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Sur l'équivalent électrochimique de l'argent

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238243

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238243

Submitted on 1 Jan 1884

HAL

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Sur l’équivalent électrochimique de l’argent

Mascart

To cite this version:

Mascart. Sur l’équivalent électrochimique de l’argent. J. Phys. Theor. Appl., 1884, 3 (1), pp.283-286.

�10.1051/jphystap:018840030028301�. �jpa-00238243�

(2)

température

ou T est

proportionnelle

à q, comme nous l’avons montré, par suite

dq dt

est une constante, et la fonction de Carnot

se réduit

à I q ,

par

conséquent à T .

Il est bien vrai

qu’alors

elle est

l’inverse de la

température

absolue T. Mais alors on ne saurait s’en servir pour définir T; car c’est faire une sorte de cercle vi- cieux que de définir la fonction de Carnot en fonction de la tem-

pérature absolue,

et de définir la

température

absolue comme l’in-

verse de la fonction de Carnot.

SUR L’ÉQUIVALENT ÉLECTROCHIMIQUE DE L’ARGENT;

PAR M. MASCART.

Dans un Mémoire

précédent (Journal

de

Phisique,2e série,

t.

I,

p.

i og), j’ai publié

le résultat

d’expériences

faites avec un

électrodynamonlètre-balance

pour déterminer le

poids d’argent déposé

ou dissous

pendant

une seconde par l’unité de courant.

Le calcul

approchée

a donné

(p. 1 16)

En évaluant les termes de

correction, j’avais

conclu que ce

poids

devait être

multiplié

par

1 ,oo96,

c’est-à-dire

porté

à 1 Img, 24.

M. F. Kohlrausch avait obtenu un nombre

plus

élevé,

II , 36,

et

lord

Rayleigh (1 )

un nombre

moindre,

I I , 19.

Depuis

cette

époque,

MM. F. et W. Kohlrausch

(2),

par de nouvelles

expériences,

ont

trouvé

11,183

et lord

Rayleigh (3)

a donné lui-même la valeur

très voisine i i , i 8. En

présence

de cet accord entre des

expérimen-

tateurs

habiles, j’ai

cru nécessaire de vérifier d’abord si les cor-

rections que

j’avais

faites sont exactes;

je

dois reconnaitre que

je

m’étais

trompé.

Le facteur

o,gg8 t 6 ( p. I I 8)

doit être manifeste-

(1) Cambridge Proceedings, 26 novembre 1883.

(2) Sitzungsberichte der Ijh)/s.-med. Gesellscliaft zu Würzburg, 1884.

(3) y mars 1881.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018840030028301

(3)

284

ment

remplacé

par

o,983, d’après

les données mêmes renfermées

dans mon Mémoire, ce

qui

introduit

déjà

dans le résultat final

une erreur de

0,0075 ;

en outre,

j’avais

etléctué les corrections par

une méthode

compliquée etije puis indiquer

maintenant une ex-

pression beaucoup plus simple.

Si la bobine

cylindrique

a pour rayon

moyen a’

et pour

épais-

seur

2 c’,

le cercle moyen est

égal

à

Appelons,

pour une des bobines

plates, a

le rayon moyen, 2 b

l’épaisseur

axiale et 2C

l’épaisseur

radiale de la gorge, nie nombre de tours. L’action moyenne de cette bobine sur la base inférieure de la

grande bobine,

située à une

petite

distance x du

plan

moyen

de la

bobine,

est

en posan t

expression

dans

laquelle

on

remplacera y2

par le carré

a’12

du

rayon du cercle moyen ou

simplement

par ci2.

Appelons

encore N’ le nombre de tours de la bobine

cylindrique

et H’ sa

hauteur,

N le nombre total de tours des deux bobines

plates;

l’action des bobines

plates

sur la base inférieure de la bobine

cy lindrique,

pour l’unité de courant, sera

L’action moyenne

F’m

des bobines

plates

sur la base

supérieure

de la bobine

cylindrique

ne peut

plus

être calculée comme

précé- demment,

parce que la distance H’ est

plus grande

que le rayon a;

on doit

employer

alors une séric

développée

suivant les

puissances

(4)

1 croissantes de

a’ h ’

et

a’ h’,.

il On peut encore écrire

en posant

L’action totale des bobines

plates

snr la bobine

cylindrique.

pour l’unité de courant, est donc

L et L’

désignant,

les

longueurs

du fil pour les bobines

plates

et

pour la bobine

cylindrique.

Finalement, on doit

multiplier

la valeur de la force que donne le calcul

approche

par

ou

la valeur trouvée de

l’équivalent

de

l’argent

par la racine carrée de cette

expression.

D’après

les dimensions données

déjà (p. 115),

on a

en ou tre ,

Le calcul

de y

est très

simple,

parce que les termes successifs de la sprie décroissent

rapidement.

On trouve ainsi

(5)

Il résulte de ce calcul que mon

expérience

conduisait en réalité

au nombre

inférieur cette fois de

1 500

environ aux valeurs trouvées par lord

Rayleigh

et MM. Kolilrausch.

L’action

chimique

d’un

ampère

par

seconde,

ou d’un

couiloiiib,

serait donc

SUR LE PHÉNOMÈNE DE LA SURCHAUFFE CRISTALLINE DU SOUFRE ET LA VITESSE DE TRANSFORMATION DU SOUFRE OCTAÉDRIQUE EN PRISMA-

TIQUE ;

PAR M. D. GERNEZ.

Certains cristaux

éprouvent, lorsqu’on

les

chauffe,

une transfor-

mation en éléments cristallins d’une forme différente. Ce

change-

ment se

produit brusquement

à une

température

déterminée pour

quelques-uns,

par

exemple

dans le cas de la boracite étudiée ré-

cemment par M.

Mallard; j’ai

reconnu

qu’il

en est

qui

se com-

portent autrement : tel est le soufre

octaédrique,

pour

lequel

l’action

de la chaleur

qui

est nécessaire au

phénomène n’est pas suffisante,

de sorte

qu’à partir

d’une

température

déterminée il est dans un

état

d’équilibre

instable que

je proposerai

de

désigner

sous le

nom de

surchauffe

cristalline et

qui

cesse, comme la surfusion et

la

sursaturation,

au contact d’une

parcelle

cristalline de la forme que l’on veut.

produire.

On sait

depuis longtemps

que le soufre

octaédrique,

chauffé à

une

température

voisine de son

point

de

fusion,

se

change

en

prismes

très

petits,

et de transparent devient opaque. Tous ceux

qui

ont écrit sur ce

sujet

sont unanimes à attribuer ce

changement

à l’intervention seule de la

chaleur,

mais ils diffèrent

d’opinion

sur la

température

à

laquelle

il sc

produirait.

Si ron s’en rapporte

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