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Valider/Assurer un crite re ge ome trique

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

P a g e 1 | 7

Valider/Assurer un crite re ge ome trique

Cine matique - Chapitre 2

I - Le problème

Sur un véhicule « haut de gamme », le hayon arrière est motorisé par deux vérins électriques.

Cahier des charges

Afin de faciliter le chargement et le déchargement, le cahier des charges impose que la hauteur de l‘extrémité du hayon par rapport au sol suivant la verticale soit :

• de 0,7 𝑚 en position coffre fermé

• de 1,8 𝑚 en position coffre ouvert.

L’objectif est de déterminer la course du vérin pour assurer le cahier des charges en termes d’ouverture de coffre.

I.3 – La démarche

• Effectuer, ou partir, (d’)une modélisation cinématique.

• Paramétrer le modèle, si nécessaire, en fonction de l’objectif.

• Résoudre le problème.

II - Modélisation cinématique

II.1 – Réflexion avant modélisation

Nous avons vue au chapitre précédent comment réaliser une modélisation cinématique d’un système :

• Identification des groupes cinématiques ;

• Modélisation des liaisons entre les groupes ;

• Graphe des liaisons et schéma cinématique.

Lorsque le système est complexe, il convient d’adapter la modélisation au problème à résoudre.

II.2- Modèle du hayon

On nous donne le modèle cinématique du système. Il est constitué de 4 groupes cinématiques :

⓪ : Le châssis de la voiture

① : Le hayon en liaison pivot d’axe (𝐵, 𝑥⃗0)

② : Le corps de vérin en liaison rotule de centre A avec le châssis et en liaison pivot glissant d’axe (𝐴, 𝑦⃗2) avec la tige de vérin

③ : la tige de vérin en liaison rotule en C avec le hayon.

(2)

P a g e 2 | 7

III – Paramétrage du modèle

III.1 Cadre de la cinématique

III.1.1 – Modèle du solide indéformable

En mécanique générale, on suppose que la déformation des pièces influence de façon négligeable les positions et les mouvements du système. On utilise donc le modèle du solide indéformable.

Dans ce cadre,

La masse du solide est constante, c'est-à-dire indépendante du temps.

Les dimensions du solide sont indépendantes du temps, quelques soient les efforts extérieurs.

Conséquence : Si un solide est indéformable, alors la distance entre deux points A et B du solide est invariante dans le temps.

‖𝐴𝐵⃗⃗⃗⃗⃗⃗‖ = 𝑐𝑡𝑒 Ce modèle ne permet pas d’étudier les déformations des solides.

III.1.2 - Solide - Repère

Au solide 𝑺, en mouvement par rapport au repère 𝑅0, on peut lier un repère 𝑅, c'est-à-dire définir un repère fixe par rapport au solide 𝑺.

Alors tout point considéré comme fixe par rapport au repère 𝑅, sera considéré comme appartenant au solide 𝑺. Et étudier le mouvement de 𝑆 par rapport à 𝑅0 revient à étudier le mouvement de 𝑅 par rapport à 𝑅0. C’est l’équivalence Repère-Solide.

Être capable de paramétrer la position d’un solide 𝑺 par rapport à un repère 𝑹𝟎 revient donc à être capable de paramétrer la position d’un repère 𝑹 par rapport à un repère 𝑹𝟎.

Voir « outils mathématiques 1 » pour les paramétrages possibles.

Application à notre problème

Le critère du cahier des charges imposant une hauteur par rapport à la verticale, on choisit pour le repère lié au châssis de faire apparaitre cette verticale. On pose

𝑅0(𝐵, 𝑥⃗⃗⃗0, 𝑦⃗⃗⃗0, 𝑧⃗⃗⃗0) repère lié au châssis.

Pour le hayon, on pose

𝑅1(𝐵, 𝑥⃗⃗⃗1, 𝑦⃗⃗⃗1, 𝑧⃗⃗⃗0) repère lié au hayon. Avec 𝜃10= (𝑥⃗0, 𝑥⃗1) = (𝑦⃗0, 𝑦⃗1)

𝐵𝐶⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝑐. 𝑥⃗1 𝐵𝐷⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝑑. 𝑥⃗1 Pour le corps de vérin

𝑅2(𝐴, 𝑥⃗⃗⃗2, 𝑦⃗⃗⃗2, 𝑧⃗⃗⃗0), repère lié au corps de vérin. Avec 𝜃20 = (𝑥⃗0, 𝑥⃗2) = (𝑦⃗0, 𝑦⃗2)

𝐵𝐴⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝑎. 𝑥⃗0 − 𝑏. 𝑦⃗0 Non représenté ci-contre.

Pour la tige de vérin, on a une translation donc la base reste inchangée 𝑅3(𝐶, 𝑥⃗⃗⃗2, 𝑦⃗⃗⃗2, 𝑧⃗⃗⃗0)

(3)

P a g e 3 | 7 𝐴𝐶⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝜆(𝑡). 𝑦⃗2

Données numériques :

𝑎 = 0,32 𝑚 ; 𝑏 = 0,47 ; 𝑐 = 0,14 𝑚 ; 𝑑 = 1 𝑚

III – Résolution du problème

III.1 – Estimation … résolution graphique Objectif :

Evaluer approximativement la course du vérin pour assurer le cahier des charges.

Idée

• Sur un même solide, les distances sont constantes

• On a que des mouvements

o de rotations → arcs de cercles

o de translation → les points restent alignés Après on réfléchit !

Ici :

𝐷 est sur le cercle de centre 𝐵 de rayon 𝐵𝐷 car 𝐵 et 𝐷 appartiennent à la pièce 1.

Ce qui nous permet de trouver la position basse du point 𝐷 notée 𝐷𝑏

La position haute doit être 1,1 𝑚 au-dessus de la position basse, ce qui permet de la trouver, notée 𝐷. Le point 𝐶 est sur le cercle de centre 𝐵 et de rayon 𝐵𝐶 de plus, les points 𝐵,𝐶 et 𝐷 sont alignés. Ce qui permet de déterminer les positions basse 𝐶𝑏 et haute 𝐶 de 𝐶.

La longueur mini du vérin correspond à 𝐴𝐶𝑏 = 𝜆𝑚𝑖𝑛𝑖 La longueur maxi est 𝜆𝑚𝑎𝑥 = 𝐴𝐶

La course est

(4)

P a g e 4 | 7 𝐶𝑜𝑢𝑟𝑠𝑒 = 𝜆𝑚𝑎𝑥− 𝜆𝑚𝑖𝑛

Graphiquement on trouve

𝐶𝑜𝑢𝑟𝑠𝑒 ≈ 130 𝑚𝑚 III.2 – Résolution analytique

Objectif 1

Déterminer la course du vérin pour assurer le cahier des charges.

Remarque et démarche

Ici, ce n’est pas si simple. La démarche est identique à la résolution graphique en la « traduisant » de manière mathématique.

Ainsi, on pose

• 𝐷𝑏 et 𝐷 les positions basse et haute du point 𝐷

• 𝜃𝑏 = −42° et 𝜃 les valeurs de 𝜃10 dans ces positions respectives

• ℎ = 1,1 𝑚 la différence de hauteur définie par le cahier des charges.

On vous demande alors de

1. Déterminer l’expression de 𝜃 en fonctions de 𝜃𝑏, ℎ et 𝑑.

2. Déterminer l’expression de 𝜆 en fonction de 𝜃10. 3. En déduire l’expression de la course du vérin.

Préliminaires

Figures de changement de base Graphe des liaisons

Pour le premier point

Nous avons vu ça en TD, c’est de la géométrie. La difficulté est toujours de traduire le problème en termes d’équation mathématique. Ici, on peut poser.

𝐷𝑏𝐷

⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ • 𝑦⃗0 = ℎ Un peu de Chasles pour faire apparaitre les vecteur connus

(𝐷⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 𝐵𝐷𝑏𝐵 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗) • 𝑦⃗ 0 = ℎ Or, de manière générale

𝐵𝐷⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ • 𝑦⃗0 = 𝑑. 𝑥⃗1• 𝑦⃗0 = 𝑑. sin(𝜃10) Donc avec les notations 𝜃𝑏 et 𝜃, on en déduit

𝑑. sin 𝜃− 𝑑. sin 𝜃𝑏 = ℎ Finalement :

sin 𝜃 = ℎ

𝑑+ sin 𝜃𝑏 Application numérique : 𝜽𝒉 ≈ 𝟐𝟓. 𝟓°

Pour le deuxième point - IMPORTANT !!!

On doit relier 2 paramètres du système : 𝜆(𝑡) et 𝜃10(𝑡)

(5)

P a g e 5 | 7 METHODE

La méthode est toujours la même. Il s’agit de faire ce que l’on appelle une fermeture de chaîne géométrique.

Cela consiste à effectuer une décomposition de Chasles sur un vecteur en passant par les points des liaisons de la chaîne.

À partir du graphe des liaisons, on est conduit à écrire :

𝐵𝐴⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 𝐴𝐶⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 𝐶𝐵⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 0⃗⃗

Soit

𝑎. 𝑥⃗0 − 𝑏. 𝑦⃗0+ 𝜆(𝑡)𝑦⃗2− 𝑐. 𝑥⃗1 = 0⃗⃗

Méthode de réflexion

• On cherche λ(𝑡) : c’est l’inconnue recherchée en fonction de θ10(𝑡).

• 𝜃10(𝑡) est une donnée, elle se cache dans 𝑥⃗1

• 𝑎, 𝑏 et 𝑐 sont des constantes données.

• Dans 𝑥2 se « cache » 𝜃20 qui est un paramètre inconnu non recherché

Principe :

Eliminer le paramètre inconnu non recherché

Il y a deux méthodes assez équivalentes en termes de calculs.

Méthode 1 :

Pour éliminer un angle, l’idée est d’utiliser la relation "𝐜𝐨𝐬𝟐+ 𝐬𝐢𝐧𝟐 = 𝟏". Il faut donc faire apparaitre cos 𝜃20 et sin 𝜃20. Il suffit pour cela de projeter la relation sur la base (𝑥⃗0, 𝑦⃗0).

𝑎. 𝑥⃗0− 𝑏. 𝑦⃗0 + 𝜆(𝑡)(− sin 𝜃20𝑥⃗0+ cos 𝜃20𝑦⃗0) − 𝑐. (cos 𝜃10𝑥⃗0+ sin 𝜃10𝑦⃗0) = 0⃗⃗

(𝑎 − 𝜆(𝑡) sin 𝜃20− 𝑐 cos 𝜃10). 𝑥⃗0+ (−𝑏 + 𝜆(𝑡) cos 𝜃20− 𝑐. sin 𝜃10)𝑦⃗0 = 0⃗⃗ }

D’où le système

{ 𝑎 − 𝜆(𝑡) sin 𝜃20− 𝑐 cos 𝜃10 = 0

−𝑏 + 𝜆(𝑡) cos 𝜃20− 𝑐. sin 𝜃10 = 0 On isole le problème (ici 𝜃20)

{𝜆(𝑡) sin 𝜃20 = 𝑎 − 𝑐 cos 𝜃10 𝜆(𝑡) cos 𝜃20 = 𝑏 + 𝑐. sin 𝜃10 On élève au carré et on additionne

λ2(t) = [𝑎 − 𝑐 cos 𝜃10]2+ [𝑏 + 𝑐. sin 𝜃10]2 λ2(t) = 𝑎2+ b2+ c2+ 2c(b. sin 𝜃10− 𝑎. cos 𝜃10) λ(t) = √𝑎2+ b2+ c2+ 2c(b. sin 𝜃10− 𝑎. cos 𝜃10) Méthode 2

On cherche 𝜆 mais pas 𝜃20. Autrement dit, on cherche la norme du vecteur 𝐴𝐶⃗⃗⃗⃗⃗⃗ indépendamment de sa direction.

Donc on calcul la norme.

‖𝐴𝐶⃗⃗⃗⃗⃗⃗‖2 = ‖𝐴𝐵⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 𝐵𝐶⃗⃗⃗⃗⃗⃗‖2 𝜆2 = ‖𝑎. 𝑥⃗0− 𝑏. 𝑦⃗0+ 𝑐. 𝑥⃗12 Rappel : ‖𝑢⃗⃗‖2 = 𝑢⃗⃗ • 𝑢⃗⃗

𝜆2 = 𝑎2(𝑥⃗⏟ 0 • 𝑥⃗0)

1

− 2𝑎𝑏 (𝑥⃗⏟ 0• 𝑦⃗ 0)

0

+ 2𝑐𝑎 (𝑥⃗⏟ 0• 𝑥⃗1)

cos 𝜃10

+ 𝑏2(𝑦⃗⏟ 0• 𝑦⃗ 0)

1

− 2𝑏𝑐 (𝑦⃗⏟ 0• 𝑥⃗1)

sin 𝜃10

+ 𝑐2(𝑥⃗⏟ 1• 𝑥⃗1)

1

Il serait bien d’y arriver sans ces

2 lignes

(6)

P a g e 6 | 7 𝜆2 = 𝑎2+ 𝑏2 + 𝑐2+ 2𝑐(𝑎 cos 𝜃10− 𝑏 sin 𝜃10)

Pour le troisième point La course du vérin est définie par

𝐶𝑣 = 𝜆(𝜃) − 𝜆(𝜃𝑏)

𝐶𝑣 = √𝑎2+ b2+ c2+ 2c(b. sin 𝜃− 𝑎. cos 𝜃) − √𝑎2+ b2+ c2 + 2c(b. sin 𝜃𝑏− 𝑎. cos 𝜃𝑏)

Application numérique

𝐶𝑜𝑢𝑟𝑠𝑒 ≈ 131,6 𝑚𝑚 Extension du problème géométrique

Supposons que l’on cherche maintenant à déterminer l’angle 𝜃20 en fonction de l’angle 𝜃10. Le point de départ est toujours le même, la fermeture géométrique.

𝑎. 𝑥⃗0 − 𝑏. 𝑦⃗0+ 𝜆(𝑡)𝑦⃗2− 𝑐. 𝑥⃗1 = 0⃗⃗

Méthode de réflexion

• On cherche 𝜃20 : c’est l’inconnue recherchée en fonction de θ10(𝑡).

• 𝜃10(𝑡) est une donnée, elle se cache dans 𝑥⃗1

• 𝑎, 𝑏 et 𝑐 sont des constantes données.

• λ(𝑡) est l’inconnue non recherché

Principe :

Eliminer le paramètre inconnu non recherché

Méthode 1

On projette sur la base (𝑥⃗0, 𝑦⃗0) et on isole le problème ici 𝜆.

{𝜆(𝑡) sin 𝜃20 = 𝑎 − 𝑐 cos 𝜃10 𝜆(𝑡) cos 𝜃20 = 𝑏 + 𝑐. sin 𝜃10

Pour éliminer 𝜆, il suffit alors de faire le rapport des deux équations et faire apparaitre tan 𝜃20 tan(𝜃20) =𝑎 − 𝑐 cos 𝜃10

𝑏 + 𝑐. sin 𝜃10 Méthode 2

Le problème est ici d’éliminer 𝛌 qui est une longueur. Comme cette distance est mesuré suivant 𝑦⃗2, il suffit, pour l’éliminer de projeter sur un vecteur perpendiculaire soit ici 𝑥⃗2.

𝑎. 𝑥⃗0• 𝑥⃗2 − 𝑏. 𝑦⃗0• 𝑥⃗2+ 𝜆(𝑡) 𝑦⃗⏟ 2• 𝑥⃗2

0

− 𝑐. 𝑥⃗1• 𝑥⃗2 = 0

𝑎. cos 𝜃20− 𝑏. sin 𝜃20− 𝑐. cos(𝜃20− 𝜃10) = 0 Avec les formules de trigo

𝑎. cos 𝜃20− 𝑏. sin 𝜃20− 𝑐. [cos(𝜃20) cos(𝜃10) + sin(𝜃20) sin(𝜃10)] = 0 On regroupe

(𝑎 − 𝑐. cos(𝜃10)). cos 𝜃20− (𝑏 + 𝑐. sin(𝜃10)). sin 𝜃20 = 0 D’où

tan(𝜃20) =𝑎 − 𝑐 cos 𝜃10 𝑏 + 𝑐. sin 𝜃10 Remarque :

La méthode 1 est plus simple ici car les deux angles sont paramétrés par rapport à (𝑥⃗0, 𝑦⃗0). Avec un autre paramétrage, la méthode 2 pourrait être plus rapide.

(7)

P a g e 7 | 7

IV - Connaissances et savoir-faire

Résolution graphique

Pas grand-chose à dire. La résolution graphique fait essentiellement appelle à votre « bon sens ».

Des pistes ? :

• La distance entre deux points d’un même solide est constante donc on peut tracer des arcs de cercle.

• Les translations rectilignes permettent de tracer des droites.

• L’angle entre deux directions d’un même solide reste contant.

Résolution analytique

La base : fermeture de chaîne géométrique.

La méthode : Identifier --- Isoler --- Eliminer

1 – On part du graphe des liaisons et des figures de changement de bases 2 - On écrit l’équation vectorielle… On passe par les points des liaisons.

3 - On réfléchit !!!!!

Premier principe de Monsieur GRILLET 😊

Dans un problème de mécanique, il existe 3 types de paramètres

• les paramètres connus ;

• les paramètres inconnus que l’on cherche ;

• les paramètres inconnus que l’on ne cherche pas.

Principe : On cherche à éliminer les paramètres inconnus non recherchés.

Idées

• Pour éliminer un angle, une idée est d’utiliser : 𝑐𝑜𝑠2+ 𝑠𝑖𝑛2 = 1 (= élever un vecteur au carré).

• Pour éliminer une distance, on peut projeter sur un axe perpendiculaire à cette distance.

4 – On agit !!

On peut se rappeler que l’action s’effectue en 3 étapes : 1. On identifie … le paramètre à éliminer

2. On isole … passer dans le membre de gauche des équations le paramètre à éliminer 3. On élimine…

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