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ADOPTE A L'UNANIMITE DES VOTANTS

Dans le document Monsieur le Maire (Page 131-139)

ABSTENTION DU GROUPE SOCIALISTE

ABSTENTION DU GROUPE RASSEMBLEMENT NATIONAL-SIEL ABSTENTION DU GROUPE ECOLOGISTE

ABSTENTION DE M. FELTESSE

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Je me charge de la présentation. Je ne vais pas beaucoup plus développer que ce qu’il y a écrit dans la délibération.

Elle est exhaustive. L’idée étant d’incarner l’intention que l’on avait affichée, le 7 mars, sur ce que j’avais appelé à l’époque une Maison de la parole. Notre patrimoine immatériel et matériel nous porte plutôt à parler d’échoppe, et c’est ce que je vous propose. C’est un lieu qui est à déterminer même si j’imagine que la Maison écocitoyenne pourra en être le lieu d’accueil, un lieu où le débat, les échanges, la co-construction pourraient se dérouler.

Cette échoppe, c’est un dispositif aussi immatériel. C’est trois volets. L’incarnation physique, c’est un lieu de débat. Et puis, c’est aussi un espace digital avec bordeaux-debat.fr. C’est ce que l’on a retrouvé avec le Budget participatif. C’est les pré-Conseils municipaux que l’on vient de vivre. C’est les différents questionnaires et autres consultations qui sont mis en œuvre. Et par ailleurs, cela va être tout un dispositif itinérant sur le territoire avec des déambulations, des balades urbaines. C’est tout ce qui se fait déjà, mais qui va être amplifié avec une participation citoyenne in situ. Cela correspond véritablement à l’idée qui est développée sur cette ville, depuis 1995, avec la création des conseils de quartier - avant même que la loi VAILLANT les rende obligatoires - les Mairies de quartier, là on va un petit peu plus loin avec un lieu dédié à la concertation et pas simplement à un projet.

Qui souhaite intervenir là-dessus ? Monsieur HURMIC.

M. HURMIC

Oui, Monsieur le Maire, d’abord, nous trouvons cette proposition quand même très vague. Elle mériterait d’être construite. Elle le sera vraisemblablement, si j’ai bien compris, dans les semaines qui viennent.

On a posé un certain nombre de questions en commission pour avoir une idée quand même plus précise de ce que sera cette échoppe en demandant où sera le lieu physique, on n’a pas eu de réponse. Est-ce qu’il y aura des créations de postes pour que des gens travaillent dans cette échoppe pour lui donner vraiment de l’envergure ? On n’a pas eu de réponse. Quel sera son budget ? On n’a pas eu de réponse. Quelle sera la date d’ouverture ? On n’a pas eu davantage de réponses.

Ce que l’on a compris par contre, et vous me direz si je me trompe, c’est que cette échoppe a vocation à regrouper l’ensemble des dispositifs de participation citoyenne, et notamment le pré-Conseil municipal que vous avez expérimenté la semaine dernière, et Delphine JAMET qui y a assisté, en dira quelques mots.

D’ores et déjà, permettez-nous de dire un certain nombre de propositions concernant ces pré-Conseils municipaux.

Vous savez, nous, on a l’habitude de regarder un peu ce qui se fait dans d’autres villes. Déjà, cela avait souvent le soin d’hériter totalement votre prédécesseur, notamment quand on citait la Ville de Paris. En matière de pré-Conseils municipaux, la Ville de Paris a expérimenté le système un peu avant Bordeaux. En tout cas, il est peut-être encore en cours d’expérimentation. Ce que je trouve dommage dans votre projet de pré-conseil, mais il peut peut-être avancer, c’est que les seules personnes que vous concertez, ce sont les membres des commissions permanentes des quartiers. C’est très bien, des personnes éminemment respectables, mais j’ai envie de dire dans des villes comme Bordeaux, comme partout, vous avez toujours des concertés institutionnels, c’est-à-dire des gens qui sont dans toutes les concertations.

Ce n’est pas ceux-là tellement qu’il faut concerter malgré leur qualité, c’est-à-dire ouvrez la concertation à des gens qui ne sont pas forcément ces concertés. Or, là, vous avez limité aux membres des commissions permanentes, et je vous suggère de regarder un peu ce que fait Paris. À Paris, tous les volontaires peuvent participer à ces pré-Conseils municipaux dans la limite des places disponibles. Et en cas d’affluence, le Maire envisage de procéder à un tirage au sort, ce que je trouve pas mal. Vous savez, le tirage au sort, on y est favorable. Nous, on vous l’a proposé déjà à plusieurs reprises, et effectivement les habitants tirés au sort pourront prendre la parole pendant 2 minutes et donner leur avis.

Si je cite Paris également, Monsieur le Maire et Monsieur l’Adjoint, c’est parce qu’ils nous avaient également précédés sur un outil quand même de démocratie locale dont vous avez pu vérifier le succès tardif, mais réel, c’est-à-dire les Budgets participatifs. Vous savez que Paris est vraiment en pointe dans le domaine. Ils ont 5 % du budget d’investissement. C’est, paraît-il, le plus grand budget de ce type au monde par rapport au nombre d’habitants.

Donc, effectivement, c’est un succès que, là aussi, nous vous conseillons de monter en puissance pour que l’on ait une part plus conséquente de notre budget d’investissement qui puisse être entre les mains des budgets participatifs.

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se passait à Paris, un Conseiller municipal qui est proche, je pense, de votre obédience, puisqu’il est qualifié de Député juppéiste, je pense que cela ne va pas vous heurter…

M. le MAIRE

Cela me fait même plaisir.

M. HURMIC

C’est Pierre-Yves BOURNAZEL, il s’appelle. Pierre-Yves BOURNAZEL, je fais attention, je connais les nuances qui existent dans votre famille politique… Donc le Député juppéiste, Pierre-Yves BOURNAZEL suggère, par exemple, de procéder à des référendums locaux. Là aussi, c’est ce que l’on vous suggère depuis 4 ans et demi. À Paris, les membres de votre famille politique proposent à Anne HIDALGO des référendums locaux. N’attendez pas Paris, faites-le avant. Il propose également, toujours le même BOURNAZEL, votre ami politique, que les Budgets participatifs passent de 5 à 10 % des investissements. Donc, cela, ce sont des pistes de travail, à notre avis, intéressantes desquelles vous pourriez un peu vous inspirer.

Puis, enfin dernier point, sur cette démocratie participative que vous nous proposez à l’occasion de cette échoppe.

Moi, j’ai l’impression que la participation, parfois, vous vous moquez un petit peu de nous, et des Bordelais en l’occurrence. Je prends d’ailleurs un exemple. Vous direz que j’en parle souvent, mais il illustre assez bien votre façon de fonctionner. La Jallère, oui vous l’aviez deviné, mais je vous en parlerai tant que vous n’aurez pas mis un peu votre logiciel à l’heure. La Jallère, vous avez lancé en 2018 une concertation, et en même temps vous vous moquez un peu des Bordelais puisque, parallèlement, vous êtes en train de mettre en place un dossier d’enquête publique, une modification d’enquête publique sur la base de la modification du PLU qui va se tenir du 11 juin au 11 juillet 2019, donc qui va s’arrêter prochainement. On a regardé de près cette modification que vous nous proposez. Elle est spécialement conçue pour correspondre précisément au projet MICHELIN alors que c’est là où vous vous moquez des concertés, vous avez actuellement sur la concertation 96 % des avis déposés sur le site de Bordeaux Métropole qui se prononcent contre ce projet. Donc, vous avez un site de concertation. 96 % des gens qui vous disent : « On est hostiles au projet MICHELIN », et parallèlement, vous faites discrètement, et j’ai envie de dire, en catimini, une révision du PLU pour imposer le projet MICHELIN en nous faisant du sur-mesure.

Comment voulez-vous que les gens, après, acceptent de jouer le jeu de la concertation quand ils ont l’impression que l’on se moque d’eux de telle façon ? Et pourquoi voulez-vous modifier le PLU actuellement alors que vous dites vous-même : « La Jallère, c’est ouvert, on va réviser tout cela » ? Mais pourquoi vous demandez aux gens d’approuver le projet MICHELIN alors puisque le dossier est ouvert, et que dans les jours qui viennent, ou dans les semaines qui viennent, vous allez, paraît-il, nous annoncer un nouveau projet ?

Donc voilà un peu la concertation à la bordelaise. Je trouve que c’est un peu bancal. Donc, bonne chance à l’échoppe, mais admettez que l’on est quand même un petit peu circonspect sur la façon dont vous concevez la concertation.

M. le MAIRE

Merci Monsieur HURMIC. Le projet de la Jallère, et on en reparlera en septembre, moi, je n’ai pas de souci par rapport à cela, il ne se résume pas qu’à des logements. Et j’ai toujours dit, en tout cas, depuis quelques semaines, qu’il y avait trois niveaux sur ce projet de la Jallère. Il y avait toute la zone identifiée comme étant une zone d’accueil d’activité, premier point. Le second niveau territorial sur le secteur, c’est la ferme urbaine et le projet IKOS. Et le troisième niveau, c’est le logement. L’engagement que j’ai pris, et que je formaliserai, c’est que et sur l’activité et sur la ferme urbaine et le projet IKOS, cela, je ne souhaitais pas que l’on revienne dessus. Par contre, sur le troisième volet, celui du logement, ce que j’ai annoncé, c’est que l’on remettait le dossier sur la table, et que l’on remettait le dossier sur la table. Et cela fera l’objet d’échanges, de présentation, et on verra si on maintient ce qui a été prévu, ou si on passe à zéro logement. Je pense que la vérité sera entre les deux, mais on verra le moment venu, et rien n’est figé à ce niveau-là. Et la modification du PLU, c’est aussi pour permettre et l’activité et le projet de ferme urbaine et le projet IKOS. Donc, arrêtez d’agiter ce chiffon rouge, à chaque fois que vous perdez du pied à la limite sur un sujet, vous allez me chercher un autre sujet pour conforter votre vision.

S’agissant de ce qui se passe ailleurs, je serais tenté de dire qu’avec vous, l’herbe est toujours plus verte ailleurs.

Sauf qu’à Paris, excusez-moi de le dire comme cela, ce sont vos amis qui sont dans la majorité municipale. C’est

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préféré à la limite que vous citiez le nom d’élus dans la majorité de Madame HIDALGO, et vous ne le faites pas. Et d’ailleurs, si c’était si idéal, ils n’auraient pas prévu de faire une liste contre Madame HIDALGO, ils travailleraient ensemble. Donc arrêtez toujours d’aller chercher des exemples ailleurs. On n’a pas à rougir à Bordeaux de ce qui s’est fait depuis des années et des années en matière de concertation et de consultation de la population.

S’agissant des pré-conseils, c’est un premier pas, on l’a annoncé. Ce n’est pas vous qui nous l’avez proposé, c’est nous qui l’avons fait. Arrêtez toujours de vous attribuer des choses. On peut très bien aussi réfléchir par nous-mêmes. On n’est pas obligé toujours d’aller lire la Bible de Monsieur Pierre HURMIC ou d’aller s’incliner devant les implorations de Monsieur HURMIC. On peut aussi avoir nos idées. Vous savez, on réfléchit, et on fait des choses.

Madame JAMET.

MME JAMET

Je crois que Monsieur HURMIC n’a pas parlé du pré-conseil comme si cela avait été une de nos idées, donc, non.

Pour parler de l’échoppe, en fait, effectivement, moi, j’ai assisté au pré-conseil pendant 2 heures. C’était très instructif, très intéressant. Je remercie les Conseillers de quartier qui sont venus participer à ce premier exercice, et effectivement, un des conseillers enfin a quand même dit, et c’était assez drôle, et c’est vrai que cette réunion, en fait, à la fin, on nous a présenté l’espèce de rôti. Il a quand même dit que le rôti était déjà tout ficelé. Et, effectivement, pour ces deux délibérations qui étaient présentées, vu qu’il n’y allait pas y avoir d’amendement...

on voit bien qu’il n’ait pas pu y avoir… là, je suis un peu étonnée qu’en fait vous n’ayez pas…

M. le MAIRE

Vous essayez d’aborder un sujet de façon très sérieuse avec des…

MME JAMET

C’est ce qu’il a dit. Ce n’est pas moi qui l’ai dit. Excusez-moi, j’y étais. J’y suis allée jusqu’à la fin… C’était drôle.

C’est ce que je suis en train de vous dire, Monsieur le Maire, je suis en train de vous dire que, comme ce n’était pas suffisamment en amont, certains conseillers ont pu se dire que cela n’allait pas avoir de sens pour aujourd’hui.

Donc, Monsieur ROBERT a effectivement précisé que plus tard cela allait être plus en amont, et nous, nous pensons que ce n’est pas de 15 jours en amont qu’il va falloir faire ces pré-conseils, mais bien en avant.

Et je suis étonnée que vous ne repreniez pas en nous présentant cette délibération sur l’échoppe, mais cela aurait été bien de le faire en amont de la présentation de la délibération, ce qu’ont dit les conseillers de quartier parce qu’il n’y a pas eu d’unanimité sur cette échoppe au sein de ce pré-conseil…

M. le MAIRE

Vous pensez maintenant qu’il faut décider des choses dès lors qu’il y a unanimité ? MME JAMET

Non, mais je vous dis... Non, mais on fait un pré-conseil ou on ne fait pas un pré-conseil.

M. le MAIRE

Cela me rassure de vous l’entendre dire parce que des fois on en vient à en douter. On vient à douter du fait que l’on puisse avoir notre propre opinion, premier point. Que l’on puisse réfléchir par nous-mêmes, et maintenant qu’effectivement s’il y a une majorité, on peut faire des choses. Il ne suffit pas qu’il y ait l’unanimité surtout si elle est prescrite par Monsieur HURMIC et Madame JAMET.

M. le JAMET

Quand on fait un pré-conseil, on essaie d’écouter ce que disent les conseillers de quartier. C’est ce que j’ai essayé de faire. Donc je vous dis, moi, j’ai assisté pendant deux heures au débat, il n’y a pas eu d’unanimité sur cette question de l’échoppe, puisqu’il y en a qui ont parlé d’échoppe mobile, d’autres ont dit qu’il fallait une échoppe dans chaque quartier de Bordeaux parce qu’il ne fallait pas recentraliser la parole, on est bien d’accord. C’est ce qui a été dit. Très peu ont dit qu’il fallait juste une seule échoppe, et en tout cas ils ont bien dit qu’il fallait que cela soit décorrélé d’une vue politique et de la municipalité.

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d’échoppe, et ce qui m’a mis effectivement en porte-à-faux où je me suis dit : « Effectivement, une échoppe pour faire du débat, c’est intéressant. » Je pense qu’avoir un lieu comme cela, c’est intéressant, sauf que le faire que dans un seul lieu, est-ce vraiment la bonne opportunité ? Donc, je remets un peu en cause le fait de faire un lieu unique de débat. Voilà mon intervention, Monsieur le Maire.

M. le MAIRE

Merci. Qui avait demandé la parole en premier ? Madame AJON.

MME AJON

Monsieur le Maire, chers collègues, si l’on ne peut que saluer en termes de démocratie participative l’avancée de notre ville avec la création du Budget participatif dernièrement ou encore avec les pré-conseils, pour ce qui est du Budget participatif, il était demandé de très longues dates par le groupe d’opposition, et encore plus fortement par le groupe des Écologistes.

En effet, la démarche de participation citoyenne pour permettre que la démocratie représentative soit plus en prise avec le réel des habitants de notre ville est un des vœux que nous portons depuis longtemps. Nous souhaitons que les dispositifs soient mis en place afin de ne pas restreindre le citoyen à son rôle actif, à la vie de la cité, à son simple droit de vote. À ce titre, nous avions, dès 2012, fait de nombreuses propositions au Maire que nous vous avons une nouvelle fois exposées lors d’un groupe de travail, le mois dernier d’ailleurs, pour lequel nous n’avons encore pas eu de retour malheureusement.

À la lecture de cette délibération et à l’observation de ce que nous avons vu se dérouler, depuis de nombreuses années, nous avons peur d’entrevoir qu’il pourrait s’agir encore dans ce cas d’un consensus de façade derrière lequel les ambiguïtés demeurent nombreuses, comme cela a été le cas sur les ateliers d’urbanisme qui ont fait l’objet de production de livres nous expliquant que les grands projets urbains avaient reçu l’aval de toute la population alors qu’aujourd’hui ils sont décriés par tous.

Nous remarquons ainsi que la démocratie représentative et plus particulièrement l’opposition est gommée des instances et des relations avec les organes de démocratie participative. Nous remarquons aussi les risques que les élus ou les spécialistes municipaux de l’urbain soient plus préoccupés de vendre l’image de la Ville et de valoriser la politique municipale que d’intégrer l’opinion des habitants dans l’élaboration de l’action publique.

Dans ce cas, vous le savez, la démocratie participative renvoie aussi à toutes les initiatives plus spontanées et informelles qui résultent de citoyens eux-mêmes et de la société civile organisée dans le but de prendre la parole, protester, revendiquer et interpeller les autorités publiques. Cela correspond à ce que Pierre ROSANVALLON nomme la contre-démocratie que nous voyons de plus en plus présente dans notre société et peut-être particulièrement à Bordeaux. C’est le mouvement des Gilets jaunes. Ce sont les mouvements autour des arbres abattus sur Bordeaux. Ce sont les mouvements et les recours contre les arrêtés municipaux comme celui du Pont de pierre ou la colère contre la Villa Shamengo.

Tous ces mouvements sont ici pour nous démontrer que, lorsque la démocratie participative reste qu’un objet au service d’une équipe et non un outil complémentaire à la démocratie représentative dans son ensemble, cela ne fonctionne pas.

Je regrette vraiment que vous n’ayez pas présenté ce projet en amont de cette délibération, et que nous n’ayons pas pu travailler ensemble pour articuler la présence de l’opposition à l’échoppe afin que nous puissions participer, mais aussi parfois exposer notre point de vue sur les sujets qui sont présentés à la démocratie citoyenne.

Vous cherchez ainsi à nous cantonner, malheureusement, dans une situation de confrontation. Je le regrette. Les enjeux à venir méritent mieux et surtout que les actes et les paroles soient en accord.

Nous nous abstiendrons, malheureusement, sur cette délibération bien trop floue, et pas assez travaillée dans un esprit de co-construction. Je vous remercie de votre écoute.

M. le MAIRE

Merci. Monsieur FELTESSE.

M. FELTESSE

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Remarque, je rejoins les propos de Pierre HURMIC, Delphine JAMET et un peu d’Emmanuelle AJON, je trouve la délibération assez floue. Quand vous avez parlé dans votre discours du 7 mars d’une Maison de la parole, ou quand on a vu le titre de la délibération Échoppe, je pensais naïvement que c’était une espèce de maison du projet permanent avec une incarnation physique. Dans les propos que vous avez tenus, il y a quelques minutes, vous nous dites finalement que cela peut être à la Maison écocitoyenne. Et quand on lit la délibération, on se dit : « C’est

Remarque, je rejoins les propos de Pierre HURMIC, Delphine JAMET et un peu d’Emmanuelle AJON, je trouve la délibération assez floue. Quand vous avez parlé dans votre discours du 7 mars d’une Maison de la parole, ou quand on a vu le titre de la délibération Échoppe, je pensais naïvement que c’était une espèce de maison du projet permanent avec une incarnation physique. Dans les propos que vous avez tenus, il y a quelques minutes, vous nous dites finalement que cela peut être à la Maison écocitoyenne. Et quand on lit la délibération, on se dit : « C’est

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