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LADISLAS NATANSON. — Sur la fonction dissipative d'un fluide visqueux. Bulletin de l'Ac. des Sc. de Cracovie; Cl. des Sc. Math. et Nat., p. 488-512; 1902

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00240820

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00240820

Submitted on 1 Jan 1903

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LADISLAS NATANSON. - Sur la fonction dissipative d’un fluide visqueux. Bulletin de l’Ac. des Sc. de Cracovie; Cl. des Sc. Math. et Nat., p. 488-512; 1902

E. Néculcéa

To cite this version:

E. Néculcéa. LADISLAS NATANSON. - Sur la fonction dissipative d’un fluide visqueux. Bulletin de

l’Ac. des Sc. de Cracovie; Cl. des Sc. Math. et Nat., p. 488-512; 1902. J. Phys. Theor. Appl., 1903,

2 (1), pp.702-704. �10.1051/jphystap:019030020070201�. �jpa-00240820�

(2)

702

m et v vérifient l’équation :

c est une valeur particulière de x, p est la densité et n le coefficient de viscosité du liquide.

Cette équation (4) est l’équation fondamentale de MM. Meyer et

Schmidt. En posant en première approximation

on ramène l’équation (4) à la forme :

où 1 est le décrément logarithmique de l’amplitude d’oscillation et

t~ la période d’oscillation du disque dans le liquide.

Cette formule (5) est une généralisation de la formule suivante

donnée par Schmidt :

,

L’équation (5), comparée à cette équation (6), pourrait donc expliquer

la différence que l’on constate entre les valeurs du coefficient de vis- cosité obtenues par la méthode du disque oscillant et par la méthode de l’écoulement dans un tube capillaire.

M. Schmidt a exécuté des expériences très soignées ; mais,’ malheu-

reusement, la méthode découlant de l’équation (5) ne donne rien de

précis quant à la valeur de la constante fondamentale T, qui se pré-

sente sous la forme d’un rapport de quantité de l’ordre des erre urs

inévitables de l’expérience.

~ _

E. NÉCULCÉA.

LADISLAS NATANSON. 2014 Sur la fonction dissipative d’un fluide visqueux.

Bulletin de l’Ac. des Sc. de Cracovie; Cl. des Sc. Math. et Nat., p. 488-512; 1902.

Considérons un fluide et soit p sa densité; désignons, en outre,

par u, v, w les composantes de la vitesse; par Pxx, PUY’ pzz, Puz, pzx, les composantes de la pression; par p la pression moyenne en un

point y, z) à l’instant t. Lord Rayleigh donne le nom de fonction

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019030020070201

(3)

703

dissipative à l’expression qui suit (où é, f, c~, ont pour expres-

Mais la notion de la fonction dissipative a été introduite pour la pre- mière fois par sir W. Stokes, en 1850, qui la donne sous la forme :

qui s’obtient en faisant dans l’expression précédente :

ce et désignant deux constantes.

.

L’auteur se propose de généraliser la théorie de la viscosité de

»

Poisson et Stokes en adoptant l’hypothèse de la relaxation (émise par

Poisson). Il arrive ainsi à la formule suivante de la fonction dissipative

d’un fluide visqueux :

où T est la durée du temps caractéristique de etc., les valeurs de p, Pxx, etc. , à l’instant t ._. o :

Cette valeur de Z se réduit d’ailleurs, pour 1 - o, à la première

formule de , donnée ci-dessus.

Si, maintenant, l’on désigne par y et ~ les valeurs de la fonction

dissipative d’un fluide visqueux d’après la théorie de l’auteur et

d’après celle de Poisson et Stokes, et si l’on suppose que les défor- mations que l’on impose aux fluides sont lentes, on a :

en supposant que les forces extérieures n’agissent pas.

(4)

704

En exprimant le principe de la conservation de l’énergie, on

est conduit à écrire :

qui exprime le théoréme que l’auteur se proposait d’établir et (Px, Py, Pz) sont les composantes de la pression extérieure appli- quée à l’élément de surface dS de l’élément de volume dQ occupé

,

par le fluide, et (l, m, n) les cosinus directs de la normale à dS (tirée

vers l’intérieur de 0) avec les axes des coordonnées.

°

E. NÉCULCÉA.

S. NAKAMURA. 2014 On the Temperature of Inversion in Joule-Thomson Expe-

riment (Sur la température d’inversion dans l’expérience de Joule Thomson). 2014 Tokyo, Sugaku-Buturigakkwai Ilokoku, 12 ; juillet 1902.

Les expériences de Joule et Thomson sur le refroidissement des gaz par détente à travers une cloison poreuse satisfont, pour l’air et

l’hydrogène, à la formule empirique donnée par Rosé-Innés :

oc et ~ étant deux constantes et T la température absolue.

Au contraire, celles qui sont relatives à ont été représentées

par Love à l’aide d’un autre type de formule :

L’auteur compare ces deux formes de la loi du refroidissement et les valeurs des températures d’inversion à celles qu’on déduit des dif- férentes formes proposées pour l’équation caractéristique des gaz [Van der Waals, Clausius, Reinganum (1)].

Ces trois formules donnent respectivement, en faisant les approxi-

(1) Cette dernière équation est (Beibl., t. XXIV, p. 66 900 J :

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