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La clarification de la notion d’esprit sportif et des conditions requises pour la

Chapitre 2 : Méthodologie

2.3 Déroulement du projet

2.3.1 La clarification de la notion d’esprit sportif et des conditions requises pour la

développement moral des élèves (Phase 1)

Trois rencontres de groupe (enregistrées sur support numérique) ont été nécessaires afin de permettre aux enseignants de clarifier leur conception de la notion d’esprit sportif et d’amorcer la planification d’activités destinées, par l’apprentissage d’un esprit sportif, au développement moral de leurs élèves. Lors de la première rencontre (90 minutes), le formateur a d’abord dressé une vue d’ensemble du projet, invité les enseignants à compléter les formulaires de consentement (Annexe B) puis convié ces derniers à décrire leur parcours professionnel (Tableau 1, page 32). Par la suite, les enseignants ont rédigé trois évènements marquants associés à l’esprit sportif à l’aide d’un formulaire (Annexe C) basé sur la technique de cueillette d’incidents critiques (Brunelle, Drouin, Godbout et Tousignant, 1988). Ils ont également été mandatés pour recueillir auprès de leurs élèves des évènements marquants (vécus ou perçus) associés à l’esprit sportif à l’aide d’un formulaire validé (Annexe D). Ces évènements ont constitué le matériel de réflexion pour amorcer la démarche de clarification de la notion d’esprit sportif avec les enseignants lors de la seconde rencontre. De plus, les enseignants devaient lire le Chapitre 6 du livre intitulé La culture sportive (Guay, 1993, p. 63-99) afin de bonifier leur compréhension de l’esprit sportif et les prédisposer à accueillir les perceptions de leurs élèves à l’égard de ce phénomène. L’objectif de la deuxième rencontre (150 minutes) était d’amener les enseignants à aborder la notion d’esprit sportif dans une perspective d’éducation morale en ÉPS. Pour ce faire, le formateur a :

 animé une période d’échanges entre les enseignants sur le contenu de la lecture proposée (Guay, 1993, p. 63-99);

 invité les participants à discuter tour à tour chacune des valeurs (Équité, Désir de vaincre, Loyauté) qui constituent l’esprit sportif (Guay, 1993);

 rappelé que la notion d’esprit sportif, en tant que système, ne prend pleinement son sens qu’à travers l’expérience sportive;

 proposé aux enseignants un exercice de classement de comportements (Annexe E), en partie tiré des histoires des élèves (Annexe F), destiné à leur faire reconnaitre les différents types de conduites (niveaux de moralité) que laissent entrevoir ces comportements;

Par la suite, le formateur a présenté les résultats d’une analyse de contenu15 à modèle ouvert (L'Écuyer, 1987) des évènements recueillis (N=216) auprès des élèves (Annexe G). L’objectif de cette catégorisation par le formateur était d’aider les enseignants à aborder la notion d’esprit sportif dans tout son potentiel éducatif. L’analyse des évènements avait permis de distinguer quatre types de conduites sportives : des conduites inhérentes à l’existence du jeu; des conduites conformes aux comportements généralement attendus des sportifs; des conduites délibérées qui visent à corriger une situation sportive jugée problématique sur le plan moral ; des conduites délibérées qui visent à rectifier une situation problématique sur le plan moral. Ces catégories de conduites furent respectivement associées à : (1) l’esprit sportif à sa plus simple expression; (2) l’esprit sportif dans sa forme populaire; (3) l’esprit sportif en tant que vertu; et (4) l’esprit sportif à son paroxysme (Tableau 3). Tableau 3

Conceptions de l’esprit sportif issues de l’analyse des événements marquants rapportés par les élèves

L’esprit sportif à sa plus simple expression

La catégorisation des conduites sportives révélées dans les histoires des élèves a permis de regrouper des conduites qui, d’emblée, apparaissent comme de simples exigences à la pratique sportive. Ces conduites, qui font la promotion de l’esprit sportif à sa plus simple expression, se sont retrouvées

15 Le matériel pédagogique présenté aux enseignants avait été « validé » par le directeur de recherche.

Conceptions de l’esprit sportif d’événements Nombre

L’esprit sportif à son paroxysme, renvoie à une conduite

délibérée qui, dans un souci d’agir en conformité avec certains

principes éthiques, va au-delà des enjeux premiers du sport. 2 L’esprit sportif en tant que vertu, renvoie à une conduite délibérée qui

témoigne d’un souci de concilier équité, désir de vaincre et loyauté. 7

L’esprit sportif dans sa forme populaire, renvoie à une conduite conforme

aux valeurs sociales communément admises et valorisées dans l’enceinte

sportive. 137

L’esprit sportif à sa plus simple expression, renvoie à une conduite en lien avec

le respect des règles et des exigences du jeu. 70

au cœur de 70 histoires rapportées par les élèves (Tableau 3). L’histoire ci-après illustre des comportements qui rendent le jeu possible et sécuritaire pour tous:

« Lors d’une partie de hockey, moi et mon équipe perdions 6 à 1. Malgré cela, nous avons continué à donner notre 100% pour essayer de remonter l’écart. Nous avons aussi continué à jouer de manière disciplinée pour ne pas risquer de blesser les joueurs de l’équipe adverse. Nous avons finalement perdu mais nous avons joué le mieux que nous pouvions. Je crois que ceci est un bon exemple d’esprit sportif. »

Pour le formateur, ces conduites traduisent une morale minimaliste nécessaire à l’existence du jeu [et, de fait, à la sécurité des participants]. Suivant les règles qui définissent chaque sport, le joueur qui adopte une conduite contraire à celle-ci (enfreindre une règle de jeu, retarder la partie, demeurer passif, adopter une conduite dangereuse, etc.) s’expose à une sanction plus ou moins sévère (remise en jeu, pénalité, expulsion, disqualification, suspension, amende, etc.). En ces termes, il appert que l’esprit sportif renvoie avant tout au fair-play, c’est-à-dire au simple respect des règles par les joueurs. L’esprit sportif dans sa forme populaire

Les histoires rapportées par les élèves ont permis aux enseignants de constater qu’ils se réclamaient principalement de l’esprit sportif dans sa forme populaire (137 événements). À l’instar des élèves, les enseignants accordent aussi beaucoup d’importance aux conduites conformes aux normes sociales qui marquent les pratiques sportives contemporaines; et tout particulièrement aux conduites d’entraide (entre partenaires) et de respect (de l’adversaire; de l’officiel). Les évènements suivants illustrent de telles conduites :

« L’an passé, nous avons eu beaucoup d’esprit sportif et avons gagné le tournoi régional même si nous n’étions pas les meilleurs. C’était vraiment le fun, tout le monde dans l’équipe s’aidait et s’encourageait. »

« C’est quand je jouais au soccer, avec mon équipe, toute l’équipe était là et durant toute la saison on devait bien donner la main à la fin de la partie, qu’on perde ou qu’on gagne. » « J’ai serré la main de tous les joueurs de l’équipe adverse en leur disant Bravo ! Bon match ! Je suis aussi allé donner la main à l’arbitre et je lui ai dit Merci ! »

« C’était un match de soccer féminin. Vers le milieu de la partie, une fille d’une équipe a fait tomber sans faire exprès une fille de l’autre équipe. Elle est allée immédiatement s’excuser et après elles ont continué à jouer. À la fin de la partie, tout le monde est venu se féliciter et se serrer la main. »

L’esprit sportif en tant que vertu

Les enseignants ont également pu constater que sept événements rapportés par des élèves recelaient des conduites sportives représentatives d’un esprit sportif qui amène un individu à s’imposer volontairement un comportement honorable [vertueux] qui restreint son confort personnel et/ou qui risque de compromettre ses chances de victoire. Ci-après, deux histoires d’élèves révélatrices d’un esprit sportif teinté de moralité :

« Lors d’une compétition de patinage artistique, une fille qui était dans le même groupe que moi passait la dernière. Puisque je passais la première, et qu’elle avait oublié sa robe et n’avait pas le temps d’aller la chercher, je lui ai passé la mienne pour qu’elle puisse faire la compétition même si nous étions l’une contre l’autre. »

« C’était une partie de football lors d’une journée très froide en novembre. Il avait neigé le matin même […] les joueurs étaient congelés. Le match était très serré. Un bon duel défensif avec peu de points au tableau indicateur. Notre quart-arrière ne pouvait presque plus bouger ses doigts. Il était très compétiteur et il voulait vraiment gagner. Malgré cela, quand un parent de l’équipe lui a apporté des "hotpads" [chauffe-main] à la demie, il a décidé de partager le paquet avec le quart-arrière de l’autre équipe. Lui aussi était complètement gelé et avait de la difficulté à faire des belles passes. Notre quart-arrière ne voulait pas d’un duel inégal. Il voulait gagner mais avec les mêmes chances pour les deux équipes. Nous avons gagné la partie par seulement trois points. J’ai toujours gardé en tête ce petit geste qui est un bel exemple, selon moi, d’esprit sportif. »

Les conduites associées à l’esprit sportif en tant que vertu sont motivées par les idéaux que porte l’individu en tant que bon sportif. Suivant les trois valeurs constitutives de l’esprit sportif (et de leurs liens d’interdépendance), cette conduite peut promouvoir :

a) une meilleure équité où un individu refuse de bénéficier d’une circonstance exceptionnelle dont son rival est privé ; tente lui-même d’atténuer les effets d’une injustice sportive vécue par l’adversaire ; refuse qu’un accident matériel ou physique vienne influer sur le résultat de la rencontre ; etc.

b) un désir de vaincre qui va au-delà de la simple victoire sur autrui où un individu conseille son adversaire pour se contraindre lui-même à faire encore mieux ; relève le défi de se joindre à une nouvelle équipe moins talentueuse ; etc.

c) une loyauté honorablement significative où un individu renonce volontairement à un avantage que procure une application trop stricte de la règle ; refuse de recourir à des procédés irréguliers dont les règlements ne font pas mention ; avoue ouvertement une faute personnelle passée inaperçue ; tente de faire réformer auprès de l’officiel une décision qui l’avantage à tort ; etc.

L’esprit sportif à son paroxysme

L’analyse des événements rapportés par les élèves a finalement permis de distinguer deux conduites où les participants, à la vue de certains principes éthiques, dérogent volontairement à l’idée de compétitionner. Ces conduites suspendent momentanément ou définitivement l’acte sportif lui-même pour des considérations qui vont bien au-delà des enjeux premiers du sport. De telles conduites, croyons-nous, sont révélatrices de l’esprit sportif à son paroxysme. Diminuer de manière excessive son opposition afin qu’un adversaire moins doué puisse prendre part au jeu ou orchestrer une situation pour permettre à un jeune de s’accomplir dans des circonstances exceptionnelles illustrent un tel niveau d’esprit sportif. À ce titre, les deux histoires présentées ci-après constituent des exemples patents de l’esprit sportif à son paroxysme :

« Dans notre classe, il y avait un élève vraiment introverti qui avait beaucoup de difficulté en sport. Il ne parlait jamais et regardait toujours par terre. Durant les cours d’éducation physique, il ne bougeait presque pas mais malgré toutes ces barrières, les autres élèves lui faisaient des passes et lorsqu’il avait le ballon, ils essayaient de ne pas lui enlever. C’est sans doute le plus beau geste humain que j’ai vu de ma vie dans le sport. » « Lors d’un gros tournoi, mon entraîneur a pris une entente avec les arbitres pour laisser embarquer un joueur pendant la partie. Ce joueur s’était blessé aux hanches durant la saison et il ne pouvait plus jouer au basketball pour plusieurs années. Malgré cela, il venait toujours aux pratiques et aux parties. Donc, pendant une partie importante, notre entraîneur nous a dit de faire semblant de se blesser si on avait un lancer franc. C’est ce qu’un de nos joueurs a fait et l’entraîneur a pu envoyer le joueur blessé sur le terrain pour faire les deux lancers francs à sa place. C’était un très beau moment, tout le monde était debout à applaudir tout au long des lancers francs. Le joueur en question avait les larmes aux yeux. Il nous a tous remercié ainsi que les arbitres. Les arbitres l’ont ensuite aidé à revenir au banc et le match a recommencé. »

Au terme de cette clarification de la notion d’esprit sportif, le formateur a précisé que les activités d’apprentissage à développer par les enseignants se devaient d’amener les élèves à promouvoir l’esprit sportif en tant que vertu. Par la suite, ce dernier a détaillé aux enseignants le travail que chacun devait réaliser en guise de préparation à la troisième rencontre : 1) actualiser et envoyer par courriel au formateur le plan de la séquence d’apprentissage au sein de laquelle l’activité d’apprentissage serait intégrée; 2) classifier leurs trois histoires en lien avec l’esprit sportif (Événements marquants) selon les quatre conceptions de la notion d’esprit sportif.

La troisième rencontre (135 minutes) visait l’amorce du processus de planification d’activités destinées, par l’apprentissage d’un meilleur esprit sportif, au développement moral d’élèves en ÉPS. À cet effet, le formateur a d’abord :

 rappelé et expliqué à nouveau les quatre conceptions de l’esprit sportif issues de l’analyse des histoires des élèves (cf. 2e rencontre de groupe);

 demandé aux enseignants de préciser le classement de leurs propres histoires (cf. 1ère rencontre de groupe) au sein de l’une ou l’autre de ces conceptions;

 présenté les sept histoires rédigées par les élèves qui rendaient compte d’un esprit sportif en tant que vertu et validé leur catégorisation avec les enseignants;

 invité les enseignants à réagir aux histoires rapportées par leurs élèves.

Ces activités ont permis de faire ressortir qu’une authentique manifestation d’esprit sportif (action morale en contexte sportif) repose inévitablement sur une certaine démarche réflexive allant de la perception d’enjeux moraux jusqu’à la mise en œuvre d’actions morales. Ainsi dit, le formateur a introduit les consignes de réalisation du travail de planification en présentant aux enseignants le modèle de l’action morale de James Rest (page 11).

En référant au modèle de Rest, les enseignants ont été invités à planifier des activités d’apprentissage contraignant les élèves à vivre les quatre processus psychologiques garants d’un agir moral (interprétation morale, jugement moral, choix moral, action morale). Il était ainsi attendu que ces activités d’apprentissage, à travers la résolution de dilemmes moraux, puissent amener les élèves à se détacher des habitudes, observances, idées reçues et lieux communs qui les habitent en tant que sportifs, pour passer à l’action d’une manière autonome. Les élèves allaient ainsi pouvoir [devoir] identifier et relativiser les motivations qui les habitent, manifester des comportements qui témoignent de prises de position personnelles et assumer la responsabilité de l’affirmation de ces dernières. Au moment de présenter aux enseignants les modalités relatives au travail de planification (voir section 2.3.1, page 40), le formateur a rappelé qu’exiger une telle démarche de la part des élèves s’inscrit en continuité des travaux de Piaget (1932, 1985) et Kohlberg (1981, 1984) qui considèrent que les enseignants, en vue d’éduquer moralement, auraient avantage à recourir à des stratégies susceptibles de positionner les élèves en situation de « dissonance cognitive ». Le formateur a également démontré aux enseignants la cohérence du modèle de Rest (1984) avec l’épistémologie socioconstructiviste de

l’approche de formation par compétence préconisée par le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur (MÉLS, 2007; MÉQ, 2006a, 2006b) qui, essentiellement, invite l’enseignant à situer l’élève dans une boucle de régulation perpétuelle où il doit, pour devenir de plus en plus compétent, analyser, planifier, réaliser et évaluer ses actions.

Par la suite, le formateur a présenté trois exemples d’activités conçues pour le développement moral des élèves en contexte d’ÉPS. À la lumière de ces exemples, le formateur a proposé aux enseignants l’utilisation d’un tableau (Annexe H) pour leur permettre d’amorcer le travail de planification. Plus précisément, il fut demandé aux enseignants d’insérer dans ce tableau des tâches d’apprentissage (problèmes à résoudre) susceptibles de contribuer au développement de l’esprit sportif en tant que vertu. Les échanges individuels et collectifs entre le formateur et les enseignants lors de la période de travail qui s’ensuivit ont permis de valider la nature des activités d’apprentissage en émergence. Au terme de la rencontre, le formateur a énuméré aux enseignants les tâches à réaliser en vue de la première rencontre d’accompagnement individuel, à savoir :

 de finaliser l’élaboration de leur tableau de planification;

 de sélectionner dans celui-ci la/les activité(s) estimée(s) prometteuse(s) et la/les bonifier en vue d’une éventuelle présentation au formateur;

 d’identifier les groupes d’élèves auprès desquels leur(s) activité(s) sera/seront éventuellement implantée(s);

 d’envoyer un courriel au formateur afin de déterminer la date d’une première rencontre individuelle.

L’encart ci-après dresse un sommaire chronologique des tâches réalisées par les enseignants lors de la première phase du projet. Rappelons que cette phase visait à clarifier leur conception de la notion d’esprit sportif et amorcer la planification d’activités destinées au développement moral de leurs élèves.

Lors de la phase 1, le formateur a amené les enseignants à :

- lire le chapitre 6 tiré du livre La culture sportive (Guay, 1993, p. 63-99) afin de bonifier leur compréhension de l’esprit sportif;

- discuter des valeurs d’Équité, de Désir de vaincre et de Loyauté;

- prélever auprès de leurs élèves des évènements marquants (vécus ou perçus) associés à l’esprit sportif;

- différencier quatre manières de concevoir l’esprit sportif : L’esprit sportif à sa plus simple

expression, L’esprit sportif dans sa forme populaire, L’esprit sportif en tant que vertu et L’esprit sportif à son paroxysme;

- catégoriser des conduites sportives issues des histoires de leurs élèves selon les quatre manières de concevoir l’esprit sportif et y réagir ;

- classifier leurs évènements marquants selon les quatre manières de concevoir l’esprit sportif; - distinguer les processus cognitifs inhérents au modèle de l’action morale de Rest (1984) :

interprétation morale, jugement moral, choix moral, action morale;

- établir un parallèle entre le modèle de Rest (1984) et l’épistémologie socioconstructiviste de l’approche de formation par compétence privilégiée par le MÉES (MÉLS, 2007; MÉQ, 2006a, 2006b);

- comprendre trois exemples d’activités conçues pour le développement moral des élèves en ÉPS;

- amorcer un tableau de planification en y insérant des tâches d’apprentissage susceptibles de contribuer au développement de l’esprit sportif en tant que vertu;

- préparer la première rencontre d’accompagnement individuel, à savoir : (1) finaliser l’élaboration de leur tableau de planification; (2) sélectionner dans ce dernier la/les activité(s) estimée(s) prometteuse(s) et la/les bonifier en vue d’une éventuelle présentation au formateur; (3) identifier les groupes d’élèves auprès desquels leur(s) activité(s) sera/seront éventuellement implantée(s); (4) faire parvenir au formateur un courriel afin de déterminer la date d’une première rencontre individuelle d’accompagnement.