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CHAPITRE II : MATERIEL ET METHODES

2.3. Méthodes

2.3.5 Analyses statistiques

RGUP = Rendement en Grains par Unité Parcellaire

PGRCUP = Poids en Grains de la Récolte sur chaque Carré de rendement d’une même Unité Parcellaire ; n = nombre total de carrés de rendement par unité parcellaire d’un traitement donné

RGH = Rendement en Grains par Hectare ; SC = Surface d’un Carré de rendement ; 10000 m² = l’équivalent d’un hectare.

2.3.5 Analyses statistiques

Pour l’analyse descriptive des différents ravageurs collectés le tableur Excel 2016 a été utilisé pour la collecte et le classement des données. Les comparaisons statistiques entres les différents traitements sont réalisées à l’aide d’une analyse de variance ANOVA avec le logiciel SAS 9.2 par la procédure General Linear Model (GLM). Lorsque l’analyse de la variance révèle des différences significatives, le test de séparation des moyennes de Student- Newman-Keuls a été appliqué au seuil de 5%.

Réalisé par GOUNON F.S. Edwige 25 CHAPITRE III : RESULTATS ET DISCUSSION

3.1. Résultats

Effet des différents traitements sur les populations d’insectes.

Les insectes dont les densités ont été évaluées en fonction des divers traitements comprennent : M. sjostedti, M. vitrata, A. craccivora, C. tomentosicollis.

3. 1.1 Évolution de la population de A. craccivora en fonction des différents traitements La figure 11 nous présente la dynamique de la population de Aphis craccivora en fonction des différents traitements. Le prélèvement des Aphis ont débuté le 30 ème jour et pris fin le 51 ème

jour après semis. L’infestation des fleurs est très faible et augmente progressivement jusqu’au 37ième JAS où on observe le pic suivi d’un déclin au 51ème JAS. La forte densité de la population de A. craccivora a été enregistrée dans les parcelles témoin.

Le tableau I nous montres l’effet des insecticides sur les populations de Aphis craccivora.

L’application des insecticides se sont révélées hautement significative (P< 0,0001). Le test SNK à 5% a montré que les densités sur les parcelles témoins diffèrent statistiquement de celles des parcelles traitées à l’huile de neem, du champignon Beauveria bassiana isolat 115, leurs combinaisons et aussi le Décis .

Figure 11: Dynamique de la population de’Aphis craccivora en fonction des différents traitements

T0: témoins; T1: Décis, T2: neem ; T3: Bb115 (25g/ha), T4: Bb115 (50g/ha), T3: Bb115 (75g/ha); T6:

neem+Bb115 (25g/ha), T7: neem+Bb115 (50g/ha), T6: neem+Bb115 (75g/ha) 0

Réalisé par GOUNON F.S. Edwige 26 Tableau I: Effets des insecticides sur les populations de Aphis craccivora

Les moyennes de cette colonne représentant les mêmes lettres ne sont pas significativement différentes au seuil de 5% selon le test de SNK

SE= erreur standard

3.1.2 Dynamique de la population de M. sjostedti en fonction des traitements

La figure 12 nous présente le nombre moyen de thrips en fonction des traitements et du nombre de jours. Au début des prélèvements, l’infestation des fleurs est très faible et augmente progressivement jusqu’au 37 ème JAS suivi d’un léger déclin puis augmente jusqu’à l’apparition d’un second pic au 51 ème JAS suivi d’un déclin au 58 ème JAS. Le record de la population de thrips a été enregistré dans les parcelles témoins. Cette évolution obtenue est dû à la forte densité de thrips coïncidant avec la disponibilité des substrats alimentaires (confère figure 12). Du tableau 2 qui nous montres l’effet des insecticides sur les populations de M.

sjostedti, il ressort une différence significative entre la parcelle traitée et la parcelle témoin.

Traitements Moyenne ±SE

T0 : Témoin 55,65 ± 13,46 a

T1 : Décis 0,5 ± 0,23 b

T2 : Neem 0,9 ± 0,48 b

T3 : Bb115 (25g/ha) 1,85 ± 1,1 b

T4 : Bb115 (50g/ha) 0,9 ± 0,47 b

T5 : Neem+ Bb115 (75g/ha) 1 ±0 ,47 b

T6 : Neem+ Bb115 (25g/ha) 0,75 ± 0,38 b

T7 : Neem+ Bb115 (50g/ha) 1,05 ± 0,53 b

T8 : Neem+ Bb 115(75g/ha) 1,3 ± 0,61 b

Réalisé par GOUNON F.S. Edwige 27 Figure 12: Nombre moyen de thrips en fonction des traitements et du nombre de jours

T0: témoins; T1: Décis, T2: neem ; T3: Bb115 (25g/ha), T4: Bb115 (50g/ha), T3: Bb115 (75g/ha); T6:

neem+Bb115 (25g/ha), T7: neem+Bb115 (50g/ha), T6: neem+Bb115 (75g/ha)

Tableau II : Effets des insecticides sur les populations de M. sjostedti

Traitement Moyenne ± SE

Les moyennes de cette colonne représentant les mêmes lettres ne sont pas significativement différentes au seuil de 5% selon le test de SNK

SE= erreur standard

3.1.3 Évolution de la population M. vitrata en fonction des traitements

La figure 13 présente la dynamique de la population de M .vitrata en fonction des

Réalisé par GOUNON F.S. Edwige 28 JAS suivi d’un déclin au 58 ème jour. Dans les fleurs comme dans les gousses, les larves de stade 1, 2, 3, 4, 5 ont été observées aussi bien sur les parcelles traitées que le témoin.

L’infestation des larves L1, L2, L3, L4, L5 sont plus faible dans les organes collectés sur des parcelles traitées alors que celles des parcelles du témoin sont les plus infestées (Figure 13).

L’analyse statistique du tableau III qui montre l’effet des insecticides sur la population de M.vitrata, révèle que les parcelles traitées au décis, à l’huile de neem et à B. bassiana à différentes doses et leurs combinaisons sont significativement différents du témoin.

Figure 13:Dynamique de la population de M .vitrata en fonction des traitements

T0: témoins; T1: Décis, T2: neem ; T3: Bb115 (25g/ha), T4: Bb115 (50g/ha), T3: Bb115 (75g/ha); T6:

neem+Bb115 (25g/ha), T7: neem+Bb115 (50g/ha), T6: neem+Bb115 (75g/ha)

Tableau III :Effets des insecticides sur la population de M. vitrata

Les moyennes de cette colonne représentant les mêmes lettres ne sont pas significativement différentes au seuil de 5% selon le test de SNK 0

Nombre moyens de Maruca sur 20 fleurs

Jours après semi

Réalisé par GOUNON F.S. Edwige 29

SE= erreur standard

3.1.4 Effets des insecticides sur la population de C. tomentosicollis

Le tableau VI nous présente l’effet des insecticides sur la population de punaise .L’analyse statistique révèle qu’il y a une différence significative entre les parcelles traitées et les parcelles témoins. L’huile de neem et B.bassiana ont contrôlé de la même manière population de C. tomentosicollis

Tableau VI: Effets des insecticides sur la population de punaise

Traitements Moyennes ± SE

T0 Témoin 7,35 ± 2,94 a

T1 Décis 0,8 ± 0,27 b

T2 Neem 0,55 ± 0,18 b

T3 : Bb115 (25g/ha) 0,9 ± 0,33 b

T4 : Bb115 (50g/ha) 0,9 ± 0,35 b

T5 Neem+ Bb115 (75g/ha) 1,45 ± 0,45 b T6 Neem+ Bb115 (25g/ha) 1,4 ± 0,46 b T7 : Neem+ Bb115 (50g/ha) 1,5 ± 0,48 b

T8 :Neem+ Bb 115(75g/ha) 1,5 ± 0,48 b

Les moyennes de cette colonne représentant les mêmes lettres ne sont pas significativement différentes au seuil de 5% selon le test de SNK SE= erreur standard

3. 1.5 Rendement en grains par kg /ha

La Figure 14 présente l’impact des traitements sur le rendement moyen du niébé. L’analyse de la variance montre une différence hautement significative en ce qui concerne le rendement (p˂0,0001). Il est a noté que les traitements phytosanitaires quel que soit leurs origines ont augmentés le rendement. Néanmoins les combinaisons de bio-insecticides semblent avoir les mêmes impacts sur le rendement comparativement aux autres traitements.

Réalisé par GOUNON F.S. Edwige 30 Figure 14: Impact des traitements sur le rendement moyen du niébé

T0: témoins; T1: Décis, T2: neem ; T3: Bb115 (25g/ha), T4: Bb115 (50g/ha), T3: Bb115 (75g/ha); T6:

neem+Bb115 (25g/ha), T7: neem+Bb115 (50g/ha), T6: neem+Bb115 (75g/ha)

Les histogrammes surmontés des mêmes lettres ne sont pas significativement différents au seuil de 5% (Analyse de variance suivi de SNK).

3.2 Discussion

Le but des stratégies de gestion phytosanitaire durable est de minimiser la perte économique occasionnée par des insectes ravageurs. Le niébé est une importante plante alimentaire dont la production et la valorisation sont d’une grande priorité pour l’amélioration de la sécurité alimentaire de la population. Les résultats du présent travail montrent que les deux biopesticides utilisés ont induit de forte mortalité des principaux ravageurs du niébé comparativement aux témoins

3.2.1 Effets des insecticides sur la population de Aphis craccivora

De manière générale, on constate un pic qu’à partir du 37ème JAS suivi d’un déclin au 51ème JAS montrant une diminution de la densité de population de A. craccivora compte tenu de l’effet insecticide des traitements effectués. Au niveau des traitements la densité est moins élevée que chez le témoin ce qui témoigne de l’efficacité des différents traitements utilisés.

Aucune différence significative n’est remarquée entre les combinaisons et les traitements uniques. Ce qui nous permet de dire que les différentes concentrations de B. bassiana ont contrôlées de la même façon le ravageur. L’efficacité de B. bassiana sur A. craccivora a été

0

Réalisé par GOUNON F.S. Edwige 31 aussi démontrée par Ame et al., (2011) ainsi que Saranya et al., (2010). Néanmoins, ce dernier affirme que le taux de mortalité est relatif à l’augmentation de la concentration. Ce constat est contraire à nos observations. Cette différence pourrait s’expliquer par la mobilité de l’insecte (capacité a vite se déplacé afin d’échapper à l’agent pathogène) ou des conditions environnementales.

3.2.2 Effets des insecticides sur la population de M. sjostedti

On constate au début des prélèvements un faible taux d’infestation qui augmente progressivement jusqu’à atteindre un premier pic suivi d’un léger déclin puis augmente jusqu’à l’apparition d’un second pic suivi d’un déclin. Une baisse de M. sjostedti a été observé aussi bien sur les parcelles traitées que sur les parcelles non traitées. Mais ce nombre est plus important chez les non traités. Malgré cette baisse, ce nombre reste élevé. Selon Ezueh (1981), les dégâts causés par M. sjostedti au sud du Nigéria, deviennent inquiétants lorsque la pression parasitaire est de 9 thrips par plant. Au niveau des parcelles traité avec le neem on constate une diminution du nombre ainsi que sur celle traitée au champignon Bb 115 comparativement au témoin ce qui est conforme aux travaux de Gbenontin et al., (2016) qui affirme que le bio pesticide botanique à base de neem a été très létal pour les nymphes et les adultes de M. sjostedti et que, l’isolat fongique a induit des mortalités de nymphes et d’adultes de M. sjostedti. Aussi les travaux de Toffa et al., (2014) qui ont confirmé la pathogénicité et la virulence au laboratoire de cet isolat. Ce nombre est encore moins au niveau des combinaison ce qui se justifierait par une addiction des effets de chaque produit ou par le fait que, dans le mélange des deux produits, l’azadirachtine contenu dans le neem n’a pas inhibé l’action des conidies contenues dans le champignon. Néanmoins, on remarque une similitude à ceux obtenus avec les traitements uniques ce qui est conforme aux travaux de de Trang et Chaudhari (2002) qui ont observé des forts taux de mortalité de Spodoptera littoralis testé à partir de la combinaison d’un baculovirus, Nuclear Polyhedrosis Virus (NPV) et d’un insecticide chimique ; deux produits de natures d’action différentes.

3.2.3 Effets des insecticides sur la population de Maruca vitrata

Au début des prélèvements, l’infestation des fleurs et gousses est généralement faibles et augmente progressivement jusqu’à atteindre le pic suivi d’un déclin. Une différence significative est notée entre les témoins et les autres traitements. Cela résulterait de l’efficacité des différents insecticides dans le contrôle de M. vitrata dans les fleurs et dans les gousses. En

Réalisé par GOUNON F.S. Edwige 32 effet l’application individuel de l’huile de neem et du Bb 115 ont permis de réduit la population de M. vitrata. Ces résultats apparaissent comme une preuve de plus sur les propriétés insecticides du neem déjà mentionnées par bon nombre d’auteurs. Haseli et Weibel (2004) ont montré l’efficacité des extraits de neem sur les insectes ravageurs dans la population des cerises. De la même façon, Toffa et al., (2014) après manipulation du mélange Topbio (huile de neem combinée avec des huiles essentielles) avec la poudre de B.

bassiana et un témoin sans aucun traitement, a aussi remarqué qu’ils ont considérablement réduit la densité de la population de M. vitrata et des autres espèces insectes ravageurs M.

sjostedti, et C. tomentosicollis ainsi que le niveau de dommages sur les organes fructifères.

3.2.4 Effets des insecticides sur la population de Clavigralla tomentosicollis

Les résultats montrent que le nombre moyen des punaises observé chez les témoins est de 7,35 tandis que ce nombre varie de 0,8 à1,5 sur les parcelles traitées. Cette réduction est due aux effets des insecticides.

3.2.5 Effets des insecticides sur le rendement

Les différents traitements insecticides ont tous présenté de bon rendement comparativement au témoin étant donné qu’ils ont contrôlés la population des ravageurs. Les tests d’efficacité des différents biopesticides ont montré que leurs rendements pris séparément sont presque identiques à ceux des différentes combinaisons. De plus, ces résultats sont comparables à ceux du Décis (insecticide de synthèse). Ce qui s’expliquerait par la similitude remarquée déjà au niveau du contrôle des ravageurs. Ces résultats ont été confirmée par Bonni et al., (2018) qui ont montré que l’insecticide à base de neem est aussi efficace que l'insecticide synthétique (Cyperméthrine 35g/l + chlorpyrifos 300g/l) dans la lutte contre les chenilles endocarpiques, P. gossypiella Saunders (Lepidoptera ; Gelechiidae) et T. leucotreta Meyrich (Lepidoptera ; Tortricidae). Selon Abdoulaye et al., (2018), la combinaison de l’huile de neem et de virus MaviNPV qui est un pesticide à double action donne un rendement comparable à celui des traitements contenant uniquement des extraits huileux des graines de neem au cours de l’essai où des populations plus importantes de M. vitrata sont remarquables.

Réalisé par GOUNON F.S. Edwige 33 CONCLUSION ET PERSPECTIVES

Les études réalisées ont permis d’apprécier l’efficacité de la combinaison des biopesticides l’huile de neem et le champignon pour la gestion des principaux ravageurs du niébé au champ. Les différents résultats obtenus ont permis de déduire que l’action individuelle du neem et du champignon ont réduit la densité des ravageurs mais aussi que leur action collective à réduire significativement le taux de ces ravageurs et a permis ainsi l’obtention de meilleur rendement.

Afin de comprendre le mode d’interactions qui existe entre ces deux biopesticides des études complémentaires est souhaitable. A cet effet, il faudra faire des recherches sur la combinaison de ces différents biopesticides avec d’autres existants, leurs effets sur les autres ravageurs du niébé.

Réalisé par GOUNON F.S. Edwige 34 REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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