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Action de formation professionnelle en électricité dans certains pays francophones d'Afrique

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(1)

Rations unies

&ONSEIL ECONOMIQUE ET SOCIAL

Distr.

LIMITEE

E/CH.I4/EP/40

13 aout 1973

Original: FRANCAIS

\f

COMMISSION ECONOMISE POUR L'APRIQjJS

Colloque regional sur la formation, a tous les niveaux, du personnel des entreprises de production, de transport et de distribution d'e"lectricite

Addis-Abeba, 10 - 20 decembre 1973

ACTION DE FORMATION PROFESSIONNELLE M ELSCTRICITE DAHS CERTAINS PATS' FRANCOPHONES D'AFRIQtfE

M73-19OO

(2)

ACTION DE FORMATION PROFESSIOIJNELLE EN 2L3CTRICITE DANS CURTAINS PAYS FRANCOPHONES

Tout le monde s'accorde a estimer que la formation professionnelle des homines cans les pays en voie de developpement est un facteur

} particulierement important du progress social et constitue une des clefs

qui ouvxent la voie a I1expansion economique.

t

Pour leur part, les dirigeants des Entreprises et des Stablissements concessionnaires ou gerants de Services publics d'electricite de ces pays constatent que leurs preoccupations majeures, pour faire face au developpement de leurs programmes d'equipement et d1exploitation, se situent essentiellement dans la formation du personnel et le financement

des projets.

La recherche et la raise en place des moyens huraains s'appliquent gene"ralement a tous les niveaux de la hierarchie, des ouvriers aux inge- nieurs en passant par les cadres de maltrise et les techniciens. Elles interessent une gamme importante de specialites et doivent suivre en permanence Involution rapide des techniques qui caracterise les indus

tries de pointe. . .

Origine de 1'action entreprise

Jusqu'a present, c'est a l'initiative et au sein meme des entre prises que se sont developpees les actions de formation profoseionnelle qui se sont revelees indispensables aux niveaux "execution" et "maitrise", Les raisons de cet etat de choses sont multiples. Notons, en particulier,

d!une part l'inexistence pratique sur le marche du travail des spe"cialistes

recherches, d'autre part le fait que la promotion interne desmoilleurs elements du personnel des entreprises se revele generalement comfce 6tant la solution la meilleure pour assurer le recrutement, toujours d^licat, du personnel des niveaux intermediaires. II convient de constater que la complexite croissante des machines et des appareillages mis en place - ils se rapprochent de plus en plus des equipements utilises par les pays

fortement industrialises - et Involution acceleree des methodec d!exploita

tion no font qu'aocentuer cette tendance. II est neanmoins satisfaisant de souligner les progres realises depuis quelques annees par les Stablisse- ments d^nseignement traditionnels qui commencent a collafcorer avec les entreprises dans le bit de former localement des specialistes cmi soient faoilement et rapidement adaptables aux metiers et aux fonctions specifiques des entreprises de production et de distribution d'electrioite\ Mais,

dans ce domaine, d'importants progres restent encore a realiser, notamment

pour la mise au point des programmes et des methodes pedagogiques a mettre en oeuvre ainsi que pour la preparation du personnel enseignant.

Collaboration avec Eleotricite de France

Depuis une douzaine d'annees, de nombreuses entreprises de production

et de distribution d'electricxte de pays du tiers-monde, et on particulier

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ft*' ' ' ~^t d T^ -V^

E/CIM4/EP/4O

Page 2

dfAfrique francophone, collaborent aveo Blectricite de France pour

resoudre leurs problemes de formation professionnelle a tous les niveaux

de la hierarchie.

L1 action developpee, concue et anime"e en tenant,, oompte des resultats obtenus au sein des Services d'Slectricite de Franoe et dans les autres pays strangers, revet generalement les formes suivantes :

Aa niveau du personnel d'execution, aprfes avoir fait un large appel aux Scoles de Metiers d'E.D.F., on precede tout.naturellement a une

formation locale systematise dans des centres de formation professionnelle crees au sein meme des sociStes et parfaitement adaptes a leurs besoins qualitatif et quantitatif. Actuellement 22 centres sont en fonotionne- ment dans 18 pays differents d'Afrique : Algerie, Cameroun, Congo-Brazza

ville, C&te d'lvoire, Dahomey, Djibouti, iUthiopie, Gabon, Libye, Madagascar, Mali, Maroo, Higer, Republique Centre africaine, R^publique voltalaue,

Tchad, Togo, Tunisie. .

Au niveau de la maitrise, les principales societes organisent dans leurs centres de formation professionnelle des cours de perfectionnement a lfintention des ouvriers appeles a etre promus rapidement dans des postes df ""agents de maitrise de contact". Slles organisent. aussi des^

sessions d1adaptation au profit des techniciens recrut^s directement a la sortie des e"tablissements publics d'enseignement.

Parallelement a ces actions locales .qui tenderit a se developper de plus en plus, les sooiete-s africainee, en particulier oelles a effectifs relativement limites, continuent a faire appel aux 3coles et Centres d'^.D.F. pour la preparation de leurs futurs cadres de maitrise et pour la formation ou le perfectionnement de specialises hautement

qualifies.

Au niveau des cadres, les societe"s encouragent au maximum les ^tudiants autochtones qui se pr^parent a entrsr dans les Universites et les Ecoles d'Ingenieurs des pays etrangers et suivent specialement ceux qui sont

susoeptibles, apres leurs etudes, d'aficeder a des fonctions d!encadrement

technique, d1administration ou de gestion.

En .particulier des stages dans les services et sur les chantiers d'E-D-F- sont largement utilises au profit de certains de ces cadres,

soit avant leur embauchage, soit apres quelques anhees de pratique professionnelle au sein des entreprises africaines.

Enfin d'impbrtaJjtes possibilites sont offertes aux entreprises par E.D.F. pour la formation, le perfectionnement ou le recyclage pedagogique des instruoteurs affectes aux centres de formation professionnelle. Cette action importante comporte des stages au Centre d'etudes et dfapplications pedagogiqiies (CSTAP) de Gurcy-le-Chatel,; eventuellement completes par

des. stages dans les exploitations d'S.D.F.

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Programmes et moyens mis en .jeu dans les centres

Les princxpes qui ont preside a 1 Organisation et a 1'animation des centres de formation professionnelle africains peuvent etre resumes

comme suit :

- II est apparu qu'il etait necessaire de coinmencer l'action de formation a. la base meme de la pyramide hierarehique de facon que la masse des travailleurs de chaque entreprise, dans sa majorite, puisse .franchir un certain "seuil de qualification e"lementaire" largement

polyvalent, Cette action, developpee a deux niveaux? comprend essentielle-

■- m®a"t un ensdignemont portant sur la "plate-forme de base de 1'eleotricien", eventuellement precede, pour les agents ne poss^dant iju^une instruction' de base rudiaeataire, d'un cycle dit d'"alphabetjsatioa CT^vyiere et

d1 initiation technique". .—-—..

Ces deux cycles permettent de proceder a un precieux inventaire des aptitudes, point de depart d'une orientation ration.neile vers les diverses

sp4cialites de I1entreprise et d'une promotion judicieuse dee meilleurs

elemente du personnel.,

L'enseignement de base ainsi developpe est ensuite suivi d'un

"cycle de speoialisation" portant sur les metiers d'Electromecanicien,

d'electrothermicienj d'electricieh de re"seau, d'electrioion de contrSle,

d!eleotricien de tableau, etc..

- La formation.de la maitrise de contact n'a pu etre abordee jusqu1^ present, que dans les centres les plus importants dans des

sessions de perfectionnement comportant des seances de formation technique

et de travaux pratiques, des cours d'enseignement ^neral et une initiation

box Sroblemssd1 organisation, de. gestion, de relations de travail et de

cominandemeht'

Les formations ainsi dispensee3 revetent un aspect specifiqu© et tendent, er permanence, a la preparation d'agents qii soient aptes a prendre des reoponsabilites precises et soient pourvus de facultas

d'adaptation etendues. C'est le cas, notamments des agents appeles a

prendre en charge 1'exploitation technique et administrative des secteurs de province dans le cadre des programmes d!electrification rurale,

Mais de.tels objectifs ne peuvent etre attexnts, qu'il s'agisse de la formation des jeunes specialistes .debutant dans la carriere ou du perfectionnement d'agents adultes deja en fonction, que par la mise en oeuvre de m^tbodes pedagogiques parfaitement elaborees, 2n particulier.

les enseignements portant sur l'electrotechnique et la technologi»f de J>ar. 3.eur >iature meme, ne sont vraiment assimiles que s'ils s'appui^nt

tres largement sur des proced^s pedagogiques et des aides audio-visueiles

modernes, congus pour pouvoir s'adapter a tout moment au degre d'assimi- lation du personnel a former.

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WS

Page 4

De tels moyens ont ete etudies et realises par les services

specialises d'i31ectricite de France et mis a la disposition des centres qui les ont parfois perfectionnes en les adaptant a leurs propres besoms.

Us permettent de dispenser un ensemble de connaissances techniques, technologies et pratiques sous une forme d'abord analytique puis ' synthetique, preparant directement les agents a I'exarcice de leur

metier dans 1'entreprise.

Parmi les moyens pedagogiques couramment utilises il convient de

mentionner specialement s

- Un tableau d'experiences et une serie de films permettant

d'illustrer un cours complet sur les lois fondamentales de l'electricite.

- Un ensemble de 25 caisses experimentales, d*un type standard,

pour lfenseignement de la technologie electrique.

Ces ensembles, qui permettent de traiter 25 sujets differents (chauffe-eau electrique, eclairage fluorescent, coupure du courant electrique, moteur electrique, alternateur, transformateur, electricity automobile, etc...)* sont utilises a 3.D.F. sur une grande echelle, soit dans des actions decentralisees (en exploitation) pour developper le.

"perfectionnement d1information ouvriere", soit dans des actions centralists (Scoles et Centres) lorsqu'il s'agit de promouvoir un

"enseignement de comprehension".

- Un ensemble d' "alphabet! sat ion ouvriere" specialement <§tudie pour le personnel des industries electriques des pays en voie de developpement, II permet de motiver l'alphabetisation en l'associant a 1'apprentissaga du metier, d'enseigner le vocabulaire technique de base et de decelex les aptitudes en vue d'une orientation des meilleurs elements vers une

formation d'un niveau plus eleve.

- Un reseau electrique d'entraineraent et un ensemble de caisses

pour l'enseignement de la "securite integree au travail" dans la formation et le perfectionnement du personnel d1exploitation des reseaux de

distribution.

- Un ensemble dit "manoeuvres et recherche de defauts" pour la formation methodique du personnel affecte a la oonduite et a 1 entretien de tableaux electriques complexes (centrales, sous-stations, postes de repartition, etc.).

- Une maquette de "regulation" pour la formation ou le perfectionneni du personnel affecte a Sexploitation des centrales thermiques modemes.

- Un ensemble (tableaux dfexperiences et caisses experimentales et ■ de travaux pratiques) pour 1'enseignement de la "plate-forme de base de 1 'electroniq.ua". Le developpement rapide de l^leotromque et son integration progressive dans les appareillages electriques equipant les centrales de production et les reseaux de transport et de distribution necGssitent, en effet, la formation, en nombre croissant, de specialiates

tres qualifies de tous niveaux hierarchiques.

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Difficultes rencontrees

Avant d'etablir le bilan des actions entreprises on est naturellement conduit a evoquer les difficultes qu'ont rencontrees les responsables et les animateurs des methodee raises en o'euvre.

- II convieni* tout d'abord d'observer que la dimension des entreprises /" dont il est question est fort differente d'un pays a l'autre, comme le t : sont les moyens humains, materiels et financiers qui peuvent etre

• i engages localeraent par ces entreprises. Par ailleurs, la dispersion

gSographique et 1'effectif limits des equipes de travail rendent difficile

1 organisation de programmes de formation ou.de perfectionnement a

plein temps. C'est ainsi que dans les societes les moins importantes on a dfl adopter le principe de stances d1instruction reparties sur une

pSriode de temps, relativement longue, a cheval sur le temps de travail et le temps de repos. Dans ce systeme dit "a temps partiel" les " "

formateurs conservent generalement des responsabilites d1exploitation

ayeo tous les aleas que cela comporte pour la bonne organisation de

1'enseignement.

- Bien que la situation se soit sensiblement amelioree depuis

quelques annees, l'absence d'etablissements publics d!enseignement

professionnel s'est fait lourdement sentir dans la plupart des pays consid^res. La formation de base des jeunes agents a done ete prise

en charge par les entreprises dont la vocation devrait pourtant rester

axee sur la formation specialisee et sur le perfectionnement des adultes.

- Snfin,- il a ete necessaire de tenir le plus grand compte de

certalnes donhees psychosociologiques s ■ .

- manque d*"impregnation industrielle" du personnel a former ou a perfectionner necessitant une adaptation mentale permanente a

1 organisation, aux structures et aux metiers specifiques de l'entre-

•- tendance encore marquee de jeunes africains pourvus d'une bonne

i^n-^nQraie de baSS ^ n6^iger l'acquisition de connaissances

ologiques et pratiques qui sont indispen3ableS a 1'exercice d'une

profession de caractere industriel,

- multiplicity des langues qui gene la comprehension mutuelle, r influ-enoe^du milieu familial qui, en particulier, peut poser

dir^6^?10?16^.^ deunes cadres et ^ jeunes agents.de maitrise

dans 1'application^'une autorite fondee sur la competence et non sur

l'anciennete ou certains privilegesppain^une autorite fo

l'anciennete ou certains privileges,

- septicieme - parfois meme hostilite - generalement plus instinctif .que raisonn^ de certains cadres de maitrise expatries, vis^-vis de

1 action de formation professionnelle menee au sein de l'entreprise.

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'/ Try" "A*"1**"

Bilan -.afrioanisation ' .

Dresser le "bilan de l'aotion de formation professionnelle qui

vient d!§tre de"finie c'est, en fait, poser le probleme de I'africanisation

du personnel des entreprises.

- Grace a I1effort accompli a la base de la pyramide hierarchique

(alphat&tisation ouvriere et initiation technique, plate-f«rme de base)

on peut estimer que le personnel d!execution de la filiere technique est maintenant africanism dans sa presque tbtalite.

- Dans les sooie"tes les plus importantes I'africanisation des

cadres de mattrise ee^ de";ja bien engaged et atteint jusqu'a 75 P* 100 de l'effectif de cette oat^goried'agents. Bile est tres nettement moins pouss^e dans d'autres entreprises qui ne disposent pas des memes moyens

de formation et des memes possibilites de recrutement exterieur & la

sortie des etablxssements publics d'enseignement technique.

Pour oompleter l'action developpee au niveau de la petite maitrise, un effort particuliereraent important reste a entreprendre, dans toutes les societes, pour la formation systematique de la maitrise de commandement et des techniciens superieurs ou auxiliaires d'inge"nieurs.

- L'africanisation des cadres a &te commehc^e avec sucoes. Slle pose des problemes beaucoup plus difficiles mais la volont6 des

gouvernements et des dirigeants de sbcietes d© voir acceder de jeunes cadres africains diplomes a des fonctions d'encadrement et de gestion devrait pouvoir trouver des solutions satisfaisantes dans la plupart des entreprises. Toutefois des de"lais sont encore necessaires pour atteindre les objectifa fixes au sein de chaque societe afin que le nouvel enoadrement puisse aoquerir 1'experience et la maturity d1esprit"

gui sont absolument indispensables. L1integration de ces jeunes cadres dans les structures pose d'ailleurs des probleraes specifiques qu'il conviendrait de r^soadre au oours des prochaines annees.

Perspectives d'avenir

L!expansion continue des societes de production et de distraction d^lectricite, la mise en place et 1' exploitation d' installations modernes chaque jour plus oomplexes, le developpement des programmes d1 Electri fication rurale, 1'utilisation indus-fcrielle, domestique et artisanale

de l'energie ^lectrique, n^oessitent la mise en jeu deactivates speoialisSes et tres differenci6es qui exige la formation syst^matique d'une main

d'oeuvre tres qualifiee. A ces besoine s'ajoutent ceux qui r^sultent des programmes d'africanisaiidn, qui, oomme nous lfavons vu, sont appeles a se developper rapidement aux niveaux superieur et intermediaire de la

pyramide hierarchique. ,

C'est dire que les moyens mis en oeuvre jusqu'a present devront §tre utilises au maximum et parfois completes en fonction des besoins qui, des maintenant, apparaissent au sein des diverses entreprises#

(8)

Page 7

™ f 1'avenir, 1'action a developper dans les pays considers pouvoir s'orienter vers les objectifs.suivants i n3iaeres

colJaJ°ration engag^e entre les societes et les eooles publiaues

dfentreprises devraient pouvoir consacrer

doe

Bans certains oas cette cooperation pourrait aller iusau

-

(9)

/ Page 8

L'organisation en leur faveur, et dansle cadre de la *

d'aooeder rapidement a. des postes de responsabilxtt.

Mais las effectifs-a prendre en consideration actuellement dans

sgifffi

ooi^entis aue pour satisfaire des

suivants *

-formation de la jeune^maitrise de contact et de la maltrise

de commandement, ,

- formation de specialistes hautement qualifies (electronique,

regulation, telecommunications, etc.),

- perfectionnement. technologique et professionnel des jeunes

ingenieurs,

- perfeotionnement des cadres de gestion,

- formation et perfectionnement des foramteurs africains.

centre avoir une competence

munioatlons. ■ II serait dot6 de tout

oomporterait un inteimat.

agents aux sessions organisees dans

Conclusion : ,

centres

n4oessite.de la poursuivre et meme de la

V

(10)

I ■

B/CT.14/BP/40

Page 9

-

oas, pour des interventions aux niveaux deS ^ad^s et de la Strise!

™m Y6S ^r?1188 actionB, pour etre rentables, devraient dono

noimalement etre conoentrees dans quelaues centos so^^rlgit

disposant des moyens pedagogiques et d'aooueil neoessaires

f^ d-eleotricite et a 1 • expansion de leurs . Aussi, devraient-elles pouvoir compter sur le

des organises donateurs d'aide biiaterfle ou E£L

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