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REVUE DE PRESSE DU 3 MARS

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Academic year: 2022

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REVUE DE PRESSE DU 3 MARS 2021

France 3

Édition Languedoc-Roussillon du 02/03/2021 :

>> Reportage au tribunal de Nîmes suite au jugement en appel de deux personnes ayant agressées en 2018 des sapeurs pompiers lors de leur intervention à Marguerittes. Les peines en appel ont été alourdies avec 6 mois et 8 mois de prison avec sursis + amende. Intervieuws du chef de la caserne de Marguerittes et avocats des deux parties

>> Reportage sur la montée en puissance du centre de vaccination de Nîmes où il est

prévu dans les prochaines semaines 2500 vaccinations par semaine (contre 2000 pour le mois de février). Interview du médecin directeur du centre qui se satisfait de cette montée en puissance qui va demander un autre mode d'organisation

>>Reportage dans le cadre du programme de petites villes de demain. 21 communes du Gard sont éligibles à ce programme et interviews des maires de Saint Gilles et de Vauvert sur les projets prévus grâce aux dotations financières de ce programme

Édition de proximité pays-gardois du 02/03/2021 :

>> Reportage dans une école de Montpellier sur le déploiement des tests salivaires dans les établissements scolaires

>> Reportage dans le 11 où des parents d'élèves se mobilisent car 23 classes sont menacées de fermeture

>> Information sur le nombre de contrôles réalisé en région auprès de professionnels et de particuliers ne respectant pas le couvre feu et/ou le port du masque et les consignes de

rassemblement. Les sanctions sont plus élevées pour les professionnels (1500 euros) que pour les particuliers (135 euros)

>> Reportage à Lunel où le taux d'incidence est passé de 202 à 404 en cause (selon le préfet 34) la multiplication des variants et le relâchement individuel. Les contrôles vont être plus nombreux afin de rappeler les régles à respecter

>> Reportage à Montpellier où 6 bénévoles d'une association ont été séquestrés pendant plusieurs heures par des dealers

>> Reportage sur l'entreprise Agronutris basée à Toulouse qui commercialise des insectes comestibles

>> Reportage dans le 11 sur la découverte des sentier de la montagne noire

Objectif Gard

ÉDITORIAL Qui sont ces patients admis en réanimation pour des formes graves de covid-19 ?

Depuis un an, on se lève, on se couche, on travaille, on vit avec le coronavirus. Impossible de passer une journée sans une alerte sur notre téléphone, sans plusieurs sujets dans les journaux consacrés à cette pandémie. Les cas positifs, les morts annoncé... tous les jours finissent comme une longue liste de chiffres où tout est déshumanisé. Cette arithmétique infernale finit par lasser. Alors qu'il est encore difficile de savoir qui est réellement concerné par ce virus.

C'est la précision qui permet de mieux appréhender le danger. D'y voir plus clair. Comme l'étude réalisée par Santé publique France à laquelle nous avons eu accès. Et qui montre les

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caractéristiques précises des cas admis en réanimation en Occitanie via les services sentinelles de réanimation participant dont le centre hospitalier universitaire de Nîmes. Cette surveillance a pour objectif de documenter les aspects des cas graves de covid-19 admis en réanimation entre octobre dernier et février 2021. On apprend ainsi que l’âge moyen des patients était de 67 ans et que 71% d’entre eux étaient des hommes. Le délai médian entre le début des symptômes et l’admission en réanimation était de 8 jours. Les 65 ans et plus représentaient 62% des patients. Parmi les patients pour lesquels l’existence ou l’absence de comorbidité était documentée, 88% présentaient au moins une comorbidité. L’existence d’une

hypertension artérielle et d’une obésité chez respectivement 44% et 41%. Un diabète, une pathologie cardiaque et une pathologie pulmonaire étaient observés respectivement chez 30%, 26% et 24% d’entre eux. Parmi ces caractéristiques, probablement un membre de votre

famille, un ami, un collègue de travail peut cocher toutes les cases. Tous concernés donc de près ou de loin. Même ceux qui ont moins de 67 ans, qui n'ont pas de comorbidité et qui ont le sentiment d'être invincible. Comme les plus de 80 000 super-héros allongés pour l'éternité dans nos cimetières en moins d'un an...

DÉPARTEMENTALES En colère, le sénateur Denis Bouad menace de ne pas se représenter…

L'annonce a fait l’effet d'une petite bombe… Hier, en réunion au conseil départemental, le socialiste Denis Bouad a laisser entendre qu’il pourrait ne pas se représenter aux élections départementales de juin.

Est-ce une parole en l’air ou une vraie menace ? Lundi matin, les élus du Parti socialiste et apparentés se sont réunis au cinquième étage du Département. Un rituel hebdomadaire pour faire le point sur les différents sujets d’actualité. Autant dire que le groupe a bien démarré sa semaine ! En pleine réunion, l’ancien président du Département devenu sénateur, Denis Bouad, a lâché qu’il pourrait ne pas se représenter aux élections départementales de juin.

Les raisons de cette décision seraient multiples. L’un de ses proches fait tout d'abord valoir que « depuis l’élection de Françoise Laurent-Perrigot au poste de présidente, Denis Bouad n’est plus pris en considération. Des réunions s’organisent avec les vice-présidents et les présidents de groupe. Très bien. Seulement, c’est dommage de se passer d’un ancien président qui a redressé les finances de la collectivité de 2015 à 2020 ! »

« Denis Bouad n’est plus pris en considération »

D’autres élus nuancent : « Denis Bouad, passionné par le Gard, a toujours eu du mal à lâcher la fonction de président... » Sa sortie serait-elle alors liée une simple question d’ego ? Pas sûr… Sa grogne est aussi alimentée par la stratégie du Parti socialiste à l’approche des Départementales des 13 et 20 juin. « Ce qui a mis le feu aux poudres, c’est la conférence de presse, organisée ce jeudi, pour laquelle ni Françoise Laurent-Perrigot ni Denis Bouad n’étaient au courant ! », commente une de nos sources.

Un vice-président du Département souligne que « comme beaucoup d’entre nous, Denis Bouad ressent un ras-le-bol des contraintes que font peser le parti sur les élus sans les concerter ! » Et d'ajouter : « Du reste, je doute que Denis Bouad n’aille au bout de sa

menace… Ces élections nous offrent une petite chance de renforcer la majorité, en gagnant un ou deux cantons sur Nîmes et Marguerites compte tenue des divisions. Denis Bouad reste quelqu’un de très responsable. » Lundi prochain, le premier secrétaire fédéral du PS gardois,

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Jean Denat, a prévu de venir rencontrer les élus au Département où il risque de régner une sacrée ambiance.

NÎMES Cantines et port du masque : le protocole sanitaire évolue dans les écoles

Les écoles maternelles et élémentaires s’adaptent au protocole sanitaire et se conforment aux directives nationales liées à la crise sanitaire de la covid-19.

Dans les lieux de restauration, la distanciation physique passe d’un à deux mètres entre chaque table. La ville de Nîmes, qui compte 54 restaurants scolaires pour 83 écoles

municipales, limite l’accès à certains restaurants scolaires à compter de ce mardi. La priorité sera accordée aux parents qui travaillent. Cette limitation concerne 17 restaurants scolaires et 28 écoles.

Accueil limité dans certaines cantines

Les restaurants scolaires des écoles élémentaires Berlioz et Mas Roman et des maternelles Chapitre, Louise-Michel et Mas Roman doivent limiter l’accueil tous les jours. Pour les écoles élémentaires Armand-Barbès, Vaillant, Gauzy, Grézan, Bruguier, Rousseau, Jean-Macé, Léo- Rousson, Marcellin, Langevin, Pont de Justice, Capouchiné et Saint-Césaire, ainsi que les maternelles Vaillant 1 et 2, Gauzy, Jean-Macé, Léo-Rousson, Marcelin, Langevin, Pont de Justice et Yvette Pannafieu, l’accueil sera limité uniquement lors des services de repas végétariens ou à base de poisson (un à deux repas par semaine).

Port du masque obligatoire à partir du CP

Le port du masque (de catégorie 1) est désormais obligatoire pour tous les élèves à partir du CP. La Ville distribue un masque lavable de catégorie 1 à chacun des 9 460 écoliers du public comme du privé. Ils sont livrés dans les établissements dès cette semaine. Le coût de

l’opération s’élève à 11 600€. « L'inscription à la cantine est un droit pour tous les Nîmois scolarisés qui s’inscrit dans notre politique éducative, a déclaré Jean-Paul Fournier, le maire de Nîmes. Notre organisation, appliquée par arrêté municipal dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire, est difficile à mettre en œuvre. Nous avons conscience de l’adaptation qu’elle

nécessite à certaines familles. Mais, dès l’instant qu’elle repose sur des règles d’équité d’accès entre les familles, elle permet d’apporter une réponse sociale aux situations les plus précaires et offre la possibilité de maintenir le service de restauration. »

VALLABRÈGUES La CNR investit 44 M€ pour la

construction d’une centrale hydroélectrique sur le Rhône

La centrale hydroélectrique en cours de construction sur le Rhône, à Vallabrègues, permettra de produire annuellement de 62 GWh soit l’équivalent de la consommation électrique de 25 000 habitants. Sa mise en service est prévue pour 2025.

Ce chantier situé le long de la route départementale 2 entre Beaucaire et Aramon, verra naître un nouvel ouvrage équipé d’une petite centrale hydroélectrique avec un groupe d’une

puissance de 8,2 MW, d’une turbine de type "kaplan" à axe vertical avec un diamètre nominal

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de 3,7 m. Il permettra de produire annuellement de 62 GWh soit l’équivalent de la

consommation électrique de 25 000 habitants. Les travaux intégreront la réalisation d’une passe à poissons de 48 bassins successifs pour franchir les 11 m de chute entre la confluence du Gardon et la retenue. Cet ouvrage de franchissement piscicole sera adapté à toutes les espèces migratrices endémiques du Rhône.

Le coût des travaux, financés par la Compagnie nationale du Rhône avec le concours de l’Agence de l’Eau Rhône Méditerranée Corse, est estimé à 44 millions d'euros. La construction de cette centrale hydroélectrique répond à la stratégie de la Programmation pluriannuelles de l’énergie (PPE) élaborée par le Gouvernement qui fixe un cap pour le mix énergétique qui prévoit 40% de production d’énergie renouvelable à l’horizon 2030, ainsi qu'à une évolution réglementaire européenne de 2014 pour l’augmentation des débits réservés au bénéfice de l’environnement et de la biodiversité dans la partie court-circuitée du fleuve.

L'équipement permettra de valoriser ce débit de 84 m3/s transféré de l’usine principale de Beaucaire.

NÎMES Base Oc’Via : Jean-Paul Boré se rappelle au bon souvenir des élus…

C'est officiel, la base Oc'via accueillera la deuxième prison du Gard. Une nouvelle qui, pour le leader de l'association TPNA (*), n'entre pas en contradiction avec la réalisation de la

plateforme de fret.

La semaine dernière, le lieu d’implantation de la deuxième prison nîmoise a été dévoilée. Ce sera à Nîmes, sur la base d’Oc’Via. Cette base ne vous dit rien ? L'ex-candidat aux

municipales de 2014 Jean-Paul Boré souhaitait que cette base devienne une gare de fret. Ce projet avait même pesé dans l’élection du président de Nîmes métropole, Franck Proust.

« L’exigence d’optimiser les flux est de plus en plus partagée. Preuve en est : les retours très positifs dans le cadre de l’étude exploratoire, qu’a confié le président de Nîmes métropole à deux de nos membres, Bertrand Filliette et Jean-Christophe Grégoire, vice-président chargé de l’Aménagement des zones d’activités à l’Agglomération », rappelle Jean-Paul Boré. Selon lui, l'implantation de la prison ne menace pas le projet de fret puisque « l’emplacement potentiel de la gare de fret est préservé. »

BEAUCAIRE 1,7 M€ de désendettement et 17,6 M€

d’investissements pour 2021

Trente délibérations figuraient au menu du premier conseil municipal de Beaucaire de l'année, ce lundi 1er mars. Gros morceau, le débat d'orientation budgétaire 2021 constituait le plat de résistance.

Après avoir dressé un portrait peu optimiste de économie du pays, refusant l'interprétation selon laquelle la crise sanitaire actuelle en serait la seule cause et en pointant ainsi du doigt

"les gouvernements successifs et leur mauvaise gestion", Julien Sanchez (Rassemblement National) s'est recentré sur le débat d'orientation budgétaire de la commune de Beaucaire dont il est maire.

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En ce qui concerne la situation des finances communales, "la capacité de désendettement de Beaucaire est très bonne, on a une saine gestion des finances communales. Elle était d'environ huit ans en 2017, six ans en 2018, cinq ans en 2019, 4,2 ans en 2020. Ça a été salué d'ailleurs par la Chambre régionale des comptes", se gargarise le premier édile de Beaucaire. Le même prévoit un fort désendettement de la commune avec un remboursement d'emprunts de près d'1,7 M€ cette année. L'encours de la dette est au 1er janvier 2021, de 14,9 M€ et devrait être de 13,2 M€ au 31 décembre 2021.

Dans le cadre des recettes de fonctionnement, une première information à retenir et primordiale pour les Beaucarois concernés : les taux d'imposition n'augmenteront pas en 2021. En tout cas si la communauté de communes Beaucaire Terre d'Argence décide de ne pas toucher elle non plus à la taxe d'habitation, les taxes sur le foncier bâti et l'enlèvement des ordures ménagères. En 2020, le produit des impôts s'est élevé à 9 198 052€, il devrait être de 9 M€ en 2021.

Autre sujet abordé sur le thème des recettes de fonctionnement : les dotations de l'État aux communes. "Elles ne sont pas en hausse, regrette Julien Sanchez. Notamment sur la partie investissements parce que c'est vraiment de cela dont un pays a besoin, de l'investissement local et concret." Le montant des différentes dotations - DGF, DSU et DNP (*) - atteignait les 3,1M€ en 2020, il devrait être de 2,9 M€ en 2021. Pas de quoi plomber les projets

d'investissements de la ville qui compte notamment sur l'intervention de co-financeurs pour chacun d'entre eux. En 2019 et 2020, plus de 3 M€ de subventions ont été obtenues.

En termes d'investissements, la ville entend poursuivre ses actions sur des dossiers déjà ouverts. Des chantiers sont déjà enclenchés pour certains et la municipalité prévoit plus de 17,6 M€ d'investissements dont près de 10 M€ de nouvelles inscriptions budgétaires. Des chiffres qui n'ont pas manqué de faire réagir le conseiller municipal d'opposition Unis pour Beaucaire, Luc Perrin : "Nous sommes toujours dans un contexte sanitaire très incertain qui rend difficile toutes perspectives économiques pour l'année 2021. Dans ces conditions, le rapport d'orientation budgétaire s'apparente un peu à un exercice de voyance et votre penchant démesuré pour la communication à un exercice de propagande. Sur les investissement, vous annoncez encore une fois de mirifiques prévisions, avec un taux de réalisation effectif de moins de 45% depuis 2014. Il faudrait peut-être vous décider à un peu plus de sincérité dans les prévisions des dépenses en investissements."

Parmi les principaux projets prévus en 2021, figurent le Pôle d'échange multimodal, la base nautique, des travaux de réfection sur la voirie communale, un renforcement du dispositif de vidéoprotection, la création d'une aire de jeux, la poursuite du programme de rénovation et d'agrandissement de l'école Garrigues-Planes et la réhabilitation de l'école Nationale. Ce dernier projet cité se fait trop attendre au goût de Luc Perrin. "Il a déjà plus de cinq ans de retard, a-t-il lancé au maire RN. Nous nous demandons si à ce niveau, vous allez continuer à rejeter la faute sur les autres ?"

Julien Sanchez a aussitôt répondu : "Vous dites cinq ans de retard, moi, je dirais plutôt 50 ans.

Je veux bien en prendre une partie à ma charge, mais on ne peut pas nier que dès le milieu du premier mandat nous avons lancé un projet. Emmanuel Macron a été élu, il a créé ce qu'on appelle la réforme du dédoublement des classes. Une réforme positive pour les enfants, même si c'est dommage que ça ne bénéficie qu'aux quartiers prioritaires et pas à tous les petits Français. Le projet initial ne l'avait pas pris en compte puisqu'elle n'existait pas. Il a donc dû être cassé."

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Il n'a pas échappé aux élus du groupe d'opposition Unis pour Beaucaire, que le quartier Sud Canal était inscrit sur la liste des projets principaux. "Sur le quartier Sud Canal dont vous vantez la bonne exécution des travaux de démolition, nous remarquons que vous omettez soigneusement de dire que ce projet occasionne d'ores et déjà plus de 3 M€ de perte aux finances de la Ville. Votre négation ne fera pas disparaître magiquement les dépenses faites par la Ville sur ce secteur par vos prédécesseurs et par vous-mêmes", a lâché leur porte- parole.

"Vous êtes pour les projets, mais pas pour les dépenses", a commencé à répondre le maire avant d'être interrompu par Luc Perrin. "Je demande de la transparence. Quel est le coût de ce projet pour la ville ?" Et Julien Sanchez de reprendre : "Tout est passé en délibération. Il n'y a rien qui soit opaque. Tout passe en conseil municipal, alors arrêtez votre délire." La joute verbale s'arrêtera là, le maire préférant poursuivre avec une question posée par un autre élu d'opposition (En avant pour Beaucaire), Lionel Depetri, et concernant le nombre de policiers municipaux qui devrait passer de 23 actuellement à 30 d'ici la fin du mandat.

Références

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