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Texte intégral

(1)

ENSEIRB-MATMECA

Option second semestre, 2015/2016

Information Quantique

Corrig´e de l’examen du 17 Mai 2016 Exercice 1 (/10 pts)

Interf´erom`etre de Mach-Zehnder.

Ox Oy

D1

D2

D1

D2

SM1

SM2

Figure1 – Interf´erom`etre de Mach-Zehnder.

1- La transformation unitaire d´ecrivant le passage du photon `a travers la lame semi-r´efl´echissante est (selon l’´enonc´e) 1

2

1 i i 1

. L´etat du photon apr`es la premi`ere lame (SM1) est donc :

√1 2

1 i i 1

· 1

0

=

1 i2

2

!

La transformation unitaire d´ecrivant le passage du photon `a travers les mi- roirs est (selon l’´enonc´e)

0 i i 0

. L´etat du photon apr`es le passage dans le

(2)

couple de miroirs est donc : 0 i

i 0

·

1 i2

2

!

=

−1 i2

2

!

L’´etat du photon apr`es la seconde lame (SM2) est :

√1 2

1 i i 1

·

1

2

i 2

!

= −1

0

2- L’´etat du photon apr`es la seconde lame exprime un d´eplacement horizon- tal du photon vers le d´etecteur D2 (avec une phase (-1)). Autrement dit, l’´etat du photon est un ´etat propre de l’observable associ´e aux d´etecteurs (D1, D2). Doncavec probabilit´e1, on mesure le passage du photon dansD2. Le photon arrive dans le d´etecteurD1 avec probabilit´e 0

Pla¸cons-nous dans le cas o`u un observateur mesure le passage du pho- ton par le trajet de gauche (resp. de droite) apr`es le miroir et juste avant la seconde lame semi-r´efl´echissante. Il utilise une observable dont les deux vecteurs propres sont|xi (cas o`u le photon est pass´e `a gauche), et |yi (cas o`u le photon est pass´e `a droite).

Rappelons que l’´etat du photon juste avant la mesure (du trajet choisi) est

|ei=

1

2

i 2

!

3-cas o`u le photon passe `a gauche :

Ce cas se produit avec une probabilit´e ´egale `a | hx|ei |2 = 12

L’etat apr`es cette mesure est|xi. L’ ´etat apr`es cette mesure, puis le passage dans SM2 est :

e

= 1

√2 1 i

i 1

· |xi= 1

√2(|xi+i|yi) Il passe dansD1 avec probabilit´e :

| y|e

|2= 1 2 et dansD2 avec probabilit´e :

| x|e

|2 = 1 2.

(3)

cas o`u le photon passe `a droite :

Ce cas se produit avec une probabilit´e ´egale `a | hy|ei |2= 12

L’etat apr`es cette mesure est|yi. L’´etat apr`es cette mesure, puis le passage dans SM2 est :

e′′

= 1

√2 1 i

i 1

· |yi= 1

√2(i|xi+|yi) Il passe dansD1 avec probabilit´e :

| y|e′′

|2= 1 2 et dansD2 avec probabilit´e :

| x|e′′

|2= 1 2. Finalement le photon est d´etect´e dansD1 :

- soit apr`es avoir pris le trajet de gauche (Pr = 12) puis avoir travers´e la lame semi-r´efl´echissante versD1 (Pr = 12) : ce cas survient avec probabilit´e 14. - soit apr`es avoir pris le trajet de droite (Pr = 12) puis avoir travers´e la lame semi-r´efl´echissante versD1 (Pr = 12) : ce cas survient avec probabilit´e 14. Le photon est d´etect´e dansD1 avec probabilit´e 12.

Le photon est d´etect´e dansD2 avec probabilit´e 1−12 = 12.

Si l’on reproduit N fois cette exp´erience (avec un observateur qui mesure le passage du photon par la gauche ou la droite) le photon sera d´etect´e en moyenne N/2 fois enD1, et N/2 fois enD2.

N.B. Le ph´enom`ene d’“auto-interf´erence” adisparu.

4- L’op´erateur d’´evolution du syst`eme d´ecrivant A a pour matrice, dans la base|xi,|yi(de l’ espace des ´etats de A)

−1

√2 1 i

i 1

· 0 i

i 0

·−1

√2 1 i

i 1

=

−1 0 0 −1

L’op´erateur d’´volution du syst`eme d´ecrivant A a la mˆeme matrice, dans la base |xi,|yi (de l’ espace des ´etats de A). L’op´erateur d’´evolution du syst`eme d´ecrivant (A, A) est le produit tensoriel de ces deux op´erateurs :

−1 0 0 −1

−1 0 0 −1

.

L’´etat du syt`eme (A, A) apr`es la travers´ee des deux appareils est donc (

−1 0 0 −1

−1 0 0 −1

)·(|xi ⊗ x

) = −1

0

⊗ −1

0

=|xi ⊗ x

.

(4)

SM1

SM2

SM1 SM2

D1

D2 D1

D2

A A

Ox Ox

Oy Oy

Figure2 – Deux interf´erom`etres de Mach-Zehnder.

Donc, avec probabilit´e 1, l’observateur du cˆot´e deAverra Apasser dansD2

et l’observateur du cˆot´e deA verra A passer dansD2. Examinons les id´ees de Cosinus.

5- Dans son sc´enario, l’´etat initial du syst`eme (A, A) est

√1

2(|xi ⊗ x

+|yi ⊗ y

).

Apr`es le passage dans le miroir, l’´etat du syst`eme (A, A) est :

( 0 i

i 0

⊗ 0 i

i 0

)· 1

√2(|xi ⊗ x

+|yi ⊗ y

)

= −1

√2(|yi ⊗ y

+|xi ⊗ x

).

6- 6.1cas o`u Cosinus ne fait pas de mesure(il “transmet” 0),

L’´etat du syst`eme (A, A), sans mesure de Cosinus (s’il transmet 0), avant SM2 est l’´etat obtenu en Q5 :

−1

√2(|yi ⊗ y

+|xi ⊗ x

).

(5)

SM2 SM2

D1

D2 D1

D2

Ox Ox

Oy Oy

A A

mesure

L Prof Cosinus

Prof Sinus

Figure3 – Photons intriqu´es dans Mach-Zehnder.

L’´etat obtenu apr`esSM2 est : 1

2( 1 i

i 1

⊗ 1 i

i 1

)·−1

√2(|yi ⊗ y

+|xi ⊗ x

)

= −1 2√

2[(|xi+i|yi)⊗( x

+i y

) + (i|xi+|yi)⊗(i x

+ y

)]

= −1 2√

2[2i(|xi ⊗ y

) + 2i(|yi ⊗ x

)]

= −i

√2[|xi ⊗ y

+|yi ⊗ x

]

6.2cas o`u Cosinus fait une mesure(il “transmet” 1),

L’´etat du syst`eme (A, A), avant la mesure de Cosinus est l’´etat obtenu en

Q5 : −1

√2(|yi ⊗ y

+|xi ⊗ x

).

L’´etat du syst`eme (A, A), apr`es la mesure de Cosinus est : cas 1: avec Pr = 12

(−1)|xi ⊗ x

(6)

cas 2: avec Pr = 12

(−1)|yi ⊗ y

.

L’´etat du syst`eme (A, A) avant SM2 est celui donn´e ci-dessus.

L’´etat du syst`eme (A, A) apr`esSM2 est : dans le cas 1

−1 2 (

1 i i 1

⊗ 1 i

i 1

)·(|xi ⊗ x

)

= −1

2 (|xi+i|yi)⊗( x

+i y

)

= −1 2 [|xi

x

+i|yi x

+i|xi y

− |yi y

] dans le cas 2

−1 2 (

1 i i 1

⊗ 1 i

i 1

)·(|yi ⊗ y

)

= −1

2 (i|xi+|yi)⊗(i x

+ y

)

= 1

2[|xi x

−i|yi x

−i|xi y

− |yi y

]

7- Ce qu’observe le professeur Sinus dans le cas o`u Cosinus “transmet” 0 : il mesure A avec une observable de vecteurs propres |xi,|yi. Il projette donc l’´et´at du syst`eme, avec Pr = 12 sur :

−i|yi ⊗ x

] et voitA passer dans D2

ou alors, avec Pr = 12 sur :

−i|xi ⊗ y et voitA passer dans D1.

Ce qu’observe le professeur Sinus dans le cas o`u Cosinus “transmet” 1 dans le cas 1:il mesureAavec une observable de vecteurs propres|xi,|yi. Il projette donc l’´et´at du syst`eme, avec Pr = 12 sur :

√1

2[− |xi x

−i|yi x

]

(7)

et voitA passer dans D2 ou alors, avec Pr = 12 sur :

√1

2[−i|xi y

+|yi y

] et voitA passer dans D1.

dans le cas 2:un calcul similaire montre queA est observ´e dans D1 avec Pr = 12.

Comme les deux cas sont ´equiprobables, Sinus d´etecte A en D1 avec pro- babilit´e 12.

8- Cosinus a-t-il r´eussi `a transmettre une information `a une vitesse deux fois sup´erieure `a celle de la lumi`ere ?

NON : les observations de Sinus ont la mˆeme loi de probabilit´e lorsque Co- sinus “transmet 0 “ et lorsque Cosinus “transmet 1“ :

D1 avec Pr = 12 , D2 avec Pr = 12.

Sinus ne peut donc pas d´eduire de ses mesures une information concernant le choix de Cosinus (transmettre 0 ou transmettre 1).

Exercice 2(/10 pts)

Ordre multiplicatif d’un nombreamoduloN.

On a introduit (dans le cours sur l’algorithme de Shor) l’op´erateur U : Bn→ Bn :

U|xi := |a·x (modN)i si 0≤x≤N −1 U|xi := |xi si N ≤x≤2n−1.

1-U envoie la base canonique sur elle-mˆeme, donc U est unitaire.

2.1 Supposons queUk=I.

alorsUk|1i=|1i. Par ailleurs, Uk|1i=

ak (mod N) .Donc ak ≡1 (mod N).

2.2 Supposons queak≡1 (modN).Soit x∈[0, N −1]. On a xk·x≡1·x (modN) doncUk|xi=|xi.

Si x ∈ [N,2n−1], on a Uk|xi = |xi et donc Uk|xi = |xi. Finalement : Uk=I.

3- Comme le polynˆome Xr−1 annule U, le spectre deU est inclus dans l’

ensemble des z´eros de Xr−1, c’ est `a dire : {e2iπjr |0≤j≤r−1}.

(8)

4- Soitj ∈[0, r−1]. On noteωj =e2iπjr . Calculer le polynˆomeDj ∈C[X] tel que

Xr−1 = (X−ωj)·Dj. D’apr`es l’identit´e

Xk−Yk = (X−Y)(Xk−1Y0+. . .+XYk−1+ +. . .+X0Yk−1).

on a

Xk−ωkj = (X−ωj)(Xk−1ωj0+. . .+Xωkj1+ +. . .+X0ωjk1).

Donc

Dj = (Xk1ωj0+. . .+Xωjk1+. . .+X0ωjk1).

5- On pose|ϕji:=Dj(U)· |1i.

Comme le polynˆome (X−ωj)Dj annule U, on a : (U −ωjI)◦Dj(U) = 0 donc, pour tout vecteur |ui on a

Dj(U)· |ui ∈Ker(U −ωjI).

Dans le cas du vecteur|1i on a : Dj(U)· |1i = (

r1

X

ℓ=0

Uωrj1)|1i

=

r−1

X

ℓ=0

ωjr1) aE qui est non-nul : les

a

sont des vecteurs deux `a deux distincts de la base canonique, donc les coordonn´ees dans la base canonique de|ϕji sont non- nulles. Donc|ϕji 6=−→0 .

On en d´eduit que le spectre deU est exactement {e2iπjr |0≤j≤r−1}. 6- Calculons les produits scalaireshϕjkipour j, k ∈[0, r−1].

ji =

r1

X

ℓ=0

e−2iπj(ℓ+1)r U|1i

=

r−1

X

ℓ=0

e−2iπj(ℓ+1)r U|1i

=

r1

X

ℓ=0

ωℓ+1j aE

(9)

Sachant que les a

forment ne famille orthonorm´ee, on obtient : hϕjki =

r1

X

ℓ=0

ωℓ+1jωℓ+1k

=

r−1

X

ℓ=0

ωℓ+1kj.

cas 1:j=k Alors

jki=

r1

X

ℓ=0

1 = r.

cas 2:j6=k

Alors ωkℓ+1j annule le polynˆome Xr−1 sans annuler X−1, donc il annule le quotient XXr−1

1 =Pr−1

ℓ=0X, donc

jki= 0.

La famille (|ϕji)j[0,r1] est orthogonale et la norme de chacun de ses vec- teurs est√r. Donc la famille (|ψji)j[0,r1], qui est obtenue en la quotientant par√

r, est orthonorm´ee.

7- Calculons la somme des vecteurs|ψji.

r1

X

j=0

ji = 1

√r

r1

X

j=0

ωj(

r1

X

ℓ=0

ωj1U|1i)

= 1

√r

r−1

X

j=0

(

r−1

X

ℓ=0

ωj aE

)

= 1

√r

r1

X

ℓ=0

(

r1

X

j=0

ωj) aE

(1) Notons c(ℓ) le coefficient de

a

dans la somme ci-dessus.

cas 1:ℓ= 0 Alors

c(ℓ) = 1

√r

r−1

X

j=0

ωj0 =√ r.

cas 2:ℓ6= 0

Alors, par les arguments utilis´es `a la question 6, c(ℓ) = 0.

(10)

En rempla¸cant dans l’´evaluation (1), chaque coefficient c(ℓ) par sa valeur, on obtient

r1

X

j=0

ji=√ r|1i. N.B. Erreur dans le texte donc : le coefficient√

r manquait. Mais comme la famille (|ψji)j[0,r1] est orthonorm´ee, sa somme a une norme ´egale `a √

r, alors que|1i est unitaire !1

8- AppliquonsV au vecteur |0i ⊗ |1i ∈ Bn⊗ Bn; on obtient un ´etat

|ηi:=V |0i |1i.

Mesurons les n premiers q-bits de cet ´etat : on utilise une observable O et on obtient un r´esultat (al´eatoire) y∈[0,2n−1]. Analysons la loi dey.

Soitj ∈[0, r−1].

On a

|ηi= 1

√r[|α1i ψ1

+. . .+|αi ψ

+. . .+|αr−1i ψr1

.

Notons Hj ⊆ Bn le sous-espace propre associ´e `a la valeur propre j de l’observable O. Notons prEj :Bn → Bn la projection orthogonale sur ce sous-espaceEj. On a :

(prEj⊗Id2n)|ηi = 1

√r ·

r−1

X

ℓ=0

prEji ⊗ ψ

Comme les vecteurs |ψi forment une famille orthonorm´ee, les vecteurs (prEji)⊗ |ψi sont, eux-aussi, orthogonaux deux `a deux ; donc

kprEj⊗Id2n|ηi k2 = 1 r ·

r1

X

ℓ=0

kprEji ⊗ ψ

k2

= 1

r ·

r−1

X

ℓ=0

kprEji k2

≥ 1

r · kprEjji k2

≥ 1 r · 8

π2.

1. mea culpa ; tout ´etudiant remarquant cette erreur re¸coit, bien ´evidemment, des points suppl´ementaires.

(11)

D’apr`es l’ ´enonc´e de Q7, ce carr´e de norme de projection est la probabilit´e que la mesure de l’observable Odonne un r´esultat y v´erifiant

|j r − y

2n| ≤ 1 2n. Autrement dit, dans l’´etat|ηi on a :

Pr{|j r − y

2n| ≤ 1

2n} ≥ 8

2. (2)

Comme, pour des valeurs dej diff´erentes, les ´ev´enements {|j

r − y 2n| ≤ 1

2n} sont disjoints, on en conclut que

Pr{∃j∈[0, r−1]| |j r − y

2n| ≤ 1 2n} ≥

r1

X

j=0

8 rπ2

= 8

π2 (3)

9- On r´ep`ete deux fois le calcul de la question 8 : on obtient deux valeurs y, y ∈[0,2n−1].

Avec une probabilit´e≥ π644 (car ces deux calculs sont ind´ependants) on ob- tient desy, y tels que :

∃j, j ∈[0, r−1]| |j r − y

2n| ≤ 1 2n et|j

r − y 2n| ≤ 1

2n.

En supposant que 2n ≥r2, en d´eveloppant en fraction continue 2yn puis 2yn

on obtient, en temps polynomial, des nombres rationnels j

r, j r.

N.B. mais on ne connait pas encore lescouples de nombresentiers (j, r).(j, r) La proportion de couples (j, j) premiers entre eux dans [0, n−1] tend vers

6

π2 lorsquentend vers l’infini. Donc, il existe r0∈Ntel que, pourr≥r0, Card{(j, j)∈[0, r−1]×[0, r−1]|j∧j = 1} ≥ 3

π2r2

(12)

Pour chaque couple (j, j)∈[0, r−1]×[0, r−1]|j∧j= 1, la minoration (2) s’applique. On en conclut que, la probabilit´e que les deux mesures fournissent des rationnels jr, jr avecj∧j = 1 est plus grande que

8 π2 · 8

π2 · 3 π2. On suppose d´esormais quej∧j = 1.

Pour tous rationnels

s=

Y

k=1

pekk, t=

Y

k=1

qfkk

o`u lespk sont des nombres premiers et ek, fk ∈Z, nous noterons s∧t:=

Y

k=1

pmin(ek k,fk), s∨t:=

Y

k=1

pmax(ek k,fk).

N.B. lorsques, tsont entiers ,s∧test le pgcd des, tets∨t est le ppcm de s, t.

Supposons que les d´ecompositions der, j, j en facteurs premiers sont : r=

Y

k=1

pekk, j =

Y

k=1

pfkk, j =

Y

k=1

pgkk. Alors

r j =

Y

k=1

pekkfk, r j =

Y

k=1

pekkgk

et commej∧j = 1, fk·gk = 0 , donc max{ek−fk, ek−gk} =ek, ce qui montre que

r j ∨ r

j =r

On peut ainsi calculerr, en temps polynomial, `a partir de jr et jr : - on connait jr sous forme d’une fraction pq

- on connait jr sous forme d’une fraction pq

(13)

On calcule

r = q p ∨q

p

= qp pp ∨qp

pp

= qp∨qp pp

= qpqp (qp∧qp)pp

= qq qp∧qp

Le calcul deqp∧qppar l’algorithme d’ Euclide prend un temps polynomial (par rapport `a n).

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