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E. KETTELER. - Constanz des Refractionvermögens (Constance du pouvoir réfringent); Wied. Ann., t. XXX, p. 285; 1887. Zur Handhabung der Dispersionsformel (Vérification des formules de dispersion); Wied. Ann., t. XXX, p. 299; 1887

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Submitted on 1 Jan 1888

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E. KETTELER. - Constanz des Refractionvermögens (Constance du pouvoir réfringent); Wied. Ann., t.

XXX, p. 285; 1887. Zur Handhabung der Dispersionsformel (Vérification des formules de dispersion); Wied. Ann., t. XXX, p. 299; 1887

J. Macé de Lépinay

To cite this version:

J. Macé de Lépinay. E. KETTELER. - Constanz des Refractionvermögens (Constance du pouvoir

réfringent); Wied. Ann., t. XXX, p. 285; 1887. Zur Handhabung der Dispersionsformel (Vérification

des formules de dispersion); Wied. Ann., t. XXX, p. 299; 1887. J. Phys. Theor. Appl., 1888, 7 (1),

pp.130-132. �10.1051/jphystap:018880070013001�. �jpa-00238802�

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snltats et de ceux de M. ~Vlendeleef : on trouvera certainement que

l’emploi de formules paraboliques à trois termes a le défaut d’être arbitraire et n’est justifié théoriquement que d’une manière bien insuffisante dans le Mémoire de M. Grompton. On peut discuter

sur l’existence de tel ou tel hydrate défini; mais il est clair que l’étude comparée des diverses propriétés physiques des dissolu-

tions offre un moyen d’investigation plus puissant et sans doute

tout aussi sûr que les méthodes purement chimiques employées jusqu’ici. Ce sont les méthodes physiques qui constitueront la

Chimie de l’avenir. E. BOUTY.

E. KETTELER. - Constanz des Refractionvermögens (Constance du pouvoir réfringent); Wied. Ann., t. XXX, p. 285; I887.

Zur Handhabung der Dispersionsformel (Vérification des formules de dispersion);

Wied. Ann., t. XXX, p. 299; I887.

11~T. lietteler passe en revue les diverses formules qui ont été proposées pour relier l’indice de réfraction d’une substance à sa

densité; aucune d’elles n’offre avec l’expérience une concordance

qui permette de dire qu’elle représente la véritable loi du phé-

nomène. L’auteur propose de leur substituer une formule em-

pirique de la forme suivante :

Celle-ci fournira, bien en tendu, des résultats d’autant plus sa-

tisfaisants qu’on prendra un plus grand nombre de termes. En l’appliquant à l’eau pour les températures comprises entre et 8oo, on trouve un accord suffisant si l’on garde quatre constantes ;

mais, au-dessous de $°, aucune formule de ce genre ne peut se

vérifier, puisque à une valeur déterminée de d ne correspond,

dans la formule, qu’une seule valeur de n ; on ne pourrait se tirer

de cette difficulté qu’en regardant fi, y, etc., comme des fonctions de la température.

Le rapporL #1 , n 2 - 1 n et n’ correspondant à des rayons de réfran-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018880070013001

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gibilités différentes, est sensiblement consuaiil : les coefficients py

~~, etc., y sont donc à peu près indépendants de la couleur.

L’auteur est plus heureux avec les formules de dispersion qui

lient l’indice n à la longueur d’onde ~,. Il montre que, contraire-

ment à l’opinion éinise récemmcnt par M. Brühl dans les Annales de Liebig, la dispersion dans les milieux transparents est repré-

sentée avec toute l’exactitude désirable par la formule

à la condition de suivre certaines règles élémentaires dans le calcul des constantes k, a 2, D et ?, n, et de ne pas se faire illusion

sur la précision avec laquelle ont été déterminées les longueurs

d’onde des rayons extrêmes, infra-rouges ou uhra-violets.

L’auteur, à l’aide des données expérimentales de M. Cornu, Mascart, Mouton, Sarasin, Langley, van der Willigen, présente

des Tableaux de vérification pour le sulfure de carbone, l’eau, le flint-glass, le spath fluor, le quartz et le spath calcaire.

Quant à l’origine de la formule précédente, qui ne renferme, d’ailleurs, que les premiers termes du développement d’une for-

mule théorique, voir, à ce sujet, le Traité d’Optique de M. Ketteler.

_

CH. RIYIERE.

E. KETTELER. - Ueber die Dispersion des Steinsalzes (Sur la dispersion du

sel gemme); Wied. Ann., t. XXXI, p. 323; 188,.

Les expériences de Langley, relatives à la dispersion du sel

gemme pour le spectre visible et pour le spectre invisible jusqu’à

la longueur d’onde 5,u,, 3o i, ont servi à l’auteur pour calculer les

constantes de la formule de dispersion proposée par lui

On trouve

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La concordance entre le calcul et l’observation est très satisfai- sante, les écarts restant de l’ordre de grandeur des erreurs d’obser-

va tion. J. MACÉ DE LÉPINAY.

A. WINKELMANN. 2014 Notiz zur anomalen Dispersion glühender Metalldämpfe (Note sur la dispersion anomale des vapeurs métalliques incandescentes);

Wied. Ann., t. XXXII, p. 439; I887.

Dans l’expérience de Kundt (1), M. Winkelmann remplace le

bec de Bunsen par un chalumeau dont le tube est un prisme tri- angulaire d’environ 25cm de longueur et de 3cm,5 de côté ; le cou-

rant d’air arrive dans l’axe du tube et le gaz est amené par une tubulure latérale. A la partie supérieure du tube, une toile métal-

lique double, maintenue par un rebord, empêche le retour de la

flamme dans le tube et supporte une petite capsule triangulaire en

fer dans laquelle on place le morceau de sodium. La flamme pré-

sente une forme nettement prismatique : aussi l’expérience de Kundt

réussit-elle facilement.

Avec le potassium placé dans le même brûleur, on observe des

traces de dispersion au voisinage de la raie rouge extrême, mais moins nettement qu’avec le sodium ; le lithium et le thallium em- ployés sous forme de chlorures n’ont donné aucun résultat.

C. DAGUENET.

G. MEYER. 2014 Notiz ueber die Refractionsvermögen des Eises (Note sur les

indices de réfraction de la glace); Wied. Ann., t. XXXI, p. 32I; I887.

Ces expériences ont été faites durant l’hiver au moyen du ré- feacton1ètre à réflexion totale de Iiohlrausch. On faisait congeler à

l’air une goutte d’eau, placée sur un liège noirci, et recouverte

d’une lamelle de microscope. Les résultats furent les suivants

( 1 ) Journal de Pysique, Ire série, t. X, p. 130.

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le second un électromètre, l’une des électrodes du voltamètre et une lame de zinc plongeant dans une dissolution saturée de sul- fate de zinc* On peut mesurer