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Academic year: 2023

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La Science-fiction

idées

reçues

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Pour mon oncle Georges

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La Science-fiction

Stéphane Manfrédo

Arts & Culture

E D I T I O N S

idées

reçues

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Stéphane Manfrédo

Formateur et critique de science-fiction. Très actif dans le domaine des genres littéraires contemporains, il a tâté de la traduction et s’est spécialisé dans la littérature Jeunesse.

Du même auteur

– La Science fiction, aux frontières de l’homme,Gallimard, collection « Découvertes », 2000.

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SCIENCE-FICTIONn. f.– ou SF n. f. Américanisme qui associe deux termes antithétiques, « science », du latin scientialui-même issu du verbe scire, savoir, qui évoque la connaissance la plus rigoureuse et « fiction », du latin fic- tus, inventé, qui évoque l’imagination la plus libre.

On connaît la date exacte de la naissance du terme

« science-fiction ». Hugo Gernsback, inventeur de matériel électrique, qui publiait des magazines techniques consacrés à l’électricité et à la radio depuis 1908 lance en 1923 une revue de fictions d’anticipation scientifique et technique, de la littérature nourrie de science. C’est ce qu’il appelle la

« scientific fiction ». Il transforme le terme l’année suivante en « Scientifiction », avant d’opter dans l’éditorial du n° 1 de la revue Science Wonder Stories en juin 1929 pour le terme qui sera aussitôt adopté aux États-Unis : on ne parle désormais plus que de « science fiction », ou SF. Hugo Gernsback délimite le champ d’un genre littéraire, le baptise et lui confère une identité. Le terme est utilisé de manière anecdotique une première fois par le poète écossais William Wilson en 1853. Mais il sombre aussitôt dans l’oubli et rien ne permet de dire que Hugo Gernsback en ait entendu parler. « Science-fiction » arrive en France en 1951, et, exception culturelle oblige, avec un tiret entre ses deux membres. Il entre en concurrence avec « anticipa- tion scientifique » ou « anticipation » qui désignent les textes européens du XIXeet du début du XXesiècle, et dont il est quasiment synonyme…

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Introduction . . . . 9

Origines et caractéristiques de la SF

« Jules Verne est le père de la science-fiction. » . . 15

« La bonne science-fiction est américaine. ». . . . 21

« La science-fiction n’a plus rien à inventer. » . . . 29

« La science-fiction, c’est que des effets spéciaux sans scénarios. » . . . . 37

« La BD de science-fiction, c’est que des jolis dessins sans scénarios. » . . . . 43

La SF, son public et la littérature

« La science-fiction, c’est

pour les ados attardés. » . . . . 53

« La science-fiction est totalement coupée

du réel. » . . . . 61

« La science-fiction, c’est compliqué. » . . . . 67

« La science-fiction, c’est pas de la littérature. » . 73

« Extraterrestres, vampires, anneaux magiques, c’est du pareil au même ! » . . . . 79

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Les contenus de la SF

« La fantasy, c’est de la science-fiction

édulcorée. » . . . . 87

« La science-fiction, ça fait peur. » . . . . 93

« La science-fiction anticipe les progrès

technologiques. » . . . . 99

« La SF, c’est que des histoires

d’extraterrestres. » . . . . 105

« La science-fiction prédit l’avenir. » . . . . 111

Conclusion . . . . 117

Annexes

Glossaire . . . . 123

Pour aller plus loin . . . . 125

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Je t’aime, moi non plus, tel est le curieux rapport du public à la science-fiction. Si elle est incontesta- blement populaire au cinéma et en bande dessinée, elle demeure, en tant que genre littéraire, vouée aux gémonies.

Star Wars, Matrix, Spiderman, La Planète des singes etc., les films de science-fiction se hissent invariable- ment en tête du box-office. Denis Guiot n’hésite pas à affirmer que : « la science-fiction est le genre ciné- matographique favori du public » (Dictionnaire de la Science-fiction, 1998). La télévision n’est pas en reste : que ce soit pour des films, des séries, ou des dessins animés, elle puise à pleines mains dans cette manne qui lui assure son taux d’audience. On retrouve le même engouement pour le genre avec la bande des- sinée. Mœbius, Druillet, Mézières et Christin sont devenus des classiques ; les films et les albums d’Enki Bilal font l’événement au gré des éditions et des rééditions. Étonnante d’audace et d’inventivité, une nouvelle génération suit leurs traces. Depuis Aquabluede Cailleteau et Vatine jusqu’à La Ligue des Gentlemen extraordinairesde Moore et O’Neil, leurs albums font déjà figure d’incontournables.

Malgré ces vitrines chatoyantes, alors que la presse comme le public sont conquis, paradoxalement ils boudent la littérature. En réalité, le rayonnement et les publics de ces médias ne sont pas les mêmes.

Il faut dire que les thèmes et les grands archétypes du genre, voyages dans l’espace et dans le temps, rencontres d’extraterrestres, améliorations technolo- giques ou physiologiques, futurs insoutenables, etc.

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d’idées reçues : la science-fiction a tout d’un genre littéraire simpliste, dépourvu de contenu comme de valeur littéraire. Les superproductions américaines contribuent hélas souvent par des lacunes scénaris- tiques évidentes à renforcer cette mauvaise image du genre. Il s’ensuit cependant que cette littérature est vigoureusement rejetée, et même méprisée, par des lecteurs qui n’en ont jamais lu une ligne et qui se refusent à aller voir les films de qualité, qui en sont aussi la meilleure illustration ! Mais la science-fiction est un genre vivant — c’est-à-dire « en train de se faire ». Bien sûr, le meilleur y côtoie le pire, mais, qu’on nous pardonne ce truisme, n’est-ce pas le lot de tout genre littéraire, de tous les domaines artistiques ? Notre intention sera par conséquent dans cet ouvrage de nous concentrer sur le meilleur, qui ne constitue pas l’exception.

Car la science-fiction est une forme d’expression subtile. Les lieux, les êtres et la « quincaillerie » dont elle s’entoure déconcertent. Ce ne sont pourtant rien d’autres que des figures symboliques qui permettent aux écrivains et aux scénaristes de porter un regard différent sur notre monde. Expression de la mytho- logie des temps modernes, elle s’appuie sur une dyna- mique de l’iconoclaste et du factice afin d’ausculter la place de l’homme dans la société moderne.

Inextricablement liés au contexte de leur production, romans, films, bandes dessinées de science-fiction expriment les mentalités et les états d’âme du temps ; elle met en scène l’inconscient du monde occidental.

Au fil des chapitres de cet ouvrage, au fil des jalons sur sa nature et ses contenus, on découvrira que la science-fiction est un mode d’expression riche et varié. Après s’être découvert de glorieux ancêtres,

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renouvelant inlassablement ses formes, ses thèmes, ses courants. L’Utopie y côtoie l’aventure galactique, le merveilleux technologique, le policier futuriste ; la fantasy*, si appréciée aujourd’hui, en dessine une des marges les plus improbables. Sérieuse, inquiétante, nostalgique ou drôle, derrière ses décors à peine exo- tiques, la science-fiction parle moins d’ailleurs que de maintenant et moins de l’autre que de nous- mêmes.

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* Les mots signalés par un astérisque sont expliqués dans un glossaire en fin d’ouvrage.

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ORIGINES ET CARACTÉRISTIQUES DE LA SF

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Son but est, en effet, de résumer toutes les connaissances géographiques, géologiques, physiques, astronomiques amassées par la science moderne, et de refaire, sous la forme attrayante et pittoresque qui lui est propre, l'histoire de l'univers.

Pierre-Jules Hetzel, à propos de Jules Verne, 1867

Une idée communément admise veut que Jules Verne soit le père de la science-fiction. Les genres littéraires ne sortent jamais du néant. Leur genèse, longue et sinueuse, découle directement d’un envi- ronnement culturel et artistique spécifique. Jules Verne est effectivement un des premiers à écrire régu- lièrement de la science-fiction et contribue à en fixer les codes. Ère de transformations du monde occiden- tal, le climat progressiste du XIXe siècle en fait le berceau de ce que Pierre Versins appelle les

« conjectures romanesques rationnelles ».

De tout temps, des textes ont fait appel à l’imagi- nation en lieu et place de la représentation du réel.

Outre les récits mythologiques, nombre de textes de l’Antiquité décrivent d’autres lieux, d’autres êtres, d’autres sociétés. Ces pures œuvres d’imagination ne s’inscrivent dans le prolongement d’aucune connais- sances scientifiques et techniques ; le merveilleux* et le surnaturel y font loi. Depuis L’Histoire véritable (180 ap. J.C.) de Lucien de Samosate, les récits épiques d’aventures fabuleuses — le voyage extraor- dinaire — et les descriptions de sociétés différentes

— les premières utopies — abondent. À la

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sible la diffusion du savoir. Une profonde métamor- phose débute alors : la circulation des traités philosophiques et scientifiques, les grandes découver- tes, les prémices de la conversion industrielle boule- versent le regard que l’Homme porte sur lui-même et sur le monde. Anticonformistes, curieux de tout, les philosophes impulsent une attitude rationaliste, cri- tique et sceptique, creusent le divorce entre science et religion. Léonard de Vinci, puis Copernic, ouvrent la voie à Galilée, Descartes, Toricelli, etc. Le XVIIIesiè- cle — le Siècle des Lumières — dessine une concep- tion de l’univers et de la société radicalement nouvelle. La science et la raison, qui permettent de tout expliquer, de tout analyser, de tout ordonnancer, prennent une place centrale dans notre culture ; le monde n’a plus rien d’effrayant. L’idéologie du pro- grès entame son irrésistible ascension. Les conditions d’apparition de la révolution industrielle sont réunies.

L’utopie refait alors son apparition, d’abord chez l’anglais Thomas More. Rêve d’une société idéale, L’Utopie (1516) est teintée d’une forte intention morale. Au XVIIesiècle, le rêve se teintait déjà d’une patine scientifique dans La Nouvelle Atlantide de Francis Bacon (1627) ou La Cité du soleil de Tommaso Campanella (1623). Sous l’impulsion des Lumières et de l’ambiance révolutionnaire de la fin du XVIIIesiècle, les utopies fleurissent : L’An 2440de Sébastien Mercier (1771), La Découverte australe par un homme volant de Restif de la Bretonne (1781).

Simple jalon vers la science-fiction, l’utopie n’appar- tient pas au genre : elle décrit le fonctionnement de mondes meilleurs, mais n’y situe jamais le devenir de l’homme et de la société. Il en va de même avec la tradition des voyages extraordinaires. S’ils introdui-

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nent jamais de mondes futurs pour eux-mêmes. Il s’agit essentiellement de contes philosophiques.

L’Autre Monde, ou les états et empire de la Lune et du Soleil de Cyrano de Bergerac (1650), au rayonne- ment considérable, est un formidable livre burlesque qui masque à peine son attaque en règle des dogmes de la religion, de la morale et de la science aristotéli- cienne sous ses outrances iconoclastes. Point de science-fiction non plus dans Les Voyages de Gulliver (1726), le pamphlet de Jonathan Swift contre l’idéo- logie de son temps en forme d’errance dans les « terræ incognitæ philosophiques ». Pas plus que dans Micromégas (1752), une farce à l’acide pleine d’in- ventions, où Voltaire étrille philosophes et savants en pastichant, avec ses visiteurs venus du fond de l’espace, la mode des Lettres Persanesde Montesquieu.

Au XIXe siècle le monde occidental bascule dans l’ère industrielle. Nouvel âge de grandes découvertes, plus rien ne semble impossible. Les rêves, sans cesse concrétisés, sont à portée de la main. L’apport des technologies nouvelles à la vie quotidienne déclenche un irrésistible mouvement progressiste ; la connais- sance a force de loi. Deux conceptions optimistes du progrès cohabitent : une idéologie historico-matéria- liste qui vise à construire un monde meilleur par la révolution et une idéologie positiviste et technolo- gique qui vise à construire un monde meilleur par la science — c’est bien sûr la deuxième qui nous inté- resse, même si la science-fiction rêve aussi bien de science que de sociétés.

Écrivains, illustrateurs, peintres, architectes — on réaménage les villes —, et plus tard cinéastes — Georges Méliès dès 1902 — relaient la certitude d’un

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modèles féodaux vit un âge d’or qu’elle importe sur toute la planète pour la façonner à son image. La littérature fourmille de textes, des plus fantaisistes aux plus sérieux où les sciences et les techniques alimentent une fiction.

Jules Verne joue un rôle majeur dans la constitu- tion du genre. Sous la houlette de son éditeur, Pierre- Jules Hetzel, militant de l’enseignement pour tous, l’écrivain nantais se lance dans un véritable projet pédagogique : doté d’une solide culture scientifique, il entreprend de diffuser tout le savoir dans des romans captivants où foisonnent les connaissances.

Pour ce faire, l’éditeur lui confie une collection :

« Les Voyages extraordinaires » ; friand de géogra- phie, le temps est à l’exploration, l’auteur raffole des espaces exotiques. Mais Jules Verne ne résiste jamais à l’invention romanesque. Il pimente ses romans, d'humour, d’inventions saugrenues (La Maison à vapeur- 1880) et d'invraisemblances (Voyage au cen- tre de la terre - 1864), anticipe sur les recherches en cours dont il dévoile les perspectives vertigineuses.

Testé soixante-dix ans plus tôt, le sous-marin de Vingt mille lieux sous les mers (1870) est utilisé en 1864 pendant la Guerre de Sécession ; l’hélicoptère de Robur le conquérant(1886) est à l’étude. Écrivain d’ex- ception extraordinairement populaire, Jules Verne est le principal artisan de la popularisation de « l’antici- pation scientifique ».

Trente ans plus tard, Herbert George Wells renou- velle totalement l’approche du genre. L’écrivain anglais utilise les connaissances scientifiques de son temps, mais pour inventer de nouvelles figures de l’imaginaire. On ne retrouve pas dans son œuvre le projet encyclopédique de Jules Verne ; l’écrivain

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- La science-fiction, lectures d’avenir ?, Ch. Grenier, Presses Universitaires de Nancy, 1994. Fruit du travail de recherche de Christian Grenier, ce livre rigoureux est une mine d’analy- ses et d’informations soigneusement compilées par un érudit du genre. L’auteur y analyse avec une grande clarté les condi- tions de l’apparition du genre et son histoire avant le XIXesiè- cle. S’appuyant sur un long et minutieux parcours chronolo- gique, il nous entraîne ensuite dans un parcours thématique argumenté de la SF jusqu’à aujourd’hui, dans lequel il problè- matise les liens entre les grands genres de l’imaginaire.

Toujours soucieux du détail, il pose et repose sous de multi- ples approches la question de la nature du genre. Le texte se conclut par une volumineuse partie bibliographique.

- La science-fiction, J. Baudou, collection «Que Sais-Je?» PUF, Cet ouvrage est un précieux auxiliaire, aux analyses et juge- ments fort précis.

- La science-fiction, Gilbert Millet et Denis Labbé, Belin, 2001, nettement plus épais, complète parfaitement l’ensemble.

- Pour un panorama on ne peut plus complet de la science- fiction d’avant les années 1980, l’Encyclopédie de l’utopie, des voyages extraordinaires et de la science-fiction, Pierre Versins, Editions L’Age d’Homme, 1972 s’impose ; mine de rensei- gnements aussi imprévus que touffus, elle est agrémentée de l’humour, de la gouaille mais aussi des partis pris et des exa- gérations de l’auteur.

- Critique de la science-fiction, Jacques Goimard, Pocket, coll.

Agora, 2002. La somme de quarante années de réflexions et de recherches sur la science-fiction sous toutes ses formes par un des meilleurs spécialistes du genre. Compilant des articles écrit depuis les années 1960, l’auteur nous offre, avec finesse et beaucoup de malice, un parcours dans les arcanes de la science-fiction. En promenade dans le genre, il nous invite

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une passionnante partie thématique, l’auteur développe une très longue partie historique, à la fois sur le genre et sur l’ap- proche que nous en avons eu, toujours avec autant de perti- nence. Un véritable régal pour qui veut en savoir plus. On pourra avantageusement compléter cette lecture avec les trois autres volumes qui composent l’intégrale des articles de Jacques Goimard et qui ont trait aux autres genres de l’imagi- naire : Critique du fantastique et de l’insolite, Critique du mer- veilleux et de la fantasyet Critique des genres, publiés tous trois chez Pocket.

- Pour aller plus vite, on peut se reporter au Dictionnaire de la science-fiction, Denis Guiot, Hachette, Livre de Poche jeunesse, 1998, un court ouvrage très complet et d’une lecture des plus agréable. On pourra lire également Le Guide Totem de la scien- ce-fiction, Lorris Murail, Larousse, 1999, qui foisonne d’arti- cles pertinents.

- Cinéma de science-fiction, Yves Aumont et Thierry Saurat, L’Atalante, 1985. Ce livre sur le cinéma de science-fiction est une étude passionnante, parfois éblouissante, sur le sujet.

Mais c’est également une formidable analyse érudite du genre tout entier. Il enchaîne en première partie une approche ana- lytique, puis une approche historique ; vient ensuite une étude des différentes ères culturelles du cinéma de science-fic- tion, puis une analyse des grandes thématiques du genre, enfin une partie sur les techniques du cinéma. Outre les qua- lités de son texte, le livre croule littéralement sous les illustra- tions tirées des films abordés, ce qui appuie fortement le pro- pos des auteurs. Enfin, ce livre passionnant est conclu par une longue filmographie. Malheureusement, l’ouvrage n’a pas été réactualisé (ce qui ne manquerait pas d’intérêt). Pour aller plus loin, on peut se reporter à L’Encyclopédie de la science- fiction, Jean-Pierre Piton et Alain Schlockoff, Jacques Grancher éditeur, 1996. Cette encyclopédie est en réalité presque exclusivement consacrée au cinéma ; si elle n’a pas la même envergure, elle propose des analyses très intéressantes.

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