Titre : La protection des ressources naturelles Objectifs spécifiques d’apprentissage
Unité 2 Écologie des populations
(a) Pression de sélection : Facteurs, tels les conditions environnementales, qui sélectionnent certains traits d’individus et qui en défavorisent d’autres. (b) Le manque de partenaires compatibles, les barrières géographiques et
une grande différence de température ou d’humidité entre différents territoires.
(c) La conception darwinienne met l’accent sur le fait que les espèces bien adaptées survivent pour se reproduire et contribuer au patrimoine génétique de la population. La conception moderne, quant à elle, met davantage l’accent sur la reproduction différentielle que sur la survie différentielle.
G 'DQVOHFRPPHQVDOLVPHXQHSRSXODWLRQHVWEpQp¿FLDLUHGHODUHODWLRQ alors que l’autre n’est pas affectée. Dans le mutualisme, les deux popu-ODWLRQVWLUHQWSUR¿WGHODUHODWLRQ'DQVOHSDUDVLWLVPHODSRSXODWLRQK{WH VXELWGHVSHUWHVDORUVTXHO¶DXWUHOHSDUDVLWHEpQp¿FLHGHODUHODWLRQ'DQV la prédation, une espèce (le prédateur) dépend de la consommation d’une autre (la proie).
Unité 3 Écologie des communautés
(a) La niche représente le rôle fonctionnel de l’organisme dans l’écosystème, en plus de sa position et de son espace. La niche fondamentale est la par-tie de l’hypervolume qu’une espèce occupe en l’absence de compétition alors qu’une niche réalisée est celle occupée en contexte de compétition avec une autre espèce.
(b) Il n’y a pas de frontière claire entre les différents stades. On donne trop G¶LPSRUWDQFHDXU{OHGHODPRGL¿FDWLRQGXVLWH,OQ¶\DSDVGHX[ORWV de végétations qui soient identiques, donc la succession se déroulera de manière différente pour chaque cas. Les catastrophes naturelles nuisent à la stabilité. Il en va de même pour l’impact des activités humaines. (c) L’adaptation à une haute salinité : l’excrétion de sel par des glandes
spéciales, la tolérance sans blessure interne, l’accumulation de sel dans les feuilles et son exclusion. L’adaptation au substrat instable$¿QGH bien semer leurs graines, les mangroves sont des vivipares qui dévelop-pent un long hypocotyle qui s’enracine à la verticale. Pour leur aération et leur support, les mangroves ont : des racines adventives, des racines aériennes, des pneumatophores des racines-échasses.
(d) 1. Facteurs physiques : Les précipitations, le sol et la température. 2. Pâturage : La densité et le déplacement des herbivores. 3. Feux : Ils sont fréquents et intenses. 4. Culture
(e) Les plantes présentent les capacités adaptatives suivantes : 1. Des rosettes géantes dont la disposition protège la plante. 2. Des couches tenaces de feuilles mortes sur la tige. 3. De grosses touffes d’herbe.
(f) a. 10 000 x 4/50 = 800 individus par ha
b. Valeur d’importance du Commiphora baluensis: i. Densité relative = 600/1800 x 100 = 33,3% ii. Dominance relative = 40/100 x 100 = 40%
iii. Fréquence relative = 0,4/(0,4 + 0,6 + 0,4) = 42,8%
iv. Valeur d’importance = densité relative + fréquence relative + dominance relative = 33,3 + 42,8 + 40 = 116,1
Unité 4 Écologie des écosystèmes
(a) Le cycle hydrologique se traduit par l’équation P = E + T + R + I, où P=précipitations, E=évaporation, T=transpiration, R=eau de ruisselle-PHQWHW, LQ¿OWUDWLRQHQWUpHG¶HDXSDUOHVRO/HVELODQVQXWULWLIVVRQW intimement liés au cycle hydrologique car les précipitations transportent GHV QXWULPHQWV HQ VROXWLRQ OHV HDX[ GH UXLVVHOOHPHQW HW G¶LQ¿OWUDWLRQ soustraient des nutriments du système et la transpiration et ainsi que l’évaporation d’eau induisent la concentration et la conservation des nutriments.
(b) Niveaux trophiques : Il s’agit du résultat du groupement des espèces en fonction de leur rôle dans la chaîne alimentaire. On retrouve les auto-trophes, les décomposeurs, les herbivores, les carnivores et les omnivo-res.
(c) 1. Fixation de l’azote : Conversion de l’azote atmosphérique en composé chimique. 2. Assimilation et synthèse de protéines : les nitrates sont ti-rés de la solution de l’eau dans le sol par les plantes et sont par la suite incorporés dans le protoplasme au cours du processus de synthèse de SURWpLQHV$PPRQL¿FDWLRQ$SUqVOHXUPRUWOHVSODQWHVHWOHVDQLPDX[ passent par le processus de décomposition. De l’ammoniac est produit à partir des acides aminés par l’intermédiaire de l’action de la bactérie DPPRQL¿DQWH1LWUL¿FDWLRQ/¶R[\GDWLRQELRORJLTXHGHO¶DPPRQLDF HQQLWULWHVHWHQQLWUDWHV'pQLWUL¿FDWLRQ/¶D]RWHUHWRXUQHjVDIRUPH atmosphérique par le processus.
G /¶HI¿FLHQFHGHODSURGXFWLRQSULPDLUH/¶pQHUJLHGHODELRPDVVH NJ m2 x 20 mj kg-1=132, l’énergie globale reçue annuellement = 18,2 mj m-2
jour-2 x 365 jours= 6643. Donc, la production primaire = 132/6643 x 100 = 1,99%.
H 7DX[GHYDULDWLRQGHÀX[ XQLWpVMRXU-1/6 ha = 3,3 unités ha-1 jour-1; Taux de renouvellement = 20 unités/1000 = 0,02; Temps de renouvelle-ment = 1000 unités/20 unités jour-1 = 50 jours.
Unité 5 Protection des ressources naturelles
(a) La diversité alpha est le nombre d’espèces à l’intérieur d’un territoire donné ou d’une communauté donnée. La diversité bêta est la différence de diversité entre des espèces de différentes communautés ou différents territoires.
(b) Rares. Espèces ayant une petite population sur un territoire restreint, et qui sont menacées de devenir encore plus rare. Vulnérables : Espèces soit menacées, soit en nombre décroissant, ou soit encore qui ne se sont pas remises d’événements passés. En voie de disparition. Espèces dont la taille de la population est considérablement basse. Disparues. Espèces considérées comme disparues de la surface du globe.
(c) Selon l’intensité du pâturage, le pastoralisme aura des impacts soit SRVLWLIV VRLW QpJDWLIV ,O PRGL¿H OD VWUXFWXUH GHV FRPPXQDXWpV GH SODQWHVFDUOHVDQLPDX[EURXWHQWGHPDQLqUHVpOHFWLYH,OPRGL¿HOD productivité : a des degrés bas à modérés, il augmentera la productivité alors qu’à des degrés élevés, il a réduira. 3. Le transport des nutriments GDQVO¶pFRV\VWqPHSDUOHVPDWLqUHVIpFDOHV&HODPRGL¿HOHVVFKpPDV de fertilité du sol et favorise la diversité des plantes. 4. Le surpâturage mène à une augmentation de l’érosion du sol et, éventuellement, à un déclin de la productivité.
(d) Fonctions des forêts : régulation de la température; contrôle des inon-dations; régulation des cycles biogéochimiques; régulation de l’érosion du sol et des cycles de l’eau. Effets de la déforestation : inondations fréquentes; dérèglement du climat local; augmentation de l’érosion du sol; diminution de la fertilité du sol forestier et; diminution de la biodi-versité.
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l’étudiant Résultat à l’activité 1 Résultat à l’activité 2 Résultat à l’activité 3 Résultat à l’activité 4 Résultat à l’activité 5 Résultat au test du module
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Mon nom est Dr John K. Mworia. Je suis maître assistant à l’Université du Nairobi (école des sciences biologiques). Je suis spécialisé en écologie des plantes avec un intérêt marqué pour les espèces envahissantes exogènes, la biogéographie, les interactions plantes-animaux et les plantes médicinales. Vous pouvez me contacter par l’intermédiaire de mon adresse électronique : kjmworia@yahoo.com ou jmworia@uonbi.ac.ke
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