PARFOIS L’IMAGE SE FIGE, UNE CHANSON NAÎT, PUIS LE FILM REPREND.
CINÉ-LIVE-BAND
MARC GUITARE - BASS LE FILM
LAINE NOIRE
DIMITRI BATTEUR
OUAHIDE RÉALISATEUR AUTEUR COMPOSITEUR INTERPRÈTE
UN CINÉ-LIVE-BAND ?
I maginez, le groupe est déjà sur scène. À l’écran : Laine Noire, le film sélectionné dans plusieurs festivals internationaux.
Le band dans le noir, joue la musique du film...
A u détour d’une scène, la musique devient une chanson du répertoire. Le texte entre en résonance avec la scène en cours. À la fin du morceau, le film reprend... Le band continue d’orchestrer sa musique.
L’IMAGE SE FIGE UNE CHANSON EST
JOUÉE.
CONCRÈTEMENT
JOUER DANS VOTRE CINÉMA
L
e Ciné-Live-Band possède son propre système de sonorisation. Nous l’installons, le calibrons et le synchronisons avec le son déjà présent dans la salle.L
’image et le son du film sont diffusés par votre système habituel.N
ous mettons en place une installation lumière que nous gérons nous-mêmes pendant la séance.L’AUTEUR - RÉALISATEUR - CHANTEUR
O
uahide Dibane est un auteur, réalisateur, producteur, musicien. Il se présente lui-même commeun cinématographe. Non pas la machine, mais l’être qui imagine un film et mène sa création jusqu’au bout.
I
ssu du théâtre contemporain : « Théâtre de l’Acte » de Michel Mathieu, il se dirige ensuite vers le théâtre in- teractif d’Augusto Boal. Il entre dans la réalisation par la création de court-métrages et de clips musicaux pour les groupes « Sacré Printemps » et « Obsolescence Program- mée ». Il produit ensuite les web séries interactives « Comment on fait quand ? » et « Comment appelerun chat ? ». Il fonde la boîte de production « Des ponts à la place des murs » et imagine un cinéma interactif qu’il développe de 2011 à nos jours.
D
epuis le début de ses recherches en cinéma et cinéma interactif, il travaille avec la même équipe d’actrices et d’acteurs. Le collectif d’artistes qui l’entoure est deve- nu sa famille de cœur et de production.L’HISTOIRE DE L’ŒUVRE
P
endant 10 ans j’ai écrit, réalisé, produit et développé plusieurs films de cinéma« interactif ». J’ai appris où et comment un film peut être suspendu, pour faire participer le public, puis relancé pour lui faire vivre une expérience hors normes.
C
’est naturellement que m’est venue l’idée d’une séance de cinéma imbriquée à des moments de concert.J
’ai d’abord créé le « Band » et composé le répertoire. Le principe de base est que chaque chanson parle d’un personnage, ou s’adresse à lui directement. Les compositions musicales ont elles été pensées en fonction de couleurs émotion- nelles fortes. Une fois l’album du groupe écrit et produit, nous l’avons adapté à la scène et joué en concert.E
n parallèle, j’ai écrit, réalisé et produit 4 court-métrages, comme des émana- tions cinématographiques de certaines chansons. Ces réalisations ont permis de mieux comprendre les liens entre une chanson et un film. Une fois que cette interconnexion fut évidente, j’ai écrit « Laine Noire » comme l’œuvre qui abrite toutes les autres.L
e film a été écrit de manière à ce que des espaces d’interactions puissent être ouverts ou laissés tels quels. En revanche, il a été produit comme n’importe quel autre film, une fois la post-production aboutie, il a mené sa vie dans les festi- vals. Après plusieurs sélections et quelques prix, il rejoint l’ensemble de l’œuvre.C
’est le cinéma le « Merou palace » à Graulhet qui nous a offert de finaliser l’œuvre. Pendant cette résidence j’ai pu, avec les musiciens, emboîter toutes les pièces du puzzle que j’ai mis 6 ans à produire. La première séance du Ciné- Live-Band « Laine Noire » fut un franc succès. Le public a apprécié l’originalité, la cohérence et les fortes émotions que procurent ce spectacle cinématographique.Noémie LARROQUE
Marie DILLIES Sylvain
BAURENS
Laurie BOUCULAT
Muriel POMMIER Thierry
LOUYAT
Un film de OUAHIDE DIBANE
LE FILM
L
eïa tient une petite épicerie dans une ville au bord de l’insurrection. Malgré tout, chaque jour se ressemble.Un matin, des manifestantes et manifestants, fuyant la ré- pression policière, se cachent dans son magasin.
À
partir de là tout change, quelque chose d’enfoui au fond d’elle reprend le contrôle.SYNOPSIS
NOTE D’AUTEUR
T
out au long de ma vie, j’ai senti cette différence, je l’ai d’abord subie, puis cultivée, jusqu’à modifier ma façon de voir le monde, de me connecter à l’autre. J’ai découvert que le lien social n’est pas la seule possibilité de connexion, d’autant qu’elle n’a jamais vraiment fonctionné avec moi.I
ncapable d’avoir des relations de surface ou des discussions périphériques, je me suis longtemps senti isolé.Jusqu’à ce que je commence à rencontrer des êtres avec lesquels la connexion se faisait presque sans mot, de l’intérieur. Le problème c’est que j’étais souvent le seul à pouvoir verbaliser ce lien profond.
L
aine Noire est un appel à ces êtres capables d’une telle profondeur, mais qui se cachent sous les habits de la normalité pour ne pas être mis en danger.L
eïa, le personnage principal, essaie de mener une vie normale, conforme. Son magasin, son mari, ses clientes et clients, tout participe à une routine qui cache mal l’absence. L’absence à soi, aux autres, au monde, même si ce dernier est en ébullition.E
n Interrompant la vie tranquille de Leïa, en déchirant son camouflage, je veux exprimer une conviction : les êtres hypersensibles ont un rôle à jouer dans ce monde. Iels proposent des alternatives et, soutiennent celles et ceux qui se libérent.LA MUSIQUE DU FILM
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I y a les chansons, et il y a la musique du film. Cette dernière, jouée en direct, est un personnage à part entière. Elle est la conscience cachée de Leïa, vocale, percussive, parfois dissonnante, d’autres fois harmo- nieuse, elle exprime cette part du personnage central qui appelle l’être à sa libération.A
u début inaudible, elle prend de plus en plus de place, jusqu’à ce que Leïa s’assume.E
n second plan il y a ces caméras de surveillance, dans la rue, sur nos ordinateurs, nos téléphones, elles épient le moindre de leurs faits et gestes.P
arfois le public voit à travers leur objectif, comme s’il regardait par le trou d’une serrure. Le son qui accompagne cette image dégradée révèle l’inhumanité de leur présence.LAINE NOIRE & ALLUME-TOI - LE MÊME BESOIN
* 17 novembre 2018
- Les gilets jaunes s’allument dans toute la France. Pré- sent depuis le départ à différents niveaux, Ouahide est là tous les samedis, en- core aujourd’hui. Après le premier confinement il produit « Laine Noire » comme un cri social et métaphysique pour mobiliser les lumières.L
es manifestantes et manifestants du film sont des gilets jaunes avec qui il ma- nifeste tous les samedis.L
e cinéma de Ouahide est comme ses chansons, engagé, poétique et atypique.La différence réside dans l’aspect méta-physique. En effet, pour lui, un monde sous notre monde existe, il est indéfinissable, impalpable mais il agit, il participe à notre transformation.
O
uahide exprime par son cinéma et sa musique le lien entre une lutte sociale très concrète et la magie d’un monde sous-jacent. Il y dit ce qu’il ne dira ja- mais en surface. C’est pour cela que pour lui, les films n’illustrent pas les chan- sons, ils les complètent.LE TRIO
UNE CHANSON FRANÇAISE
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ans un premier temps, c’est le Hip-Hop qui li- bère la plume acerbe du jeune rappeur, puis la chanson française de Brel ou de Ferré qui lui inspire la force d’une poésie qui se bat.L
e Rap, le rock, la chanson française, la poésie d’Alexandro Jodorowsky sont le terreau sur lequel pousse les chansons d’Allume-toi.L
a lutte sociale, humaine et politique habite chaque thème abordé.P
arce qu’on ne peut demander aux autres de s’allumer sans le faire soi-même, Allume-toi c’est d’abord un espace à l’imaginaire débridé où le chanteur et ses acolytes se libèrent des conventions de leur style respectif pour inau- gurer un monde fait de sorciers qui chantent et d’actes psycho-magiques.I
l est le guitariste, bassiste, arrangeur et réalisateur scène et studio, depuis deux décennies en réseau professionnel.I
l a joué sur quatre continents ( Etats Unis, Australie, Japon, Europe) pour Svensson 2004 - 2011, Bertrand Betsch depuis 2011 et Jo Meares depuis 2007.I
l a réalisé et participé à plusieurs projets, en France ( De Calm, Svensson, Bertrand Betsch...) , en Grande Bretagne (Watine ), en Australie ( Jo Meares ), aux Etats Unis ( Svensson, Kebous ), en Italie ( Dag Trio ).I
l a travaillé à Polygone, au studio Solstice, au Studio du Ma- noir, au Studio de la Vierge, au studio des Berduquet, à la Grange Magnétique, au studio Yellow Fish (GB) , à Damien Gé- rard (AUS), notamment.I
l accompagne également de nouveaux talents prometteurs en tant que producteur ( Remus, Ariane Raton, Mentor Men- tor, Hana ).I
ci il participe au développement artistique en tant que musi- cien/réalisateur sur les ondes et guitariste sur les planches.MARC DENIS
DIMITRI MAZELIER
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imitri commence la musique à 11 ans avec sa première bat- terie. Bœufs et reprises rock s’enchaînent dans le garage familial, avec son frère, jusqu’à la constitution de Purple Plane, groupe de rock progressif.C
ours particuliers avec Xavier Maréchal, cursus de Mu- sic’Halle à Toulouse de 2016 à 2019.D
epuis plusieurs années, il collabore avec Marc, ce qui donne naissance à 2 formations : Rémus et Allume-toi.C
’est en 2019 que Dimitri rencontre Ouahide grâce à Marc. Il entre volontiers dans son univers et y amène sa propre ma- gie. D’enregistrements en répétitions, il fait naître et incarne l’identité rythmique du projet.Teaser du film «Laine Noire»
RESSOURCES AUDIOVISUELLES
Clip du trio «Etienne»
Clip du trio «La honte»
Clip lyrics du trio «L’oiseau blanc»
Clip lyrics du trio «Lâche»
Allume-toi.com
Despontsalaplacedesmurs.com
Contact distribution - Ouahide : 06 45 64 17 73 Contact développement - Muriel : 06 71 47 11 45
LIENS ET CONTACT
Teaser du «Ciné-Live-Band»