emploi », DARES, Travail et

Emploi, n°100, pp.11-26.

BARBIER Jean-Claude, LINDLEY Robert (2002), « La précarité de l’emploi en Europe », Centre d’études de l’emploi, Quatre Pages, n°53, pp.1-4.

BARBIER Jean-Claude, SYLLA Ndongo Samba (2001), « Stratégie européenne pour l’emploi : les représentations des acteurs en France », Rapport pour la DARES et la Délégation à l’Emploi du Ministère du Travail et de l’Emploi, décembre, 120 pages.

BARBIER Jean-Claude, SYLLA Ndongo Samba (2004), « La stratégie européenne pour l’emploi : genèse, coordination communautaire et diversité nationale », Rapport de Recherche pour la DARES et la Délégation à l’Emploi du Ministère du Travail et de l’Emploi, janvier, 121 pages.

BARET Christophe, GADREY Jean, GALLOUJ Camal (1998), « Le temps de travail dans la grande distribution alimentaire en France, Allemagne, Grande-Bretagne », DARES, Travail et

Emploi, n°74, pp.21-35.

BARRETT Gary F., DOIRON Denise J. (2001), «Working Part-Time: By Choice or by Constraint? », Canadian Journal of Economics, vol.34, n°4, pp.1042-1065.

BENARROSH Yolande (2003), « Les trappes d’inactivité : chômage volontaire ou chômage de résistance ? », DARES, Travail et Emploi, n°95, pp.73-85.

BENTABET Elyes, TROUVÉ Philippe (1996), « Les très petites entreprises. Pratiques et représentations de la formation continue », Céreq Bref, n°123, pp.1-4.

BÉRET Pierre (2001), « Les logiques d’accès à la formation continue et leurs conséquences professionnelles », Les Cahiers du Lasmas, n°01-1, pp.77-83.

BÉRET Pierre, DUPRAY Arnaud (1998), « La formation professionnelle continue : de l’accumulation de compétences à la validation de la performance », CÉREQ,

Formation-Emploi, n°63, pp.61-80.

BERTON Fabienne (2001), « La demande individuelle de formation en cours de vie active et ses particularités institutionnelles françaises », Les Cahiers du Lasmas, n°01-1, pp.7-21.

BEYNIER Dominique, TUDOUX Benoît, MOMIC Milan (2005), « Les métiers du travail social hors aide à domicile », DREES, Études et Résultats, n°441, pp.1-12.

BLOCH Laurence, GALTIER Bénédicte (1999), « Emplois et salariés à temps partiel en France », dans Gilbert Cette, Le temps partiel en France, Rapport du Conseil d’Analyse Économique, Annexe B, La Documentation française, Paris, pp.93-126.

BOURREAU-DUBOIS Cécile, GUILLOT Olivier, JANKELIOWITCH-LAVAL Éliane (2001), «Le travail à temps partiel féminin et ses déterminants », INSEE, Économie et

Statistique, n°349-350, pp.41-55.

BRESSÉ Sophie, GALTIER Bénédicte (2006), « La conciliation entre vie familiale et vie professionnelle selon le niveau de vie des familles », DREES, Études et Résultats, n°465, pp.1-12.

BRIANT Pierrette, LOUÉ Jean-François (2001), « L’emploi industriel : les femmes aussi », Ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, Le Quatre Pages des Statistiques

Industrielles, n°145, pp.1-4.

BRUYÈRE Mireille, CHAGNY Odile (2002a), « Comparaisons internationales des durées du travail », Revue de l’OFCE, n°82, pp.117-163.

BRUYÈRE Mireille, CHAGNY Odile (2002b), « La fragilité des comparaisons internationales. Une tentative de construction d’un indicateur homogène», DARES, Travail et

Emploi, n°90, pp.55-68.

BUÉ Jennifer (2002), « Temps partiels des femmes : entre choix et contraintes », DARES,

Premières Synthèses, n°08.2, pp.1-8.

BUÉ Jennifer, ROUX-ROSSI Dominique (2002), « Salarié (e) s à temps partiel et réduction collective du temps de travail : la question du choix », DARES, Travail et Emploi, n°90, pp.39-53.

CANCÉ Raphaël (2002), « Travailler en contrat à durée déterminée, entre précarité contrainte, espoir d’embauche et parcours volontaire », DARES, Travail et Emploi, n°89, pp.29-44.

CAPUTO Richard K., CIANNI Mary (2001), «Correlates of Voluntary vs. Involuntary Part-Time Employment among US Women», Gender, Work and Organization, vol.8, n°3, pp.311-325.

CAUSSAT Laurent (2000), « Qui doit payer la formation continue des salariés ? », dans André Gauron, Formation tout au long de la vie, Rapport du Conseil d’Analyse Économique, La Documentation française, Paris, pp.145-151.

CERC (2005), La sécurité de l’emploi face aux défis des transformations économiques, La Documentation française, Paris, 179 pages.

CÉREQ (2002), « Quand l’école est finie... Premiers pas dans la vie active de la génération 98 », Enquête Génération 98, Interrogation de mars 2001, 80 pages.

CÉREQ (2005), « Quand l’école est finie... Premiers pas dans la vie active de la génération 2001 », Enquête Génération 2001, Interrogation du printemps 2004, 92 pages.

CETTE Gilbert (1999), « Le temps partiel en France », dans Gilbert Cette, Le temps partiel en

France, Rapport du Conseil d’Analyse Économique, La Documentation française, Paris,

pp.9-68.

CETTE Gilbert, DROMEL Nicolas, MÉDA Dominique (2005), « Conciliation entre vies professionnelle et familiale et renoncement à l’enfant », Revue de l’OFCE, n°92, pp.1-51. CHAGNY Odile (2005), « Les réformes du marché du travail en Allemagne », Revue de

l’IRES, n°48, pp.3-42.

CHAMBAZ Christine (2003), « L’accueil des jeunes enfants au Royaume-Uni », DREES,

Études et Résultats, n°234, pp.1-8.

CHAPOULIE Simone (2000), « Une nouvelle carte de la mobilité professionnelle », INSEE,

Économie et Statistique, n° 331, pp.25-85.

CHARDON Olivier (2001), « Les transformations de l’emploi non qualifié depuis vingt ans », Insee Première, n°796, pp.1-4.

CHARPAIL Christine, LERAIS Frédéric (2006), « Stratégie européenne pour l’emploi : évaluation des politiques de l’emploi et du marché du travail en France (2000-2004) », DARES, Document de travail, avril, 166 pages.

CLIFFORD Noreen, MORLEY Michael, GUNNIGLE Patrick (1997), « Part-Time Work in Europe », Employees Relations, vol.19, n°6, pp.555-567.

COMFORT Derrick, JOHNSON Karen, WALLACE David (2003), « Travail à temps partiel et des pratiques favorables à la famille dans les entreprises canadiennes », Statistique Canada, n°71-584-MIF au Catalogue, pp.1-86.

COMMISSION EUROPÉENNE (2001), L’emploi en Europe 2001. Évolution récente et

perspectives, Rapport de la Direction Générale de l’Emploi et Affaires Sociales, Office des

Publications Officielles des Communautés Européennes, Luxembourg, 144 pages.

COMMISSION EUROPÉENNE (2002), L’emploi en Europe 2002. Évolution récente et

perspectives, Rapport de la Direction Générale de l’Emploi et Affaires Sociales, Office des

Publications Officielles des Communautés Européennes, Luxembourg, 207 pages.

CORREIA Mario, POTTIER François (2001), « Usages et réussite des parcours de formation suivies à l’initiative des individus : le cas du CNAM », Les Cahiers du Lasmas, n°01-1, pp.63-75.

CORWIN Vivien, LAWRENCE Thomas B., FROST Peter J. (2002), «Five Strategies of Successful Part-time Work», Leadership and Management in Engineering, janvier, pp.34-39.

COURBIER Sonia (2003), « Du travail à temps partiel contraint au temps choisi dans l’Union européenne », Communication à la 4ème Conférence Internationale de Recherche en Sécurité

Sociale, Anvers, 5-7 mai, pp.1-19.

COUTROT Thomas (2002), Critique de l’organisation du travail, La Découverte, Paris, 124 pages.

COUTROT Thomas (2004), « Innovations et stratégies des emplois », DARES, Travail et

Emploi, n°98, pp.37-49.

COUTROT Thomas (2006), « Une flexicurité à la française ?», dans Michel Husson, Travail

flexible, salariés jetables : fausses questions et vrais enjeux de la lutte contre le chômage, La

Découverte, Paris, pp.112-122.

CRÉPON Bruno, DESPLATZ Rozen (2001), « Une nouvelle évaluation des effets des allègements de charges sociales sur les bas salaires », INSEE, Économie et Statistique, n°348, pp.8-24.

CRIFOT-TILLET Patricia, DIAYE Marc-Arthur, GREENAN Nathalie (2003), « Pourquoi les entreprises évaluent-elles individuellement leurs salariés ? », Centre d’études de l’emploi,

Document de travail, février, 60 pages.

DARES (2003), Les politiques de l’emploi et du marché du travail, La Découverte, Paris, 123 pages.

DE PALMA Francesco (1999), Dualisme du marché du travail et salaire d’efficience. Étude

de la structure des salaires et de l’emploi, Thèse pour le doctorat en sciences économiques,

Université de Strasbourg 1, 239 pages.

DESCHAMPS Renaud (2004), « La formation dans les entreprises : entre réflexe et stratégie », Céreq Bref, n°207, pp.1-4.

DESTEFANIS Michel, MATHEY-PIERRE Catherine (2004), « De l’école à l’emploi : quel chemin dans la ZUS ? », Le Quatre Pages du Centre d’études de l’emploi, n°10, pp.1-4.

DUBERNET Anne-Chantal (1998), « La formation professionnelle continue dans les très petites entreprises : du devoir à l’obligation », DARES, Travail et Emploi, n°77, pp.41-51.

DUPRAY Arnaud (1998), Investissement en capital humain, information et mobilité sur le

marché du travail, Thèse pour le doctorat en sciences économiques, Université

d’Aix-Marseille2, 627 pages.

DUPRAY Arnaud (2005), « Les mobilités en début de vie professionnelle : externes ou internes aux entreprises, des évolutions aux effets très différents », Céreq Bref, n°216, pp.1-4.

EDWARDS Christine, ROBINSON Olive (2004), « Evaluating the Business Case for Part-Time Working amongst Qualified Nurses », British Journal of Industrial Relations, vol.42, n°1, pp.167-183.

ERHEL Christine (1999), « Les politiques actives de l’emploi en France et en Suède. Une convergence récente de la structure des dépenses et des institutions ? », DARES, Travail et

Emploi, n°79, pp.17-35.

EVANS John M., LIPPOLDT Douglas S., MARIANNA Pascal (2000), «Réduction du temps de travail : état des lieux–comparaison statistique internationale », Économie Internationale,

La Revue du CEPII, n°85, pp.15-34.

FAGAN Colette, WARREN Tracey, MCALLISTER Iain (2002), Genre, emploi et

préférences pour le temps de travail en Europe, Rapport de la Fondation Européenne Pour

l’Amélioration des Conditions de Vie et de Travail, Office des Publications Officielles des Communautés Européennes, Luxembourg, 127 pages.

FENNETEAU Hervé (2002), Enquête : entretien et questionnaire, Dunod, Paris, 128 pages.

FONDEUR Yannick, MINNI Claude (2006), « L’accès des jeunes à l’emploi », INSEE,

Données Sociales-La Société française, pp.13-21.

GALTIER Bénédicte (1998), « Les trajectoires d’emploi des salariés à temps partiel dans le secteur privé », CSERC, Document de travail, juin, 16 pages.

GALTIER Bénédicte (1999a), « Les caractéristiques familiales des salariés à temps partiel dans le secteur privé », Insee Première, n°626, pp.1-7.

GALTIER Bénédicte (1999b), « Les temps partiels : entre emplois choisis et emplois faute de mieux », INSEE, Économie et Statistique, n°321-322, pp. 57-77.

GALTIER Bénédicte (1999c), « Le temps partiel est-il une passerelle vers le temps plein ?», INSEE, Économie et Statistique, n°321-322, pp.79-87.

GAUTIÉ Jérôme (2002), « Déstabilisation des marchés internes et gestion des âges sur le marché du travail : quelques pistes », Centre d’études de l’emploi, Document de travail, mars, 34pages.

GAUTIÉ Jérôme (2003), « Transitions et trajectoires sur le marché du travail », Centre d’études de l’emploi, Quatre pages, n°59, pp.1-4.

GAYE Magoume, LE CORRE Valérie (1998), « Les incitations financières en faveur du travail à temps partiel », DARES, Premières Synthèses, n°41.2, pp.1-8.

GAZIER Bernard (2001), Les stratégies des ressources humaines, La Découverte, Paris, 121pages.

GERME Jean-François, MONCHATRE Sylvie, POTTIER François (2003), « Les mobilités professionnelles : de l’instabilité dans l’emploi à la gestion des trajectoires », Rapport du Commissariat Général du Plan, La Documentation française, Paris, 112 pages.

GERME Jean-François, POTTIER François (1996), «Les formations continues à l’initiative des individus en France : déclin ou renouveau?», CEDEFOP, Revue européenne Formation

Professionnelle, n°8-9, pp.54-61.

GILLES Christel (2003), « L’accueil et l’éducation des jeunes enfants aux États-Unis », DREES, Études et Résultats, n°233, pp.1-8.

GOUX Dominique, ZAMORA Philippe (2001), « La formation en entreprise continue de se développer », Insee Première, n°759, pp.1-4.

GREEN Carole A., FERBER Marianne A. (2005), «The Long-Run Effect of Part-Time Work», Journal of Labor Research, vol.26, n°2, pp.323-333.

GUBIAN Alain, LE CORRE Valérie (1999), « Incitations publiques en France en faveur du temps partiel dans le secteur privé », dans Gilbert Cette, Le temps partiel en France, Rapport du Conseil d’Analyse Économique, Annexe F, La Documentation française, pp.169-190. GUIDÈRE Mathieu (2004), Méthodologie de la recherche, Ellipses, Paris, 127 pages.

GUILLOT Olivier (2002), « Choix d’activité et recours aux services de garde d’enfants »,

Communication aux 19èmes Journées de Microéconomie Appliquée, Rennes et Saint-Malot, 6

- 7 juin, 21pages.

GUILLOT Olivier, JANKELIOWITCH-LAVAL Éliane (2003), « Le passage du temps partiel au temps plein : une analyse à partir des données françaises du Panel européen de ménages », Communication aux 10èmes Journées d’études Céreq-Lasmas-IdL, Caen, 21-23 mai, pp.391-400.

GUILLOTIN Yves, HAMOUCHE Salima (1999), « Mobilité salariale : mobilité géographique et mobilité professionnelle sont-elles payantes ? », Communication aux 16èmes