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Le gel tenace, le froid vif, la neige persistante n'ont eu d'autres effets — du moins dans notre canton — que de retarder le déve¬ loppement de la nature

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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Editorial page 3

Armaillis de la Gruyère page 5

Fêtes des musiques Sarine - Gruyère - Glâne

pages 7-10 Billet patois, page 8

Les Céciliennes Lessoc - Treyvaux - Murist

pages 11-13 Le basket à Fribourg

page Fête de lutte

page 15 Le cheval à l'honneur

pages 16-17 et 20 Inaugurations pages 18-19 et 21-27 La Collégiale d'Estavayer-le-Lac

pages 28-29 Les disparus pages 30-33

Tirage contrôlé: 10506 exemplaires

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La campagne

gardienne

de nos trésors

Extraordinaire métamorphose que celle qui s'opère dans la nature en ce mois. Et quelles ressources inépuisables dispose la terre quand elle répare les frasques de l'hiver. Le gel tenace, le froid vif, la neige persistante n'ont eu d'autres effets — du moins dans notre canton — que de retarder le déve¬

loppement de la nature. La pluie, le vent chaud, le soleil toujours présent lorsque les beaux jours l'appellent, ont fait l'essentiel: nous apporter le printemps. 11 est là. Et l'homme, quelles que soient sa natnre, sa profession, ses préoccupations, ne reste jamais insensible au charme des saisons. Qu'il soit vêtu de vert tendre, du blanc des cerisiers, du rose des pommiers ou du violet des lilas, le printemps éveille toujours en nos coeurs des sentiments que nulle autre période ne parvient à susciter. On éprouve un besoin de calme, de paix, de grand air. Pour un peu, on voudrait vivre seul, en pleine nature...

Photo Holand Dougoud, Fribourg Et pourtant, on quitte la campagne

Comment expliquer, face à ses sentiments que ceux-là meme qui participent tous les jours à la découverte de la nature, qui vivent à l'air et sous le soleil, comment expliquer qu'ils quittent la terre pour n'y plus revenir?

Oui, comment motiver ce lent mais continu exode de la campagne vers la ville? La dé¬

sertion des campagnes, il est vrai qu'on en parle depuis longtemps et qu'on tente de la résorber. Sans y parvenir réellement ! Elle paraissait freinée. L'industrialisation du can¬

ton, rapide et évidente pour celui qui se sou¬

vient des dix dernières années, contribue à garder les Kribonrgeois chez eux, mais ne les retient guère à la terre. Il est possible, mais nullement certain, qu'une décentralisation de l'industrie, jusque dans les vallées de la mon¬

tagne, constituerait un remède. Nul ne sau¬

rait toutefois l'affirmer. Une petite usine dans chaque village garderait-elle nos garçons et nos filles à la terre ?

Des causes parmi tant d'autres

Les causes de cette désertion sont multi¬

ples. On a, par exemple, dit et répété, écrit et souligné, que les grandes exploitations agricoles étaient seules rentables; que la ra¬

tionalisation ne pouvait pas s'envisager pour les petits domaines; que les machines ne se justifiaient qu'au delà d'un certain nombre de poses. Faut-il penser alors qu'il avait rai¬

son, ce jeune paysan qui déclarait au cours d'une réunion publique du printemps: «Si mon père avait exploité 35 poses, j'aurais repris le domaine. Mais, que faire avec 18 poses? »

Les conditions de travail, bien qu'amé¬

liorées, restent pourtant soumises à des con¬

tingences inéluctables. Même si on a inventé la machine à traire, le paysan doit se trouver dans son étable pour la mettre en marche, la placer et l'enlever. Il ne peut pas non plus imposer au bétail un réveil-matin et lui ap¬

prendre à ne manger qu'une partie de la nourriture déposée la veille dans les crèches.

11 faut doser, mesurer, empêcher... Les ré¬

coltes se moquent des calendriers et du congé du samedi, des horaires réduits et des jours fériés !

Les beaux côtés aussi

N'allons cependant pas croire que le revers de la médaille l'emporte sur l'autre côté. Et que tous les jeunes partagent les opinions que nous venons de rapporter. Il en est de très nombreux qui savent apprécier la vie à la ferme, l'existence à la campagne. Ils com¬

prennent qu'elle leur réserve des joies, des jours lumineux, des moments de repos. La vie au grand air, la liberté, la satisfaction de posséder une parcelle du pays, du bétail, des arbres et des biens créent chez eux un sen¬

timent de légitime fierté.

La campagne permet aussi de mieux main¬

tenir les traditions, le sens de l'hospitalité, l'amitié, l'attachement aux vraies valeurs.

Des jeunes l'ont compris. Par une formation professionnelle appropriée, ils mettent au ser¬

vice de la terre leur intelligence et les res¬

sources merveilleuses de la science moderne.

Celui qui aime sa terre, la travaille mieux et celui qui sait œuvrer en tire des ressources accrues.

Le vrai sage

Interviewé récemment par la radio, un habitant de Crésuz déclarait qu'il avait porté toute sa vie le « brcdzon » et qu'il voulait en être revêtu dans son cercueil, tant ce costume représentait pour lui le symbole de la vie saine et sobre de la campagne.

N'est-ce point là, la vraie philosophie: se convaincre soi-même que le bonheur existe où on sait le créer et persuader les autres qu'ils ne le trouveront pas en émigrant? Ce robuste Gruérien nous rappelle aussi — et c'est notre conclusion — que la vie sur la terre ne constitue qu'une étape. Il y a des richesses plus précieuses (pie l'aisance, la facilité et le confort. Il faut savoir les dis¬

cerner puis les garder. La campagne aide puis¬

samment à conserver ces valeurs morales, ces richesses impérissables.

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Les Armaillis de la Gruyère devant le Yiemr Chalel à Crésuz.

Une grande journée pour les armaillis gruériens L'hiver fut long. Pourtant, un beau ma¬

lin, les prés se sont mis à verdir. L'herbe bientôt fut drue et le bétail put enfin être mis en liberté. Sur les sommets pourtant, la neige tenace fut longue à s'en aller.

Mais l'armailli sait que bientôt sonnera l'heure de la l'oya. lit en lui s'éveille l'appel du chalet. Mais avant de partir, il sent le besoin de se retrouver avec ses camarades et. de renouer les liens d'une robuste et virile amitié. C'est pourquoi, en ce dimanche de Quasimodo, les deux so¬

ciétés sœurs, celle des armaillis de la Gru¬

yère et celle de rintyamon, vécurent une belle journée.

La grande salle toute neuve du « Vieux Chalet » à Crésuz eut de la peine accueil- lirjles armaillis de la Gruyère accourus de

tous les coins du pays pour leur assemblée annuelle, chacun ayant revêtu le bredzon des grands jours. Il y eut bien sûr les déli¬

bérations habituelles sous la présidence de AL Albin Tercier, des allocutions enthou¬

siastes prononcées par MM. Robert Me- noud, préfet, Laurent Kuffieux, conseiller communal ft Crésuz, Auguste Glasson, pré¬

sident de riiconomie alpestre, Henri Gre- maud, président de l'Association des cos¬

tumes et coutumes et enfin l'abbé Alphonse Menoud, aumônier de cette belle et grande famille des armaillis. Il y eut aussi la re¬

mise des récompenses à dix-neuf garçons de chalet qui furent chaleureusement féli¬

cités par leur « parrain », M. lid. Masset de Vaulruz. Il y eut de la musique, grâce i\ la fanfare de Vuadens, des chants en¬

tonnés par MM. lirnest Kuhn et Jean

Iïsseiva et enfin cette magnifique photo que Fribourg-Iilustré se fait un plaisir d'offrir à ses lecteurs. Toute la société rassemblée devant le rustique hôtel du Vieux Chalet, à côté de l'ancien train du chalet de Mortheys-Dessus revêtu do sa couverture rouge. Devant le décor majes¬

tueux des Préalpes fribourgeoises, cet imposant rassemblement d'armaillis affir¬

mait la présence d'une Gruyère qui entend demeurer fidèle à son passé.

Parallèlement, les armaillis de la Haute- Gruyère se réunissaient à Albeuve, non pour tenir leur assemblée annuelle qui se déroula cet hiver à Chiiteau-d'Oex et dont notre journal a donné un reflet dans l'un de ces derniers numéros, mais pour ex¬

primer également sa reconnaissance à treize garçons de chalet.

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Che fa to pari bî oûre!

Tchin bî mi dè nié ke no j'arin lo pari jou chti an ! Ke- inin ti lé-j'ôtre j'an, l'a keminhyî j>è lè-j'infan. Clion jou tsantâ le mi dè nié pê lè méjon, a vu on panèrè, é on gran l'ô ri. Vu pâ dre ke tsantischan ti è totè kemin le ténor Jau- quier, ma lou tsanlhon chênon tan dè dzoftyo pè lé cliindê ! E pu li avi lé mêrlo po I011 répondre. Che cliin l'é to pari bî ! Le dévélené don premi dé iné, à ré, on vèyi kore du na méjon ft l'fttra ili kobyé dè dzoùno. L'ou-j'an bayî di-j'â po l'ère na lorda pîlâ, de rîerdzin por atsetâ kotchyè litre dè vin à hère avu lou miyè è lou miyètè. Adî rè dou dzoftyo.

Ma l'ô pâ le to: à Erbîvouè, la chochiyètâ dè tsan cli'in- koLsè à fîtliâ chè chaptant'è think'an djyora, avu na bala mècha de Tsenô; li a jou, à Trîvô, la fitha di mujikè de la Charna, avu to pyin dè bî mochî dè totè chouârtè. Lè kroùyè linvouè mankèron ehur pâ dè dre — on lè konyè, ma hou dè Trîvô ch'in foton bin — ke Trîvô l'a tot'êvi je jou di bon mujikâre: on lè-j'intin yin è lârdzo. Krèyo prâ !

E pu, clié pâ che n'a pâ jou onkora di-j'ôtrè fithè dè mujika clié è lé din le tchyinton, clitou dèri tin. Li a jou din ti lè ka ha di tsantre dè moliyî à Moure (Murist) . Irè fermo bî, vo djyo.

K duché à pou dè tin, le djîje nâ dè chti mi dè nié, 110- j'arin, à Bulo, la fîtha dè tsan dè to le tchyinton. Li farè bî oûre è bî vêre. Clion in Irin dè kouère lè pit i po din lè fîrô, po ke to chi d'èchtra bî. On chè rèdzoyè. L'an betâ chu pî, po la chirkonchtanthe, on tèâtre dou tonère, kemin djyon ou dzoua d'ora. Henri Gremô, J. Baeriswyl, è l'abé Kœlin chè clion betâ lè trè po férc le djyâby'in kat.ro. l'are ke l'è ôtchyè dè tari bî ! M'èthenè rin. Kan notliè Fribordzè li chè beton, è ke tîron pè la mîma kouârda, l'è dinche ke va.

Kan 011 nioujè ke liiilo, — ke n'è portail pâ tan grù — l'a betâ chu pî thin thin dzin po tsanta, yîthâ, danliyî, mujikft, 011 chè di ke lo pare, li a adi di dzin —- è prâ — por amâ chin ke l'é bî ! Kèchpè por là. No châbrè tciiyè à lou kouâ- dre ilè bin rèuchi, è i dzin, le pyéji d'alâ lè-j'akutâ. On chè dèrandzè, è 11'in vô la pèna, por alâ ■— mîmamin on bon tro yin clie fô, akutâ è vêre ôtchyè dè bî: chuto kan chè bayé din notlia kotse à 110. Ou-byadè pâ ke Kurboua l'è kemin hou pitit.è boutekè de velâdzo: l'a pro ft in vitrine, ma prâ in magajin. Alâdè pi vouiti, vo in'iii rè deri on mo ! Chin l'è kemin la fitha di Kothomè, dou paie, di bredzon è di dzakiyon ke li a ré à Hulo le 2(> dè nié: cliin l'è di fit lie ke vo rijon ou kâ, è ke vo rèbayon le korâdzo dè vivre è de tsantâ: mîmamin dè yit.hâ dè dzoftyo: nothon payi l'è tan bi ! Le bon Djyu no-j'a vouéthâ, i l'é. Franthè dou l'èni.

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Comme celui île Treyvaux, le cortège qui marqua l'un des sommets de la Fête régionale des musiques gruyériennes fit défiler de nombreux chars illustrant les divers aspects de la vie du I'âquier. Ci-dessus: Le char du printemps tout de mu¬

guets et de verdure.

On évalua a quelque W 000 personnes la foule accourue à Le l'àquier pour assister à ce splendide cortège. Ci-dessus le char île l'été d'où jaillissent les épis ilorès.

Ci-dessus : le char de l'automne chargé de ses récoltes et de ses fruits. Ci-<iessous : l'hiver joliment évoqué par le Ski-Club local, avec son gros bonhomme de neige planté itérant la cabane et le sourire malicieux de lotit jeunes skieurs.

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On dit qu'il esl parfois têtu. Itrave bêle loul de même.

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Sur le char du lajili/è, une charmante caresse du cabri au petit armailli.

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I.a vaillante fanfare d lislauannens qui, comme celles de Hellebarde, Ilm:.

Channel], Ermen, Ucharlens el I.a Hoche, porte fièrement le bredzori.

Connue à Treyvaux, un ciel resplendissant, vint récompenser l'effort de la population (lu Pâquier qui prépara avec ardeur ce XVe rassemblement des musiques de la Gruyère. La fête débuta le samedi soir déjà par un coneerl de haute qualité donné par la société organisatrice et les chanteurs du villa¬

ge, ainsi que par deux sociétés invitées, la société philharmonique de Cliar- quemont (France) et la Landwehr de Fribourg. Le dimanche matin, Le Pâquier avait revêtu son visage de fête, souriant par toutes ses fenêtres ornées avec profusion et bon goût, par toutes ses bannières et par toutes ses fontaines magnifiquement, décorées, ('.'est, au milieu de ce cadre tout émaillé de fleurs que l'office religieux provoqua le premier rassemblement des quelques 700 musiciens. Aussitôt après, les concerts débutèrent à l'é¬

glise où MM. Oscar Morel, et Paul Mossu composaient le jury. Après le dîner servi à la cantine, celle-ci ayant été aménagée dans le vaste entrepôt de l'entreprise Jean Pasquier, les 18 corps de musique s'apprêtèrent à prendre place dans le cortège, alors (pie d'innombrables spectateurs - non loin de 10 000 — venaient grossir la foule du matin et se pressaient dans les rues du village. Bientôt, dans la campagne, résonnèrent les marches rythmées des 18 fanfares dont les échos se mêlaient à ceux des troupeaux dans les prés.

Enfin, la cérémonie de clôture rassembla toute la foule au centre du village où, le matin, la messe avait été célébrée. L'exécution des more,eaux d'en¬

semble encadra l'acte de remise des médailles aux vétérans, parmi lesquels M. Paul Tinguely de Vaulruz qui recevait sa médaille fédérale pour ses 3r>

années d'activité musicale.

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Le roi du village, à la marche lente el solennelle. Un groupe des nouveaux vétérans fédéraux et cantonaux proclamés depuis le débul de cette année. Photos P. Charrière, Huile

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I'our accueillir b'rihoury- Illustre, on A ORSON NENS -< délégua parait-il les deux plus heau.r

musiciens du nillar/e !

La XVe Fête des musiques glànoises

Calitlon, la sorcière ou la fontaine ensor¬

celée.

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Ou'il fait hon chez mus niaitre l'ierre.

M. Maurice Het/naud, directeur de la fanfare d'Orsonnens et directeur de fête.

précéda l'exécution des morceaux d'ensemble: l.e l.iauha du chanoine liovel el « Strudy Men » de Teil Mesansr. Knfiu, la fêle se poursuivit à la cantine où les deux fanfares de Homont et celle de Yuisternens se produisirent tour à tour. Il y eut, évidemment quelques discours, dont les encouragements de l'expert M.

Paul C.henaux qui se plut à souligner les progrès accomplis tout en émet¬

tant quelques recommandations, ('.'est dans la joie que s'est déroulée cette XVe l'été des musiques (da¬

noises, qui, comme celles de Trey vaux et du Pàquier. laissera un souvenir lumineux et ensoleillé, tant chez les musiciens que les nombreux spec¬

tateurs qui quittèrent Orsonnens, heureux de la belle journée qui leur fut offerte.

.1 droite: l.cs cadets de Homont iton¬

nant aubade sur la place du rillatje.

.1 ijauche, le cadet des cadels sous l'œil prolecteur de MM. Cornu et Sottas. président et directeur de la fanfare de Homont el de celle des

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Hredzon de Lit doux et charmantes demoiselles d* honnenr.

l'hotos I{. huuyoud, Fribourtj el P. (Ibarrière, Huile

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Sur la pittoresque plaee du village de Lessoc, les cériliemies île la llaule-Crugère se sont rassemblées pour une brève aubade.

La Céciliennc de .Xeirivue. dirigée par M. ./. f.uisino. pendant son morceau ile concours à l'éi/lise.

I.o pot it. village do I.essor s'était paré en abondance pour recevoir les ('.ocilionnos du Décanal do la I laule-Gruyère à leur XI1' lole. La messe débuta par un office solennel au cours duquel un sermon de oireonsiance fut prononcé par Mfjr Paul von dor Weid, Prévôt de, la cathédrale. Dans la nef, les chanteurs el chanteuses des neuf sociétés du déc.anat faisaient masse pour interpréter la messe en la de l'abbé Pierre Ka'lin sous la direction de M. Kmile Laltiou. Puis ce fut l'exécution des morceaux de concours, les deux experts du jour étant l'abbé Ka'lin et M. Oscar Morel. Les organisa¬

teurs avaient, prévu une aubade sur la place du village, autour de la célébré fontaine octogonale; louable initiative qui permit à la population entière, durant quelques instants, d'être associée à la fêle. Knfin, à l'issue du banquet servi à la cantine les sociétés eurent à se. produire à nouveau dans dos chants profanes et l'on rendit également hommage aux vétérans.

l.e cortège conduisant les invités à la cantine. En tête, les chanteurs el chanteuses

de Lessoc. Le groupe des enfants chargés d'annoncer les seclions.

Ci-dessous : Mgr l'aul von der Weid remetlanl l'insigne de vétéran à un chanteur de Lessoc. .1 droite : tous les vétérans el, au premier plan, les titu¬

laires de la médaille « Bene Merenli » <pii participèrent à cette fêle.

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Encore une fête à Treyvaux Kn ce dimanche 21 avril, Treyvaux organisait la XXIIIe

fête des céciliennes du Décanat de Saint-.Maire groupant les céciliennes d'Arconciel, lîomiefontaine, Kpendes, Marly, Pra- roman, et bien sûr, de Treyvaux. La semaine suivante, ce village accueillait, les fanfares de Sarine-Campagne dont nous donnons un reflet dans les pages qui précèdent. Knfin, le dimanche 5 mai, Treyvaux connaissait encore les joies de la Confirmation, (lageons qu'il s'écoulera bien des mois avant que ce grand village connaisse à nouveau un calendrier aussi chargé dans un si court laps de temps. A l'office solennel du matin, les céciliens purent être fiers de chanter sous la baguette de leur excellent directeur, Mgr Paul von der Weiil, prévôt de Saint-Nicolas. Ils exécutèrent avec ferveur la messe « Notre-Dame de Lévi » de Hernard Chenaux. Pour la première fois dans le décanat, le propre du jour fut chanté par toutes les chorales, ce qui fut un réel succès. II appartint à M. le doyen Monnard, président cen¬

tral. de rendre hommage aux anciens et, de proclamer les nou¬

veaux membres vétérans. L'office terminé, les concours se dé¬

roulèrent <i l'église paroissiale. L'après-midi, à l'issue du banquet, les sociétés se produisirent à nouveau dans leur morceau de concours profane, créant d'heureuses transitions entre les dis¬

cours.

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l la tribune, MM. <). Morel et C.

Monnard fonctionnant comme experts. Tous les chanteurs massés dans la ne/ et interprétant la messe « Xoire-Dame île I.évi » de Uernard Chenaux.

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l.es nouveaux rétérans : Entourant M. liat/mond Quartenoud de Treyraux en costume d'armailli : MM. Arthur Douane, Henri W'olhauser et Hapliael W'olhauser d'Arconeiel. Caslon Clément, liaymond Hollas el Jean Cross de Ependes, Charles Torche et Alfred llelhliny de Marly et François Monnet/ <le l'rarornan.

fous les titulaires de la médaille papale lieue Merenli » qui participèrent à cette A" .Y IIIe fête des Céciliennes du Décanat de Saint-Claire et qui furent félicités comme il se le devait par M. le doyen Henri Monnard île Marly-le-

<irand.

Photos P. Charrière. Huile

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Fête de (Miennes à Mnrlsl.

Dans la Hroye. c'est le coquet village de Murist qui. en ce même di¬

manche que Treyvaux, s'était fait pimpant dans sa verdure printanière pour accueillir les Céciliennes du Décanat de Saint-Odilon. soit les quelque ^">(1 chanteurs et chanteuses tie Surpierre. Yuissens. Kéligny, C.ugy. Aumont et Nuvilly ainsi que la Chorale des instituteurs de la ISroye. C'est par l'office religieux également que la journée débuta, chœurs d'hommes et chœurs- mixtes interprétant alternativement les deux messes «Doua nobis pacem»

de Charly Martin et « Notre-Dame de Lévi » de Bernard Chenaux.

A l'évangile, le doyen de Surpierre, .M. l'abbé Crausaz. remit à plus de vingt vétérans la médaille pour •-!."> ans d'activité ou plus. Parmi eux. M.

Charles Jauqier. en activité depuis \!(i ans dans les rangs de la Cécilienne de Surpierre !

La paroisse de Murist et ses i/ttulre communes. De (jauche à droite: MM. Isidore l.oseij. sijnilic île Montliorijet : Marcel Bise, syndic de Murist : Ceori/es I orlet. président de paroisse : Jean Cantin. sijndic de l'rane.v. M. (leonjes Micliaud, si/nitic de la Vounaise. était absent.

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Les clubs de

de Fribourg l.:i ville de Kribourg compte quatre clubs de basketball, ayant, c hacun plusieurs équipes qui disputent les compétitions organisées sur les plans suisse (ligue nationale A et H, championnat juniors, coupe suisse) et cantonal (championnat, de lre ligue, championnat juniors, coupe fribourgeoise). Tous ces clubs témoignent, d'une belle vitalité et leurs résultats en compétition ont porté le nom de Fri¬

bourg bien au-delà des limites du canton.

Freihurgia HUC. Autre club de ligue nationale H, dont les performances ont. été remarquables au cours tie la saison puis¬

qu'on finale du championnat suisse elle a réussi l'exploit de battre ses trois adversaires, soit Vevey, Viganello, Cossonay, conquérant ainsi le litre de champion suisse de ligue nationale H et obtenant son ascension en ligue nationale A.

Debout <I? gauche à droite : Spijclwr 12, -Friedig 10, Rerlsché 14, l'ierret 13, Dupont 11 : à genou de gauche à tlroile : M. Mackerel S, ('. Marherel I. l'icctind 7.

Ancienne BBC. Sa lre équipe joue en ligue nationale B et a disputé dernièrement la finale de qualification de la zone Berne- Neucliûtel-Fribourg.

Debout de gauche à droite : Binz 7, Zoran 12, Boffi 11, Renevey 4, Favre 14; à genou de gauche à droite: Renz 8, Bardij 6, Jordan 5, Stritt 3.

/■'ribourg-OIgmpic HBC. Le club fribourgeois le plus important, seul à jouer en ligue nationale A, où il a conquis la "><•" place au classement général de celte année. Possède en Tutundjian l'un des meilleurs marqueurs de Suisse. 1, année dernière, son équipe de juniors a brillamment remporté le championnat suisse.

Debout de (jauche à droite: Rouiller M. ö (cti/>.). Tutundjian 11. 11 (enlr.), Berlhicr M. 15. Hublard .1. S, I.au/ter 1). 12. à genou de gauche à droite: Uremaud l'h. 13, Xgdegger Ii. 14. Sparenber- ger (soigneur). Schmid M. .9. Chassai H. 4.

Rapid HBC. I,e benjamin du lot. promu en l'.HW en ligue na¬

tionale lî, où ses résultats ont prouvé que la valeur n'est pas l'apanage des clubs les plus anciens.

Debout de gauche à droite: liérard. Anliglio. Aebij, Deschenauv.

à genou de gauche à droite: Tliéraulaz, Hovel. Sanieret. Maillard.

Jordan. l'Iiolos Henri Spgcher. l-'ri bourg

Tournoi international Fribourg-Olgmpic organisa le mois dernier un grand tournoi inter¬

national de basketball qui revêtit un intérêt d'autant plus grand que le niveau technique de toutes les rencontres fut excellent.

A gauche: Une phase du match Fribourg-Olgmpic-Marseille : Xo 12 (FO) Lauper Daniel : Xo 7 (M) Claude Falguière (2 x int.) ; Xo S (FO) .1. Sudan, derrière lui, l'h. <iremaud (FO).

A droite: L'n deuxième instantané du match Fribourg-Olijmpic-Mar- seille, victoire de Fribourg-Olympic :

De gauche à droite: Tutudjean Hagop (FO) Xo 11 : Hublard .\rlhur (FO) : le Merseillais Claude Falguière et, tout à droite, Jean-Claude Vial (FO).

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15

Le jury bien ù son affaire.

Coup d'œil sur le public: Au premier plan, le lanceur de drapeau et, derrière lui, MM. Koberl el Maurice Col- liard de Chàtel-SI-l >enisel le président des lutteurs romand.

Le comité des pris : M. Alphonse dander, syndic de Chénens.

entouré de MM. Paul Schneider, représentant à Autiyny. el Louis Fehler, secrétaire du club oryanisateur.

Les lutteurs lïiliouraeois à Cliéiiens En ce même premier dimanche de niai où les musiciens île la (iruyère se réunissaient au Pàquier et ceux de la (ilàne à Orsonnens. les lutteurs de tout le canton de Fribourg se rassemblaient à C.liénens à l'occasion de leur 39e fête cantonale. Plus de cent, lutteurs l'ribourgeois s'étaient inscrits à ces joutes, les cantons de Yaud, Neuehàtel et Valais étant représentés cha-

•' '\v . „ L'une des innombrables passes.

cun par deux lutteurs. Les luttes débutèrent le malin à 8 h. 30 déjà el furent interrompues vers 1 I li. pour la réception de la bannière et la messe célébrée en plein air sur la place de fête. Après le dîner, un plus nombreux public qui ne cessera d'affluer durant toute l'après-midi assista la reprise des luttes, puis au Championnat proprement dit qui vil le triomphe de Félix Neuhaus de Fribourg devant Joseph Buchmann de la I laule-Sarine, Auguste Genoud de Châtel-St-Oenis, llans lîeyeler de Moral, Kniest Holer de Cliiè- tres, Albert Michel de Fribourg, Jean-I'ierre Piller de Tavel, Eugène Hoggli d'Est avayer-le-Lac, Johann Lehmann de Tavel, Louis l.ininiat de Moral, Ernest Favre de Cottens, Ernest Tâche île Châlel-St-Denis, Albert lîarl'uss de Neuchâlel (invité), etc.

I.e chœur-mixte de Chénens.

Le comité d'organisation présidé par M. Alphonse Chappuis, député à Lentigny et, (Jiarles Missv président du Club de Cottens, et tous les autres comités ont droit aux félicitations de tous les lutteurs pour la parfaite orga¬

nisation de cette journée. Celle-ci fut encore agrémentée, par les productions d'un lanceur de drapeau, île deux fanfares, du chumr-mixte de Chénens et du groupe folklorique « Le Dzaquillon ».

Le magnifique pavillon îles prix.

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16

Prix de. riJIiS ile Fribourg: Drag, h'ril: Aeherharil d'tlmiz. vainqueur et upp. Henri Hggerlswi/ler de St-Sylves- Ire,, deuxième.

F. W. I Inns Kramer, Hied.

Le Marché-Concours intercantonal de porcs d'élevage et le Marché-Concours can¬

tonal de chevaux qui se sont tenus simul¬

tanément à Fribourg le mois dernier rem¬

portèrent un succès complet. On craignait pourtant que le déplacement de ces con¬

cours depuis les Grands-Places, centre de la capitale, jusqu'à l'extrémité de la ville, au quartier du Jura, ait une influence dé¬

favorable sur le nombre des participants et des visiteurs. Le contraire se produisit.

La grande halle eut peine à contenir les nombreux visiteurs, particulièrement pen¬

dant la journée de dimanche.

Le Marché-Concours de porcs d'élevage se déroula sur la même base que son pré¬

décesseur <{iii eut lieu au mois de mai I960.

Les deux concours de 1901 et 19ti2 avaient en effet dil être renvoyés à l'ultime mo¬

ment. Cette année, 91 verrats étaient exposés, les plus nombreux figurant dans la catégorie des sujets de 5 â 8 mois. 179 truies étaient exposées, dont un grand nombre de truies suitées. Le public eut des regards admirai ifs pour les gorets se prélassant, sous les lampes chauffantes ou tétant goulûment leur mère. Mentionnons encore l'attrait, (pie constitua le verrat

« Hadar » de 500 kg., âgé de t> ans, le roi du concours, appartenant à M. Marius Perler, de Senèdes. Il sera sans doute sujet d'admiration à l'Exposition natio¬

nale de Lausanne l'an prochain.

Le Marché-Concours cantonal de che¬

vaux est organisé une fois tous les 5 ans dans notre canton. Celui de cette année, au quartier du Jura, présentait toute une série de chevaux, tous plus beaux les uns que les autres. Eloquente preuve de la science et, de la patience des éleveurs ! Chacun put se rendre compte que la ju- menterie fribourgeoise mérite de flatteu¬

ses appréciations. Ces sujets d'élite seront un attrait nouveau à l'Exposition natio¬

nale de Lausanne.

Malgré la mécanisation et la motori¬

sation toujours plus poussées, celte exposi- t ion a prouvé une fois de plus (pie l'élevage chevalin reste à l'honneur dans nos régions.

Les éleveurs ne reculent, devant, aucun sacrifice ni aucune peine pour améliorer la race. Le jury était présidé par M. Louis Kepond, expert cantonal.

Afin de rendre ces deux concours can¬

tonaux plus attrayants et d'y intéresser surtout la population citadine! les organi¬

sateurs mirent sur pied un grand concours hippique qui se déroula sur les pelouses du parc de la Poya, près du stade St-Léonard.

Comme les deux autres manifestations, ce concours hippique se déroula sous les aus¬

pices du Département cantonal de l'Agri¬

culture. Il fut organisé en commun par la Société fribourgeoise de cavalerie et la Fédération fribourgeoise du cheval. Ce fut un événement quasi-sensationnel pour Fribourg. Pour la prfinière fois en effet se déroulait en celte ville un concours hip¬

pique qui se termina en nocturne

Une grande

manifestation d'élevage à Fribourg

Le colonel Pierre Musy. un champion de Véquilalion, et le colonel Henri von der W'eid, ancien chef de la re¬

monte fédérale.

Prix de la ville de Fribourg : M. Paul Torche, conseil¬

ler d'Etal, remettant la channe au fourrier Henri Schtirch. Moral, vainqueur.

Le public put assister à quelque 170 parcours d'of¬

ficiers. amazones, sous-officiers et dragons. Les par¬

cours exigeaient des connaissances techniques de la part des cavaliers. Ceux-ci pouvaient, par endroits, lancer leur cheval et prendre les obstacles en pleine course. A d'autres endroits, ils devaient freiner leur monture et aborder les obstacles avec prudence.

Durant la manifestation, une démonstration de trotteurs fut effectuée par l'écurie Dévaud de Yillaz- St-Pierre. Cette manifestation qui prit fin vers minuit ne manqua pas de resserrer les liens d'amitié entre tous les amis du cheval et de redonner à tous de l'enthousiasme pour la noble cause qui les anime.

Prix du colonel Henri von der W'eid. A gauche, le Pit.

Pierre tiivel. Morges. vainqueur, qui s'adjugea égale¬

ment le prix du Conseil d'Etal du canton de Fribourg.

.1 droite. le Pit. ,Jacques Pelot de Chardonne.

Photos Henri Spycher. Fribourg

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7

.1 <jauche, trois ma¬

gnifiques sauts.

Tout en haut, Pierre (iivel de M orges.

Au centre, le capitaine Emile Loosli, de Wilzivil. Cl En bas, .Ulle Iris Müller de Moral, tris décontractée.

* M

!

\

«

Prix de li Hans-Huet

M. Derau

Honorius, le roi du con¬

cours d'étalons, qui sera présenté à l'Exposition nationale de Lausanne.

Le roi du concours de porcs, le verrat « Hndar » de 498 kg. appartenant à M. Marius Perler de Se¬

rielles.

Photos Roland Dougoud.

Fribourg

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18

LEVONS NOS VERRES A LA SANTÉ I)E LA MAISON

7-cli^c

à l'occasion de son 30e anniversaire

Il est toujours agréable de partager les joies de nos amis. Aussi, est-ce avec 1111 véritable plaisir que nous fêtons, cette année, le 30e anniversaire de la maison Félix Klaus S. A. qui, depuis si longtemps, sert avec une consciencieuse et souriante gentillesse, une clientèle fidèle et toujours grandissante.

Klaus

C.e petit camion roulait, il y a trente ans, déjà, sur les routes du canton et dans les rues de Fribourg. C'était l'é¬

poque glorieuse où Félix Klaus faisait ses débuts dans le commerce des eaux gazeuses et, des limonades, y ne d'éta¬

pes parcourues depuis ce temps-là ! Grâce à son savoir-faire et à sa cons¬

cience professionnelle, le fondateur de la maison Klaus, devait donner à son entreprise un essor magnifique, et cela malgré les années de guerre où les diffi¬

cultés furent nombreuses: patron et.

personnel mobilisés, rationnement des matières premières, manque de carburant, etc... (Test d'ailleurs de cette même époque (pie date la collaboration intensive qu'ap¬

porta à son mari Madame Félix Klaus. File sut prendre alors en mains la direction de l'entreprise et en assurer la bonne marche, aidée bientôt par son fils Félix. Les années diaprés-guerre s'annonçaient prometteuses. l*ne grande épreuve allait mal¬

heureusement frapper la famille en l'J-17. Le fondateur de la maison. M. Félix Klaus était subitement enlevé à l'affection des siens. Faisant preuve d'un grand courage, Mme p Klaus reprenait en mains, encore une fois, la direction de l'entreprise.

Après le rachat du département des eaux d'une maison de la place et le développement du secteur vins, apéritifs et spiritueux, la maison Klaus prit une ampleur réjouissante et de grandes marques suisses et étrangères lui confièrent encore leur représentation.

Mais tout ce vaste développement devait posei\de grands problèmes. Les locaux de l'avenue de lîeaure- gard étaient trop exigus. Des entrepôts étaient loués un peu partout en ville de Fribourg, pour stocker les réserves.

Toute celte décentralisation coûtait du temps, de l'argent el le contrôle des marchandises était difficile, ('.'est alors qu'une construction nouvelle fut envisagée el qu'un terrain fut trouvé, en plein centre de la ville, à la Houle-Neuve. La décision fut prise de raser l'ancienne maison de l'hoirie Nussbaumer, et M. Jac¬

ques .heger, architecte, sut trouver, après de multi¬

ples éludes, la solution qui convenait. Des travaux importants furent entrepris et l'on vit surgir, en t'.C>7.

le magnifique immeuble de la Moule-Neuve (1-8. qui abrita, dès lors, tous les services de la maison F. Klaus.

Les installations techniques de la maison F1ÎL1X. KI.Al'S S. A. à Fribourg ont été exécutées par les entreprises spécialisées suivantes:

(îroupe automatique pour la mise en bouteilles. Kl MAG A. G. Zurich, représentant de OHTMANN & HKMBST. Maschinenfabrik.

llaiuliourj).

Machine à laver les bouteilles. ZI NGl" FMI F. l)F ZOl'G S.A.

Chaudière à vapeur. KFMAG Hichterswil, Atelier de chaudronnerie, d'appareils et de mécanique.

Ftudes et livraisons des refroidisseurs. Bureau d'ingénieurs WFNGEH & Cie Zurich.

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Dans les nouveaux locaux, de nombreuses installations ultra- modernes ont été mises en place. Un effort tout spécial à été fait pour une meilleure et une plus grande production des boissons Klaus à base de jus de fruits: ananas, abricot, orange, grape-fruit. Ici, dans des laboratoires parfaitement équipés, les jus de fruits naturels et les sirops sont travaillés avec une méticuleuse propreté. Les parfums qui flottent dans 1 air ambiant nous donnent déjà un avant-goût prometteur des boissons savoureuses qui vont naître en ces lieux.

Seule maison de la place de Kribourg à produire encore des boissons de sa propre marque, Klaus a su maintenir la fabrication des boissons de table au pur jus de fruits, grâce à l'excellence indiscutable de ses produits.

kn visitant la maison, ce qui nous frappe, de prime abord, c'est la clarté, la netteté, ainsi que le savant agencement des s areiK ir a tour, nous passons devant les installations de filtrage et de saturation de l'eau el devant un immense groupe automatique des- ' >»» nettoyage, al embouteillage et al étiquetage. Tout est judicieusement combiné. A une cadence folle, les bouteilles sont lavées

■ emplies, bouchee» et etiquetees. hlles défilent devant nous dans un joyeux cliquetis el vont, au bout de leur course -aniir les caisse«

d'expédition.

Nous ne pouvons (pie redire notre ad¬

miration à la vue de tout cet immense complexe de fabrica¬

tion. Melevons encore une fois l'impression de propreté qui frap¬

pe immédiatement le visiteur. Cette im¬

pression, nous l'é¬

prouvons aussi dans les autres locaux où lout esl aligné et.

classé d'une fai;on modèle. Il esl vrai que 30 ans d'expé¬

rience et de conscien¬

ce professionnelle ont préludé à ce magnifi¬

que résultat.

t.es caves et les entrepôts regorgent de boisson« faites pour tous les goûts: jus de fruits, limonades et eaux minérales de toutes mar¬

ques, vins prestigieux, liqueurs aux reflets ambrés.

Nous nous penchons sur les champagnes, les whiskies et les cognacs avec des yeux pleins d'envie. Nous apprenons avec stupéfaction que près de i>00 boissons différentes sont là, stockées en bon ordre. Cela représente environ :2(m différents apéritifs, liqueurs et spiritueux, 11.vins blancs ou rouges de diverses provenances, plus de 100 mar¬

ques d'eau et de jus de fruits. A votre bonne santé !

Kn bas, prés des quais de chargement, les camions attendent. Ils se croisent dans la vaste rampe passant dans les entrailles de la maison et s'élancent sur la route pour apporter aux quatre coins de l'horizon les boissons destinées à une clientèle impatiente, mais surtout ravie de pouvoir toujours compter sur l'impeccable service de la maison Félix Klaus S. A.

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Concours cantonal

de patrouilles à cheval

I.e passai/e île In Sioni/e à l'uippens

Quatre minutes pour démouler et remonter le nourrtiu fusil

<r<issiiiil.

.1 nii-eourse.

I-a Société fribourgeoise de cavalerie organisa ce printemps en Gruyère son concours cantonal de patrouilles. Malgré le temps défavorable, 23 patrouilles de 1 hommes prirent le départ dés i> h. du malin derrière l'Hôtel de la Croix- Hlanche à Vuadens. I,e parcours comprenait 27 km. et |iassait par Man¬

ies, Homanens, Marsens, Yuippens, pont de Cor- bières, les Verdels à Huile, les Agges el Vua¬

dens. I.es concurrents avaient à affronter bon nombre d'épreuves:

orientation, descente à pic, traversée de la Sion- ge, lancement de gre¬

nades, passage de ri¬

vières, tir sur tuiles et manequins, passage d'obstacles, sans ou¬

blier le démontage et le remontage du nouveau fusil d'assaut, travail à effectuer en 1 minutes.

11 ne s'agissait point d'une course de vitesse, le « meilleur » temps étant celui obtenu en fai¬

sant la moyenne des tempsaccomplis parl'en- semiile des patrouilles.

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Le bar. un endroit où la conversation nuit si facilement

« Le Centre » est une realisation (te l'architecte Albert Oberson <te Courtepin.

Chacun connaît, l'essor prodigieux qu'a pris Courtepin ces dernières années.

Situé à quelque 8 km. de Fribourp: et de Moral, mais aussi des deux futures autoroutes Lausanne-Herne et Vevey-Berne, ce village du district du Lac est, en |tasse de devenir un centre important. Déjà, il l'est. Aussi, n'est-il point sur¬

prenant de constater la présence de nombreux chantiers ou de toutes neuves réalisations. Parmi celles-ci, Fribounj-Illustré a choisi de présenter aujourd'hui à ses lecteurs «Le Centre». Pourquoi ce nom? Tout simplement, parce (pie ce nouvel immeuble esl situé au centre de Courtepin. Il est dû à l'initiative de M. Lucien Dula. laitier à Allerswil. mais qui a conservé de multiples attaches avec son village natal de Courtepin et qui a trouvé en M. Albert Oberson, un tout jeune architecte de la localité, un collaborateur aussi dévoué que compétent.

(Suite, paye 23.)

I (jauclie:

Aulre aspect du bar à café du « ('entre ».

.1 droite: Vue partielle du magnifique jeu de quilles installé au sous-sid et complè- lemenl insonorisé.

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Le Centre est un immeuble locatif (jiii dresse sa silhouette plaisante en bor¬

dure immédiate de la roule Fribourg-Morat, au centre du village, comme déjà dit. ries trois étages abritent une dizaine d'appartements de 3 et 4 pièces pour lesquels (>0 amateurs se présentèrent. C'est assez-dire que cette réalisation vient à son heure. L'immeuble est magnifiquement exposé, tous les appartements jouissant du maximum d'ensoleillement.

Sur une partie du rez-de-chaussée a été aménagé un sympathique bar à café oil le client est accueilli avec gentillesse par la famille de M. Max Perriard,

tenancier, t'n bar. large et cossu, offre une gamine variée de désaltérants. l'or son exposition idéale, « Le ('entre » offre un ensoleillement maximum à tous ses locataires.

Le mobilier, sobre, mais de bon goût, est comme une invitation à passer dans ce cadre charmant quelques instants d'agréable détente. Les parois aux teintes claires, jaune et rose, renvoient la lumière qui entre à profusion par deux grandes baies vitrées. Le plafond en boiserie donne line ambiance chaude et cossue.

Cet aménagement est une réussite du Centre de formation professionnelle pour handicapés de Courtepin. Au sous-sol, un jeu de quilles luxeux muni de fous les perfectionnements a été aménagé; d'emblée, il a conquis l'enthousiasme dos fervents de la boule. Au premier étage, rétablissement, dispose d'une dizaine de chambres à louer pour le passage.

Si le milieu du rez-de-chaussée est encore inoccupé, l'autre extrémité par contre abrite un magasin de chaussures bien aménagé, qu'exploitent M. et. Mme Salzani-Pillet. Les marques Ilenke et d'autres assurent, à la clientèle 1111 choix de tout premier ordre. M. Salzani, cordonnier de profession, est un spécialiste de la réparation bien faite. Et son atelier, installé dans l'arrière magasin, lui permet d'exécuter tous les travaux qui lui sont, confiés dans les délais désirés.

Sa clientèle se recrute dans toutes les régions du canton et au-delà.

«Le Centre »: Une belle réalisation appréciée de ceux qui l'habitent, et qui vaut à ses auteurs les chaleureuses félicitations de Fribourtj-lHuslré.

L'accueillant mai/asin tle chaussures île M. Salzani. Photos /'. ('.barrière, Huile.

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Inauguration au Collège Saint-Michel

Chaque année, la solennité de saint Pierre- Canisius est célébrée avec éclat au collège St-Micliel. Ce printemps, cette fête a revêtu un relief plus solennel encore, du fait qu'elle marquait l'inauguration d'un nouveau corps de bâtiment, marquant ainsi le signe d'un essor jamais arrêté. Dans l'ensemble des bâ¬

tisses, on retrouve ainsi tout le jalonnement d'une histoire plusieurs fois séculaire, depuis les vénérables murs de molasse, contemporains du saint fondateur, jusqu'aux constructions fonctionnelles dans lesquelles s'expriment les conceptions de notre siècle.

Ce nouveau bâtiment est l'œuvre île M. Marcel Mallhey, architecte. Il es1 certes bien différent du complexe légué par Pierre Canisius ; mais il ne s'inscrit pas moins harmonieusement dans la cour, devenant en quelque sorte le symbole de l'apport de noire generation.

l.a bénédiction du nouvel édifice cul lieu à l'issue de.

l'office solennel. Kl le fut. donnée par S.K. .Mgr ('.barrière, qui était, assisté de MM. les abbés Muritli et liise cl de .Mgr Can- tin, en cainail. l.'évèque du diocèse voulut bien prononcer également une allocution à l'intention des collégiens rassem¬

blés devant le nouveau bâtiment. Ses paroles furenl suivies de celles prononcées par M. José Pylhon. directeur de l'instruc- tion publique.

A l'issue de cette cérémonie, les invités pénétrèrent évi¬

demment dans les nouveaux locaux. Ceux-ci se présentent fort agréablement avec un préliaul couvert, à colonnes;

ce préliaul donne accès à la fois aux salles de cours cl aux ga¬

rages des professeurs, l.a maçonnerie ordinaire, la menui¬

serie, le verre et le béton alternent, fort judicieusement sur les façades, landis que les parois intérieures sont l'a il es de briques pleines, insonorisées.

1,'immeuble est. gai et aéré. Il comprend 1 (> salles de classe, réparties sur deux pavillons que le salon des professeurs unit entre eux. I,e bâtiment abrite encore deux locaux à l'usage des éclaireurs, ainsi que des parloirs où les maîtres peuvent recevoir leurs élèves.

.1 gauche, la masse com¬

pacte des collégiens.

A\droite, M. M. Mallhey architecte s'entretenant avec deux professeurs MM.jj Hugo \Yliest et l'abbé Conrad Ducollerd.

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tres des élèves. Le contacl esl ainsi mieux élahli enlre l'en¬

seignant el les enseignés. I .es couloirs enfin sont inondés de clarté. Kn un mot, l'édifice salisfail aussi bien les impératifs du fonctionnel que les exigences de l'esthétique.

La cérémonie de la bénédiction fui suivie d'une réception dans le réfectoire large et clair des deniLinlerues, où chacun put faire honneur à un menu délicatement préparé. I ,e recteur, Mgr Cantin, évoqua celle journée du ."> aoùl l.V.Hi où fut inauguré le premier bâtiment du collège Sf-Michel. Il rappela ensuite les dates principales marquant l'essor de ce vénérable institut. M1' Jacques .Morard. président du (irand Conseil, prononça également une allocution dans laquelle il ne man¬

qua pas d'exprimer notamment la reconnaissance qu'il garde à ses anciens maîtres.

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Lors (lu lir cantonal <le 1D57, bien ries Fribourgeois vinrent pour la pre- niière fois à Estavayer-le-Lac, la «ca¬

pitale de l'autre bout du canton ».

Ville, lac, paysage, les surprirent, les charmèrent. Beaucoup y sont revenus depuis.

.Mais bien d'autres, qui s'en vont en balade vers des sources minérales du plus haut intérêt sans doute (du moins pour l'usage externe !) ou vers quel- (jii'île proche ou lointaine, se demandent encore ce qu'on peut bien venir voir à Est avayer.

Ce qu'on peut venir voira Eslavayer'.' Mais ! demandez-le à tant, d'écoles, de collèges, de sociétés qui y viennent l'été d'un lieu tous les cantons de la Koman- die, et de Suisse alémanique. Ils y viennent pas seulement en baigneurs, bien que la plage y soit réputée poin¬

ta qualité de son sable, niais aussi et surtout en touristes amoureux d'une

collégiale Mn 137'J, le chœur de l'église actuelle existait, selon Mgr Waîber. Puis on cons¬

truisit, au cours du siècle suivant, le reste de l'église, au fur et à mesure qu'on en eut les moyens. Un 1502 on plaça les voûtes, en 1515 la tour fut haussée d'un étage et coiffée île sa llèche.

Extérieurement, l'édifice frappe par son allure trapue, qu'accentuent, encore la grosse tour carrée chevauchant le transept, le grand mur (côté ouest) percé d'un seul œil-de-bœuf — destiné à éclairer la tribune dont l'orgue est de Mooser — les contreforts en grès de la Molière, l'escalier monumental enfin, construit, par Etienne Marmier (ou

Marmv) en 18(>2.

La nef, éclairée par quatre fenêtres gothiques en pierre jaune de Neuchâtel, baigne dans une douce pénombre. Qua¬

tre gros piliers ronds, sans chapiteaux ni soubassements apparents, d'où par¬

tent les voussures qui soutiennent les ogives des trois nefs, donnent à l'in-

La lour de la collégiale il'Estavayer-le- Lac, coiffée de ses quatre échauguetles en poivrière du milieu desquelles s'élance leur flèche.

.1 l'intérieur de l'église. La magnifique grille en fer forgé construite en 1 ■>()<>

cache le chœur qui constitue la plus helle partie de l'édifice et qui existait déjà en 1379.

L'Annonciation, tirée, des Antiphonaires de l'église paroissiale d'Eskwager-le-Lac.

ville au cachet moyenâgeux. Ils s'y attardent: tant de coins pittoresques charment les amis du passé: vieilles tours, vieux remparts, vieilles rues et vieilles maisons, château majestueux, musée dont les collections lacustres (au¬

thentiques, celles-ci!) sont, parmi les plus riches du monde, et dont les gre¬

nouilles naturalisées font la joie des enfants... et même des grands ! cha¬

pelle de Hivaz (1112), un petit bijou;

chapelle des Hdes sœurs Dominicaines, dont le retable dû à (ieiler et récemment restauré, vaut à lui seul le voyage, col¬

légiale Saint-Laurent enfin, que je vou¬

drais vous présenter ici.

Kegardez-la, vous ferez aussitôt des comparaisons avec l'abbatiale tie Pa- yerne, la collégiale de Komont et l'é¬

glise Saint-Etienne de Moudon. Les quatre édifices ont cette même tour, coiffée de quatre échauguetles en poi¬

vrière, du milieu desquelles s'élance leur llèche. Cette parenté s'explique: ces quatre villes appartenaient, jusqu'à la conquête bernoise ( 153(1) à la Savoie.

C'est alors qu'Est avayer se donna à l'ribourg pour garder "la foi aneestrale menacée, tandis que .Moudon se donna aux mêmes conditions... à Berne, qui tint à sa façon la promesse faite.

Site habité dès l'âge de la pierre éclatée; en bordure d'une voie romaine menant à Avenehes, capitale de l'IIel- vétie, où naquit Titus, qui devait pren¬

dre Jérusalem. Estavayer eut dès le second royaume de Bourgogne, une église dédiée Saint Laurent diacre, l'illustre martyr romain ( + 258).

térieur un cachet de rustique et solide sobriété.

Quatre autres piliers, carrés, auxquels sont adossés les autels latéraux, sup¬

portent la tour massive et ses huit cloches dont la plus grande, le bourdon Saint-Laurent, pèse à elle seule plus de

1001) kg.

Derrière une magnifique grille en fer forgé que construisit en 15(1(1 Pierre Kochat de Lausanne, flambe le chœur, la plus belle partie de l'édifice. D'un gothique très pur. il s'orne de quatre fenêtres dont l'une est occupée par le petit orgue — un bijou ! — tandis que la grande verrière du fond est cachée par le grand maître-autel que Jean- Krançois Heyff construisit et sculpta en 1510. et Pierre Crolot, venu de Pontar- lier, décora à la même époque de quatre tableaux. Celui du centre représente le martyr de saint Laurent. Il est flanqué droite et à gauche des saints Roch et Sébastien, choisis comme seconds patrons lors de la peste de l'an 1638.

Au-dessus du tableau central, la T. S.

Trinité, qu'encadrent les statues dorées des SS. Pierre et Paul. Le tabernacle, doré lui aussi (1737), est d'une élégance un peu mignarde avec ses statuettes, ses angelots et ses torsades. Il a rempla¬

cé l'ancien, creusé dans le mur du côté de l'évangile, en partie masqué par l'autel, mais intact.

Le plus bel ornement du chœur ce sont ses stalles sculptées, sorties de l'atelier de maître Mathelin Wuarsier de Genève (1522 à 1524) , le même qui, trente ans plus tôt, avait exécuté celles

(29)

29 de Moudon, et promit aux staviacois

de faire mieux encore chez eux. dit la tradition locale. Elles représentent les douze apôtres portant chacun 1111 arti¬

cle du credo et alternant avec les douze prophètes munis chacun d'une bande- rolle où l'on peut lire un texte de l'an¬

cien testament correspondant aux ar¬

ticles du symbole des apôtres.

Les ligures sont nobles, avec quelque chose de campagnard, et d'un style très XV0 siècle: l'influence de la Renaissan¬

ce y est encore peu accusée. Un coup d'œil au beau saint Laurent qui orne la porte de la sacristie, et aux trois saints Claude, Sébastien et Laurent qui décorent les dossiers des sièges du célé¬

brant et des ministres sacrés, en hom¬

mage à Claude d'Estavayer, évèque de Bellay, à Sébastien de Montfaucon, et aux paroissiens d'Estavayer, pour leur générosité. Ces stalles, admirablement conservées, sont l'un des joyaux de nos églises suisses.

La sacristie renferme entre au tresen son trésor deux reliquaires du XVe siècle, un ostensoir de 1490 et. les fa¬

meux antiphonaires en vélin écrits pour la collégiale de Herne, achetés par les chanoines d'Estavayer en 1532. Ils sont demeurés depuis la propriété du clergé qui a toujours refusé de les vendre.

Léopold II en avait offert 80U (KM) fr.

Telle qu'elle se présente, la collégiale d'Estavayer est bien, comme l'a écrit Mgr L. Wselter « l'un des plus beaux

Antiphonaires achetés par les cha¬

noines d'Hulavayer-le-Lac en 1Ô32.

trçijmo.

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• —

ensembles de notre art religieux fri- bourgeois ». Elle n'a subi ,au cours des siècles, que de légères modifications:

érection d'autels neufs, ( 103*2 et 171(1) d'une chaire (171(1), d'une tribune (1811) et de confessionnaux (vers 1887) en

« gothique » de l'époque sur lesquels le H. P. Dellion, qui déclare les stalles

«d'une bonne exécution » ne tarit pas d'éloges ! Mais il y a eu pis: à deux reprises, la dernière fois en 1879, on a repiqué et, repeint entièrement, y com¬

pris les piliers en pierre de la Molière et les cadres de fenêtres en pierre de NeuchAtel, tout l'intérieur tie l'église:

du blanc et du gris-vert !

On comprend dès lors sans peine que la collégiale d'Estavayer ait actuelle¬

ment un urgent, besoin de réparations, tant à l'extérieur qu'à l'intérieur. L'ex¬

térieur a subi les morsures du temps, au cours de ses sept siècles d'existence;

l'intérieur devrait èlre lui aussi l'objel d'une restauration qui remettrait en valeur la pierre des ogives et des piliers, et ■ qui sait? - ferait sans doute ré¬

apparaître les peintures gothiques exé¬

cutées vers 14'.H) sur les murs des bas- côtés. Souhait ons-le de tout cœur avec les Staviacois. Oepuis plus de dix ans.

le curé de la paroisse, aidé par un con¬

seil dévoué, recueille des fonds; les plans, faits depuis longtemps, sont en mains des comités fédéral et cantonal des monuments historiques. Force nous est d'attendre leurs décisions pour ob¬

tenir les subsides que mérite si bien ce monument classé comme historique et commencer les travaux. La hausse con¬

tinuelle des prix fait souhaiter une mise en chantier aussi prochaine que possi¬

ble.

Mais même dans son état, actuel de vétusté, elle garde grand air, l'antique collégiale saint Laurent à Estaveyar, dont, la llèclie marque de son ombre lutélaire l'heure sur les toits de sa petite cité.

h'rançois-A'(trier Jirodurd

l'hotos .1. .Sliter, Kslauayer-le-l.ac S. Classon, Huile

H. liasl, i'ribourij /'. Savii/ny, Lueens K. Loup, HsUivnyer

Estavayer-le-Lac, les 7, 8 et 9 juin

en faveur de la restauration de la collégiale Saint-Laurent (XV6[siècle)

£ Vendredi soir: RACLETTES £ Samedi soir: SOUPERS

£ Dimanche: DINERS et SOUPERS, jambon, poulet. DèsJ1 h. comptoirs et jeux variés.

A 21 h. tirage de la 1er lot: 1 voiture Opel-Kadett, Fr. 6800.—

2e lot: 1 appareil de TV Fr. 1345.—

Qrande loterie Très nombreux autres lots

(30)

30

AI. Hoher! Hollo/.

I.ACSAMNK

enlevé à la tendre affection de sa famille après un« longue et pénible maladie à l'Age de 09 ans. Il fut pen¬

dant -1*2 ans employé dans les bureaux île la maison Nestlé à Broc où l'on appréciait sa ponctualité, son tact, sa discrétion. Il fut longtemps domicilié à I tulle.

M. Louis Baia VILLENEUVE/VD

originaire de la province «le 1 Sologne, il vint tout jeune à Broc où il fut en¬

gagé à la chocolaterie en 1908. Il perdit tragiquement son épouse en 1945, dans l'éboulement d'une aile de l'usine de Broc. Il prit alors sa retraite et quitta la Gruyère. Il était notam¬

ment le père de M""1 .Jean Tomasini à Huile. Il avait 87 ans.

M. Joan Tomasini HUI.LE

décédé après une courte maladie dan?- sa 53** année. Il entra à l'Age <le 17 ans à la maison E. Classon & (lie à Huile dont il devint le directeur < 1 ès 1950.

Il était en outre administrateur- délégué des Matériaux de construc¬

tion S. A. à Fribourg et présidait le conseil d'administration de Sable S. A.

à Saussivue.

M. Joseph Dévauri LA TOUH-DE-TKEME

décédé à l'Age de 85 ans. Il fit sa car¬

rière aux chemins de fer électriques de la Gruyère. I>ès 1901, il fut chef de station à Albeuve, puis, dès 193*2, à La Tour-de-Trème. Il pris sa retraite en 1947. Il y a Ii ans, il eut le chagrin de perdre son épouse, (l'était un fer¬

vent tireur.

Mme Marie Seydoux VAULHUZ

décédée à l'hôpital de Hillens après une court«' maladie, à l'Age de 73 ans.

Elle laisse le souvenir d'une bonne maman et grand-maman qui fit preuve de beaucoup «le volonté et de courage pour élever sa nombreuse famille. Née l-'rossanl, elle était la veine de feu Louis Seydoux, décédée il y a un quart de siècle.

Mme Louis Maillard ECI1A BLENS

é

décédée dans sa 93" année, elle était la doyenne «le la paroisse. Epouse et mère de pharmaciens décédés, elle vécut les 3*2 dernières années de sa vie en compagnie de l'une de ses filles, chez son neveu, l'abbé Alphonse Maillard, ltd curé d'Echarlens. C'était une personne cultivée et charitable.

Sr Marie-Laurence Morel LAUSANNE

Urigianire de Vuadens, sixième d'une famille de 11 enfants, elle entra dans la Congrégation des religieuses «le la Sainte-Croix «l'Ingenbohl. Possédant un*- formation d'infirmière, elle se «lé- soua pendant *29 ans dans divers hôpi¬

taux notamment à Hiaz et à Sierre.

Mme Louisa Rossat ßHOC

décédée après de longues et cruelles souffrances dans sa 5S' année. Née Ecoffey, elle était l'épouse «le M.

Charles Hossat, chef «le bureau tech¬

nique «le la chocolaterie Nestlé. Mai- tresse «le maison accomplie, elle fai¬

sait de son foyer un endroit accueil¬

lant. Elle laisse le souvenir d'une per¬

sonne très gaie.

M. I,ouis Deselienaux Cltl Y Èl«ES

agent d'affaires et «l'assurances, i!

connaissait à fond ce pays qu'il pros¬

pectait. Ayant fait «les études, il mit sou instruction au service de la popu¬

lation campagnarde et on l'appelait communément • l'avocat «les pauvres*.

Il fut aussi le «lernier des écrivains publics. Hère «le 11 enfants, il était '10 fois grand-père.

Mme Lucie Bosson HIAZ

souffrante depuis de longues années, elle avait dù être hospitalisée et subir l'amputation «l'une jambe. Eli«* sup¬

porta cette épreuve ave«- un rare cou¬

rage. Elle était l'épouse de M. Jean Bosson, agriculteur et ancien syndic.

Elle laisse le souvenir d'une personne entièrement consacrée à son foyer.

Mme Marie AI n rit il mux:

enlevée à l'affection «le sa «-hère fa¬

mille dans sa 71'' année. Affligée d'une paralysie partielle depuis «le nom- breus«'s années, elle supporta avec un

«•ourage admirable cette longue épreu¬

ve. Elle était l'épouse de M. Paul Murith, ancien ébéniste, qui, ave«' ses enfants et petits-enfants, l'entoura «le beaucoup de soins.

M. Paul Rahoud GBANDVILLABl)

dans sa jeunesse, il travailla en Krance comme bûcheron. Plus tard, il fut armailli «*t passa ses étés au chalet dans le Pays d'Enhaut. Il fut l'un des fondateurs «lu Cercle ra«lical- démocratique de son village. Il est décédé dans sa 79* année, après avoir goûté au bonheur d'être grand-père.

M, Auguste Déforel VTAUENS

1 bon vieillard est décédé à l'Ago de S7 ans après une longue maladie, courageusement supportée. Il avait travaillé pendant une quarantaine d'années dans l'équipe de la voie, au chemin de 1er Hulle-Hoiuont. Travail¬

leur infatigable, c'est une figure du vieux Vuadens qui disparaît.

M. François Moret VUADENS

célibataire, il explotait ave«- son frère, M. Paul Moret, ancien conseiller com¬

munal, et ses soeurs, le beau domaine familial de Praz-Favre. C'était un agriculteur et un éleveur, justement fier de sa profession paysanne. Il £st décédé à l'hôpital cantonal, à l'Age de 08 ans, après une pénible maladie.

M. Auguste Allaman CMAHMEV

appartenant à une famille de 10 en¬

fants, il était le fils de M. Victor Allaman. Elevé par son oncle, M.

Allaman, il le suivit au chalet, d'a¬

bord comme bouébo, puis comme ar¬

mailli. Il est décédé à l'Age «le 39 ans seulement, à la suite d'une pénible maladie qui se déclara en 1947 déjà.

M. Dominique Frossard BULLE

dans sa jeunesse, il pratiqua le métier d'armailli et fonctionnait comme « bar- latè ». Plus tard, il fut engagé aux chemins de fer électriques de la Gruyè¬

re et fut, pendant plusieurs décennies, conducteur dans les trains. Secondé par une vaillante épouse qu'il perdit en 1953, il éleva un fils et quatre filles. Il avait 9*2 ans.

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