هارﻮﺘﻛﺪﻟا ﺔﻟﺎﺳر ﺺﺨﻠﻣ ﻢﺳﻻاو ﺐﻘﻠﻟا : ﺪﯿﺷر ﻲﺳﺮﻣ ﺺﺼﺨﺘﻟا : ﻲﺑﺮﻋ بدأ عﺮﻔﻟا : ﻢﯾﺪﻗ ﻲﺑﺮﻋ ﺪﻘﻧ هارﻮﺘﻛﺪﻟا ﺔﻟﺎﺳﺮﻟا ناﻮﻨﻋ : ﺔﯾﺪﻘﻨﻟا تﺎﯿﻠﺠﺘﻟاو ﺔﯾرﺎﻀﺤﻟا تﺎﯿﻔﻠﺨﻟا ،ﺔﯿﻓﺮﻌﻤﻟا روﺬﺠﻟا ﺮﻌﺸﻟا دﻮﻤﻋ ﺔﺸﻗﺎﻨﻤﻟا ﺔﻨﺳ : 2012 / 2013 سﺎﺒﻌﻠﺑ يﺪﯿﺴﺑ ﺲﺑﺎﯿﻟا ﻲﻟﻼﯿﺠﻟا ﺔﻌﻣﺎﺠﺑ . ﺔﻟﺎﺳﺮﻟا ﺺﺨﻠﻣ لوﺎﻨﺘﺗ ﺮﻌﺸﻟا دﻮﻤﻋ ﺔﯿﻟﺎﻜﺷإ ﻲھو ؛ﻢﯾﺪﻘﻟا ﻲﺑﺮﻌﻟا ﺪﻘﻨﻟا ﻲﻓ ﺔﻓوﺮﻌﻣ ﺔﯿﻟﺎﻜﺷإ ﺔﺣوﺮﻃﻷا هﺬھ . مﻮﮭﻔﻤﻟ ﺎﮭّﻟوأ ﻲﻓ ﺎﻨﺿﺮﻌﺗ ؛لﻮﺼﻓ ﺔﻌﺑرأ ﻰﻟإ ﺚﺤﺒﻟا ﺎﻨﻤّﺴﻗ ﺎﮭﺘﺠﻟﺎﻌﻣ ﻞﺟﻷو " ﺮﻌﺸﻟا دﻮﻤﻋ " ﺚﯿﺣ ﻦﻣ ، هﺮﯾﻮﻄﺗ ﻰﻠﻋ اﻮﻠﻐﺘﺷاو ،هﻮﻨﺒﺗ ﻦﯾﺬﻟا ءﺎﻣﺪﻘﻟا دﺎﻘﻨﻟا يﺪﯾأ ﻰﻠﻋ هرﻮﻄﺗو ،ﮫﺗﺄﺸﻧ . ﺎﺜﻟا ﻞﺼﻔﻟﺎﺑ ﺎﻨﻄﻧأو ،مﻮﮭﻔﻤﻟا اﺬﮭﻟ ﺔﻨﻃﺎﺒﻤﻟا ﺔﯿﻓﺮﻌﻤﻟاو ﺔﯿﻔﺴﻠﻔﻟا تﺎﯿﻔﻠﺨﻟا ﻰﻠﻋ ءﻮﻀﻟا ﻂﯿﻠﺴﺗ ﺔﻤﮭﻣ ﻲﻧ ﺔﯾﺮھﻮﺠﻟا ﺔﯿﺻﺎﺨﻟا تﺎﺒﺜﻟا أﺪﺒﻣو ،ﺔﯿﻟﺎﻄﻄﺳرﻷا ةﺎﻛﺎﺤﻤﻟا ﺔﯾﺮﻈﻧ ﻦﯿﺑو ﮫﻨﯿﺑ ﺔﺿﺮﺘﻔﻤﻟا ﺔﻗﻼﻌﻟا ﺎﻤﯿﺳﻻ مﻼﺳﻹا ﻲﻓ ﻲﻨﯾﺪﻟا ﺮﻜﻔﻠﻟ . ﻟا ﮫﺒﻧاﻮﺟ ﻲﻓ عﻮﺿﻮﻤﻟا ﺔﺠﻟﺎﻌﻤﻟ ﺔﻠﻤﻜﺗ ﺚﻟﺎﺜﻟا ﻞﺼﻔﻟا ﻲﻓ ﻚﻟذ ﺪﻌﺑ ﻲﺗﺄﺗ ﺖﻤﺘﺣ ﻲﺘﻟا ،ﺔﯿﺨﯾرﺎﺘﻟا و ﺔﯾﺮﻈﻨ ﮫﺑ ﺔﻠﺼﺘﻤﻟا ﺔﯾرﺎﻀﺤﻟا تﺎﯿﻔﻠﺨﻟا ﻒﺸﻛ ﻰﻠﻋ بﺎﺒﻜﻧﻻا ﺎﻨﯿﻠﻋ . مﻮﮭﻔﻣ ةرﻮﻠﺑ ﻲﻓ ءﺎﻣﺪﻘﻟا بﺮﻌﻟا دﺎﻘﻨﻟا تﺎﻤھﺎﺴﻣ ﻞﯿﻠﺤﺗ ﻰﻠﻋ ﺎﻨﻔﻜﻋ ﺮﯿﺧﻷا ﻞﺼﻔﻟا ﻲﻓ و " دﻮﻤﻋ ﺮﻌﺸﻟا " لﺎﺜﻤﻟا ﮫﻔﺻﻮﺑ مﺎﻤﺗ ﻲﺑأ ﺮﻌﺸﻟ ﺎھﺪﻘﻧ ﻲﻓ دﻮﻤﻌﻟا ةﺮﻜﻓ ﻰﻠﻋ تﺄﻜﺗا ﻲﺘﻟا ﻚﻠﺗ ﺔﺻﺎﺧ ،ﮫﺟﺎﻀﻧإو ﻨﻟا ةﺮﻜﻔﻟا هﺬھ ﺎﮭﺘﺳﺮﻛ ﻲﺘﻟا ﺔﯿﻟﺎﻤﺠﻟا ﺔﯾرﺎﯿﻌﻤﻟا ﻰﻠﻋ جوﺮﺨﻠﻟ ﻲﺟذﻮﻤ
ABSTRACT (de mémoire du doctorat)
Nom prénom :Mersi Rachid ﺪﯿﺷر ﻲﺳﺮﻣ :ﺐﻘﻠﻟاو ﻢﺳﻻا
Spécialité :Langue et Littérature Arabes ﻲﺑﺮﻋ بدأ: ﺺﺼﺨﺘﻟا
Branche :Critique Littéraire arabe ancienne
ﻢﯾﺪﻗ ﻲﺑﺮﻋ ﻲﺑدأ ﺪﻘﻧ: عﺮﻔﻟا
هارﻮﺘﻛﺪﻟا ﺔﻟﺎﺳﺮﻟا ناﻮﻨﻋ : ﺔﯾﺪﻘﻨﻟا تﺎﯿﻠﺠﺘﻟاو ﺔﯾرﺎﻀﺤﻟا تﺎﯿﻔﻠﺨﻟا ،ﺔﯿﻓﺮﻌﻤﻟا روﺬﺠﻟا ﺮﻌﺸﻟا دﻮﻤﻋ ﺔﺸﻗﺎﻨﻤﻟا ﺔﻨﺳ : 2012 / 2013 سﺎﺒﻌﻠﺑ يﺪﯿﺴﺑ ﺲﺑﺎﯿﻟا ﻲﻟﻼﯿﺠﻟا ﺔﻌﻣﺎﺠﺑ .
L’année de soutenance de soutenance :2012/2013 Université de sidi
belabbes
Résumé
Cette thèse traite de la problématique de la critique littéraire ancienne connue sous le nom d’ « amud ech’ir »,la norme de l’art poétique. Nous l’avons présenté en quatre chapitres . le premier a été consacré à la présentation du concept, sa création ,et son évolution chez les critiques anciens qui l’adoptèrent, et œuvrèrent à le développer. Le deuxième chapitre s’est vue attribuer la tâche de faire la lumière sur les fondements philosophiques et cognitives qui sous-tendent le concept d’« amud ech-ch’ir » :la norme de l’art poétique, notamment sa relation éventuelle avec la théorie d’imitation aristotélicienne ,et la notion de constance, caractéristique intrinsèque de la pensée religieuse islamique.
Ensuite, et pour achever le développement du thème dans sa dimension historico-théorique, nous nous sommes intéressé au troisième chapitre, à l’examen de ses aspects « civilisationnels » . Enfin ,est venue l’investigation de recherche proprement dite , celle qui nous a conduit à l’analyse des contributions des critiques arabes anciens qui se sont articulées autour du concept d’« amud ech-ch’ir » ,surtout celles qui se servirent de l’œuvre poétique d’abu tammam pour exemplifier la transgression de la norme arabe installé de la création poétique, définie à travers les règles d’usages linguistiques et artistiques qui constituent ce que les anciens appelèrent « amud ech-ch’ir ».