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La plus grande gloire n’est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute.

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

Problème A : calcul de

ζ(2) 1) La formule de M donne :

cosnx+isinnx=einx= eix n= (cosx+isinx)n=

n

j=0

n

j cosn−jx·ij·sinjx

d’où, en séparant les termes de rangs pairs et impairs, qui fournissent respectivement parties réelle et imaginaire :

cosnx=

0≤2k≤n

(−1)k n

2k cosn−2kx·sin2kx et sinnx=

0≤2k+1≤n

(−1)k n

2k+ 1 cosn−2k−1x·sin2k+1x ou encore, puisque par hypothèsecosx est non nul :

cosnx= cosn

0≤2k≤n

(−1)k n

2k tan2kx et sinnx= cosn

0≤2k+1≤n

(−1)k n

2k+ 1 tan2k+1x d’où, puisqu’on a supposé en outrecosnx= 0:

tannx= P(tanx)

Q(tanx) avec P(X) =

0≤2k+1≤n

(−1)k n

2k+ 1 X2k+1 et Q(X) =

0≤2k≤n

(−1)k n 2k X2k. 2) a)Avec les notations précédentes, pour n= 2p+ 1,k varie de0 à p:

P(X) =

p

k=0

(−1)k n

2k+ 1 X2k+1 convient.

b)P est un polynôme de degré n, de coefficient dominant (−1)p, et admet pour racines les tanθk,

−p ≤ k ≤ p (en effet : P(tanθk) = Q(tanθk)·tannθk = 0 ). En outre, les θk, −p ≤ k ≤ p, sont n valeurs distinctes de l’intervalle ]−π/2, π/2[, donc les tanθk, −p ≤ k ≤ p, sont n réels distincts (puisquetaninduit une bijection de ]−π/2, π/2[dansR). J’ai ainsi tous les éléments de la factorisation de P :

P(X) = (−1)p

p

k=−p

(X−tanθk) ;

comme θ0 = 0et comme θ−k=−θk donnetanθ−k=−tanθk, j’obtiens en regroupant (X−tanθk) et (X−tanθ−k), pour1≤k≤p :

P(X) = (−1)p

p

k=−p

(X−tanθk) = (−1)pX

p

k=1

X2−tan2θk

c)J’ai par construction : P(X) = X·A X2 , donc A admet pour racines les tan2θk, 1≤k≤p, qui sont préels distincts, tandis queA est un polynôme de degré p ; par conséquent :

Les racines deA sont lestan2θk,1≤k≤p.

De même, pour tout réelx non nul, x2p+1P 1

x =

p

k=0

(−1)k n

2k+ 1 x2p−2k=B x2 . J’en déduis comme ci-dessus que

Les racines deB sont les 1

tan2θk = cot2θk,1≤k≤p.

d)Les relations entre coefficients et racines d’un polynôme scindé me donnent en particulier la somme des racines de A et deB:

p

k=1

tan2θk=−

(−1)p−1 2p+ 1 2p−1 (−1)p 2p+ 1

2p+ 1

= 2p+ 1

2 = (2p+ 1) (2p) 2

(2)

et

p

k=1

cot2θk=−

(−1)1 2p+ 1 3 (−1)0 2p+ 1

1

=

2p+ 1 3

2p+ 1 = (2p+ 1) (2p) (2p−1) 6 (2p+ 1)

soit, après simplification :

p

k=1

tan2θk=p(2p+ 1) et

p

k=1

cot2θk= p(2p−1)

3 .

3) Le premier encadrement s’obtient par exemple en étudiant les variations sur [0, π/2[ des fonctions x→x−sinx etx→tanx−x (elles sont croissantes, nulles en 0) :

∀x∈ 0,π

2 sinx≤x≤tanx.

Ainsi, pour tout x de]0, π/2[, j’ai : 0<cotx < 1 x < 1

sinx d’où, en élevant au carré :

∀x∈ 0,π

2 cot2x≤ 1

x2 ≤1 + cot2x.

4) J’applique l’encadrement précédent auxθk,1≤k≤p(qui sont bien dans]0, π/2[!) et j’ajoute membre à membre les inégalités obtenues :

p

k=1

cot2θk

p

k=1

1

θ2k ≤p+

p

k=1

cot2θk

soit, grâce au 2)d) :

p(2p−1)

3 ≤ (2p+ 1)2 π2

p

k=1

1

k2 ≤p+p(2p−1)

3 .

J’en déduis

p(2p−1) (2p+ 1)2 ·π2

3 ≤

p

k=1

1

k2 ≤ p(2p+ 2) (2p+ 1)2 ·π2

3 or,

p(2p−1)

(2p+ 1)2 p→∞−→ 1

2 et p(2p+ 2)

(2p+ 1)2 p→∞−→ 1 2 d’où, grâce au théorème d’encadrement :

p→∞lim

p

k=1

1

k2 existe et vaut

k=1

1 k2 = π2

6 .

Problème B : polynômes trigonométriques

Partie I 1) Pourm= 0,θ→ eimθ

im est une primitive sur Rdeθ→eimθ eteimπ =e−imπ= (−1)m, d’où : 1

π

−π

eimθdθ= 0 sim= 0

1 sim= 0 et 1 2π

π

−π

f(θ)e−imθdθ=cm. En effet, par linéarité de l’intégrale,

1 2π

π

−π

f(θ)e−imθdθ=

+∞

k=−∞

ck 1 2π

π

−π

ei(k−m)θdθ=cm puisque les termes pourk=msont nuls.

(3)

2) D’après le résultat précédent, la famille (ck)k∈Z est entièrement déterminée par la donnée def : La famille(ck)k∈Z à support fini telle que : ∀θ∈R f(θ) = +∞

k=−∞

ckeikθ est unique.

J’ai, grâce à une réindexation : ∀θ∈R f(θ) = N

k=−N

cke−ikθ = N

k=−N

c−keikθ.

Donc, d’après l’unicité établie précédemment, f est à valeurs réelles si et seulement si :

∀k∈ {−N, . . . , N} c−k=ck ; autrement dit :

f est à valeurs réelles si et seulement si : ∀k∈ {0, . . . , N} c−k =ck. 3) Il est clair que le polynôme P défini par : P(X) = N

k=−N

ckXk+N convient ; par ailleurs, si deux polynômes P et Q conviennent, alors P −Q admet une infinité de racines (tous les complexes de module 1) ; c’est donc le polynôme nul, d’où l’unicité de P. Par ailleurs, en réindexant, j’obtiens P(X) = 2N

j=0

cj−NXj, donc :

Il existe un unique polynômeP dans C[X]tel que : ∀θ∈R f(θ) =e−iNθP e ; ses coefficients sont donnés par : ∀j∈N uj =cj−N ; lorsquecN = 0,P est de degré2N. 4) f étant à valeurs réelles, j’ai d’après2)et3): P(0) =c−N =cN = 0 par hypothèse ; en outre :

∀j ∈ {0, . . . ,2N} u2N−j =cN−j =cj−N =uj. Finalement,

P(0) = 0 et ∀j∈ {0, . . . ,2N} u2N−j =uj. Il en résulte que, pourz dansC, en réindexant :

P(1/z) = 1 z2N

2N j=0

ujz2N−j = 1 z2N

2N j=0

u2N−jzj = 1

z2NP(z) d’où P(z) =z2N·P(1/z).

Alors, si z0 est une racine deP de multiplicitém, je dispose d’un polynômeQ deC[X]tel que : P(X) = (X−z0)mQ(X) et Q(z0) = 0 ;

en outre, z0 est non nul puisqueP(0) = 0et il vient :

∀z∈C P(z) =z2N · 1 z−z0

m

Q(1/z) = (−z0)m z− 1 z0

m

z2N−mQ(1/z).

OrQest un polynôme de degré2N−m, il en résulte queR:z→(−z0)mz2N−mQ(1/z)est un polynôme deC[X]et j’ai :

P(X) = X− 1 z0

m

R(X) , avec R 1

z0 = 0puisqueQ(z0) = 0.

Par conséquent, 1/z0 est racine d’ordre mdeP :

Siz0 est une racine deP de multiplicitém, alors 1/z0 est aussi une racine deP de multiplicitém.

5) a)e0 étant une racine de P de multiplicitém, je dispose d’un polynôme QdeC[X]tel que P(X) = X−e0 mQ(X) et Q e0 = 0 ;

d’où

∀θ∈R f(θ) =eiNθ e−e0 mQ e =eiNθ ei(θ+θ0)/2·2isin θ−θ0

2

m

Q e . Soit, en posant : ∀θ∈R g(θ) =eiNθ ei(θ+θ0)/2·2i mQ e :

∀θ∈R f(θ) = sin θ−θ0

2

m

g(θ) , oùg est une fonction continue telle que : g(θ0) = 0.

(4)

b)D’après a), au voisinage de θ0, f(θ) est équivalent à θ−θ0

2

m

g(θ0). Si f est à valeurs réelles, g(θ0) est nécessairement un réel, puisque c’est la limite en θ0 de θ→f(θ) θ−θ0

2

m

. De plus, si métait impair,f changerait de signe en θ0 :

Sif est à valeurs dans R+, alorsmest pair.

6) a)J’appelle c le coefficient dominant de P, ej, 1 ≤ j ≤ p, les racines de module 1 de P (p = 0 s’il n’y en a pas !) et zk, 1 ≤ k ≤ q, les racines de module strictement inférieur à 1 de P (q = 0 s’il n’y en a pas !!). D’après 5)b), l’ordre de multiplicité de ej est pair, je le note 2αj. D’après 4), les racines de module strictement supérieur à1 deP sont les 1/zk, je noteβk l’ordre de multiplicité commun (toujours d’après 4)) à zk et1/zk. J’ai ainsi obtenu toutes les racines deP, donc d’après le théorème de d’Alembert :

P se factorise comme indiqué dans l’énoncé.

En outre P est de degré2N, d’où :

p j=1

αj+

q k=1

βk =N. b)Je vérifie bien que, pour θréel et zk complexe non nul :





e−ej 2 = e−ej eej e−iθj −e−iθ =−eej e−ej 2 e−zk e−1/zk = e−zk e

zk zk−e−iθ =−e

zk e−zk 2

Il en résulte, avec les notations du a):

A e = (−1) αj ·e αj·ei αjθj ·

p

j=1

e−ej j et

B e = (−1) βk·e βk·

q

k=1

1 zk ·

q

k=1

e−zk k

. Comme αj+ βk=N, j’obtiens

f(θ) =γ·

p

j=1

e−ej j ·

q

k=1

e−zk k

,

γ étant a priori une constante complexe ; mais nécessairement γ est dans R+∗, puisque f est non nulle et à valeurs dans R+. Finalement, en posant :

Q(X) =√γ·

p

j=1

X−ej αj ·

q

k=1

(X−zk)βk ,

Q est un polynôme deC[X], de degréN, tel que : ∀θ∈R f(θ) = Q e 2.

Partie II 1) Quelques récurrences immédiates, agrémentées de la relation :

cos (n+ 1)θ+ cos (n−1)θ= 2 cosθcosnθ , montrent que :

Pourndans N,Tn est un polynôme de degrén, de coefficient dominant2n−1 (T0 = 1!) et : ∀n∈N ∀θ∈R Tn(cosθ) = cosnθ.

Comme la fonctioncos induit une bijection de[0, π]dans[−1,1], j’ai, pourn fixé dansN : Tn = sup

x∈[−1,1]|Tn(x)|= sup

θ∈[0,π]|Tn(cosθ)|= sup

θ∈[0,π]|cosnθ|= 1,

(5)

d’où :

∀n∈N 1

2n−1Tn = 1 2n−1. 2) a)Par hypothèse, j’ai :

∀k∈ {0, . . . , n} − 1

2n−1 < P(xk)< 1

2n−1 et 1

2n−1Tn(xk) = (−1)k 2n−1 .

Donc, pour k pair, Q(xk) > 0 et, pour k impair, Q(xk) < 0 ; j’en déduis, grâce au théorème des valeurs intermédiaires, que :

Q= 1

2n−1Tn−P s’annule sur chaque intervalle ]xk+1, xk[, 0≤k≤n−1.

Q est la différence de deux polynômes de degré n unitaires, donc Q est de degré au plus n−1 ; or, d’après ce qui précède, Q admet au moins n racines distinctes, donc Q = 0, c’est-à-dire que P = 1

2n−1Tn, ce qui est absurde, puisque 1

2n−1Tn = 1

2n−1 alors que P < 1

2n−1. En conclusion : Il ne peut exister P ∈R[X], de degré n, unitaire, tel que : P < 1

2n−1. b)Soit P ∈Un. Si P ∈ R[X], alors d’après a), P ≥ 1

2n−1. Dans le cas général, P s’écrit A+iB, avecA etB dansR[X];P étant unitaire de degré n,Aest également unitaire de degré n(et Bde degré strictement inférieur à n) ; ainsi, d’après le premier cas, A ≥ 1

2n−1. Or :

∀x∈[−1,1] |P(x)|= A(x)2+B(x)2≥ |A(x)|. J’en déduis que P ≥ A , d’où finalement :

Si P ∈Un, alors P ≥ 1 2n−1. 3) a)Pour(a0, a1, b1, . . . , aN, bN)∈R2N+1, j’ai :

∀θ∈R a0+

N

k=1

(akcoskθ+bksinkθ) = a0+

N

k=1

akeikθ+e−ikθ

2 +bkeikθ−e−ikθ 2i

= a0+

N

k=1

ak

2 +bk

2i eikθ+ ak

2 −bk

2i e−ikθ Analyse : d’après l’unicité vue auI-2), si (a0, a1, b1, . . . , aN, bN) vérifie :

∀θ∈R f(θ) =a0+

N

k=1

(akcoskθ+bksinkθ) , j’ai nécessairement, en comparant les coefficients de eikθ , pour 0≤k≤N :

a0=c0 et ∀k∈ {1, . . . , N} ak= 2 Reck et bk=−2 Imck.

Synthèse : la famille(a0, a1, b1, . . . , aN, bN) définie par les relations ci-dessus est bien dans R2N+1 ; elle vérifie par construction :

a0 =c0 et ∀k∈ {1, . . . , N} ak

2 +bk

2i =ck. En outre, f étant à valeurs réelles, j’ai d’aprèsI-2) :

∀k∈ {1, . . . , N} c−k=ck= ak

2 −bk

2i. Finalement, d’après le calcul ci-dessus :

∀θ∈R a0+ N

k=1

(akcoskθ+bksinkθ) =f(θ) ;

(6)

ainsi cette famille convient et c’est la seule possible d’après l’analyse :

Il existe une unique famille(a0, a1, b1, . . . , aN, bN) dans R2N+1 telle que :

∀θ∈R f(θ) =a0+ N

k=1

(akcoskθ+bksinkθ).

b)Par hypothèse :

∀θ∈R f(θ) = N

k=−N

ckeikθ = Q e 2 = N

j=0

λj·eijθ · N

j=0

λj·e−ijθ . En identifiant les coefficients de eiNθ , puis deei0θ (cf. l’unicité vue au I-2)), j’obtiens :

cNN ·λ0 et c0 = N

j=0

λj ·λj. Il en résulte, d’après a):

aN −ibN = 2·λ0·λN et a0 = N

j=0j|2. Il en découle :

a2N+b2N =|aN −ibN|= 2· |λ0| · |λN| ≤ |λ0|2+|λN|2 (car (|λ0| − |λN|)2≥0) ; D’après la valeur de a0 calculée ci-dessus, j’en déduis : a2N +b2N ≤a0, d’où

a2N+b2N ≤a20.

4) a)Dans le cas particulier considéré, la question précédente donne : aN = 2 ;bN = 0;a0 = 2 +

N−1 j=1j|2. b)Par définition de M(Q), j’ai : ∀θ∈R f(θ) = Q e 2 ≤[M(Q)]2 ;

d’où en intégrant :

π

−π

f(θ) dθ≤2π[M(Q)]2, ora0= 1 2π

π

−π

f(θ) dθ; en conclusion : [M(Q)]2 ≥a0.

c)D’après la majoration vue au début du b), g : θ → [M(Q)]2 − f(θ) est bien un polynôme trigonométrique à valeurs dans R+ ; en outre, d’après l’unicité vue au II-3)a), la famille de R2N+1 associée à g est [M(Q)]2−a0,−a1,−b1, . . . ,−aN,−bN et le résultat du II-3)b)donne

(−aN)2+ (−bN)2≤ [M(Q)]2−a0 2.

Or aN = 2 , bN = 0 et [M(Q)]2 ≥a0 ; d’où : [M(Q)]2−a0 ≥2 ; comme a0 ≥ 2 (d’après a)) et M(Q)≥0, j’en déduis : M(Q)≥2.

En outre, siM(Q) est égal à 2, j’aia0≤2; de a), je déduis alors que

∀j∈ {1, . . . , N−1} λj = 0.

Réciproquement, si : ∀j∈ {1, . . . , N−1} λj = 0,alorsQ(X) =XN + 1et

∀θ∈R Q e = 2|cosNθ| ; d’où, par définition de M(Q),M(Q) = 2. En conclusion :

M(Q)≥2 , avec égalité si et seulement si : ∀j∈ {1, . . . , N−1} λj = 0.

5) a)Soit A(X) = n

k=0

αkXk (oùαn= 1par hypothèse). J’ai : Q(X) = 2nXnA 1

2 X+ 1

X = 2n

n

k=0

αk

2kXn−k X2+ 1 k.

(7)

Qapparaît donc bien comme un polynôme deC[X]; en outre,Xn−k X2+ 1 kétant de degrén+k, Q est de degré 2net son coefficient dominant est : 2nαn

2n = 1. Enfin, la somme ci-dessus comporte un seul terme constant, obtenu pour k=n, valant également : 2nαn

2n = 1. En conclusion : Q est un polynôme deC[X], de degré 2n ; ses coefficients dominant et constant valent 1.

b)M(Q) = sup

θ∈R

Q e = sup

θ∈R|2nA(cosθ)|= 2n A . Ainsi : M(Q) = 2.

Or, d’aprèsa),Q(X) = 2n

j=0

λjXj avecλ02n= 1. Il en résulte, d’après4)c), que Q(X) =X2n+ 1.

c)J’en déduis, par définition de Q :

∀θ∈R A(cosθ) = 1

2neinθQ e = 1

2n einθ+e−inθ = 1

2n−1 cosnθ.

Par conséquent, les polynômes A et 1

2n−1Tn coïncident sur[−1,1], donc en une infinité de points : ils sont égaux (leur différence est un polynôme admettant une infinité de racines).

A= 1 2n−1Tn.

Nous venons donc de prouver, en complétant grâce aux résultats de II-1)etII-2)b), que : min P , P ∈Un = 1

2n−1 et 1

2n−1Tn est l’unique polynôme deUn où ce minimum est atteint.

La plus grande gloire n’est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute.

Confucius

Peu de gens sont assez sages pour préférer

le blâme qui leur est utile à la louange qui les trahit.

François de La Rochefoucauld

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