• Aucun résultat trouvé

Procédé et formule de fixage pour plaques nucléaires épaisses éliminant la corrosion des grains d'argent

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Procédé et formule de fixage pour plaques nucléaires épaisses éliminant la corrosion des grains d'argent"

Copied!
7
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00212784

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00212784

Submitted on 1 Jan 1960

HAL is a multi-disciplinary open access

archive for the deposit and dissemination of

sci-entific research documents, whether they are

pub-lished or not. The documents may come from

teaching and research institutions in France or

abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est

destinée au dépôt et à la diffusion de documents

scientifiques de niveau recherche, publiés ou non,

émanant des établissements d’enseignement et de

recherche français ou étrangers, des laboratoires

publics ou privés.

Procédé et formule de fixage pour plaques nucléaires

épaisses éliminant la corrosion des grains d’argent

H. Braun

To cite this version:

(2)

6

LE

JOURNAL

DE

PHYSIQUE

ET

1.E RADIUM

PHYSIQUE

APPLIQUÉE

PROCÉDÉ ET FORMULE DE FIXAGE POUR

PLAQUES

NUCLÉAIRES

ÉPAISSES

ÉLIMINANT LA CORROSION DES

GRAINS D’ARGENT

par

H. BRAUN,

Chargé de Recherches, Laboratoire de

Physique Corpusculaire,

Strasbourg.

Résumé. 2014 Différents facteurs pouvant intervenir dans la corrosion des grains d’argent dans

les plaques nucléaires épaisses, tels la composition, le pH, le potentiel d’argent, le

potentiel

d’oxydo-réduction et le volume du bain fixateur utilisé, ont été étudiés.

L’auteur propose une méthode et une formule de fixage contenant de l’acide

l-ascorbique

per-mettant d’obtenir des

plaques

nucléaires

épaisses

exemptes de corrosion et transparentes.

Abstract. 2014 The corrosion of the silver

grains in thick nuclear plates may be due to several

causes such as the composition, the pH, the silver

potential,

the redox potential and the volume of the fixing bath. These have been investigated.

The author proposes a method of fixing and a formula for the fixing bath containing ascorbic

acid, which makes it

possible

to obtain thick nuclear

plates

free of corrosion and perfectly

trans-parent.

Tome 21 SUPPLÉMENT AU No 7 JUILLET 1960

Introduction. - Le

problème

de la corrosion des

grains d’argent

dans les

plaques

nucléaires

épaisses

lors du

fixage

est un des

plus importants parmi

ceux

qui

se

posent

dans le traitement des émulsions.

En

effet,

il

importe

pour mesurer, discriminer et

interpréter

correctement les événements dans les émulsions nucléaires

épaisses,

d’obtenir dans les différents lots d’émulsions et au sein d’une même

plaque

les mêmes courbes de densité

granulaire

et

d’ionisation ;

ceci

implique

un traitement

homo-gène

et

reproductible

des

plaques.

Or,

la corrosion des

grains d’argent

dans le bain fixateur introduit

une

dispersion

hasardeuse des mesures de

l’ioni-sation

qui

ne

dépendent

dès lors

plus

du passage

des

particules

dans

l’émulsion,

et

qui

varient d’un lot à l’autre et en fonction des z dans une même

plaque.

Un tel processus n’a

plus

rien de commun avec

les méthodes de

sous-développement

contrôlé

qui

sont souvent utilisées pour

augmenter

la discrimi-nation dans le domaine des faibles ionisations.

Beaucoup

d’auteurs se sont

préoccupés

de la

ques-tion,

et ont

proposé

des

hypothèses variées,

sur les causes de cette corrosion.

Ainsi,

la dissolution des

grains d’argent

en

sur-face de l’émulsion est souvent attribuée à la

pré-sence

d’oxygène

atmosphérique

dans les bains de

fixage [1].

D’autres

raisons,

telle la

possibilité

que l’élévation de

température

par le stade chaud affecte les

qualités

de

l’amidol,

ou les conditions

expérimentales

dans leur ensemble

peuvent

être

supposées

à

l’origine

de cette corrosion.

Yagoda

suppose

qu’elle

est liée au

phénomène

d’auto-oxy-dation de l’amidol au cours de la

pénétration;

Vanderhaegue [2],

pour la corrosion en

profondeur,

au fait que l’amidol fortement adsorbé par la

géla-tine,

existe ou

subsiste

en

quantité plus

élevée,

au

fond, qu’en

surface de l’émulsion

après

le bain d’arrêt normal. Demers

[3]

suppose que la corrosion

pourrait

être due à certains

phénomènes

de

poly-mérisation,

dus aux

produits

d’oxydation

du

révé-lateur.

Samuelovitch et Barinova

[4] expliquent

la

cor-rosion

dans

la solution

d’hyposulfite

de sodium par la solubilité

partielle

de

l’argent

faiblement

dispersé

qui

compose la trace. La vitesse de solubilité de

l’argent

augmente

avec le

degré

de

dispersion

de

l’argent

et en

présence

d’oxydants,

et par

acidifi-cation du bain fixateur.

Heughebaert

[5]

suppose que l’amidol ou

plutôt

un ion formé à

partir

de l’amidol est

responsable

de

l’oxydation

de

l’argent.

Cet auteur suppose

qu’il

y a

formation

d’oxyde

d’argent

qui

se dissout

lente-ment.

(3)

74

En fonction des variables

possibles,

il nous a paru

intéressant de

reprendre

l’étude de la corrosion en

fonction des

principaux

facteurs suivants :

1)

Com-position

du bain

fixateur ;

2) pH

du bain

fixateur ;

3)

potentiel d’argent

du bain fixateur :

EAg;

4)

potentiel d’oxydoréduction

du bain fixateur :

Ered ; 5)

volume de fixateur utilisé.

Pour cette

étude,

nous avons effectué

quelques

centaines de

fixages différents,

et dans cette

note,

nous donnons les observations et résultats

qui

nous

semblent actuellement les

plus

intéressants. Nous nous sommes efforcés de trouver une

for-mule de bain de

fixage, qui

bien que

supprimant

la

corrosion,

n’exalte pas les autres défauts des émul-sions nucléaires.

Ainsi,

la valeur du

pH

du bain fixateur est très

importante.

Pour diminuer le

gon-flement,

donc pour éviter la distorsion et le

décol-lage

de

l’émulsion,

et pour

augmenter

la

transpa-rence, il est souhaitable

d’opérer

le

fixage

en milieu

acide. Par

contre,

pour accélérer le

fixage

et

suppri-mer la

corrosion,

il est

préférable d’opérer

en milieu

basique.

Mode

opératoire.

- Pour faciliter les essais

sensi-tométriques,

nous avons utilisé comme dans les

tests courants de notre

laboratoire,

des

plaques

G 5 Ilford 10 y,

exposées

à la lumière normale à

travers un escalier de densités

croissantes,

déve-loppées

à

l’amidol,

arrêtées à l’acide

acétique,

lavées à l’eau distillée et fixées dans des solutions de

fixage

de

composition

différente. Les

plaques

étaient

groupées

par série de

quatre,

la

première

étant retirée du fixateur

après

20 minutes

(témoin),

les suivantes en fonction du taux de

rongement.

Les essais semblant les

plus

intéressants ont ensuite

été

appliqués

à des émulsions G 5 Ilford de 600 {l contenant des événements du

rayonnement

cos-mique

et

exposées

à des neutrons

rapides

provenant

d’une source de Po-Be. Ces

plaques

sont traitées par

la

technique

du

développement

par

température.

- Comme

paramètre

de mesure de la corrosion dans les émulsions

épaisses,

nous avons utilisé le

comp-tage

et la mesure de

longueur

des lacunes sur les

100 derniers microns de

protons

de recul.

Pour les émulsions de 10 y

d’épaisseur

exposées

à la

lumière,

nous avons mesuré les densités à l’aide

d’un densitomètre construit au laboratoire.

Dans tous nos essais de

fixage,

nous avons utilisé

une solution

d’hyposulfite

de sodium de 350

g/litre.

Le volume de fixateur utilisé a presque

toujours

été de 1 litre pour 3 g de bromure

d’argent

contenu dans l’émulsion.

Nous avons

généralement

mesuré et

enregistré en

fonction du

temps

les variations de

pH,

de

potentiel

d’oxydoréduction

Ered

et

potentiel d’argent

EAg

des solutions.

Résultats et observations. -

A)

INFLUENCE DE

L’OXYGÈNE

ATMOSPHÉRIQUE. -

A l’aide d’un

appa-reil

étanche,

réalisé au laboratoire

[6],

nous avons

imprégné

et

développé

des

plaques

entièrement en

atmosphère

d’azote. Le révélateur a été

préparé

de

façon

à

empêcher

toute action de

l’oxygène

de l’air

sur lui.

L’eau servant à cette

préparation

a été au

préa-lable

portée

à ébullition et le révélateur lui-même

non filtré.

Malgré

une

augmentation

de la

transpa-rence, les émulsions traitées de cette

façon

sont

rongées

en surface.

L’oxygène

atmosphérique

n’est donc pas le seul

responsable

du

rongement.

b)

INFLUENCE DU

pH. -

Afin d’étudier la

corro-sion des

grains

d’argent

en fonction de la valeur

du

pH

du bain

fixateur,

nous avons effectué une

série de

fixage

en

rajoutant

à

l’hyposulfite

de

sodium des

quantités

croissantes de métabisulfite de sodium.

Nos résultats sont en accord avec ceux trouvés

par Samuelovitch

[4].

Ils

indiquent

une

augmen-tation de la dissolution des

grains

dans un tel

fixa-teur acidifié en fonction de l’accroissement de la

quantité

de métabisulfite

rajoutée

et donc de l’abaissement de la valeur du

pH.

Cette augmen-tation de la corrosion dans un fixateur acidifié au

métabisulfite de sodium

peut

s’expliquer

par la

dé-composition

de

l’hyposulfite

en sulfite et soufre colloïdal aux valeurs de

pH

utilisées

(pH

4,5

à

7).

Par

contre,

nous n’avons pas

complètement

retrouvé les résultats de

Païc,

sur la résistance à la

corrosion,

à la suite

d’emploi

d’eau distillée et

dégazée,

et de

produits

pour

analyses,

pour le

fixa-teur acide

tamponné

à l’aide

acétique

+

sulfite de sodium

[1].

Par

rajout

de sulfite de sodium

seul,

on obtient

de meilleurs résultats.

Cependant,

nous avons

cons-taté

qu’en

milieu

sulfitique

et pour les

concen-trations

(supérieures

à 10 g par

litre)

nécessaires pour

produire

une certaine efficacité dans la

pro-tection contre la

corrosion,

le

fixage

se fait

beau-coup

plus

difficilement et les

plaques

épaisses

pré-sentent une forte turbidité

qui

les rend

prati-quement

inobservables.

Ainsi,

une

simple

variation de la valeur du

pH

du bain

fixateur,

même à l’aide de réducteurs tels que le métabisulfite et le sulfite de sodium ne

permet

pas de

protéger

efficacement

les

plaques

contre la corrosion.

C)

POTENTIEL D’ARGENT DU BAIN FIXATEUR :

EAg.

.- Par

rajout

d’acétate

d’argent,

de sulfite

d’argent

ou de bromure

d’argent,

nous avons réussi à dimi-nuer très fortement la corrosion.

Cependant,

pour les concentrations donnant une

protection

efficace

(supérieures

à 2 g de sels

d’argent

par litre de

fixa-teur),

le

temps

de

fixage

augmente

démesurément

et les émulsions

perdent

de leur

transparence.

Ainsi,

dans la

pratique,

il convient de ne pas

rajouter

(4)

75

Ces résultats sont conformes à ceux trouvés par

Bonetti

[7].

Les mesures du

potentiel

d’argent

nous

ont montré que,

plus

la valeur de

EAg

est

élevée,

moins il y a de corrosion.

Les différentes valeurs de

EAg,

ont été obtenues soit par

rajout

d’un sel

d’argent,

soit en utilisant

un bain fixateur «

usagé n

obtenu par

fixage

préa-lable de vieilles

plaques.

Il est intéressant de

signaler

que

l’enregistrement

de la mesure des valeurs de

EAg

du bain fixateur

peut

servir à la détermination et au contrôle de la

vitesse de

fixage (quantité

de sel

d’argent

sortie de la

plaque),

et ainsi contribuer à la diminution de

la

distorsion due à l’affaissement de la

gélatine (fig. 1).

’ FIG. 1.

-Fig:. 2

__

-Fig:’ 3

w

-E!L5

FIG. 2, 3, 4 et 5. - Variation de la densité des

spots en fonction du temps de fixage dans différents bains de fixage. Émulsions Ilford G 5 1 0 y exposées à la lumière longue à travers un escalier de

den-sités croissantes. Développement à l’amidol (formule de

Bruxelles)

30 minutes. Bain d’arrêt à l’acide

acétique.

Fixage : Hyposulfite de sodium 350 g/1

(fig.

2)

Hyposulfite de sodium 250 g/1

Révélateur Amidol

(Bruxelles)

2 cm3/1

(fig.

3)

Hyposulfite de sodium 350 g/1

Bromure d’argent 1 g/1

(fig.

4)

Phosphate de sodium

disodique

36 g

Hyposulfite de sodium 350 g/1

(fig.

5)

Acide

1-ascorbique

2 g/1

Phosphate de sodium monosodique

(5)

76

(6)

d)

POTENTIEL D’OXYDO-RÉDUCTION DU BAIN FIXATEUR :

Ered.

-

L’interprétation

de la mesure

des valeurs de

Ered est

plus

incertaine. Nous n’avons pu en tirer aucune conclusion.

Cependant,

dans

environ 7 essais sur

10,

il semble que

plus

le

poten-tiel redox de la solution fixatrice est bas

(réduc-teur),

moins il y a de

corrosion,

par contre cette

constatation est entièrement fausse

lorsque

nous

rajoutons

2 cm3 de révélateur à l’amidol par litre de

fixateur,

ce

qui

a pour effet de diminuer

forte-ment la valeur de

Ered

duifixateur

et de provoquer

une corrosion

catastrophique

(fig.

2 à

5).

e)

VOLUME DE FIXATEUR UTILISÉ. - Nous avions

entrepris

nos essais de

fixage

en utilisant 1 litre de

fixateur pour 3 g de bromure

d’argent contenus

dans l’émulsion.

Cependant

nous avons constaté

qu’on

pouvait

sans

augmenter

grandement

le

temps

de

fixage,

fixer

jusqu’à

20 g de bromure

d’argent

par litre de fixateur et dans ces conditions diminuer

fortement la

corrosion,

tout en obtenant des

plaques

très

transparentes.

Nous avons d’autre

part

constaté que

l’image

d’argent

sur un

papier

photographique

vire souvent

au brun avant de

disparaître

entièrement et ce

d’autant

plus

facilement et

rapidement

que le

papier

est

proche

de la surface de la solution.

Aussi,

en

appliquant

ces observations aux émulsions

nu-cléaires,

nous avons été amenés à utiliser des bacs de

fixage

profonds

permettant

de recouvrir les

plaques

avec environ 10 cm de fixateur.

Fixage

par

rajout

d’acide

l-ascorbique.,

a ^-- Des

essais

précédents,

nous n’avons pu déduire aucune

formule de

fixage supprimant

entièrement la

corro-sion sans exalter d’autres défauts de la

plaque. Aussi,

avons-nous

essayé

différentes substances

réduc-trices ou

anti-oxydantes.

Nous avons obtenu de

très bons résultats par

rajout

d’acide

l-ascorbique

dans le bain fixateur sous certaines conditions

de

pH.

L’acide

1-ascorbique

est un

anti-oxydant

bien connu. Il est détruit à

l’air,

à la lumière et en

solution alcaline.

Parmi les nombreux essais effectués en fonction

des

concentrations,

du

pH

et de la

température,

nous avons retenu la formule No 1 suivante :

La valeur du

pH

est stable durant tout le

fixage.

La basse

température

déjà

recommandée pour éviter la distorsion et la formation de bulles ralentit aussi toutes réactions secondaires dans la solution

d’hyposulfite

de sodium et limite substantiellement la corrosion des

grains

et la coloration de la

gélatine

Nous avons récemment

remplacé

notre bac de

fixage

en acier

inoxydable

par un bac

argenté.

Les

fixages

d’émulsion Ilford G 5 de

600 03BC

effec-tués à l’aide de la formule N°

1,

ne nous ont donné

aucune trace de

corrosion,

des émulsions très

trans-parentes,

très peu de distorsion et aucun

gradient

de

développement (tableau 1).

TABLEAU I

(7)

78

Heughebaert

[8]

a montré récemment que la

protection

associée à

l’emploi

d’acide

l-ascorbique

dans le

fixage

peut

être étendue au stade du

déve-loppement

en substituant de l’acide

l-ascorbique

à

l’acide

borique.

Conclusion. -

D’après

nos

expériences

il doit

exister au

moins,

deux causes de corrosion des

grains d’argent :

1)

Une corrosion relativement peu

importante

due

à

l’attaque

de

l’argent

par

l’hyposulfite

de sodium ou ses

produits

de

décomposition

et à

l’oxygène atmosphérique

sous certaines conditions

de

pH.

Le taux de

rongement

dans ce cas,

peut

être

diminué par

dégazage

de l’eau et par

emploi

des

produits chimiques-purs

[1].

2)

Une corrosion

catastrophique

effaçant

entiè-rement les traces dues à l’amidol ou à ses

produits

d’oxydation,

spécifique

à cette substance

dévelop-patrice

et accélérée par

l’oxygène atmosphérique.

En

effet,

lorsqu’on ajoute

2

cm3 de révélateur à

l’amidol,

au bain de

fixage,

on

observe, au

bout de

quelques

heures,

la

disparition

quasi complète

de

l’argent développé.

Par

contre,

par

rajout

d’hydro-quinone

ou de

pyrogallol,

on n’observe aucune

corrosion,

mais une forte coloration en rouge et le

décollage

de l’émulsion.

En

rajoutant

de l’acide

l-ascorbique

à la solu-tion

d’hyposulfite

de sodium

tamponnée

à

pH

6,5

à l’aide de

phosphate

mono et

disodique

et en tenant

compte

des conditions de

fixage

mentionnées

ci-dessus,

nous avons pu

supprimer

cette corrosion

catastrophique.

Remerciements. - Ce travail

a été effectué au

laboratoire de

Physique corpusculaire

de l’ Uni-versité de

Strasbourg

sous la direction du Professeur

P. CÜER que nous remercions vivement pour ses

précieux

conseils. Il a été matériellement

possible

grâce

à

l’appui

de la commission des

grands

accé-lérateurs’ du C. N. R. S. en faveur du laboratoire.

Manuscrit reçu le 8 février 1960.

BIBLIOGRAPHIE

[1] PAIG

(M.),

THURO

(C.)

et

TUK-ZIVKOVIE

(M.),

Sur un

procédé de fixation évitant le rongement. 1er

Col-loque International de Photographie

Corpusculaire,

Strasbourg, juillet 1957, p. 259-272.

Corpuscu-[2] 1er Colloque International de

Photographie

Corpuscu-laire, Strasbourg, juillet 1957, p. 267 (Discussion de

[1]).

[3] Cf. [2].

[4] SAMUELOVITCH (D.

M.)

et RABINOVA (E. S.), J.

« Prib. et techn. experiment », Académie des Sciences,

U. R. S. S., 1956, n° 3.

[5] HEUGHEBAERT (J.), Université de Milan. Report of

meeting of C. E. R. N., Genève, janvier 1959, p. 80.

On Corrosion of Nuclear emulsion.

[6] BRAUN (H.), Thèse, juin 1958, Strasbourg.

[7]

BONETTI,

1er

Colloque

International de

Photographie

Corpusculaire,

Strasbourg,

juillet

1957.

[8]

HEUGHEBAERT (J.), Réunion de travail de la

Sous-Commission de travail des utilisateurs d’émulsions

Références

Documents relatifs

Un fixage opéré dans de mauvaises conditions peut entraîner de fâcheuses conséquences : disparition des grains d’argent, colorations prononcées, distorsion

Deux possibilités s’offrent pour développer le système : concevoir la machine complète en incluant le développement mécanique ainsi que toute la partie électrique, ou

Il semble donc qu’il y ait eu en Europe une famille de dentistes Cohen venant de Leeuwarden, transitant par l’Angleterre et se dispersant ensuite, mais prenant tous le nom de

canine contro-latérale est courte, une fonction de groupe peut être envisagée, ce qui permet à des dents naturelles munies de récepteurs desmodontaux de participer à la

Pour le dia- bète de type 2, les résultats des études cliniques, bien que controversés, semblent indiquer une augmen- tation des taux d'IL-1β et d'IL-6 avec le diabète chez

Les principales activités de la communauté universitaire étant liées à la recherche et l’enseignement, je vais donc partir de ces deux axes, pour répertorier les

reported the creation and analysis of Sprn-knockout mice that did not produce embryonic lethality in combination with Prnp-invalida- tion, although the output of crosses between Sprn

When trying to grasp what it could have meant to be a Confucian in Chosŏn Korea, epistolary texts taken in a broad sense are a valuable yet bewildering corpus for