II. La Prothèse Partielle Adjointe et la Conception Assistée par Ordinateur
1. Généralités
La Prothèse Partielle Adjointe ou PPA, discipline ancienne et toujours d’actualité en chirurgie dentaire souffre aujourd’hui d’un constat alarmant : la qualité de conception des appareillages amovibles mis en bouche est médiocre (57) . Les raisons d’un tel échec tiennent principalement d’un manque d’études biomécaniques, d’un manque de préparations préalables adéquates et d’un tracé de plaque souvent réalisé au laboratoire, en dehors de toute information clinique. En effet, jusqu’à 60% des travaux arrivant au laboratoire ne contiennent pas d’indication du chirurgien-dentiste pour le dessin de plaque. Pourtant, le cadre légal ne fait aucun doute : le praticien est le concepteur et le maitre d’œuvre de la prothèse, le prothésiste en est le fabricant. De plus, le consensus universitaire, appuyé par de nombreuses publications à ce sujet, est clair : les chirurgiens-dentistes doivent réaliser eux même leurs tracés.
En France, à la demande du ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseigne- ment supérieur et de la Recherche, et Sous-Direction des Technologies de l’Information et de la Communication pour l’Éducation (SDTICE), une étude sur les usages des dispositifs TIC dans l'enseignement scolaire a été réalisée par la société Pragma en décembre 2006, à partir de questionnaires adressés à des enseignants de collèges et d'écoles dans quatre académies (202 questionnaires traités). À la question : « Quels sont les effets des TIC sur la participation des élèves ? », les répondants ont une vision très positive des TICE pour créer un cadre motivant, faciliter l’entraide et accroître l’autonomie des élèves (SDTICE, 2006, p.7). À la question : « Quels sont les effets des TIC sur l'acquisition des savoirs ? », les réponses ne sont pas tranchées mais une très forte majorité d'enseignants considère que cela facilite l'exécution de certaines tâches par les élèves, l'accès à une masse d'information et que cela constitue un moyen de traiter rapidement les erreurs. Les résultats montrent pourtant une méconnaissance forte des possibilités offertes par les TICE et une vraisemblable sous-utilisation (Ibid., p.8). On observe donc peu d'impact des TIC au plan des méthodes pédagogiques (INRP, 2009).
ET LES UNIVERSITÉS?
Paradoxalement, avec l'avènement de cette nouvelle époque, en plein cœur de cette révolution, nos universités occidentales martèlent et égrènent des nouveaux concepts bien plus mercantiles que pédagogiques : rentabilité, production, performance, consommation, clientèle, population cible, marketing, ressources humaines, etc. On ne se croirait pas dans le lieu du haut savoir, de ce fameux savoir qu'au fil des temps on a morcelé, tranché en petites parties, que l'on analyse sans trop de regard de synthèse, de l'ensemble duquel tout cela provient et appartient. Des disciplines ont été créées surtout pour répondre aux besoins de professions ayant un alignement sur le rendement financier. On en est arrivé à une vision étroite, courte, mince, où l'on perd la synthèse. On crée de nouveaux programmes dans le but d'augmenter la clientèle qui grossit les revenus, devenus d'ailleurs insuffisants pour nourrir l'entreprise universitaire!(Drapeau.Serres1998
développée dans un discours qui fait l’économie d’informations plus systématisées : aucune image d’illustration n’est fournie, pas d’analyses transversales entre lettres, pas de vestiges des traitements intermédiaires et qui donneraient force aux interprétations. Les indicateurs cités peuvent être de l’ordre de l’énonciation, des images de fond (décor), des cadrages, des « effets spéciaux », des attitudes et des conduites des acteurs dans les lettres, etc., sans qu’il y ait une argumentation soutenue qui les relie à la thématique principale. Celle-ci est suffisamment large pour couvrir cet ensemble hétérogène d’informations et il ne sont pas indiquées les zones de perméabilité entre les thématiques dans une même lettre ou dans l’ensemble de données. Il n’y a pas d’informations primaires telles que la longueur des lettres, les différents contenus abordés (dans une lettre ou dans leur totalité), l’articulation entre les contenus dans une lettre ou dans leur ensemble, etc. Principaux acquis pédagogiques issus
en rien des contrats que les entreprises passent entre elles. Les normes sur les TIC, à l’instar des normes techniques, se trouvent donc à l’intersection de la régulation privée et publique. Toutefois, cette manière de voir reste insatisfaisante, car elle ne fait que prolonger l’opposition public/privé au nom d’une dualité d’intérêt, relevant plus de la déclaration d’intention que des choses telles qu’elles se passent. Tout d’abord, au niveau international, ce qui relève des intérêts publics et des intérêts privés tend à se confondre, la santé des entreprises étant souvent associée à celle de la nation. Ensuite, parce que dire qu’une politique est publique ne suffit pas à affirmer qu’elle est le fait des seuls pouvoirs publics. Si on accepte une définition restreinte du terme, qui fait qu’une politique est publique en fonction de sa destination, c’est-à-dire l’ensemble de la population, la question de savoir si elle est uniquement le fait des pouvoirs publiques perd de sa pertinence. Ainsi, la mise en œuvre et l’orientation d’une politique publique ne serait
Une fois l'agrément obtenu et les formations PMTIC mises en route, le LabSET est chargé de leur suivi sur le terrain. Cela correspond au deuxième moment de l’évaluation de la mise en oeuvre des formations. Concrètement, nous nous rendons à raison d'une ou deux fois par an dans les centres agréés afin d'y observer le déroulement d’une séquence de formation et de nous entretenir avec l'animateur de la séquence. Nous consignons ensuite nos observations dans un rapport de visite. Un rapport global est alors rédigé sur base de l'ensemble des rapports de visite et est transmis au commanditaire. Ce rapport global contient un certain nombre d'informations concernant les pratiques pédagogiques effectives et nous permet ainsi de contribuer à leur régulation en proposant notamment aux formateurs des ateliers thématiques visant à améliorer la qualité des formations PMTIC.
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Les professeurs interviewés s’engagent dans une telle restauration quand ils investissent leurs expériences de vie, leurs valeurs et leurs rêves dans l’appropriation des TIC. C’est ainsi que les TIC trouveront une place utile dans le processus éducatif. L’appropriation a pris la teinte de la curiosité et de l’amour des professeurs pour la rencontre. La vie leur a appris à s’intéresser aux autres, à être curieux, à prendre des initiatives, à faire face aux défis, à se débrouiller avec les moyens disponibles, à être enracinés dans leur culture et ouverts aux autres traditions, à partir vers de nouveaux horizons et à franchir de multiples frontières, et à combiner utilement ce qu’ils ont appris chez eux et ailleurs. Ce sont ces mêmes stratégies qu’ils utilisent en s’appropriant les TIC. Ils y investissent leur expérience, leur personnalité, leur culture pour domestiquer les TIC et réaliser leurs aspirations. « C’est par une activité créatrice répondant aux aspirations profondes des masses africaines […] que les enseignants africains peuvent contribuer […] au progrès de nos pays » (Moumouni, 1964/1998, p. 301). Cependant, l’essor des TIC dans l’enseignement supérieur, et son utilisation émancipatrice et transformatrice, dépend autant de l’économie globale, des intérêts des gouvernements, des acteurs du secteur privé, et du milieu linéaire, limité et rigide dans lequel l’université évolue (Selwyn, 2007). En Iran, par exemple, les professeurs utilisent et reconnaissent l’apport des TIC dans la collaboration et l’apprentissage au sein et au-delà de l’université, mais ils n’ont pas beaucoup d’autorité ou marge de manœuvre par rapport à la transformation du curriculum et la formation du personnel dans un système universitaire centralisé, même si la situation evolue (Vajargah, Jahani, & Azadmanesh, 2010).
en rien des contrats que les entreprises passent entre elles. Les normes sur les TIC, à l’instar des normes techniques, se trouvent donc à l’intersection de la régulation privée et publique. Toutefois, cette manière de voir reste insatisfaisante, car elle ne fait que prolonger l’opposition public/privé au nom d’une dualité d’intérêt, relevant plus de la déclaration d’intention que des choses telles qu’elles se passent. Tout d’abord, au niveau international, ce qui relève des intérêts publics et des intérêts privés tend à se confondre, la santé des entreprises étant souvent associée à celle de la nation. Ensuite, parce que dire qu’une politique est publique ne suffit pas à affirmer qu’elle est le fait des seuls pouvoirs publics. Si on accepte une définition restreinte du terme, qui fait qu’une politique est publique en fonction de sa destination, c’est-à-dire l’ensemble de la population, la question de savoir si elle est uniquement le fait des pouvoirs publiques perd de sa pertinence. Ainsi, la mise en œuvre et l’orientation d’une politique publique ne serait
Le réseau thématique pluridisciplinaire « Apprentissage, éducation et formation » (RTP 39, Département STIC du CNRS, www-RTP39.imag.fr)
Le département STIC du CNRS a stimulé la création de nombreux réseaux thématiques pluridisciplinaires (RTP) dans le domaine des Sciences et technologies de l'information et de la communication, notamment dans le secteur « cognition et interaction humaine ». La mission d'un RTP est de « mettre en réseau les laboratoires qui disposent de compétences significatives pour mener les recherches autour d'un thème scientifique et de ses finalités. Le champ de travail du réseau couvre l'ensemble des activités de recherche des laboratoires : de la prospective jusqu'aux partenariats industriels. » C'est dans ce contexte qu'a été créé le RTP39 « Apprentissage, éducation et formation » dont l'objectif est de permettre le développement et la structuration des activités de recherche portant sur les questions scientifiques et technologiques soulevées par la conception, l'évaluation et l'usage des environnements informatiques pour l'apprentissage humain (EIAH), ainsi que par la compréhension de leurs impacts sur la connaissance, la personne et la société. Les recherches dans ce domaine sont clairement à l'interface de l'informatique et des disciplines impliquées dans l'étude des phénomènes d'éducation et de formation (pédagogie, didactique, épistémologie, psychologie, sciences du langage, ergonomie, sociologie, etc.). Interface profonde qui demande que soient revisitées bien des questions spécifiques de l'informatique (par exemple : modélisation des connaissances, du raisonnement, de l'interaction, ergonomie des interfaces), et que soient construits les outils conceptuels et méthodologiques pour l'interaction entre disciplines fondatrices.
En Psychologie, le milieu de recherche doit beaucoup à des pionniers comme P. Rabardel ou J. Rogalski, qui ont contribué à la diffusion des théories soviétiques de l’activité. En Sciences de l’éducation, Guy Berger s’est intéressé à la pédagogie avec des travaux de petits groupes, à l’introduction de technologies audiovisuelles. Lê Thành Khôi s’intéresse à des questions d’économie, d’industrialisation de l’éducation lui aussi avec une approche systémique. Monique Linard, dans les années 70, crée une filière d’enseignement et de recherche en pédagogie audiovisuelle. Geneviève Jacquinot, s’intéresse à la pédagogie avec l’audiovisuel notamment avec l’expérimentation du collège de Marly Le Roy de 1967 à 1980. Annie Bireaud s’intéresse aux TIC et méthodes pédagogiques dans l’enseignement supérieur…
technology, firms’ capabilities in matter of technologies help them to better use other type of technologies. Lal (1999) pointed out that Indian firms manufacturing electric and electronic goods have a higher probability of adopting ICTs when: (i) the managing directors have a high level of education, (ii) the firm’s skill intensity is high, and (iii) the managers have a clear strategic vision of R&D importance. Arvanitis and Hollenstein (2001) provided clear evidence of these multiple effects using firm-level data for Swiss manufacturing. They underlined that AMT adoption is positively influenced by the share of employees with qualifications at the tertiary level. Hollenstein (2004) used an ordered probit model to test the ICT adoption behavior of Swiss firms. He confirmed the influence of several determinants such as rank and epidemic effects, as well as new workplace practices. He also showed that the firm’s absorptive capacity— captured by variables measuring the level of employees’ qualification, the participation in ICT-oriented training courses and the firm’s innovative behavior— has a significant positive impact on ICT adoption.
interviewers, the test period. Participants were assured that their answers would be treated with confidentiality and all respondents were chosen from the top management staff.
Ben Youssef et al. (2011) identified three waves of IT using the same database. All indicators (adoption level of IT 4 , depth of usage of IT 5 and time required to use particular IT 6 ) show up that there are three waves: The first wave is called “general used technologies” assumed to be relatively widespread (more than 80%), intensively used (between 4 and 5 on Likert scale) and rapidly introduced in all business sectors. These technologies are: fixed phones, telecopy, office, computers and general purpose software. The second wave is formed by “intermediary technologies” with high potential of use. In the mid of the nineties they were named « new » IT: Internet, E-mail, specific software, free software, and mobile phones. The third wave is based on networking technologies. They are among the latest technological generations of IT. Most of them need to optimize their use, costly investment, know-how, and qualified human resources. These technologies are Intranet, laptops, videoconference (VC) and Electronic Data Interchange (EDI). All firms use the technologies of the first wave. We focused on the second and third waves of these technologies.
Source : CREDOC, enquête « Conditions de vie et Aspirations des Français », juin 2008
8. Plus d’un internaute sur deux déclare améliorer son pouvoir d’achat grâce à Internet
Depuis plusieurs années, des études cherchent à mesurer l’impact d’Internet sur le pouvoir d’achat des consommateurs. L’évaluation est complexe, eu égard à la variété des réseaux de distribution, qu’ils soient traditionnels ou en ligne. Certaines études concluent qu’Internet permet d’acheter moins cher, d’autres indiquent le contraire, parfois sur les mêmes types de biens (la musique par exemple). Mais quelle est l’opinion des internautes eux-mêmes à ce sujet ? L’enquête apporte une information : 56% d’entre eux ont le sentiment de faire des économies grâce à Internet par la comparaison qu’il permet entre les différentes offres de produits et de services ; 53% estiment même qu’ils font des économies en achetant directement sur Internet des produits et des services moins chers qu’en magasin. Une moitié des internautes voient donc la Toile comme un levier permettant d’améliorer leur pouvoir d’achat.
L’adoption des outils d’informatique et de communication par la communauté agricole dépend de critères pratiques comme leur utilité, leur simplicité d’usage ainsi que leur « retour sur investissement ». Ils doivent être analysés par des compétences en sociologie, ergonomie et en manage- ment. Ainsi, une ergonome et un agronome (Cerf et Mey- nard, 2006) ont étudié les différentes manières d’utiliser les outils d’aide à la décision pour gérer la fertilisation ou pour lutter contre les bioagresseurs. Cerf et Meynard (2006) font le constat d’un fossé entre l’usage de ces outils dans les champs et l’utilisation initiale attendue par les concepteurs. Ils mettent en évidence le SIC « Système d’information et de conseil », organisation temporelle et spatiale de dispo- sitifs humains et matériels qui permettent de construire et de diffuser les informations pour décider de la conduite locale de processus agroécologiques. Ils proposent d’inté- grer les SIC dans les premières étapes de réalisation d’une OAD pour bénéficier de la créativité des utilisateurs poten- tiels. Capflor, précédemment présenté dans l’encadré (exemple ), est un bon exemple d’un outil co-conçu avec les utilisateurs. Capflor adapte ses règles, en permanence, en fonction des retours d’expérience. De même, pour les outils de gestion des connaissances, le club de gestion des connaissances http://www.club-gc.asso.fr/ a développé des outils pour mieux définir les besoins des communau- tés dans ce domaine. Ils posent des questions du type : « Quelles sont les connaissances techniques critiques ou manquantes concernant telle pratique ? » ou bien « Dans cette communauté, quels sont les outils qui pourraient favoriser le transfert de tel type de connaissance ? ». Ces questionnaires sont adaptables au monde agricole. Ces exemple de conception collaborative partant du compor- tement ou des besoins des utilisateurs sont en phase avec les principes en agroécologie de recherche participative et d’inclusion d’utilisateurs finaux dans le développement, principes déterminés par le groupe interdisciplinaire GIRAF (Stassart et al., 2012).
La question du seuil de réussite des compétences se pose également. Il serait possible de fixer un seuil de réussite commun à toutes les compétences en adoptant les principes en usage (75% est généralement le seuil retenu), mais les dissymétries entre les différentes échelles rendent cette solution trop imparfaite, notamment pour les compétences qui comportent très peu d’items. Une solution consisterait alors à avoir recours à des juges ou à des experts (des professionnels de terrain compétents dans le domaine) qui définiraient eux-mêmes et individuellement les critères d’acceptation de la performance. Plusieurs techniques statistiques peuvent ensuite être mobilisées pour exploiter les différents jugements et définir un score de réussite correspond à chaque compétence (Laveault, Grégoire, 1997). Cette méthode, même si elle présente des intérêts évidents, sans doute du fait de sa lourdeur de mise en œuvre, n’a pas été retenue par les concepteurs des évaluations nationales. Cette question du seuil de réussite reste donc entière quand on souhaite savoir si une compétence est maîtrisée ou non par un élève.
Devant une telle variété de contraceptifs et alors même que le cadre législatif autorise les mineurs à recourir à un moyen de contraception sans autorisation parentale, le fait que 12,3% de la population des 15 à 25 ans sexuellement actifs continuent de s'en passer lors de leurs ébats amoureux interpelle. Quelques explications rationnelles peuvent être avancées. Il existe par exemple une forte disparité dans la répartition géographique des centres de Planification et d'Education Familiale. Les régions rurales, à faible densité de population, sont en effet moins bien dotées et il faut souvent parcourir d'importantes distances pour s'y rendre. Et puis, leurs horaires d’ouverture sont en général peu compatibles avec ceux des adolescents scolarisés. Mais au-delà de ces contraintes "externes", il existe aussi des freins personnels: information lacunaire, faible confiance en soi, méconnaissances des risques, mésestimation de ses responsabilités, sentiment d'invulnérabilité. Autant de signes d'une éducation incomplète.
42 aménagées. On peut ainsi envisager un traitement prothétique global, ne se limitant pas à « rajouter » des dents là où il n’y en a plus.
Les objectifs étaient de faire un inventaire des moyens disponibles (chambre de numérisation, logiciels) actuellement sur le marché, de déterminer l’apport de ces outils d’un point de vue pédagogique pour l’enseignement de la PAPIM en pré-clinique et en clinique; et d’envisager les développements prévus des logiciels pour l’établissement de plan de traitement et des étapes qui ne sont pas encore réalisables par CFAO. Le but sera à terme de mettre en place à la faculté de Chirurgie Dentaire de Nice les outils pédagogiques nécessaires à l’apprentissage de cette nouvelle technologie : du diagnostic et de la mise en place du projet prothétique à la conception de la prothèse elle-même.
La difficulté de la tâche du chercheur en Sciences de l’Education qui s’intéresse aux technologies éducatives sera de satisfaire une sorte d’associa- tion compromissoire entre l’élucidation d’une aire locale où se débattent les acteurs de la situation et la mise en évidence d’éléments pouvant participer d’une meilleure compréhension de situations proches ou analogues. Mais peut-être si l’on suit Berthelot (1990, p. 107) le sentiment de compromis et de bricolage n’est-il que la traduction d’une « méconnaissance des logiques explicatives animant les objets dont il use » ? Si les faits sont habilement, mais clairement, construits par le chercheur et non trouvés bruts au sein d’un réel bien improbable, « quelles que soient les théories de moyenne portée construites, il est toujours possible d'opérer un transfert d'intelligibilité » (op. cit., p. 113). Or, a défaut d’objectivité, c’est bien cette intelligibilité de
A. Asynchronous Interfaces
This kind of interface analysis the user voluntary activity, this analysis retains at all times a communication link with the system, in this case the system continuously analyzes the signals from the user's brain activity and classify mental status periodically. In other cases, the interface can measure temporal variations in the rates associated with motor activity of the user, such amplitude variations can be detected and then transform them into commands, the analysis of motor activity requires lengthy training.
économies de la planète. Enfin, la définition du progrès est donnée en tenant compte du contexte de l'avènement des TIC dans notre société. La croissance économique [r]