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3.3. GÉNÉRALITÉS

3.3.1. La radiographie(2)

3.3.1.2. Radiographie numérique(3)

L'imagerie numérique résulte de la discrétisation du signal analogique. Cette discrétisation aboutit à une information codée avec une succession de nombres.

L'imagerie numérique est définit par un ensemble de point élémentaires appelés pixels: chaque pixel a une valeur discrète, correspondant à la totalité des informations qui lui sont associées. Une image peut se présenter sous deux formes :

Analogique : dans laquelle la représentation de la grandeur observée est conforme à la vision de l'observateur ;

Numérique : dans laquelle la représentation de la grandeur observée est le résultat abstrait d'une construction mathématique figurée par une succession de nombres.

L’image numérique n'est donc pas conforme à la vision de l'observateur

25 3.3.1.3. Principe (3)

Tout système numérique comporte une source de rayons X, un sous-système d'acquisition et de formatage des images, un sous-système de visualisation et de manipulation, un sous-système d'archivage, et un module d'édition partagé de préférence avec d'autres sources d'images numériques. Malgré les stations de visualisation, l'édition des images sur film reste indispensable non seulement pour l'archivage mais aussi l'établissement du diagnostic. Ce dernier étant, la plupart des cas, dû plus à une habitude de la part du médecin qu'à un réel besoin pour le diagnostic, sera de moins en moins utilisé.

On distingue globalement deux types de numérisation:

 la numérisation directe où les détecteurs qui sont directement sous le Potter ou sous la table, une fois irradiée envoient l'image directement à la console;

 la numérisation indirecte où interviennent les cassettes numériques qui captent l'image qui peut être extraite par l'intervention d'un reprographe. Le système de Radiographie numérisé (CR) « Computed Radiography system

» qui utilise des écrans à scintillateur photo stimulable à mémoire, appelé également Écran Radio luminescent à Mémoire (ERLM) est un système de numérisation indirecte. (2)

Figure 2:Schéma du principe de la numérisation(2)

1 2 3 4

26 Légende de la figure 2:

1. détecteur de l’image

2. module d’acquisition des données numériques 3. algorithme de traitement de signal numérique 4. écran de visualisation

5. accès au fichier et visualisation 6. module interactif de visualisation 7. édition de film laser Des

8. archivage numérique

Des systèmes cités ci-dessus, le système CR qui est une forme de numérisation indirecte est la toute première forme de technologie numérique qui a remplacé la radiographie conventionnelle analogique. Ce système est celui auquel nous allons le plus nous intéresser dans notre étude car elle a été adoptée par le CHUZ-AS(2).

Le système de numérisation (système CR : numérisation indirecte) au CHUZ-AS:

Figure 3 : Photo du système de numérisation du CHUZ-AS 1

2

3

4

5

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Ce système a été développé au Japon au début des années 1980. Il nécessite de posséder un générateur de rayons X, qui peut être le même que celui utilisé en radiographie conventionnelle, des cassettes (ou plaques stimulables) contenant un écran à scintillateur photo stimulable à mémoire, un lecteur pour ces écrans, une station informatique avec des moniteurs de visualisation des images ainsi qu’un logiciel de traitement des images. Il est aussi possible d’imprimer les radiographies obtenues à l’aide d’un reprographe. C’est une méthode indirecte d’obtention de l’image. C’est, dans un premier temps, une image latente (virtuelle) qui est enregistrée sur la plaque stimulable avant d’être lue par un laser dans le lecteur et enregistrée sur l’ordinateur. Par ce procédé, nous passons donc d’un signal analogique (l’image de rayonnement) à un signal numérique. (2)

3.3.1.4. Les constituants d’un système de numérisation indirect(4)

Le système de numérisation se compose :

 d’un numériseur ;

 d’un ordinateur ;

 d’une imprimante (reprographe laser) ;

 des cassettes (de différents formats).

Le numériseur

C’est un dispositif informatique servant à représenter un signal analogique (caractère, impulsion, image) sous forme numérique. Le numériseur dispose d’une

28 ouverture d’insertion des cassettes de tous types de formats. Cependant il est exposé à des problèmes d’ordres techniques et mécaniques qui entravent son utilisation :

la saleté des rouleaux due à la poussière ;

la défaillance des rouleaux ne pouvant plus prendre les écrans ;

le blocage des cassettes dans le numériseur après une mal insertion ;

la suppression du logiciel du numériseur par inadvertance des utilisateurs;

la saturation de la mémoire du logiciel qui pilote le numériseur.

- Maintenance En ce qui concerne :

la saleté des rouleaux, il existe un kit de nettoyage (voir annexe) qui permet de retirer la poussière de ce dernier ;

la défaillance des rouleaux ne pouvant plus prendre les écrans, il faut les renouveler ;

le blocage des cassettes dans le numériseur après une mal insertion, il existe un système de déverrouillage manuel pour faire sortir la cassette ;

la suppression du logiciel du numériseur par inadvertance des utilisateurs, il faut réinstaller le logiciel sur l’ordinateur ;

la saturation de la mémoire du logiciel qui pilote le numériseur, il faut libérer de l’espace sur la mémoire en supprimant les fichiers.

L’ordinateur

C’est un équipement informatique de traitement automatique de données comprenant les organes nécessaires à son fonctionnement autonome. Il permet un traitement informatique de l’image, traitement au cours duquel on peut jouer sur la densité, le contraste etc. Il peut être sujet des pannes qui sont généralement liées au logiciel qui pilote l’ordinateur et à la saturation de la mémoire du disque dur de l’ordinateur. Pour remédier à ses pannes il faut libérer la mémoire du disque dur de l’’ordinateur et faire recours à un informaticien afin de régler le problème du logiciel.

29 L’imprimante

C’est un reprographe laser servant à reproduire l’information numérique traitée au niveau de l’ordinateur sur un support physique (clichés). Ce dispositif

contient les films sur lesquels sera imprimée l’image radiographique de la structure explorée. Cependant, certaines pannes entravent son utilisation, parmi lesquelles nous avons :

 les bourrages de films fréquents entrainant le refus d’impression des clichés par l’imprimante ;

 les pannes du four ; le four ne chauffe plus à cause de la défaillance des résistances chauffantes ;

 la défaillance de résistances chauffantes à cause de la quantité du courant ;

 les pannes de communication dues au débranchement des câbles des ports par les utilisateurs empêchant les films de sortir ;

 les pannes de densité ;

 les pannes de films incompatibles ;

 les pannes du système d’ouverture des cartouches de films ;

 les pannes du capot qui est l’endroit par ou on charge les films ;

 l’erreur de calibrage due aux conditions atmosphériques ;

 l’accumulation des erreurs ;

 la suppression du logiciel qui pilote l’imprimante.

- Maintenance En ce qui concerne :

les bourrages de films fréquents entrainant le refus d’impression des clichés par l’imprimante, il faut retirer les cartouches de film selon la zone de bourrage de film, vérifier le problème et réinsérer les cartouches de films.

les pannes du four et la défaillance des résistances chauffantes à cause de la quantité du courant, il faut remplacer les résistances.

les pannes de communication dues au débranchement des câbles des ports par les utilisateurs empêchant les films de sortir, il faut les rebrancher.

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les pannes de densité, il faut utiliser le densitomètre pour mesurer la densité afin de maintenir la cohérence de film à film.

les pannes du film incompatible se traduisant par une insertion de films truqués ou mal stockés ou encore des films dont la longueur ne correspond pas, il faut les éviter et insérer les films adaptés.

les pannes du système d’ouverture des cartouches de films, il faut ouvrir puis fermer manuellement la cartouche de film.

les pannes du capot qui est l’endroit par ou on charge les films, il faut changer les ressorts qui le maintiennent.

l’erreur de calibrage due aux conditions atmosphériques, il faut directement la couche active, les rayons interagissent avec les cristaux et provoque une perte d’électrons. Ces électrons sont piégés par les fluoro-halogènes et les cristaux se trouvent alors dans un état instable. Le retour à l’état stable ne s’effectue que quand les électrons sont piégés par les fluoro-halogènes, les cristaux sont alors dans un état « demi-stable ». Il y a formation et mémorisation d’une image latente. (5)

La cassette est insérée dans le lecteur afin de révéler l’image sous forme de fluorescence, en forçant les cristaux à revenir à leur état de stabilité. Une fois dans le lecteur, l’ERLM est amené par un moteur de haute précision sous un faisceau laser oscillant. Ce laser va balayer point par point l’ERLM et provoquer le retour à leur état stable des cristaux, accompagné d’une émission proportionnelle de photons de fluorescence. Ces photons sont ensuite convertis en courant électrique dans un photomultiplicateur. Ce signal électrique est ensuite amplifié et converti en un signal numérique. Traité informatiquement, ce signal nous permet de visualiser l’image sur

31 un écran d’ordinateur haute-définition. Cette opération dure de 7 à 90 secondes en fonction de la taille du capteur, la résolution de lecture, l’ancienneté du lecteur et le fabricant(4). Comme pannes nous avons :

 la défaillance des écrans contenus dans la cassette due à l’action des rouleaux sur la surface de ces derniers ;

 les pannes mécaniques responsables des écorchures au niveau des bords des écrans.

Pour remédier à ses pannes, il faut sortir les écrans des cassettes, les nettoyer dans les cas de défaillance de leur surface et redresser les bords dans le cas des écorchures au niveau de ces derniers.

32 3.4. CADRE, MATÉRIEL, OUTILS ET MÉTHODES D’ÉTUDE

3.4.1. Cadre d’étude

Notre étude s’est déroulée dans le service d’Imagerie Médicale du Centre Hospitalier Universitaire de Zone d’Abomey-Calavi/ Sô-Ava (CHUZ-AS).

3.4.2. Matériel d’étude

Notre étude a porté sur les techniciens en imagerie médicale et les maintenanciers en service dans le Centre Hospitalier Universitaire de Zone d’Abomey-Calavi/ Sô-Ava

3.4.3. Méthodes d’étude 3.4.3.1. Type d’étude

Nous avons fait une étude descriptive transversale sur cinq techniciens et trois maintenanciers exerçant dans le Centre.

3.4.3.2. Technique de collecte des données Nous avons :

- adressé une fiche de renseignements aux techniciens et aux maintenanciers du CHUZ-AS ;

- recueilli des informations par rapport à la connaissance du système de numérisation, les pannes éventuelles qu’il pourrait rencontrer par entretien direct avec les techniciens;

- recueilli des informations par rapport aux interventions sur le système de numérisation par entretien direct avec les maintenanciers.

3.4.3.3. Analyse des données Nous avons :

- analysé les données;

- Tracé les graphiques au moyen de l’application Excel du logiciel Microsoft Office

33 3.5. RÉSULTATS

 Tous les techniciens avaient affirmés que le service du CHUZ-AS disposait d’un système de numérisation indirect dont il a bénéficié en 2013 à l’exception d’une seule personne qui ignorait sa date d’installation.

 Tous les techniciens avaient affirmés qu’ils enregistraient des pannes avec le système de numérisation qui duraient des semaines bien que ses résultats sortaient plus vite que ceux de l’analogie. Suite à ses pannes ils faisaient appel au service de la maintenance dont ils avaient reconnus l’existence dans le centre.

 80% des techniciens disaient que le délai d’approvisionnement des consommables dans le service variait de un à trois mois et qu’ils assistaient à des ruptures des consommables qui duraient quelques jours.

 Tous les techniciens avaient une idée des pannes que pouvaient rencontrer le système de numérisation mais ne connaissaient pas la masse de travail pour atteindre la saturation de l’unité centrale à l’exception d’une seule personne qui avait affirmé que cette masse était de 500 examens. Ils affirmaient également que le service de radiologie du CHUZ-AS disposait de tous les moyens adéquats pour un système de numérisation.

Figure 4 : Répartition des techniciens selon leur connaissance sur les pannes que pourrait rencontrer le système de numérisation.

 Les maintenanciers avaient affirmés que depuis l’installation du système de numérisation en 2013 qu’ils avaient intervenus pour des maintenances

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34 préventives et curatives et qu’il y avait des pannes liées à l’imprimante qui survenaient à l’exception d’une seule personne qui le désapprouvait. Les deux maintenanciers qui l’approuvaient disaient que ses pannes qui survenaient étaient les bourrages de films fréquents et les pannes de densité qui empêchaient l’impression des clichés.

 Aucun des cinq(5) techniciens n’avait eu connaissance du système de numérisation indirect dans les centres antérieurs et l’un d’entre eux n’avait jamais travaillé auparavant dans un centre.

 Les techniciens interrogés étaient imprécis sur le temps qu’ils avaient fait pour commencer à utiliser le système de numérisation indirect. Les trois(3) qui avaient une idée l’avait estimé à moins d’un mois.

Figure 5 : Répartition des techniciens selon la connaissance des maintenances préventives.

 67% des maintenanciers questionnés avaient dit qu’ils faisaient des maintenances curatives à la cassette à l’unité centrale et au numériseur et que l’unité de maintenance disposait du matériel nécessaire permettant de nettoyer les éléments constituants le système de numérisation.

40%

60%

oui non

35 3.6. COMMENTAIRE

Le seul technicien qui ne connaissait pas la date d’acquisition du système de numérisation était absent du centre en son temps, raison pour laquelle il l’ignorait.

De l’avis général des techniciens le système de numérisation était confronté à de nombreuses pannes qui entravaient son utilisation. Le système de numérisation à en croire est un système qui est accessible d’usage et permet de réaliser beaucoup d’examens. Et si les pannes devraient durer longtemps, le service enregistrerait des pertes financièrement et on assisterait à un retard dans la réalisation des examens des patients.

Concernant les ruptures des consommables, 80% des intervenants dans le service de radiologie du CHUZ-AS affirmaient qu’ils étaient quelques fois confrontés à des ruptures des consommables (figure4). Ceux-ci empêcheraient le tirage des clichés numériques et un retard dans la prise en charge des patients avec le système de numérisation.

De plus tous les techniciens partagent le même avis sur le fait que des pannes survenaient sur le système de numérisation et qu’elles duraient des semaines. La durée de ces pannes provoque un dysfonctionnement du service, une perte de temps et un retard dans la prise en charge des patients. L’ignorance de la masse de travail pour atteindre la saturation de l’unité centrale peut être la source des difficultés du système de numérisation car cette saturation peut entrainer une perte de données et ralentir aussi les nouveaux enregistrements.

Par ailleurs le défaut de lecture des cassettes numériques et la saturation de la mémoire de l’unité centrale constituent les principales pannes dont avaient connaissance les techniciens. D’autre part, 60% des techniciens avaient connaissance de l’usure des codes marqués sur les cassettes, 40% du défaut de transmission du lecteur à l’unité centrale et 20% d’entre eux de la perte de sensibilité des capteurs (figure5). La non connaissance des pannes peut amener les maintenanciers à faire des recherches à tâtons ce qui peut retarder ou même entrainer d’autres pannes qui pourrait ralentir le travail des techniciens dans le centre.

36 Les maintenanciers avaient déclaré qu’ils faisaient des maintenances curatives et préventives sur le système. Malgré cela on ne cesse d’enregistrer des pannes sur l’appareil ce qui pourrait entrainer un ralentissement du travail.

La majorité des techniciens affirmait qu’ils n’avaient jamais eu connaissance d’un système de numérisation indirect auparavant. Ceci pourrait entrainer une mauvaise utilisation du système de numérisation et être l’une des causes des pannes auxquelles il est sujet.

60% des techniciens estimaient que les maintenances préventives ne se faisaient pas (figure 6). Normalement on doit faire les séances de maintenance préventives sur le système afin de réduire les pannes. La non effectivité des maintenances préventives multiplierait les pannes et pourrait être un frein à son utilisation.

Par ailleurs ces résultats confirment la régularité des interventions curatives sur le système de numérisation.

De tout ce qui précède, le service d’imagerie médicale du CHUZ-AS dispose d’un système de numérisation indirect dont il a bénéficié en 2013. Ce système de numérisation est confronté à plusieurs pannes multiples qui handicapent son utilisation et perturbent le bon fonctionnement du service de radiologie. Les analyses de nos résultats ont prouvé que ces pannes résultaient de la non connaissance des pannes possibles que peut rencontrer le système de numérisation par les techniciens et de l’absence de maintenance préventive des différents constituants de ce système.

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CONCLUSION

38 Au cours de notre stage dans les services de radiologie du CHUZ-AS et du CDTUB d’ALLADA, nous avons eu à réaliser plusieurs examens radiographiques qui nous ont permis d’acquérir une bonne dextérité et de combler nos attentes sur le plan professionnel et pratique de notre formation en Génie d’imagerie Médicale et de Radiobiologie à l’EPAC.

Les résultats de notre étude nous ont permis d’affirmer que la radiographie numérique, plus précisément du service de radiologie du CHUZ-AS, par son emploi et l’absence de maintenance préventive, entraine des pannes multiples et variées qui perturbent le déroulement des activités dans le service.

Vu la place qu’occupe le CHUZ-AS dans la commune d’Abomey-Calavi, il n’est pas convenable qu’il soit à tout moment confronté à ces pannes provoquant le

dysfonctionnement du service de radiologie. Toutefois, en tenant compte de ces pannes, il serait judicieux de réduire ou limiter l’apparition de ces pannes dans le service de radiologie au service des patients.

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SUGGESTIONS

40 Vu nos résultats nous suggérons

 A l’administration du CHUZ-AS:

• Programmer des séances de maintenance préventive périodique des appareils de radiographie numérique utilisés et une mise à jour régulière du logiciel de traitement de l’image afin de réduire les défaillances du système de radiographie numérique ;

• Assurer l’achat des consommables de la numérisation (films) pour qu’on n’assiste plus à la rupture de ses derniers ;

• Mettre un disque interne à la disposition des techniciens pour pouvoir enregistrer les données afin d’éviter les pertes de données.

 Au service de maintenance du CHUZ-AS :

• Faire l’inventaire de tous les instruments indispensables à la maintenance des appareils de radiographie numérique et le soumettre à l’administration de l’hôpital ;

• Respecter les séances de maintenance préventive établit par l’administration.

 A l’endroit des techniciens du CHUZ-AS :

• Faire l’effort de connaitre la masse de travail pour atteindre la saturation afin d’éviter les pertes de données ;

• Avoir une idée des pannes que peut rencontrer le système de numérisation ;

• Signaler très tôt les pannes du système de numérisation.

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REFERENCES

42 1. Fondation Follereau. Centre de dépistage et de traitement de l’ulcère de buruli d’Allada [Internet]. 2000 [cité 22 déc 2018]. Disponible sur:

https://www.ffl.lu/servicevolontaire/elisabethdahmen-au-bénin/cdtub.

2. Adisso C. Apport de la numérisation sur la fréquentation et les recettes du Centre Autonome de Radiologie (CAR). Abomey-Calavi ; EPAC/UAC ; 2016-2017 p. 22 à 25.

.

3. Aboto K. Impacts des pannes du système de numérisation sur le fonctionnement du service de radiologie du CNHU-HKM de Cotonou. Abomey-Calavi ; EPAC/UAC ; 2015-2016 p. 20 à 23.

4. Manuel d’utilisation du numériseur, Carestream Health. Guide de référence rapide pour V.3 du logiciel image suite. 2012.

5. Benmbarek B. Les principes d’imagerie médicale par la radiologie et le

scanner_Radiographie numérique.html [Internet]. [cité 22 jan 2019]. Disponible sur:

https://radiologie-scanner.blogspot.com/p/radiographie-numérique.html?m=1.

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ANNEXES

44 FICHE DE RENSEIGNEMENT

Patricia GBAGUIDI,

Je suis étudiante en fin de formation en Génie de l’Imagerie Médicale et de Radiobiologie à l’Ecole Polytechnique d’Abomey-Calavi et je voudrais que vous m’accordiez un bout de votre temps pour m’éclairer sur certaines informations. Ses informations porteront sur l’usage de la numérisation indirecte et sa maintenance.

Cible : Techniciens Questionnaire

1) Disposez-vous d’un système de numérisation ?

Oui Non Si oui, lequel ?

Direct Indirect

2) En quelle année avez-vous bénéficié du système de numérisation ? R :………..

3) Avez-vous travaillé dans un autre centre avant celui –ci ? Oui Non

4) Utilisiez-vous un numériseur indirect ?

Oui Non

5) Combien de temps avez-vous fait avant de commencer à utiliser ce système de numérisation après son installation?

5) Combien de temps avez-vous fait avant de commencer à utiliser ce système de numérisation après son installation?

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