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Effet de période dans les alliages à base de métaux de transition

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(1)

HAL Id: jpa-00206995

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Submitted on 1 Jan 1970

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Effet de période dans les alliages à base de métaux de transition

C. Demangeat, F. Gautier

To cite this version:

C. Demangeat, F. Gautier. Effet de période dans les alliages à base de métaux de transition. Journal

de Physique, 1970, 31 (10), pp.903-913. �10.1051/jphys:019700031010090300�. �jpa-00206995�

(2)

EFFET DE PÉRIODE DANS LES ALLIAGES

A BASE DE MÉTAUX DE TRANSITION

C.

DEMANGEAT,

F. GAUTIER

Equipe

de Recherches sur la Structure

Electronique

des Solides

(*),

Institut de

Physique, 3,

rue de

l’Université, 67, Strasbourg (Reçu

le 15 mai

1970,

révisé le 26

juin 1970)

Résumé. 2014 L’écran électrostatique autour d’une impureté ne dépend pas uniquement de la

différence de valence entre l’impureté et la matrice, mais aussi de la période du tableau de Mendeleev dont l’impureté fait partie.

Nous étudions cet effet de période dans les alliages à base de métaux de transition. Son origine

doit alors être recherchée dans la différence entre la stabilité et l’extension spatiale des couches

atomiques «d» de l’impureté et de la matrice. Nous étendons le calcul classique de liaisons fortes à l’étude d’un alliage dilué en tenant compte de ces paramètres et nous calculons l’écran électro-

statique autour d’une impureté de transition à l’aide d’une méthode de perturbation self-consistente.

Nous montrons que cet effet de période est important, en particulier dans le cas d’alliages iso- électroniques du type Pt Ni.

Abstract. 2014 The electronic screening around an impurity does not depend only on the impurity

excess change but also on the impurity periodic table row. We study this period effect in the tran- sitional alloys ; its origin can be understood by taking into account the stability and the spatial

extension of the impurity and matrix «d» atomic orbitals. We extend the classical tight binding

calculation for a dilute alloy taking into account these parameters and we calculate the electronic

screening around an impurity by a self consistent perturbation method. We show that this period

effect is important in the case of the isoelectronic alloys of the type Pt Ni.

Introduction. - La variation de densité électroni- que introduite par une

impureté

dissoute dans un

métal pur

dépend principalement

de la différence

de valence Z entre

l’impureté

et la matrice.

L’impureté, supposée

située à

l’origine,

crée un

potentiel

pertur- bateur

Ye(r) auquel

se

réajustent

les électrons de

conduction ;

en assimilant

Ye(r)

à sa forme asympto-

tique

pour r

infini ;

i. e.

Ye(r) N - Z/r,

l’écran est

entièrement déterminé par la valeur de Z et par les

caractéristiques

du gaz

électronique

de la matrice -

par sa constante

diélectrique

si on traite la

perturba-

tion dans

l’approximation

de Born. Des

impuretés

de même valence introduites dans une même matrice

produisent

le même

réajustement électronique

et

pré-

sentent

alors,

dans ce

modèle,

les mêmes

propriétés physiques (chaleur spécifique électronique,

résistivité

électrique...).

Cette

règle appelée

«

règle

de

Norbury »

pour la résistivité

électrique [1 ]

n’est

qu’approximati-

vement satisfaite pour les métaux normaux. Pour de

petites

valeurs de Z et, en

particulier

pour les

alliages

d’éléments

isoélectroniques (du

type Au

Cu),

les

propriétés physiques

de

l’alliage dépendent

de la

période

du tableau de Mendeleev dont

l’impureté

fait

partie.

Cet « effet de

période »

connu

depuis longtemps

pour les

alliages

de métaux normaux est apparu récem- ment comme devant conditionner la structure électro-

nique

des

alliages

à base de métaux de transition. En

effet,

dans les

alliages

à base de nickel et de

cobalt,

de récentes mesures de résistivité

électrique [2, 3]

de

R. M. N.

[4]

et de diffraction

neutronique [24]

ont

montré que les états liés virtuels s-d

apparaissent,

pour

un Z

donné,

d’autant

plus

facilement que

l’impureté

est

plus

lourde :

ainsi,

pour Z = -

2,

la structure

électronique

de

l’alliage Ni

Fe ne

présente

pas d’état lié virtuel tandis

qu’un

tel état

apparaît

pour

l’alliage

Ni Os. De

plus,

les

alliages isoélectroniques (Co

Ir

par

exemple) présentent

des résistivités résiduelles

importantes.

Nous consacrons le

présent

article à

l’étude de l’effet de

période

dans de tels

alliages.

L’origine

de l’effet de

période

doit être recherché dans

le

fait que les couches internes et externes de

l’impureté

sont différentes de celles de la

matrice ;

de

plus,

l’écran modifie

légèrement

la stabilité et

l’extension des couches associées aux atomes de la matrice

proches

de

l’impureté. L’approximation Ve(r) = - Zir néglige

ces effets et tient

uniquement

(*) Equipe associée au C. N. R. S. 100.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:019700031010090300

(3)

compte de la

longue portée

de

Ve(r).

Outre l’effet de taille

qui

a été étudié par ailleurs

[5],

une théorie de

l’effet de

période

doit tenir compte de la nature, de l’extension et de la stabilité des couches de

l’impureté ;

de

plus,

les effets de

couplage spin

orbite peuvent

jouer

un rôle

important

dans la nature de l’écran.

Les seules études

théoriques

actuellement existantes ont trait aux

alliages isoélectroniques

A B de métaux

normaux

[6].

Dans l’étude de

Friedel,

les fonctions de Bloch du métal pur sont des ondes

planes

modulées par la fonction de bas de

bande ;

le

potentiel Ve(r)

est

approché

par un

pseudopotentiel

ayant la forme d’un

puits carré ;

sa

profondeur

est la différence des éner-

gies

de bas de bande des métaux A et B. Une solution self consistente de l’écran est alors aisément obtenue dans un modèle de Thomas Fermi ou de Hartree.

L’effet de

période

a par ailleurs été

pris

en compte

.

implicitement

dans la théorie des

alliages

basée sur

la méthode du

pseudopotentiel [7]. Malheureusement,

aucune étude

systématique

à

partir

des

premiers principes

n’a été faite sur les

alliages

d’éléments iso-

électroniques.

Dans la section

I,

nous discutons les caractéristi- ques des orbitales « d » des métaux de transition et nous

présentons

de

façon qualitative

le modèle. Nous

présentons

ensuite les résultats d’un calcul de liaisons fortes tenant compte

explicitement

de la stabilité et de

l’extension des couches « d »

(II).

Nous résolvons les

équations

obtenues par une méthode de Hartree

(ou

de Hartree Fock

Slater)

self consistente

(III).

Nous

discutons ensuite les

caractéristiques générales

de

l’écran obtenu

(variation

de densité

électronique,

variation de densité

d’états, susceptibilité...) ;

nous

montrons en

particulier

que la variation totale de

charge

et de densité d’états est nulle dans le cas d’allia- ges

isoélectroniques :

ce résultat est

général

et subsiste

quelle

que soit la méthode utilisée pour

représenter

les bandes d’un métal

(par exemple

pour les électrons des métaux nobles

représentés

en 0. P. W.

[7]) ;

il

résulte du fait que la

portée

du

potentiel Ye(r)

est

finie

tandis que les interactions électron électron

sont des interactions à

longue portée.

Enfin,

dans une dernière

section,

nous évaluons

l’importance

de la variation de densité

électronique

pour des

alliages

d’éléments

isoélectroniques

en admet-

tant un modèle de bandes

simplifié ;

nous montrons

que les effets de variation de densité

électronique

peuvent être très

importants

ainsi que le montrent les récentes mesures de R. M. N. sur les

alliages

du type

Co

Rh Co Ir

[8].

Nous étudierons dans un second article l’effet de

période

dans les

alliages

à base de métaux

ferromagné- tiques

et

plus particulièrement

de nickel.

I. Discussion

qualitative

de l’effet de

période

dans

les

alliages

dilués de métaux de transition. - Nous étudions dans la suite l’effet de la stabilité et de l’exten- sion

spatiale

des couches « d » de

l’impureté

sur la

nature de l’écran.

Dans l’état

atomique

ces

paramètres

varient sys-

tématiquement

avec la

position

de l’élément dans le

tableau

périodique.

Pour une même

configuration

«s»

et’ pour une même série de transition «n» les couches nd

(n

=

3, 4, 5)

deviennent de

plus

en

plus

stables

et de

plus

en

plus

concentrées au fur et à mesure que l’élément devient de

plus

en

plus

lourd. Pour une

même

configuration

« s » et pour une même valeur de

Z,

les couches « d » deviennent de moins en

moins stables et de

plus

en

plus

étendues

lorsque

l’élément devient de

plus

en

plus

lourd :

qualita-

tivement ceci

provient

du fait que les fonctions d’onde radiales

présentent

un nombre croissant de n0153uds

(un,

deux ou trois selon que l’élément est de

première,

deuxième ou troisième

série).

Les

valeurs de la différence de stabilité

bEOt

=

El -

E

entre

les

niveaux

atomiques

Hartree Fock Slater du

nickel

(E)

et les autres éléments de transition

EI

sont déduites du tableau 1 et de la

figure 1.

D’autre part,

nous avons

approché

les valeurs de

l’intégrale

de Cou-

lomb

(p(p 1 e’Ir 1 (p(p

> =

t par F°

[23].

Nous

observons une variation nette de

bEÔt

t et de

t du

moins entre les éléments de la deuxième et troisième séries d’une part, et ceux de la

première

série d’autre part

(tableau I).

Ces résultats sont obtenus à l’aide d’un calcul de type Hartree

Fock ;

ils sont modifiés

par les corrélations

intra-atomiques : cependant,

si

ces corrélations semblent réduire d’un facteur deux des termes Fk intervenant dans le calcul de

Ul" [9-10],

les variations de

bEÔt

et de

UÎt

demeurent

qualitative-

ment

identiques.

Dans l’état

atomique

nous caracté-

risons donc

chaque impureté

par le

couple

de valeurs

ot

et

UÎr.

FIG. 1. - Energie (- EI) des niveaux atomiques pour la première

et la troisième série de transition :

1) Résultats théoriques [22] pour la même configuration électronique 3dn 4 s2 :

x première série

+ troisième série

2) Résultats expérimentaux [23] pour la première série de transition, représentés par la courbe en pointillé. Le changement

de pente est dû à un changement de configuration : Sc-Cr 3 dn 4 S2; Mn-Ni 3dn 4 s.

(4)

TABLEAU 1

Niveaux

atomiques (- El) [22]

et

intégrales

de Coulomb

approchées

FI

(unités eV)

Dans

l’alliage,

nous caractériserons

qualitativement

une

impureté

par le

couple

de valeurs

ô80

et

U,

défini

à

partir

de l’élément de matrice V =

9, 1 V, p >

du

potentiel perturbateur V,

entre fonctions d’onde

de

l’impureté.

En

effet,

pour un

système paramagné- tique,

nous pouvons

représenter phénoménologique-

ment V sous la forme : >

ô80 représente

le

potentiel perturbateur lorsque l’impu-

reté est neutre et dans une

configuration s identique

à celle de

l’alliage ; ôn’(0) représente

l’excès du nom-

bre d’électrons « d » de

l’impureté

par rapport à sa valeur dans l’état neutre. Le second terme de

(1.1) représente

l’effet des interactions électron électron provenant de l’écart de

l’impureté

par rapport à la neutralité.

Lorsqu’on néglige

les

intégrales interatomiques

par rapport aux

intégrales intra-atomiques,

les

paramètres ôeo

et 2

UI

sont

identiques

aux valeurs

atomiques

i. e.

5ey, U a, ;

en

pratique,

ils en diffèrent en

général,

par l’effet

(1)

des corrélations intra et

interatomiques, (2)

de l’écran aux électrons s.

Nous nous limitons ici à une méthode du type Hartree Fock en considérant éventuellement

UI

comme un

paramètre,

les corrélations ne modifiant pas l’ordre de

grandeur

relatif des différentes

intégra-

les

Ul.

A ce

sujet,

notons que les corrélations inter-

atomiques

n’ont été traitées

qu’en

supposant des

forces,

d’interaction à courte

portée [11 ]

et

qu’une

telle appro- ximation n’est pas valable ici

puisqu’on

veut déter-

miner l’écran associé à une

impureté.

L’origine

et

l’importance

de l’effet de

période

peu- vent être aisément

comprises

pour des

alliages

d’élé-

ments

isoélectroniques (Z

=

0).

Dans ce cas, le

poten-

tiel

Vp,

étendu

principalement

sur le site de

l’impureté

et ses

plus proches voisins, déplace

une

charge nulle ;

nous supposerons que la variation de densité électro-

nique

sur chacun des

premiers

voisins est bien infé-

rieure à la variation de densité

électronique

sur le

site de

l’impureté ôn(0) = ôn’(0) ;

cçlle-ci

dépend principalement

du

potentiel V :

Les

potentiels

sur les

premiers

voisins

Vi

étant très

inférieurs à

Vo

ne modifient que très

légèrement

le

résultat donné par

(1.2).

La

fonction f (v) dépend

de

la structure de bandes du métal pur ; c’est, en

général,

une fonction décroissante

régulièrement depuis

le

nombre de trous par atome dans les bandes « d »

(pour V

= -

oo) jusqu’à_l’opposé

du nombre d’élec- trons « d » par atome

(pour

V = +

oo).

Le poten- tiel V est déterminé

graphiquement

par l’intersection des courbes

(Fig. 2) :

FIG. 2. - Détermination qualitative du potentiel V et de la variation de densité électronique sur le site de l’impureté.

Il ressort clairement de la résolution

qualitative

que

l’augmentation

de l’extension des couches « d »

(i.

e.

beo

>

0)

et la diminution de leur stabilité

(i.

e. ô U

0)

(5)

impliquent

que le

potentiel V

devient de

plus

en

plus répulsif ;

l’écran est caractérisé par une diminution du nombre d’électrons sur le site de

l’impureté

compen- sée par une

augmentation

sur les voisins.

Nous montrons dans la suite de ce

travail,

que les résultats de la discussion

qualitative

que nous venons

de faire subsistent

lorsqu’on

traite de

façon

cohérente

et

complète

le

potentiel d’impureté.

II.

Principe

du calcul de l’effet de

période-pseudo- potentiel.

-

Après

avoir

développé

un calcul

classique

de liaisons

fortes,

nous utilisons dans un

formalisme de

diffusion,

un

pseudopotentiel

de

façon

à tenir compte

explicitement

de la variation des orbi- tales

atomiques

d’une série à l’autre.

Nous nous limitons à l’étude d’une bande issue d’orbitales

atomiques

non

dégénérées ;

le cas

plus général

se traite de

façon identique

sans autre dim-

culté

[12].

Nous

négligeons

tout effet

d’hybridation

s-d. Les électrons s écrantant simultanément le poten- tiel créé par

l’impureté

et les interactions électron électron d-d ne modifient pas

qualitativement

les

résultats obtenus

[13].

II. 1. EQUATIONS AUX

DIFFÉRENCES,

RÉSOLUTION SELF CONSISTENTE. - La fonction d’onde

qJk(r)

d’un élec- tron de vecteur d’onde k du métal pur est choisie sous

la forme d’une fonction de Bloch construite à

partir

des orbitales

atomiques -,(r)

centrées sur les sites cris- tallins  :

N est

le nombre

d’atomes du cristal. Le

potentiel

de

réseau V,

est la

superposition

des

potentiels

atomi-

ques

U,,

centrés sur les sites :

La

fonction -

est alors la fonction propre de l’hamil-

2

-

tonien

Ho = -j-

+

U r d’énergie Eo-

De la même

façon,

à

chaque

fonction propre

(pk(r)

du métal pur

correspond

une fonction propre

Yk r)

du métal

perturbé

par une

impureté

située à

l’origine

des axes. Celle-ci est une combinaison linéaire d’orbi- tales

atomiques

(p :

Le

potentiel

du réseau est donné par :

Les

potentiels UÀ(r) dépendent

du

site ;

les fonc-

tions

qJ).(r)

sont les fonctions propres de l’hamilto- nien

Ho). d’énergie E). :

Ces fonctions d’onde

correspondent

à la fonction

p

dans la limite d’un

potentiel d’impureté

nul

(Pp

=

0).

L’approximation

des liaisons

fortes,

sous sa forme

la

plus simple,

suppose que les fonctions qJ À sont

quasi orthogonales ;

elle

remplace

la résolution de

l’équation

de

Schrôdinger

que satisfait 9k par un

système d’équa-

tions aux différences :

où les

quantités OEÂ

et

PÂ,

sont définies par :

La résolution de la structure

électronique

de

l’alliage,

i. e. la connaissance des coefficients

AA(k)

et de l’éner-

gie E(k)

de

tp k(r)

est assurée par la résolution auto- cohérente des

équations (2. 3), (2.4) (2.5)

et

(2.6).

Nous ferons un certain nombre

d’hypothèses simplificatrices

basées sur le fait que la

longue portée

des forces de Coulomb

implique

que la neutralité est

pratiquement

réalisée dans

chaque

cellule

atomique

de

l’alliage.

Nous supposerons donc que les écarts à la neutralité dans

chaque

cellule peuvent être traités

comme une

perturbation ;

les

hypothèses

de notre

calcul sont les suivantes :

i)

les fonctions d’onde qJ;. sont les fonctions d’onde

correspondant

à l’atome situé en À

supposé

dans l’état neutre et avec la même

configuration

« s » que dans

l’alliage :

Cette

approximation

d’ordre zéro par rapport à l’écart à la neutralité est valable dans la mesure

[1]

cet écart est faible ainsi

qu’on

le vérifie a

posteriori [2]

l’extension

spatiale

des fonctions o est conditionnée

principalement

par les fonctions du coeur Â.

ii)

les

énergies E;.

sont déterminées par un calcul de

perturbation

au

premier

ordre par

rapport

à l’écart

à la neutralité. Soit

ân(Â)

la variation du nombre

d’électrons « d » sur le

site ;

nous posons :

£5nI(O) = £5n(O) -

Z

représente

l’écart à

la

neutralité

sur le site de

l’impureté.

Les

paramètres U, U,

corres-

pondant

aux

intégrales

de Coulomb

intra-atomiques

dans un modèle Hartree :

On vérifie aisément que la formule 2.8 reste exacte dans un modèle de Hartree Fock Slater.

(6)

Par raison de

simplicité,

nous supposerons dans la suite que le

système

est traité dans

l’approximation

de Hartree et

qu’il

est dans un état

paramagnétique.

L’extension aux

systèmes ferromagnétiques

est exami-

née dans la référence

[14].

La détermination des

équations (2.6)

à l’aide des

aproximations (2.7) (2.8)

est immédiate

(cf.

appen- dice

1).

Nous obtenons :

Dans

(2.10), Vc

et Uc! I sont les

potentiels

de coeur

correspondant

aux coeurs d’un atome de la matrice et d’un atome

d’impureté respectivement. V, repré-

sente le

potentiel

de Coulomb créé par la distribution de

charge 9,,(r) :

et les

quantités ] VJl 1 X

>

représentent

des inté-

grales

de Coulomb

interatomiques.

Nous n’avons

gardé

que les

intégrales

de Coulomb

à un et à deux centres parce

qu’elles

sont

beaucoup plus importantes

que les autres.

Remarquons

ici

qu’il

est essentiel de

garder

les

intégrales

à deux centres

afin de décrire correctement l’écran.

Les

paramètres

az décrivent le

déplacement

du

niveau dû aux autres atomes Il

# À ;

nous avons fait

apparaître

dans

(2. lo)

l’écart de

E.

+ aA par rapport à sa valeur dans le métal pur. Ces termes compren- nent une

partie indépendante

de la distribution des électrons dans la bande « d »

(i.

e.

ôE*, t>vc) ;

l’autre

partie dépend

de la distribution

électronique ân(p)

et ne peut être déterminée

qu’après

résolution auto- cohérente du

système d’équations

aux différences.

Notons enfin que les

intégrales

de recouvrement

f3).Jl = fJ).Jl

+

t>f3 ).Jl’

s’écrivent de

façon analogue (cf.

appendice 1).

II . 2 RÉSOLUTION DES ÉQUATIONS AUX DIFFÉRENCES PAR LA THÉORIE DE LA DIFFUSION ; : PSEUDOPOTENTIEL

Wp.

- Dans le cas

classique

où les fonctions d’onde

«

atomiques »

associées au métal pur

{ }

sont

supposées identiques

aux fonctions

{ 9,

associées

à

l’alliage,

la résolution des

équations

aux différences

(2.6)

est

équivalente

à la résolution du

problème

de

diffusion des électrons par le

potentiel Vp,

les coeffi- cients

A).(k)

étant les composantes

de 1 ’Fk

>

suivant le

système complet { }.

Dans le cas

présent,

le

système { oz 1 dépend

de

la structure

électronique

de

l’alliage

et la méthode

pré-

cédente n’est

plus

valable. Nous pouvons

cependant généraliser

cette méthode et tenir compte de la diffé-

rence des

systèmes { (p }

et

{ i }

en introduisant

une

pseudofonction 1 c1Jk

> et un

pseudopotentiel Wp.

Les coefficients

AI(k)

solutions de

(2.6)

sont

considérés comme les composantes

ip 1 c1Jk

> de la

pseudofonction :

suivant le

système complet

de fonctions

atomiques

non

perturbées { qi). } ;

le

pseudopotentiel d’impureté Wp,

défini par :

est le

potentiel

tel que

Ho

+

Wp

admette dans la variété

{ OÂ }

pour fonctions propres

d’énergie E(k)

les

pseudo- fonctions 1 CPk

>. L’introduction de ce

pseudopo-

tentiel

Wp permet

d’utiliser la théorie de la diffusion pour

déterminer 1 CPk

> et ses composantes

AÂ(k)

sur

{ OA } ;

cette

résolution

a le mérite d’être

plus physique

que la résolution directe des

équations (2.6),

le

potentiel Wp

contenant à la fois l’effet direct de

l’impureté (i.

e.

Vp)

et l’effet lié à la modification d’exten- sion et de stabilité des couches CfJ.

Compte

tenu des

hypothèses simplificatrices (2.7) (2.8)

le

pseudopotentiel Wp

est défini par ses éléments de matrice entre fonctions

iA.

La

simple

identification des

équations

aux différences associées à

Ho

+

Vp (2.6)

et à

Ho

+

Wp

détermine

Wp

dans

l’espace

{ qJ À }.

Nous

séparons WP(r)

en deux

parties

de la même

façon

que les coefficients

E

+ x

pAe :

W(e)

est le

pseudopotentiel

extérieur

agissant

sur les

électrons de la

matrice ;

ceux-ci se redistribuent sous son effet et créent un

potentiel

d’écran W(’). Les

équa-

tions

(2.6) (2.10) (2.11) (2.12) (2.13)

nous permet-

tent d’obtenir

w(e)

et

W(’)

sous la forme suivante :

(7)

Les deux

premiers

termes de

w(e) correspondent

aux

déplacements

des niveaux

El

dus au

potentiel

de

coeur, le dernier terme

correspond

à une modification des

intégrales

de recouvrement

Plp,.

Nous discutons

dans la section suivante les résultats

généraux

obtenus

pour la diffusion des électrons « d » par W. Remar- quons

que W est

un

potentiel

non local par suite de la modification des

intégrales

de recouvrement par la

perturbation.

III. Résolution des

équations

par une méthode de

perturbation

self consistente. - Nous nous proposons de discuter dans cette section les résultats d’un calcul de

perturbation

self consistent permettant de déter- miner les coefficients

A,(k).

Il suffit pour cela

d’appli-

quer les résultats de la

référence [12]

pour le

potentiel Wp

et non pour le

potentiel Vp.

Nous

rappelons

d’abord les résultats du calcul de Hartree self consis- tent avant de discuter de

façon générale

l’effet de l’extension

spatiale

et de la stabilité des couches d

sur les

propriétés physiques

de

l’alliage (variation

de

densité

électronique,

variation de densités

d’états, susceptibilité magnétique)

pour des

alliages

d’éléments

isoélectriques

ou pour des

alliages

d’éléments

pré-

sentant une différence de valence Z.

III.1 RÉSULTATS D’UNE MÉTHODE DE PERTURBATION SELF CONSISTENTE DANS LE CAS OU LES ORBITALES DE LA MATRICE ET DE L’IMPURETÉ SONT IDENTIQUES. - Cette méthode

équivalente

à la méthode R. P. A.

[15]

permet

d’obtenir les

propriétés physiques

du

système

à

partir

de la connaissance de la

susceptibilité dépen-

dant du vecteur d’onde q,

g(q) :

Dans

(3.1) l’intégrale

est étendue

jusqu’au

niveau

de Fermi

EF

et S2 est le volume

atomique

du cristal.

La variation de densité

électronique

dans la cellule

À, bn(Â)

est donnée par ses composantes de Fourier

bn(q) (1)

grâce

à la théorie de la diffusion :

N est un vecteur du réseau

réciproque ;

si dans cette

formule et dans

(3.1), k±q±N n’appartient

pas à la

première

zone de Brillouin on doit le

remplacer

dans

E(k±q±N)

par celui des vecteurs dont l’extrémité

appartient

à la

première

zone. Pour obtenir

(3.2)

nous avons utilisé la formule de diffusion de Born et nous avons

supposé

que

k 1 Wp 1 k

+ q > ne

dépen-

dait que du vecteur q

(potentiel local) :

pour

cela,

nous

avons

négligé

les termes

(i). 1 c5vc 1 qill

>

Cu o À)

devant les termes

diagonaux i 1 c5vc 1 qJ).

> ainsi que toutes les

intégrales ( 2 qi). qipl / e

r

/ qiv cpp)

sauf

les

intégrales

de Coulomb intra et

interatomiques

Compte

tenu des

équations

d’autocohérence de

Hartree,

la variation de densité

électronique bn(q) peut s’exprimer en

fonction des transformées de Fourier

w(e)

et

de Vi :

Dans le cas

présent

we = V°

puisque

les orbitales

de la matrice et de

l’impureté

sont

supposées

identi-

ques.

Avec la

décomposition (2.13)

du

potentiel

W et

en ne

gardant

que les

intégrales

de Coulomb à un et

à deux centres, nous obtenons la relation :

La formule

(3.4)

a été

appliquée

à l’étude de la struc-

ture

électronique

des

impuretés

dans le

nickel,

le

potentiel

extérieur étant schématisé par

f(e)(q)

et

f(i)(q) s’expriment

alors en fonction du facteur de forme

atomique :

de la

façon

suivante :

Nous allons étudier l’écran en tenant compte

expli-

citement de la forme des fonctions

d’impureté

çi de

sorte que

l’équation (3.6a)

n’est

plus applicable.

III.2 INFLUENCE DE LA DIFFÉRENCE ENTRE LES ORBITALES DE LA MATRICE ET DE L’IMPURETÉ. - Les

équations précédentes

sont modifiées parce que

W(i) (cf. (2.14))

est défini en fonction

de V.

et non en

(1) La transformée de Fourier de A(l) sera notée

(8)

fonction de

VI. En introduisant

la différence de poten- tiel

c5 Vo

=

Vo - Vo,

et en

négligeant

comme

pré-

cédemment les termes non locaux nous pouvons réécrire

(2.14)

sous la forme :

bn(q)

est calculé alors de la même

façon

que

précédem-

ment et, en omettant les processus U pour

plus

de

simplicité

nous obtenons :

avec

En posant :

A

la distribution

bîi(q)

étant la distribution

électronique compte

non tenu de la nature de

l’orbitale,

de

l’impu- reté,

nous obtenons aisément à

partir

de

(3.8)

le

résultat :

III.3 DISCUSSION DE L’EFFET DE LA STABILITÉ ET DE

L’EXTENSION DES COUCHES « d » DANS LE CAS D’ALLIA-

GES

ISOÉLECTRONIQUES.

- Dans le cas

d’alliages

iso-

électroniques

la différence des

potentiels

de coeur

bvr

est à courte

portée :

nous supposerons pour

simplifier

que

ôv, ,(r)

est localisé sur la cellule de

l’impureté.

Nous obtenons alors

d’après (3.3)

et

(2.14) :

et en utilisant

(3 .11 ) :

De

même,

nous obtenons pour le

pseudopotentiel :

la somme

sur q

étant étendue à la

première

zone de

Brillouin. Les formules

précédentes (3.13), (3.14)

sont la base de la discussion sur les

propriétés

des

alliages isoélectroniques. Après

avoir discuté

qualita-

tivement les

caractéristiques

de

l’écran,

nous donnons le résultat d’un calcul utilisant un modèle

simple

de

structure de

bandes ;

nous montrons que la

perturba-

tion introduite par des

impuretés

de même valence

que

l’impureté

peut être relativement

importante.

III.3.1 Discussion

qualitative des formules (3. 13), (3.14).

- La variation de densité

électronique

intro-

duite par une

impureté

est

proportionnelle

à

ôE*

(cf. (3.13».

Elle est nulle si

ôEt =

0

auquel

cas

les couches d de

l’impureté

sont

identiques (ô Uo

=

0).

Le

potentiel

provenant de la différence entre les

impuretés

et la matrice est

répulsif

au niveau de

l’impureté

pour

ôE* >

0 i. e. pour un état

d’impureté

moins stable que l’état

correspondant

à la matrice.

Lorsque

l’état d de

l’impureté

est moins stable que celui de la

matrice,

celui-ci

présente

une extension

spatiale plus grande (5C/o 0) :

le

potentiel répulsif

introduit par

bEô

est alors

amplifié

par le coefficient

Lorsque

ce facteur est

important

la méthode de pertur- bation n’est

plus

valable sur le site central et on doit utiliser une méthode déterminant le

potentiel

sur le

site de

l’impureté

de

façon

autocohérente en dehors de la méthode de

perturbation [14].

III. 3. 2

Règle

de somme de Friedel. - Dans le cas

d’alliages isoélectroniques,

nous devons avoir :

Nous pouvons vérifier aisément cette

règle à partir

des

relations limites :

n(EF)

est la densité d’états par unité

d’énergie

et par atome.

Nous avons assuré la

règle

de Friedel en conservant les

intégrales

de Coulomb

interatomiques

afin de

préserver

la

portée

des forces de Coulomb. Nous obtenons clairement

(3.15) chaque

fois que le

potentiel

extérieur a une

portée

finie tandis que les interactions électron électron ont une

portée

infinie.

III.3.3 Variation de densité d’états introduite par

une

impureté.

- De la même

façon qu’en (3.2)

nous

pouvons introduire la variation du nombre d’électrons

d’énergies

inférieures ou

égales

à E :

g(q, E)

est obtenu à

partir

de

(3.1)

en prenant

l’intégrale

sur k

jusqu’à l’énergie

E.

La variation de densité d’états

bn(E)

s’obtient à

partir

de

(3. 17)

par la relation :

LE JOURNAL DE PHYSIQUE. - T. 31, 10, OCTOBRE 1970.

(9)

nous avons utilisé le fait que

g(O, E)

est

égal

à la

densité d’états du métal pur pour

l’énergie

E,

n(E).

D’après (3.14) WP(o)

= 0 et la variation totale de

densité d’états introduite par une

impureté

est nulle

pour des

alliages isoélectroniques.

Ce résultat

général provient

de la

portée

finie du

potentiel

et de la

portée

infinie des forces d’interaction.

Ainsi,

dans le « modèle »

de

potentiel

que Harrison a utilisé pour les

alliages

à base de métaux normaux

[7],

We est la somme du

potentiel - Zlr (nul

pour des

alliages

isoélectro-

niques)

et du

potentiel

au trou

d’orthogonalisation.

Celui-ci a une

portée

finie et il

n’apporte

aucune contribution ni à la

charge

d’écran ni à la variation de densité d’états.

Cependant, localement,

la variation de densité

d’états

ôn(E, Â)

sur la cellule  est non nulle et est donnée

(en négligeant

les processus

U) d’après (3.14) (3.17)

par :

La fonction

(DIDE) g(q, E)

est

singulière lorsque 1 q 1

est

égal

à un diamètre de la surface de

Fermi ;

cette

singularité

conditionne la forme

asymptotique

de la

variation de densité d’états.

III.3.4

Remarque

sur les variations de chaleur

spécifique électronique,

de

susceptibilité magnétique

introduites par une

impureté.

- Le cas des

alliages isoélectroniques

a été étudié de

façon

extensive

afin de déterminer les

propriétés

de fluctuations de

spin

locales introduites par une

impureté

dans

un métal de transition

[16].

Le modèle

qui

a été

utilisé suppose essentiellement que dans

l’approxi-

mation de

Hartree,

il

n’y

a aucune variation de densité

électronique

dans

l’alliage

de sorte que les fonctions d’onde sont

supposées

être des fonctions

de Bloch du type

(2.1).

Dans ces conditions on

obtient l’effet des interactions électron électron sur la

susceptibilité magnétique [17]

sur la chaleur

spéci- fique [18],

la résistivité

électrique [17],

etc... en fonc-

tion du seul

paramètre bUo.

Le calcul

précédent

permet de se faire une idée sur

l’importance

de cette

approximation.

La variation de densité

électronique

par unité

d’énergie ôÀ(0, EF)

étant nulle dans la méthode de Hartree

(ou

Hartree

Fock)

les variations de chaleur

spécifique électronique

et de

susceptibilité magnétique

sont dues

uniquement

aux interactions électron élec- tron.

Cependant,

les fonctions d’onde individuelles

ne peuvent être assimilées à des fonctions de Bloch et la

susceptibilité magnétique

locale doit s’évaluer en

fonction de la variation de densité d’états locale

qui

n’est pas nulle. Ces termes peuvent être

impor-

tants

lorsqu’on

est au

voisinage

de l’instabilité

locale ;

ils sont malheureusement difficiles à évaluer car ils

dépendent

de la variation

spatiale

de la

susceptibilité

locale.

III.3.5 Calcul de la variation de densité électro-

nique

dans des

alliages

d’éléments

isoélectroniques.

- Afin d’éviter le calcul

numérique

des

susceptibilités

locales nous évaluons dans un modèle

simple

l’ordre

de

grandeur

de la variation de densité

électronique.

Nous assimilerons selon un schéma

classique,

la

structure

électronique

du haut de la bande « d » à celle d’un ensemble de

sphères

ou de

cylindres [12] ;

les fonctions d’onde pour chacune de ces sous-bandes étant du type

(2.1).

Cette

approximation

est

justifiée

pour un cristal

cubique

à faces centrées et dans la

mesure où le nombre de trous est très

petit [12].

On

sait,

en

particulier,

que les surfaces de Fermi sont

cylindriques

dans le cas du

platine

ou du

palladium [2 1 ].

De

plus,

des calculs

plus explicites [14]

montrent

que

l’approximation

est bonne pour donner l’ordre de

grandeur

de la variation de densité

électronique.

Nous estimerons donc l’écran pour des

alliages isoélectroniques

dans les deux modèles suivants : 1. Les surfaces de Fermi sont constituées de six

demi-sphères

centrées aux

points X ;

la relation de

dispersion

est donnée par

E(k) = Et - ôk’12

m *

où Et

est

l’énergie

du haut de bande et ôk est la

longueur

du vecteur k

compté

à

partir

du centre de la

sphère

de Fermi considérée.

2. Les surfaces de Fermi sont constituées de douze

demi-cylindres

dont les axes sont les

diagonales

des

faces carrées de la zone de

Brillouin ;

la relation de

dispersion

est donnée par : 2 E =

Ak 2 où kl

est la

composante du vecteur k normale à l’axe du

cylindre

considéré.

Nous calculons l’écran

(i.

e.

(3.13))

pour un métal

du type

platine :

la surface de Fermi est déterminée

en supposant que la bande « d » contient

0,4

trou

par atome et le

paramètre

m*

(ou A)

est déterminé

par la chaleur

spécifique électronique

du

platine.

Nous avons

négligé

le processus « U » dont l’influence

est faible

lorsque

le nombre de trous dans la bande « d »

est

petit [13].

Nous obtenons ainsi un ordre de gran- deur de la variation de densité

électronique.

Celle-ci

est

représentée

dans les

figures

3 et

4 ;

elle est carac- térisée par les

points

suivants :

1)

La variation de densité

électronique

sur le site de

l’impureté

est

importante.

Dans le modèle

I,

pour

l’alliage PtNi, Eô N 0,5 eV,

nous obtenons

soit :

2)

la variation de densité

électronique

sur les voisins

de

l’impureté

est du même ordre que celle

qu’on

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