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Lettre du Cercle des Economistes de Tunisie Numéro 10, Janvier 2013

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Composition sectorielle de la croissance en Tunisie depuis janvier 2011 Prof. Salma Zouari

Janvier 2013

L’INS vient de publier les derniers chiffres trimestriels de la croissance qui permettent à l’économie nationale de se targuer d’un important taux de croissance pendant les 9

premiers mois de 2012

(http://www.ins.nat.tn/indexfr.php). Cette performance signifie-t-elle que l’économie nationale a retrouvé le chemin de la croissance économique et commence à se porter bien ? Ou au contraire, cache-t-elle des déséquilibres structurels qui, en s’accentuant, risquent de compromettre le devenir du pays ?

Pour répondre à ces questions, nous procèderons à une analyse de la croissance par secteur d’activité. Nous montrerons alors qu’il y a deux types de secteurs d’activité en Tunisie : le premier type de secteurs est très fortement sinistré, il est composé notamment des activités manufacturières échangeables qui constituent la base de l’économie ; le second type de secteur regroupe les activités qui ont connu une forte croissance, ces activités sont dominées par les non échangeables et principalement les secteurs administratifs, les services marchands, les activités traditionnelles et l’agriculture.

L’analyse exploite les données trimestrielles publiées par l’INS relatives aux valeurs ajoutées par secteur d'activité aux prix de l'année 2005 (Tableau en annexe 2).

1- Les secteurs d’activité sinistrés Ce sont les secteurs qui ont subi un choc négatif suite aux évènements de janvier 2011. Parmi eux, quelques activités continuent à péricliter et connaissent une récession continue, d’autres ont en partie récupéré et connaissent de nouveau une croissance positive.

1.1 Les secteurs encore en récession

Il s’agit à la fois de secteurs de biens non échangeables (Bâtiment et génie civil) et de secteurs de biens échangeables (Matériaux de construction, céramique et verre, Extraction de pétrole et gaz naturel, Industries textiles habillement et cuir et dans une moindre mesure, Industrie mécanique et électriques). Par suite de la régression continue que ces secteurs ont connue, la valeur ajoutée de ces secteurs représentait au premier trimestre 2010, 20,4% de la valeur ajoutée globale et n’en représente plus que 17,7% au 3ème trimestre 2012.

On constate aussi que leur valeur ajoutée a décru en glissement annuel de 5,8% pendant les trois premiers trimestres de 2011 et de 3,5% pendant les trois premiers trimestres de 2012 (Tableau 1 ci-dessous et figures 1 à 5 en annexe). Il en en résulte que le niveau d’activité de ces secteurs représente au 3ème trimestre 2012, 91% de son niveau au troisième trimestre de 2010.

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2 Tableau 1 : Taux de croissance des secteurs sinistrés et en récession continue

9mois 2011/

9mois 2010 9 mois 2012 /

9mois 2011 9 mois 2012 / 9mois 2010

Matériaux de construction, céramique et verre -12,2% -0,3% -12,4%

Bâtiment et génie civil -4,6% -2,3% -6,8%

Extraction de pétrole et gaz naturel -17,4% -8,8% -24,7%

Industries textiles, habillement et cuir -0,4% -4,2% -4,6%

Industries mécaniques et électriques 0,9% -1,1% -0,2%

Total -5,8% -3,5% -9,1%

Source : nos calculs à partir du tableau en annexe 1.2 Les activités sinistrées qui récupèrent

Un deuxième groupe concerne les secteurs qui ont été affectés par les évènements de janvier 2011 et qui ont pu retrouver le chemin de la croissance même s’ils restent 20 mois plus tard, en deçà de leur niveau d’activité initial (95,4%). En glissement annuel, leur valeur ajoutée a décru en moyenne de 13% pendant les trois premiers trimestres de 2011 et a augmenté de 7,1%

pendant les trois premiers trimestres de 2012 (Tableau 2 ci-dessous et figures 6 à 11 en annexe1). Au premier trimestre 2010, la valeur ajoutée de ces secteurs représentait 27,6% de la valeur ajoutée globale, elle n’en

représente plus que 25,1% au 3ème trimestre 2012.

Parmi ces secteurs on retrouve les transports, l’hôtellerie et la restauration (secteurs fortement touchés par l’instabilité politique et le manque de sécurité intérieure), les industries chimiques et les mines (activités minées par les revendications sociales et un déficit de négociations collectives). Ces secteurs ont subi des chocs très importants et n’ont pu récupérer que partiellement. Par contre, l’industrie agro alimentaire et le commerce ont connu des pertes d’activités moins lourdes qu’ils ont déjà résorbées.

Tableau 2 : Taux de croissance des secteurs sinistrés qui ont retrouvé la croissance

9mois 2011/

9 mois 2010 9 mois 2012 /

9mois 2011 9 mois 2012 / 9mois 2010

Transports -19,9% 10,5% -11,5%

Services d'hôtellerie et de restauration -22,9% 14,7% -11,5%

Industries chimiques -25,2% 10,5% -17,3%

Mines -28,2% 8,6% -22,1%

Commerce -0,6% 1,6% 1,0%

Industries agro-alimentaires -1,4% 2,1% 0,7%

Total -13,0% 7,1% -6,9%

Source : nos calculs à partir du tableau en annexe

(3)

3 1.3 Synthèse des activités sinistrées

Ainsi, ces deux premiers groupes constituent ce que l’on pourrait appeler les secteurs sinistrés. Leur part dans la VA globale était de 48% au premier trimestre2010, elle est passée à 42,9% seulement au 3ème trimestre 2012. Ces secteurs étaient déjà en difficulté en 2010 parce que les activités tournées vers l’exportation faisaient face aux effets de la crise financière internationale et parce que le pays a connu tout le long de 2010 des troubles croissants dont l’apogée s’est manifestée en décembre. L’impact des évènements de janvier 2011 ont été très importants sur ces activités, le choc subi a été partiellement corrigé sous le gouvernement Essebsi. Un second choc est perceptible au premier semestre 2012 suite aux élections de l’Assemblée Nationale Constituante et à la formation du gouvernement Jebali. Une amorce de reprise est observée au 3ème trimestre 2012.

Le déficit de croissance de ces secteurs a eu des impacts économiques et sociaux très sensibles. En effet, ce déficit de croissance est associé à une perte de vitesse des exportations qui a aggravé le déficit commercial du pays et a mis en difficulté le financement de l’économie et la valeur de la monnaie nationale. De même, ces secteurs sont souvent intensifs en travail, leur récession a induit de nombreuses pertes d’emplois et a sensiblement aggravé le chômage ainsi que la précarité et la pauvreté qui en résultent.

2- Les secteurs, bouée de sauvetage de la croissance.

Face à cette évolution catastrophique de quasiment la moitié de l’économie tunisienne, d’autres secteurs ont démontré une plus grande résilience. Il s’agit d’une part d’activités relevant du secteur protégé et de l’économie moderne et structurée, essentiellement des services publics et privés. Il s’agit d’autre part d’activités relevant des secteurs traditionnels et/ou peu structurés : l’agriculture, le commerce et les services aux ménages.

2.1 Les activités traditionnelles au secours de l’économie

Ces activités regroupent l’agriculture et la pêche, les services traditionnels (réparation, services immobiliers…), les services domestiques et enfin les industries diverses dominées par les micros entreprises, les petits métiers et les artisans. Elles sont généralement fortement créatrices d’emploi, mais l’emploi y est le plus souvent informel et bénéficie peu des protections légales.

Selon les estimations de l’INS, la croissance de ces activités a été importante en 2011 malgré la révolution et s’est ralentie en 2012.

Leur valeur ajoutée a augmenté en glissement annuel en moyenne de 7,8%

pendant les trois premiers trimestres de 2011 et de 4,1% pendant les trois premiers trimestres de 2012 (Tableau 3 ci-dessous et figures 12 à 16 en annexe 1). Le niveau d’activité de ces secteurs représente au 3ème trimestre 2012, 12,4% de plus par rapport à son niveau au troisième trimestre de 2010. La succession de deux saisons agricoles favorables et une bonne pluviométrie sont contribué à cette performance.

(4)

4 Tableau 3 : Taux de croissance des activités traditionnelles

9mois 2011/

9 mois 2010

9 mois 2012 / 9mois 2011

9 mois 2012 / 9mois 2010

Agriculture et pêche 9,1% 4,0% 13,4%

Industries diverses 3,1% 5,1% 8,3%

Entretien et réparation 4,3% 2,8% 7,2%

Services fournis par les associations 5,7% 4,5% 10,4%

Services domestiques 5,3% 3,6% 9,0%

Total 7,8% 4,1% 12,2%

Source : nos calculs à partir du tableau en annexe 2.2 Les services structurés et le budget de l’Etat au secours de l’économie

Il s’agit notamment des services publics (eau, électricité, poste), des services administratifs et des activités tertiaires modernes dominées par l’Etat (télécommunications et services financiers). Hormis les services financiers qui ont connu une certaine volatilité et notamment deux chocs respectivement au premier trimestre 2011 et au premier trimestre 2012, la croissance de ces secteurs a été importante et continue. En glissement annuel, leur valeur ajoutée a augmenté en moyenne de 6,2% pendant les trois premiers trimestres de 2011 et de 6,4%

pendant les trois premiers trimestres de 2012 (Tableau 4 ci-dessous et figures 17 à 23 en annexe 1). Le niveau d’activité de ces secteurs représente au 3ème trimestre 2012, 16,2% de plus par rapport à son niveau au troisième trimestre de 2010. La politique monétaire expansionniste de la BCT a contribué à la croissance des services financiers en dépit de nombreux indices de crise (larges mouvements de retraits, déclassement par les agences de notation, crise boursière…). Les télécommunications semblent avoir bénéficié du contexte, les enjeux du moment ont impliqué pour les individus des besoins de communication plus intenses. Finalement, malgré quelques troubles, les services publics (eau, électricité et poste) et les services administratifs et

sociaux (éducation, santé, collectivités locales et diverses administrations) ont bénéficié d’un effort exceptionnel de recrutements qui s’est répercuté sur leur niveau d’activité tout en pesant très fortement sur le budget de l’Etat. Au premier trimestre 2010, la valeur ajoutée de ces secteurs marchands et non marchands, représentait 42,5% de la valeur ajoutée globale, elle en représente 46,8% au 3ème trimestre 2012.

2.3 Synthèse des activités résilientes

Ainsi, ces deux groupes constituent ce que l’on pourrait appeler les activités résilientes.

Malgré les troubles liés à la révolution, leur croissance a été continue et soutenue. Ces secteurs sont le fait de l’Etat ou d’activités privées jouant un rôle d’amortisseur dans les situations de crise et constituant un refuge temporaire pour des populations vulnérables. La croissance qu’ont connue ces secteurs a permis de contrecarrer la perte d’activité de la véritable base économique du pays.

Toutefois, les activités résilientes depuis janvier 2011, relèvent du secteur des non échangeables et ne peuvent conforter la compétitivité du pays ni son devenir économique à long terme. Au contraire, parce qu’une large partie de ces activités va peser durablement sur le budget de l’Etat,

(5)

5 elles risquent de handicaper le potentiel de

croissance du pays en aggravant le déficit budgétaire et son financement inéluctable par l’endettement. En outre, engendrant une distribution de revenus sans contrepartie en

termes de production marchande, le développement de ces activités a alimenté d’importantes poussées inflationnistes en 2012.

Tableau 4 : Taux de croissance des secteurs résilients

9mois 2011/

9 mois 2010

9 mois 2012 / 9mois 2011

9 mois 2012 / 9mois 2010

Raffinage de pétrole 8,0% 163,7% 184,9%

Electricité et gaz 3,9% 5,9% 10,0%

Eau 9,5% 3,5% 13,4%

Poste et télécommunication 13,1% 9,5% 23,9%

Services d'administration publique 8,0% 7,1% 15,6%

Services financiers 2,3% 3,8% 6,2%

Autres services marchands 2,5% 2,0% 4,5%

Total 6,2% 6,4% 13,0%

Source : nos calculs à partir du tableau en annexe 3- Evolution globale

L’évolution de la valeur ajoutée globale somme des valeurs ajoutées par les secteurs

marchands et les secteurs non marchands (Figure A), démontre un seul choc, celui lié aux soulèvements de janvier 2011.

Source : Tableau 1 en annexe Source : Tableau 1 en annexe

En effet, le second choc qu’ont subi les activités de production marchande en janvier 2012 a été occulté par la croissance très forte des activités de l’Etat. Pour s’en rendre véritablement compte, et pour avoir une idée synthétique des péripéties par lesquelles est passée l’économie tunisienne depuis janvier

2011, on peut analyser l’évolution des impôts indirects nets de subventions (Figure B). En effet, cet agrégat est un bon indicateur de l’activité économique formelle du pays. Il a connu une pente décroissante sur les quatre trimestres de 2010. Il a ensuite subi un important choc au premier trimestre 2011.

10000,0 11000,0 12000,0 13000,0

T1.10 T2.10 T3.10 T4.10 T1.11 T2.11 T3.11 T4.11 T1.12 T2.12 T3.12

Fig A: Total des valeurs ajoutées en MD2005

1050,0 1100,0 1150,0 1200,0

T1.10 T2.10 T3.10 T4.10 T1.11 T2.11 T3.11 T4.11 T1.12 T2.12 T3.12

Fig B : Impôts nets de subventions

en MD2005

(6)

6 La diminution de 7,4% par rapport au

quatrième trimestre 2010 s’explique à la fois

par une

diminution des impôts collectés et une augmentation instantanée des subventions distribuées par suite des décisions inopinées de diminution des prix de divers biens compensés.

Ce choc qui est consécutif aux troubles sociaux et à l’insécurité qui a régné dans le pays, a été amorti sous le gouvernement Essebsi. Les impôts indirects nets de subventions ont retrouvé au 3ème trimestre 2011, 98,8% de leur valeur au 4ème trimestre 2010, par l’effet de l’augmentation des impôts collectés suite à la reprise des activités productives. Néanmoins, suite aux élections de l’Assemblée Nationale Constituante et à la formation du gouvernement Jebali, un second choc est observé au premier trimestre de 2012 avec une diminution des impôts indirects nets de subventions de 3,4% par rapport au troisième trimestre 2011. Ce choc a été depuis résorbé, les impôts indirects nets de subventions ont retrouvé au troisième trimestre 2012, leur niveau de 2010.

4- Conclusion

L’analyse de la composition sectorielle de la croissance montre la fragilité de la reprise observée en 2012 en raison de la nature des secteurs qui l’ont portée et des facteurs qui l’ont soutenue. En effet, l’important effort de recrutement observé dans la fonction publique ne peut être indéfiniment effectué sans mettre davantage en péril le budget de l’Etat surtout compte tenu des augmentations de salaires concédées lors des dernières négociations collectives. De même, la croissance du secteur agricole fortement tributaire de la pluviométrie risque de ne pas être au rendez-vous après deux bonnes saisons consécutives. Enfin, les restrictions au crédit pourraient freiner la demande des biens durables et mettre davantage en difficulté des secteurs comme le bâtiment.

Sans une reprise basée principalement sur les secteurs des biens échangeables et tant que les industries manufacturières et les services d’exportation restent en mal d’un environnement favorable à leur développement, les problèmes de déficits courants, d’endettement, de chômage des diplômés, d’inflation et de dépréciation du dinar resteront entiers.

(7)

7

Annexe 1- Analyse graphique

Source : Tableau de l’annexe 2

Groupe 1 : Les secteurs encore en récession en 2012

0,0

50,0 100,0 150,0 200,0

T1.10 T2.10 T3.10 T4.10 T1.11 T2.11 T3.11 T4.11 T1.12 T2.12 T3.12

Fig 1: VA Materiaux de construct.

céramique et verre en MD2005

450,0 500,0 550,0 600,0 650,0

T1.10 T2.10 T3.10 T4.10 T1.11 T2.11 T3.11 T4.11 T1.12 T2.12 T3.12

Fig 2: VA bâtiment et génie civil en MD2005

400,0 450,0 500,0 550,0 600,0

T1.10 T2.10 T3.10 T4.10 T1.11 T2.11 T3.11 T4.11 T1.12 T2.12 T3.12

Fig 3: VA Extraction de pétrole et gaz naturel en MD2005

300,0 350,0 400,0 450,0 500,0

T1.10 T2.10 T3.10 T4.10 T1.11 T2.11 T3.11 T4.11 T1.12 T2.12 T3.12

Fig 4: VA Industries textiles, habillement et cuir en MD2005

500,0 550,0 600,0 650,0 700,0

T1.10 T2.10 T3.10 T4.10 T1.11 T2.11 T3.11 T4.11 T1.12 T2.12 T3.12

Fig 5: VA Industries mécaniques

et électriques en MD2005

(8)

8 Groupe 2 : Les activités sinistrées en 2011 qui récupèrent en 2012

600,0 700,0 800,0 900,0 1000,0 1100,0

T1.10 T2.10 T3.10 T4.10 T1.11 T2.11 T3.11 T4.11 T1.12 T2.12 T3.12

Fig 6: VA Transports en MD2005

450,0 550,0 650,0 750,0

T1.10 T2.10 T3.10 T4.10 T1.11 T2.11 T3.11 T4.11 T1.12 T2.12 T3.12

Fig 7: VA Services d'hôtellerie et de restauration en MD2005

0,0 100,0 200,0

T1.10 T2.10 T3.10 T4.10 T1.11 T2.11 T3.11 T4.11 T1.12 T2.12 T3.12

Fig 9: VA Industries chimiques en MD2005

900,0 950,0 1000,0 1050,0 1100,0

T1.10 T2.10 T3.10 T4.10 T1.11 T2.11 T3.11 T4.11 T1.12 T2.12 T3.12

Fig 10: VA Commerce en MD2005

200,0 250,0 300,0 350,0 400,0

T1.10 T2.10 T3.10 T4.10 T1.11 T2.11 T3.11 T4.11 T1.12 T2.12 T3.12

Fig 11: VA Industries agro- alimentaires en MD2005

0,0 20,0 40,0 60,0

80,0

Fig 8: VA Mines en MD2005

(9)

9 Groupe 3 : Les activités traditionnelles à croissance décélérée

200,0 210,0 220,0 230,0 240,0 250,0

T1.10 T2.10 T3.10 T4.10 T1.11 T2.11 T3.11 T4.11 T1.12 T2.12 T3.12

Fig 13: VA Industries diverses en MD2005

13,0 14,0 15,0 16,0 17,0

Fig 15: VA Services fournis par les organisations associatives en

MD2005

44,0 46,0 48,0 50,0 52,0 54,0

Fig 14: VA Entretien et réparation en MD2005

34,0 36,0 38,0 40,0 42,0 44,0

Fig 16: VA Services domestiques en MD2005

900,0 1000,0 1100,0 1200,0

T1.10 T2.10 T3.10 T4.10 T1.11 T2.11 T3.11 T4.11 T1.12 T2.12 T3.12

Fig 12: VA Agriculture et pêche en

MD2005

(10)

10 Groupe 4 : Les services structurés et le budget de l’Etat en croissance accélérée

0,0 50,0 100,0 150,0

T1.10 T2.10 T3.10 T4.10 T1.11 T2.11 T3.11 T4.11 T1.12 T2.12 T3.12

Fig 17: VA Raffinage de pétrole en MD2005

90,0 100,0 110,0 120,0 130,0

T1.10 T2.10 T3.10 T4.10 T1.11 T2.11 T3.11 T4.11 T1.12 T2.12 T3.12

Fig 18: VA Electricité et gaz en MD2005

0,0 10,0 20,0 30,0 40,0 50,0 60,0

Fig 19: VA Eau en MD2005

0,0 200,0 400,0 600,0 800,0 1000,0

T1.10 T2.10 T3.10 T4.10 T1.11 T2.11 T3.11 T4.11 T1.12 T2.12 T3.12

Fig 20: VA Poste et télécommunication en MD2005

500,0 520,0 540,0 560,0 580,0 600,0

T1.10 T2.10 T3.10 T4.10 T1.11 T2.11 T3.11 T4.11 T1.12 T2.12 T3.12

Fig 22: VA Services financiers en MD2005

1500,0 1600,0 1700,0 1800,0

T1.10 T2.10 T3.10 T4.10 T1.11 T2.11 T3.11 T4.11 T1.12 T2.12 T3.12

Fig 23: VA Autres services marchands en MD2005

1800,0 2000,0 2200,0 2400,0 2600,0

T1.10 T2.10 T3.10 T4.10 T1.11 T2.11 T3.11 T4.11 T1.12 T2.12 T3.12

Fig 21: VA Services d'administration publique en

MD2005

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