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P ie rre Lévêque (L. L. 1931-33), p ro fesseu r agrégé au lycée M ontaigne, à Bordeaux, après quelques années d’absence, re jo in t l’Amicale e t c’est avec Joie que nous accueillons la « ré-ad h ésio n » ■de cet « A ncien».

Lacro'ix Joseph (G 48-50) nous a déjà envoyé sa carte d’adhé­ sion. Nous le rem ercions vivem ent et nous lui adressons nos \iv e s félicitatio n s p o u r son brillan t succès à la 2" p a rtie du professorat.

POSTES A POURVOIR

DANS L’ENSEIGNEMENT TECHNIQUE AU MAROC AU 1” OCTOBRE 1950

1 p ro fesseu r certifié ou licencié (H.), L ettres : Ecole in d u s­ trielle e t com m erciale de Casablanca.

1 p ro fesseu r certfié ou licencié (H. ou F.), L ettres : Collège des O ran g ers de Rabat.

1 chargé d’enseognem ent (H.), L e ttre : Ecole in d u strielle de Casablanca.

2 professeurs certifiés (H.), Sciences in d u strielles A ; Collège de P ort-L yautey, Lycée P œ ym irau de Meknès.

2 chargés d’enseignem ent {H.). M ath.-Sciences : Lycée Mangin de M arrakech, Collège de P ort-L yautey.

4 p ro fesseu rs certifiés (H.). D essin in d u striel : Ecole in d u s­ trielle de Casa, Collège des O rangers iRahat; Lycée P œ ym irau de Meknès, Collège de P ort-L yautey.

1 p ro fesseu r technique (H.). Teclmolo : Ecole in d u strielle de ■Casablanca.

1 p ro fesseu r technique (H.), Chef des trav au x : Lycée d’Oujda (chargé p rovisoirem ent de l'en-seignement du dessin et de la technologie).

1 p ro fesseu r technique (F.), Chef de trav au x : Section fém i­ nine du Lycée de Fès (éventuellem ent vacant).

3 professeurs licenciés (2 H., 1 F.), Arabe : Collège M ers-Sultan Casa, Collège de P ort-L yautey, Lycée P œ ym irau de Meknès.

1 chargée d’enseignem ent (F.), Anglais : Collège M ers-Sultan de Casablanca.

3 p ro fesseu r certifiés (H. ou F.), Commerce : Collège M ers-Sul­ tan Casa, Collège O rangers Rabat, Lycée Mangin M arrakech.

1 p ro fesseu r technique ad jo in t H. ou F.), Commerce ; Collège ■Orangers Ratiat.

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3 p ro fesseu rs techniques adjoints (H.), E lectricité : Ecole in d u strielle Casa, Collège O rangers Rabat, Lycée P œ ym irau Meknès.

2 p ro fesseu rs techniques adjoints (H.), Chef de B u reau d’é tu ­ des : Collège de P o rt-L y au tey , Lycée P œ ym irau Meknès.

3 p ro fesseu rs techniques adjoints (H.), A ju stag e-m ach in es- o u tils : Collège O rangers Rabat, Lycée P œ ym irau Meknès.

2 p ro fesseu rs techniqus ad jo in t (H.), Autom obile : Collège O rangers Rabat, Lycée P œ ym irau Meknès.

1 p ro fesseu r technique ad jo in t (H.), F raisag e-rab o tag e : Collège O rangers Rabat.

2 m aîtres tra v a u x m anuels (H.), F o rg e-so u d u re ; Collège O ran­ gers Rabat, Lycée P œ ym irau Meknès.

1 m aître de tra v a u x m anuels (H.), A justage : Lycée d’Oujda. 1 p ro fesseu r technique ad jo in t (F), C outure : Collège M ers- S ultan Casa.

3 m aîtres de tra v a u x m anuels (H.), A jusiage : Ecole profession­ nelle des Roches-Noires Casa, Ecole professionnelle Israélite de iRabat, Ecole professionnelle de Taza.

2 m aîtres de tra v a u x m anuls (H.), M enuiserie : Ecole profes­ sionnelle de Taza, Ecole professionnelle Israélite de Rabat.

1 m aître tra v a u x m anuels (H.), H orlogerie : Ecole profession­ nelle d’horlogerie de B eauséjour, Casablanca.

1 m aître de tra v a u x m anuels (H.), m açonnerie : Ecole du B âtim en t de Rabat.

1 m aître de trav au x m anuels (H.), F orge : Ecole profession­ nelle m usulm ane de la Ferm e-B lanche de Casablanca.

1 m aître de tra v a u x m anuels (H.), M otorisme : Ecole p ro fe s­ sionnelle m usulm ane de Meknès.

1 m aître de tra v a u x m anuels (H.), M otorisme : Ecole p ro fes­ sionnelle m usulm ane de Mazagran.

N. B. ■— Les can d id atu res à ces postes sero n t fa ite s en double exem plaire. Un de ces exem plaires d ev ra être adressé à la D irec­ tion de l’Enseignem ent technique, 2“ B ureau, 34, r u de C hâ- teaudun, P aris, l’a u tre se ra adressé à la D irection de l'In stru ctio n publique (Service de l’Enseignem ent technique), à Rabat.

Peuvent ê tre candidats à un poste de m a ître de tra v a u x m an u els titu la ire les p ro fesseu rs techniques adjoints des Centres d’a p ­ prentissage en fonction depuos au m oins un an.

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a oj[Ui£ /

DES MANUELS :

C om ptabilité (T om e I ) , C a to r (H a c h e tte , é d ite u r) : Le m anuel que publie n o tre cam arade Cator s’adresse aux élèves de 4® com m erciale des collèges. Conforme, q u a n t à la m atière traitée, aux program m es du 22 ju illet 1949, il com prend tro is p artie s :

— une in itia tio n comptable, — l’étude du jeu des comptes, — l a tenue des livres.

L’ouvrage n ’e st pas une sim ple rééd itio n de La 1" année tic com ptabilité que connaissent et u tilise n t beaucoup de m aîtres de l'enseignem ent com m ercial. Il apporte, s u r des points essentiels, les élém ents nouveaux d’u n in té rê t considérable.

L ’in itia tio n comptable, la p a rtie la plus délicate et souvent

la plus décevante de l’enseignem ent de la com ptabilité, a été en tièrem en t refondue. C ator ne s’en tie n t plus aux trav au x de D um archey; il s’appuie su r les principes exposés p a r Marcel M ary dans son M écanisme des systèm es de comptes. Après avoir précisé, en p a rta n t du compte, une p rem ière e t' indispensalde idée de classem ent des fa its à en reg istrer, il définit la notion de séries (série des em plois e t série des origines) e t m ontre com m ent s’effectuent les notations initiales, les v a ria tio n s dans les com ptes des deux séries, le changem ent de « é rie de certains con-qites, la liaison e n tre la série des charges et des produils et la série des em plois e t des origines...

Il se ra it in téressan t d’exam iner si la théorie com ptable adop­ tée p a r Cator, laquelle veut être « strictem en t ab stra ite et géné­ rale ainsi q u ’il sied à une m éthode statistiq u e susceptible des applications les plus v ariées q u an t à leu r form e et q u an t à leu r

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o b jet» , constitue, du f)oint de vue pédagogique, une solution en tièrem en t satisfaisan te aux problèm es que pose l’in itiatio n à la com ptabilité d’un public dont les possibilités intellectuelles sont encore lim itées. Le cadre d’un b re f com pte ren d u ne le p e r­ m et pas. Il a p p a rtie n t à chaque m aître de se dem ander dans quelle m esure cet essai de renouvellem ent p e u t ê tre fécond p o u r son enseignem ent.

Les innovations que com portent les deux autres parties de l’ouvrage, p o u r être m oins « ré v o lu tio n n a ire s» , n ’en sont pas moins im portantes : la term inologie e t les règles du plan com p­ table général ont été respectées, le nom bre des exercices a é té notablem ent augm enté et le u r rédaction tie n t com pte des m odi­ fications survenues dans les prix.

E st-il u tile de dire que, p o u r l’ensem ble de l’ouvrage, la m éthode d’exposition et la p résen tatio n re ste n t d’une qualité exceptionnelle. T o u t est clair, ordonné, m in u tieu sem en t gradué. Chaque pas en av an t repose su r u n te rra in bien p rép aré (d ferm e. L orsque l’exposé est co n train t de fa ire appel à une notion com plexe avant de disposer de tous les élém ents nécessaires p o u r son étude complète, il s’attach e scrupuleusem ent à n ’en pas brosser une image inexacte qu’il se ra it difficile de l’edresser p a r la suite.

Le je u des com ptes est patiem m en t analysé. Gator n’a pas- p erd u de vue que ce qu’il im porte d’abord d’obtenir de l’élève c’est de l’aisance e t de la sû reté dans la recherche des com ptes à d éb iter e t des com ptes à c réd iter en u tilis a n t u n plan com p­ table ré d u it à ses lignes principales.

L’ouvrage v ien t à son heure. L ’adoption p a r la D irection de l’E nseignem ent technique du plan com ptable général comme base essentielle des program m es de com ptabilité des collèges a Tendu inévitable la refonte des m anuels existants.

Sous l’im pulsion de m aîtres ém inents, p o u r la p lu p a rt rom pus aux m éthodes de l’enseignem ent su p érieu r, la •« science des com ptes » s’est progressivem ent libérée de ces conventions et de ces fictions qui, longtem ps, ont donné à qui ab o rd ait l’étude de la com ptabilité l’im pression de se tro u v er^en présence d’une discipline m ineure. Le trav ail de Gator ren d sensible toute l’éten ­ due du chem in parcouru. Nous lui souhaitons u n trè s v if succès.

Jean Ro u m a g n a c (Gce 23-25),

P rofesseur au Collège Arago.

R. M ERSIER : C ours d’Algèbre, C lasse de 3 ' du .G. T. • (E y ro lle s.)

Notre cam arade M ersier, d ire c te u r du collège technique de C ham pagne-sur-Seine, v ien t de p u b lier aux E ditions E yrolles un Cours d’Algèbre à l’usage des élèves des collèges techniques industriels, classe de 3',

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p artie s ; calcul algébrique (14 leçons), équations (11 leçons), progressions et logarithm es (5 leçons).

L’a u te u r a réu ssi à p ré se n te r un cours d’algèbre trè s p ro g res­ sif, en tr a ita n t dans le détail de nom breux exem ples de calcul. P lus de 300 exercices soigneusem ent gradués perm ettro n t à l’élève d’a c q u é rir la p ra tiq u e de cet outil indispensable : le calcul algébrique en vue de son u tilisa tio n dans les disciplines voisines e t dans la classe suivante, consacrée à l’étude des fonc­ tions et des problèm es d’application.

L a ru b riq u e « R em arques et Conseils » fo u rn it à l’a u te u r l’occa­ sion d’a ttire r l’atten tio n des m eilleurs élèves s u r certain s points im p o rtan ts qui le u r d eviendjont fam iliers p a r la su ite ; notions d ’hom ogénéité e t de sym étrie, .p e rm u ta tio n circu laire facilitan t les décom positions e n p ro d u its de facteurs, les calculs rela tifs au x fractions rationnelles; p récautions à prendre p o u r m an ier les radicaux, résoudre correctem ent les équations irrationneltes,..

Grâce à une p résen tatio n typographique agréable e t soignée soulignant les fa its à r e te n ir p a r cœur, cet ouvrage p erm e ttra de profiter de l’expérience pédagogique d’un de nos m eilleurs m aîtres.

J. Fa u r e (A 40-42),

P rofesseur au Collège Dorian.

R. BILLO TEA U ; P hysique ( F o u c h e r ) .

Autre cam arade R. B illoteau (Iiid. A 36-3R) v ien t de faire p a ra ître aux E ditions F oucher, dans la collection « Les Collèges techniques », le p re m ie r tome d’un cours de phy.sique à l'usage des élèves de nos collèges (Sections commerciales, et Sections .in d u strie lle s filles).

Cet ouvrage p o u rra être u tilisé p a r les élèves qui en tire ro n t le plus grand profit; la plus grande place est réservée à des schém as sim ples et aux légendes très détaillées qui accom­ pagnent chacun d'eux. Beaucouj) de ces schém as rep résen ten t des expériences réalisables en classe avec un m atériel presque ru d i­ m entaire.

Le texte, dépouillé de toute longueur, est facile à lire, le plus im portant est m is en re lie f p a r le choix des caractères d’im ­ p rim erie.

Notre cam arade a su rendre ail ray an t la p résen tatio n de son ouvrage sans n u ire p o u r cela à la rig u e u r de l’exposé.

C. e t L, Bl a n q u e t. DES ETUDES ECONOMIQUES :

L’o rg a n isa tio n d’une région agricole fra n ç a ise p a r ia C oopération.

La Société de C om ptabilité de Reims et de la région présente actuellem ent u n ouvrage in titu lé : L ’O rganisation d’une Région

Agricole Française par la Coopération (la Champagne ardennaise

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Cel im i)orlant ouvrage a, p o u r a u te u r M. H enri Lecoinple, ancien élève de l’Ecole Normale S u p érieu re d’Enseignem ent Technique, docteur en droit, p ro fesseu r h o n o raire de l’E nseigne- inent technique, com m issaire aux com ptes de Sociétés e t de Coopératives agricoles.

Après un to u r d’horizon su r les caractéristiq u es de la Cham­ pagne ardennaise, vous pourrez suivre l’évolution du m ouvem ent coopératif de cette région, depuis la naissance, en 1894, du Syn­ dicat agricole dé la Champagne qui devint ensuite « F éd ératio n de S yndicats» ju sq u ’à « L ’Union Agricole de la M arne» à laquelle cette fédération s’est rattach ée en 1942, conform ém ent à la loi

du 2 décem bre 1940. ^

Vous pourrez suivre égalem ent le développem ent e t l’o rg an i­ sation du « Crédit Agrfcole M utuel », l’intluence des coopératives agricoles su r le p rix du blé et des céréales secondaires, leu r in terv en tio n dans l’o rganisation du m arché des céréales avanl et après 1936.

Une étude générale su r les diverses coopératives de la région e t une m onographie fo rt détaillée su r la « Coopérative de J u n i- ville » font de cet ouvrage une docum entation des plus in té re s­ santes, avec sa bibliographie fo rt im p o rtan te et ses 472 pages de texte.

L ’im portance des problèm es ju rid iq u es, financiers, fiscaux et com ptables que cet ouvrage m et en évidence, e t qui reçoivent actuellem ent des applications de p lu s en plus grandes dans n otre région de Cham pagne doit re te n ir l’a tten tio n de tous ceux qui s’in téressen t à l’ag ricu ltu re en général et aux coopératives eu particu lier.

Les souscriptions sont reçues p a r la Société de Comptahilili'' de Reims e f de la région, 10, ru e H enri-Jolicœ ur, à Reiras, de* préférence p a r v irem en t postal à son com pte P a ris 7322-26 ou p a r chèque bancaire ou m andat adressé au tré so rje r de cette Société. E rs : 1.750 p a r volum e adressé franco.

DES ROMANS :

G eo rg es MAGNANE. — La T rêve olym pique.

(P a ris , A lbin M ichel, 1950, 296 p.)

L’œ uvre de n otre cam arade C atinaud ne laisse pas d’être im portante : elle compte déjà une dizaine de volum es dont les plus connus sont : L ’Epée du Roi, où flam boient les horizons m éd iterran éen s; Gerbe Baude, où il d écrit son beau L im ousin;

Le Bon L a it d’A m érique, reportage de grande v ale u r; l’étonnante B ête à Concours, P laisir d’A m our, dont j’ai déjà dit, dans n o tre B ulletin, to u t le bien qu’il fallait en penser, et deux ouvrages

fo rt réu ssis : Les H om m es F orts et Les B eaux Corps, de V ingt

ans, qui ap p artien n en t, ainsi que La Trêve O lym pique, à la

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Gar il a p ratiq u é à peu près tous les sports, notam m ent l’aviron et le jiu - jits u qui n'o'nt p o u r lui nul secret. Il a donc éprouvé toutes les ém otions qui jaillisse n t du je u des m uscles e t connaît adm irablem ent l’âm e des athlètes, leurs faiblesses et leurs dram es. G’est^ce qui donne à ses rom ans cet accent de v érité, ce ry th m e vital, cette saveur p lu tô t âpre qui en ren d en t la lecture si a tta ­ chante.

D ans celui dont nous rendons compte, il évoque les Olympiades, célébrées à L ondres en ao û t 1948, auxquelles il a assisté en re p o rte r avisé et en sp e ctateu r -frém issant. C’e st avec u n ra re ta le n t qu'il y dépeint les efforts, les espoirs e t les déceptions d’une équipe qui rep résen te les couleurs française. Son analyse lucide e t p én étran te p orte d’ailleu rs to u t spécialem ent su r l’un des cham pions, Caudron, intellectuel sp o rtif qui s’éprend, en quelque sorte à son insu, e t c’e st-là toute l’in trig u e, d 'une splen­ dide nageuse am éricaine dont l’énigm atique beauté l’étonne et l’attire .

Gomment fa ire sen tir, en un co u rt compte rendu, l’in térêt complexe de La Trêve Olympiques? Ge qui frap p e tout d’abord, dans la form e même, c’est la précision du tra it descriptif, le réalism e saisissan t des p o rtra its fortem ent burinés, l’a r t d’an i­ m er, en une fresque grandiose, les foules d éliran tes et de recréer l’atm o sp h ère du cadre londonien, u n ta n tin e t suranné, où se déro u len t les jeux. La langue, dru e e t nuancée, est p arfo is d’u ne v e rd eu r qui ne s a u ra it choquer quiconque a lu du S a rtre ou du Merle, lesquels fu re n t les collègues de C atinaud au Lycée P asteu r, véritable pépinière de rom anciers.

Le ton du livre est p lu s 'd ’une fois ironique et narquois. C er­ tain es allusions aux « canons de la grande église hollywoodienne « ou au « p a rap lu ie anglais » rév èlen t un hum our d’une sin g u ­ lière causticité. Au dem eurant, la sa tire sociale et même p oli­ tiq u e y éclate en des tra its acérés. Des considérations philoso­ phiques d’une réelle portée su r la guerre, la vie héroïque, les v ertu s engendrées p a r la p ra tiq u e du sport, etc., font de ce rom an u n livre profond, et qui force à penser.

Mais on y découvre su rto u t, sem ble-t-il, un charm e poétique .'Ubtil et p én étran t. C ertains ch ap itres sont to u t trav ersés d'un souffle épique. Le frém issem ent des foules h aletan tes et l’intense ém otion que dégagent les efforts dram atiq u es déployés p a r les cham pions se su rp assan t p o u r a rra c h e r la victoire sont ren d u s en des pages bouleversantes. E t puis, que de touchantes évoca­ tions de la n a tu re ! Comme le m ystère des eaux et des hois est délicatem ent suggéré !

La Trêve O lym pique m arque une étape im p o rtan te dans

l’œ uvre que patiem m ent co n stru it Catinaud, et qui nous réserve encore bien des surprises^

R. La r r ie u (L. L . 2 8 -3 0 ),

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DES POEMES :

Calm es e t Rem ous, R ecu eil de P o è m e s in é d its, ’ p ar Aimé YIALA, Insp ecteu r de l’Enseignem ent technique.

E dition num érotée, 80 pages. *

E xtra it de la Préface de P ierre ÜROSCLAUDE

P résid en t de la Société des Poètes F ran çais

« ...Ces vers révèlent un talent poétique certain... P a r leu r ém ouvante sincérité comme p o u r le u r agréable diversité, ils sont susceptibles de ch arm er un lecteur en quête d'évasion et de rêve... On tro u v e ra au fil de ce recueil des confidences de te n ­ dresse d’am our, d’exquis poèmes in sp irés p a r le foyer fam ilial, des fragm ents de m éditation devant le m ystère des choses; le poète nous d it le secret des paysages d’hiver, l’éternelle in stab i­ lité de la m er; il nous conduit des paisibles bords de la Seine aux som bres lacs d’A ngleterre; il retrace aussi des souvenirs de guerre... Lés poèmes de M. Y iala ne m anquent n i de grâce ni de sens m usical et il se ra it facile de c u eillir une heu reu se gerbe de vers substantiels e t bien venus... »

(Envoyr les souscriptions soit aux E ditions de la Coopérative de l’Enseignem ent, 3, place F élix -B aret, à M arseille, C. C. P. 443-35 M arseille, soit chez l’a u teu r, 34, boulevard Georges-Cle- menceau, C. C. P. 1067-45 Marseille.)

A U T R E S L I V R E S

H. G’OSSOT et P. MEJEAN, I n s p e c te u r s d ’A cadém ie :

La vie économ ique dan s le monde.

GEOGRAPHIE

3' année des Centres d’appretissage m asculins et fém in in s 1 vol. 1 8 x 2 3 , 0 pages : 195 francs..

(Editions Tardy, 15, ru e Joyeuse, B ourges (Cher) Voici enfin un m anuel simple, strictem en t conform e aux p ro ­ gram m es officiels. Sa rédaction est accessible, la m atière de ses ch ap itres très à jo u r est suffisam m ent riche. Son illu stratio n étro item en t attachée au texte.

Chaque ch ap itre com porte une carte, sim ple, claire, qui devra toujours être exam inée et commentée p a r l’élève. Le d e rn ie r ch ap itre, consacré aux croquis e t graphiques, contient p lu sieu rs

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exem ples qui com plètent de m anière in téressan te l’ouvraye. Quelques lectures viennent agrém enter l’ensem ble.

Les réd acteu rs de ce p etit livre, dont l’un fu t p ro fesseu r de l’E nseignem ent technique, ap p o rten t ici à leu rs collègues des Centres et à leurs élèves un in stru m en t de tra v a il commode et. efficace.

C arn et d’A telier (E y ro lles, 61, b o u le v a rd S t-G e rm a in ) A près quelques lignes d’avertissem ent destinées à l’élève et un ex trait du règlem ent des ateliers, vien n en t des in stru ctio n s su r la tenue du carn et et, précédées d’un exem ple, les pages con­ sacrées aux exercices.

D estiné aux élèves des E. N. P., des C. T., des Ecoles de M étiers et d’A rtisan at ru ra l, des C. A., ce carn et d’atelier a été adopté p a r le M inistère de l’E ducation nationale (D irection de l’E. T.).

CHARTIER : E ssai de géographie active : les m aiso n s ru ra le s .

(Le Pélican blanc, Ingénia.)

Nous avons déjà signalé, dans n otre d e rn ie r num éro, l’in térêt que p ré se n ta it cette te n ta tiv e originale.

De nouvelles planches sont venues e n ric h ir e t com pléter cette collection.

L ’essai que nous avons fa it en classe nous a m ontré que les élèves tro u v aien t p la isir et profit è confectionner ces jolies m aquettes qui illu stren t agréablem ent les leçons de géographie.

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Nous avons reçu ;

Colo (n° 147, avril 1950), bullelin de l'A ssociation des Anciens,

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