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Fédération de Russie. Danemark. Brésil. Israël. Italie 1. Corée 1. Pays-Bas. Royaume-Uni

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INDICATEUR

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StatLink : http://dx.doi.org/10.1787/103066465502

Cet indicateur décrit les tendances de scolarisation dans l’enseignement secondaire et indique les pourcentages de jeunes qui entameront les différents types de formation tertiaire au cours de leur vie. Les taux d’accès aux programmes tertiaires et les taux de scolarisation à ce niveau d’enseignement donnent un aperçu de l’accessibilité de ces formations et de la valeur subjective qui leur est accordée. Cet indicateur compare également le rôle des prestataires publics et privés de services d’éducation dans les pays de l’OCDE et les pays partenaires.

Points clés

10090 8070 60 5040 3020 100

%

graphique C2.1a. Taux d’accès à l’enseignement tertiaire de type A (2000, 2004) Somme des taux nets d’accès à chaque âge

Ce graphique montre la proportion d’individus qui entament pour la première fois des études tertiaires de type A ainsi que son évolution entre 2000 et 2004. Les taux d’accès donnent un aperçu de l’afflux d’étudiants pendant une certaine période, et non des effectifs scolarisés à ce niveau. Contrairement aux taux de scolarisation, ils ont le mérite de ne pas être influencés

par la variation de la durée des programmes d’un pays à l’autre.

2000 2004

1. Les taux d’accès aux programmes tertiaires de type A sont des taux bruts. Cette note s’applique seulement à l’Italie et la Pologne pour les données de l’année 2000.

2. Nouveaux inscrits à temps plein uniquement.

3. La Communauté germanophone de Belgique est exclue.

Les pays sont classés par ordre décroissant du taux d’accès à l’enseignement tertiaire de type A en 2004.

Source : OCDE. Tableau C2.1. Voir les notes à l’annexe 3 (www.oecd.org/edu/eag2006).

Nouvelle-Zélande Suède Islande Finlande Pologne1 Australie Norge Hongrie ration de Russie Isrl Pays-Bas Danemark Italie1 Royaume-Uni Corée1 Brésil République slovaque Chili1 Espagne Irlande2 Japon1 Suisse République tcque Allemagne Autriche Belgique3 Gce Mexique Turquie

En 2004, plus de 60 % des jeunes ont entrepris des études tertiaires de type A en Australie, en Finlande, en Hongrie, en Islande, en Norvège, en Nouvelle-Zélande, en Pologne et en Suède et, dans les pays partenaires, en Fédération de Russie. Entre 2000 et 2004, les taux d’accès à des formations tertiaires de type A ont progressé de plus de 10 points de pourcentage en Australie,au Danemark, en Irlande, en Islande, en Italie, en République slovaque, en République tchèque et en Suède.

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INDICATEUR

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études tertiaires de type A au cours de leur vie. Selon la moyenne établie sur la base des 17 pays de l’OCDE pour lesquels des données comparables sont disponibles, 2 % des jeunes entameront un programme de recherche de haut niveau à un moment de leur vie.

• La proportion d’individus qui entameront des études tertiaires de type B est généralement plus faible que celle estimée pour les études tertiaires de type A.

Selon la moyenne établie sur la base des pays de l’OCDE pour lesquels des données sont disponibles, 16 % des jeunes entreprendront un jour des études tertiaires de type B. Cette proportion ne représente pas plus de 4 % en Italie, au Mexique, en Norvège, en Pologne et en République slovaque, mais dépasse la barre des 30 % en Belgique, en Corée, au Japon et en Nouvelle-Zélande. L’évolution constatée entre 2000 et 2004 varie d’un pays à l’autre.

• En Belgique et, dans une moindre mesure, en Corée et au Japon, le taux élevé d’accès aux formations tertiaires de type B compense le taux relativement faible d’accès aux formations tertiaires de type A. À l’inverse, l’Islande, la Norvège, la Pologne et la Suède affichent des taux d’accès aux formations tertiaires de type A qui sont supérieurs à la moyenne de l’OCDE, mais des taux d’accès aux formations tertiaires de type B qui sont très faibles par comparaison avec ceux d’autres pays. Quant à la Nouvelle-Zélande, elle se distingue des autres pays par des taux d’accès importants aux deux types de formation, les plus élevés de l’OCDE.

• Il est de tradition d’entamer les études tertiaires de type A dès la fin des études secondaires. Cet usage reste courant dans de nombreux de pays de l’OCDE.

• Dans 14 pays de l’OCDE, la majorité des élèves inscrits dans le deuxième cycle de l’enseignement secondaire suivent des formations à vocation professionnelle ou des programmes combinés emploi-études. Les formations professionnelles sont dispensées en milieu scolaire dans la plupart des pays de l’OCDE.

• Dans les pays de l’OCDE, l’éducation reste l’apanage du secteur public à tous les niveaux d’enseignement, même si le secteur privé prend davantage d’importance au-delà de la scolarité obligatoire : 89 % environ des élèves du primaire fréquentent un établissement public. Les établissements gérés par le secteur privé accueillent en moyenne 11 % des élèves du primaire, 15 % des élèves du premier cycle du secondaire et 20 % du deuxième cycle du secondaire.

• En moyenne, dans les pays de l’OCDE, 12 % des étudiants ayant opté pour une formation tertiaire de type A (ou un programme de recherche de haut niveau) s’inscrivent dans des établissements privés indépendants. Cette proportion représente le double de la moyenne calculée sur la base des 19 pays membres de l’UE considérés ici.

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Contexte

Un certain nombre de facteurs, parmi lesquels le risque accru de chômage et les autres formes d’exclusion qui menacent les jeunes dont le niveau de formation est insuffisant, encouragent les adolescents à poursuivre des études au-delà de la scolarité obligatoire et à obtenir leur diplôme de fin d’études secondaires. Force est de constater, en effet, que le diplôme de fin d’études secondaires devient la norme dans la plupart des pays de l’OCDE. La majorité des programmes du deuxième cycle de l’enseignement secondaire sont principalement conçus pour préparer les élèves à poursuivre des études tertiaires (voir l’indicateur A2).

Un taux élevé d’inscription et de scolarisation dans l’enseignement tertiaire contribue à entretenir et à améliorer le niveau de formation de la population et de la main-d’œuvre. Par ailleurs, les formations tertiaires sont souvent associées à de meilleures perspectives d’emploi (voir l’indicateur A8) et de rémunération (voir l’indicateur A9). Les taux d’accès aux différents programmes tertiaires donnent une idée de la mesure dans laquelle la population acquiert des connaissances et des compétences pointues qui sont valorisées sur le marché du travail dans la société du savoir d’aujourd’hui.

Les taux d’accès aux études tertiaires de type A et B ont augmenté à mesure que les étudiants ont pris conscience des avantages économiques et sociaux liés à une formation de ce niveau (voir l’indicateur A3). Comme les formations tertiaires de type A sont davantage prisées et qu’elles ont tendance à être plus longues, elles mobilisent plus de moyens (voir l’indicateur B1, tableau B1.3).

L’accroissement continu des taux de scolarisation dans l’enseignement tertiaire et la diversité toujours plus grande des parcours et des centres d’intérêt des candidats aux études tertiaires imposeront aux établissements d’enseignement tertiaire d’augmenter leur capacité d’accueil et d’adapter les programmes et les modes d’enseignement aux besoins variés des nouvelles générations d’étudiants.

Observations et explications

Dans la plupart des pays de l’OCDE, le diplôme de fin d’études secondaires devient la norme, mais le contenu des programmes de cours dispensés dans le deuxième cycle du secondaire varie selon le type d’études ou de profession auquel ils doivent préparer les élèves. Un large éventail de formations post-secondaires est également proposé (voir l’indicateur C1).

Accès global à l’enseignement tertiaire

Dans les pays de l’OCDE, les programmes tertiaires varient selon qu’ils sont axés sur un enseignement théorique et conçus pour préparer les étudiants à suivre un programme de recherche de haut niveau ou à exercer des professions exigeant un niveau élevé de compétence (l’enseignement tertiaire de type A) ou qu’ils visent à inculquer des compétences propres à un métier donné en vue de permettre aux étudiants d’entrer directement dans la vie active (l’enseignement tertiaire de type B). La classification des programmes de chaque pays dans ces catégories figure à l’annexe 3 (www.oecd.org/edu/eag2006).

À supposer que les tendances actuelles restent stables, 53 % des jeunes d’aujourd’hui entreprendront des études tertiaires de type A au cours de leur vie en moyenne dans les pays de l’OCDE (52 % dans les 19 pays membres de l’UE considérés ici). En Australie, en Finlande,

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en Hongrie, en Islande, en Norvège, en Nouvelle-Zélande, en Pologne et en Suède et, parmi les  pays partenaires, dans la Fédération de Russie, plus de 60 % des jeunes entament une formation  tertiaire de type A. Aux États-Unis, le taux d’accès s’établit à 63 %, mais il est calculé sur la base  des études tertiaires de type A et B (voir les colonnes correspondant aux formations de type A  dans le tableau C2.1).

Dans d’autres pays de l’OCDE, les taux de première inscription à des programmes tertiaires de  type A sont sensiblement plus faibles. Ces taux sont estimés à 35 % environ en Allemagne, en  Autriche, en Belgique, en Grèce, en République tchèque et en Suisse. Ils sont particulièrement  peu élevés au Mexique (29 %) et en Turquie (26 %).

La proportion de jeunes qui entreprennent une formation tertiaire de type B est en général plus  faible que la proportion de ceux qui entament des études tertiaires de type A. Selon la moyenne  établie  sur  la  base  des  pays  de  l’OCDE  pour  lesquels  des  données  sont  disponibles,  16 %  des jeunes commenceront une formation tertiaire de type B. Cette moyenne ne s’écarte pas  significativement de celle calculée pour les 19 pays membres de l’UE (13 %). Cette proportion  ne représente pas plus de 4 % en Italie, au Mexique, en Norvège, en Pologne et en République  slovaque, et parmi les pays partenaires, le Brésil, mais elle dépasse 30 % en Belgique, au Japon  et,  parmi  les  pays  partenaires,  dans  la  Fédération  de  Russie,  et  même  45 %  en  Corée  et  en  Nouvelle-Zélande (voir le tableau C2.1 et le graphique C2.1b).

En Belgique et, dans une moindre mesure, en Corée et au Japon, le taux élevé d’accès aux formations  tertiaires de type B compense le taux relativement faible d’accès aux formations tertiaires de type A. 

D’autres pays de l’OCDE comme l’Islande, la Norvège, la Pologne et la Suède, affichent des taux  d’accès aux formations tertiaires de type A qui sont supérieurs à la moyenne de l’OCDE, mais des  taux d’accès aux formations tertiaires de type B qui sont très faibles par comparaison avec d’autres  pays. Quant à la Nouvelle-Zélande, elle se distingue des autres pays par des taux d’accès importants  pour les deux types de formation, les plus élevés de l’OCDE.

Selon  la  moyenne  calculée  sur  la  base  de  tous  les  pays  de  l’OCDE  pour  lesquels  des  données  comparables sont disponibles, la proportion de jeunes qui entameront des études tertiaires de type A  a augmenté de 20 % depuis 2000. Entre 2000 et 2004, les taux d’accès à des formations tertiaires  de type A ont progressé de plus de 10 points de pourcentage en Australie, au Danemark, en Irlande,  en Islande, en Italie, en République slovaque, en République tchèque et en Suède. L’Espagne est  le seul pays de l’OCDE qui ait connu pendant cette période un léger tassement du taux d’accès  aux formations tertiaires de type A, compensé toutefois par une augmentation significative du taux  d’accès aux formations tertiaires de type B (voir le tableau C2.1 et le graphique C2.1a).

Les taux nets d’accès aux formations tertiaires de type B n’ont pas évolué de la même façon  dans tous les pays de l’OCDE entre 2000 et 2004. En moyenne, leur augmentation s’établit à  2 points de pourcentage seulement pendant cette période. Ces taux ont légèrement progressé  dans la plupart des pays, si ce n’est en Corée, au Danemark, en Irlande, en Islande, en Norvège  et en République slovaque où ils ont régressé et en Italie, au Japon et en Pologne, où ils sont  restés inchangés (voir le tableau C2.1b). Au Danemark, l’écart enregistré entre 2000 et 2004  s’explique en partie par l’adoption après 2000 d’une nouvelle classification des formations, qui  a donné lieu à la transformation de formations tertiaires de type B en formations tertiaires de  type A (voir les graphiques C2.1a et C2.1b).

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Selon la moyenne établie sur la base des 17 pays de l’OCDE et des trois pays partenaires pour lesquels des données sont disponibles, près de 2 % des jeunes commenceront un programme de recherche de haut niveau à un moment de leur vie. Cette proportion ne représente pas plus de 1 % en Australie, en Autriche, en Islande, au Mexique et en Norvège et, dans les pays partenaires, au Chili, mais atteint ou dépasse 3 % en République slovaque, en Suède et en Suisse (voir le tableau C2.1).

Il convient d’interpréter les taux nets d’accès aux formations tertiaires à la lumière de la scolarisation dans des programmes post-secondaires non tertiaires. Ces programmes constituent en effet une alternative importante à l’enseignement tertiaire dans certains pays de l’OCDE (voir l’indicateur C1).

Âge des nouveaux inscrits dans l’enseignement tertiaire

La pyramide des âges des nouveaux effectifs de l’enseignement tertiaire varie selon les pays de l’OCDE. Certains étudiants peuvent avoir commencé à travailler à l’issue de leurs études secondaires avant de s’inscrire dans l’enseignement tertiaire, tandis que ceux qui entament des formations tertiaires de type B pourront entreprendre des études tertiaires de type A plus tard dans leur vie. En conséquence, il n’est pas possible d’additionner simplement les taux d’accès aux formations tertiaires de type A et de type B pour obtenir des taux d’accès pour l’ensemble de l’enseignement tertiaire, car il existe un risque de double comptage.

10090 80 7060 5040 3020 10 0

%

graphique C2.1b. Taux d’accès à l’enseignement tertiaire de type B (2000, 2004) Somme des taux nets d’accès à chaque âge

2000 2004

1. Les taux d’accès aux programmes tertiaires de type B sont des taux bruts. Cette note s’applique à l’Italie, la Pologne et la République slovaque pour les données de l’année 2000.

2. La Communauté germanophone de Belgique est exclue.

3. Nouveaux inscrits à temps plein uniquement.

Les pays sont classés par ordre décroissant du taux d’accès à l’enseignement tertiaire de type B en 2004.

Source : OCDE. Tableau C2.1. Voir les notes à l’annexe 3 (www.oecd.org/edu/eag2006).

Nouvelle-Zélande Corée1 Belgique2 Fédération de Russie Japon1 Royaume-Uni Grèce Chili1 Espagne Danemark Suisse Irlande3 Turquie Allemagne1 République tchèque Hongrie Autriche1 Islande Suède Brésil République slovaque1 Mexique Italie1 Pologne1 Norvège

StatLink : http://dx.doi.org/10.1787/103066465502

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Il est de tradition d’entamer les études tertiaires de type A dès la fin des études secondaires.

Cet usage reste courant dans de nombreux pays de l’OCDE. Ainsi, en Belgique, en Espagne, en Grèce, en Irlande, en Italie, aux Pays-Bas, en Pologne et en République tchèque, plus de 80 % de ceux qui entreprennent des études tertiaires de type A pour la première fois ont moins de 23 ans (voir le tableau C2.1).

Dans d’autres pays de l’OCDE et pays partenaires, en revanche, l’entrée dans l’enseignement tertiaire intervient souvent plus tard, parfois après une période d’activité professionnelle. Dans ces pays, ceux qui entament des études tertiaires de type A pour la première fois sont généralement plus âgés et appartiennent à un groupe d’âge nettement plus étendu. Au Danemark, en Islande, au Royaume-Uni, en Suède et, dans les pays partenaires, au Brésil et en Israël, plus de la moitié des étudiants qui entreprennent des études tertiaires pour la première fois ont au moins 22 ans (voir le tableau C2.1). La proportion d’étudiants plus âgés qui commencent pour la première fois des études tertiaires de type A peut, avec d’autres éléments, témoigner de la souplesse de ces formations et de leur adéquation aux besoins d’individus qui n’appartiennent pas au groupe d’âge typique. Cette proportion peut également traduire une perception particulière de la valeur de l’expérience professionnelle en tant que préparation complémentaire aux études supérieures, caractéristique des pays nordiques et assez répandue en Australie, en Hongrie, en Nouvelle- Zélande, en République tchèque et en Suisse. Dans ces pays, une proportion non négligeable de nouveaux inscrits a largement dépassé l’âge typique d’inscription. En Australie, en Hongrie, en Islande, en Nouvelle-Zélande et dans les pays nordiques, plus de 20 % de ceux qui entament pour la première fois des études à ce niveau ont au moins 27 ans.

Scolarisation dans les filières professionnelles du deuxième cycle du secondaire

Dans la plupart des pays de l’OCDE, les élèves ne suivent pas un programme uniforme dans le deuxième cycle de l’enseignement secondaire. Les programmes du deuxième cycle du secondaire sont classés en trois catégories selon qu’ils sont plus ou moins orientés vers un groupe particulier de professions ou de métiers et permettent d’acquérir une qualification pertinente pour le marché du travail :

• L’enseignement (général) de type 1 n’est pas explicitement conçu pour préparer les élèves à exercer des professions précises ou à accéder à des formations professionnelles ou techniques plus poussées. Moins de 25 % des matières de ces programmes sont de nature professionnelle ou technique.

• L’enseignement (pré-professionnel ou pré-technique) de type 2 est principalement destiné à initier les élèves au monde du travail et à les préparer à suivre une formation professionnelle ou technique plus poussée. Ces programmes ne sont pas conçus pour donner aux élèves une qualification professionnelle ou technique directement utilisable sur le marché du travail. Au moins 25 % des matières de ces programmes doivent être de nature professionnelle ou technique.

• L’enseignement (professionnel) de type 3 prépare les élèves à l’exercice immédiat de professions spécifiques, sans autre formation. Ils sont conçus pour donner aux jeunes une qualification professionnelle ou technique adaptée au marché du travail.

L’orientation professionnelle ou générale plus ou moins marquée d’un programme n’est pas nécessairement le critère qui détermine s’il donne accès ou non à l’enseignement tertiaire.

Dans plusieurs pays de l’OCDE, certaines formations à vocation professionnelle sont également

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conçues pour préparer les élèves à des études tertiaires plus poussées alors que, dans d’autres pays, de nombreuses formations à vocation générale ne donnent pas directement accès à des niveaux supérieurs d’enseignement. Dans tous les pays de l’OCDE, les élèves ont le choix entre une orientation professionnelle, pré-professionnelle ou générale.

Dans 14 pays de l’OCDE, la majorité des élèves scolarisés dans le deuxième cycle de l’enseignement secondaire suivent des formations professionnelles ou des programmes emploi- études. Dans les pays dotés d’un système de formation en alternance (en Allemagne, en Autriche, au Luxembourg, aux Pays-Bas et en Suisse), ainsi qu’en Australie, en Belgique, en Finlande, en Italie, en Norvège, en République slovaque, en République tchèque et au Royaume-Uni, 60 % au moins des élèves scolarisés dans le deuxième cycle de l’enseignement secondaire suivent des programmes à vocation professionnelle ou pré-professionnelle. L’Espagne, la Hongrie, l’Islande et la Turquie font figure d’exception à cet égard, car la majorité des élèves y suivent des programmes à vocation générale, malgré l’existence d’un système de formation en alternance (voir le tableau C2.5).

Dans la plupart des pays de l’OCDE, les formations professionnelles sont dispensées en milieu scolaire. Le Royaume-Uni échappe à ce constat : de nombreux programmes professionnels relèvent de la filière dite « post-scolaire » (Further Education). Par ailleurs, en Autriche, en Islande, en République slovaque et en République tchèque, la moitié environ des programmes à vocation professionnelle allient une formation en milieu scolaire à une formation pratique en entreprise.

En Allemagne, au Danemark, en Hongrie et en Suisse, 80 % au moins de ceux qui suivent des programmes à vocation professionnelle combinent formation en milieu scolaire et formation en entreprise.

Un large éventail de programmes est proposé après le deuxième cycle de l’enseignement secondaire.

Ceux qui souhaitent poursuivre leurs études peuvent opter pour des formations tertiaires à vocation professionnelle qui sont relativement courtes ou pour des formations de nature plus théorique qui sont conçues pour les préparer à entamer un programme de recherche de haut niveau ou à exercer des professions exigeant des compétences pointues. Ces formations plus théoriques sont essentiellement, mais pas exclusivement, dispensées en milieu universitaire.

Scolarisation dans l’enseignement tertiaire

Le taux de scolarisation met en lumière un autre aspect de la scolarisation dans l’enseignement tertiaire. En effet, il reflète à la fois le nombre total de personnes accédant à l’enseignement tertiaire et la durée des études à ce niveau. La somme des taux nets de scolarisation à chaque âge représente une variable appelée « espérance de formation tertiaire », c’est-à-dire la mesure globale de l’importance des formations tertiaires entreprises par une cohorte d’âge, plutôt que par des individus. À la différence des taux d’accès, il est possible d’additionner les espérances de formation tertiaire calculées sur la base des effectifs des formations tertiaires de type A et B.

En moyenne, dans l’ensemble des pays de l’OCDE, un jeune de 17 ans peut espérer passer trois ans dans l’enseignement tertiaire, dont 2,3 ans à temps plein. En Corée, aux États-Unis, en Finlande et en Nouvelle-Zélande, les jeunes de 17 ans peuvent s’attendre à suivre au moins quatre ans d’études tertiaires (à temps plein et à temps partiel). Par contraste, l’espérance de formation tertiaire est inférieure à deux ans au Mexique, en République slovaque et en Turquie (voir le tableau C2.2) et, dans les pays partenaires, au Brésil.

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En moyenne, dans les pays de l’OCDE, l’espérance de scolarisation est nettement plus élevée dans les formations tertiaires de type A (2,4 ans) que dans les formations tertiaires de type B (0,5 an). Cet écart s’explique en partie par la durée plus courte des formations tertiaires de type B par rapport aux formations tertiaires de type A.

Évolution de la scolarisation

Les taux de scolarisation sont moins sensibles aux effets de l’évolution de la taille des cohortes d’âge dans l’enseignement tertiaire que dans l’enseignement primaire et secondaire. Le graphique C2.2 distingue les deux facteurs qui contribuent à la variation des effectifs : l’évolution de la taille des cohortes d’âge et l’évolution des taux d’inscription.

En valeur absolue, tous les pays de l’OCDE ont enregistré une progression du taux de scolarisation dans l’enseignement tertiaire entre 1995 et 2004 (50 % en moyenne). Le nombre d’étudiants inscrits dans l’enseignement tertiaire a augmenté de plus de 30 % dans la moitié des pays de l’OCDE pour lesquels des données sont disponibles. Il a plus que doublé en Grèce, en Hongrie, en Islande et en Pologne (voir le tableau C2.2).

L’augmentation des effectifs de l’enseignement tertiaire résulte au premier chef de l’accroissement de la demande, dont témoignent des taux d’inscription plus élevés. L’Australie, le Canada, l’Islande, le Mexique et la Turquie sont les seuls pays de l’OCDE où la croissance démographique

280260 240220 200180 160140 120100 8060

Indice de variation (1995 = 100)

graphique C2.2. Variation des effectifs dans l’enseignement tertiaire en fonction de l’évolution des taux d’inscription et de la démographie (1995-2004)

Indice de variation du nombre d’inscrits dans l’enseignement tertiaire entre 1995 et 2004 et contribution relative de l’évolution démographique et des taux d’inscription (1995 = 100)

Les pays sont classés par ordre décroissant de la variation absolue des effectifs dans l’enseignement tertiaire.

Source : OCDE. Tableau C2.2. Voir les notes à l’annexe 3 (www.oecd.org/edu/eag2006).

Hongrie Islande Grèce République tchèque Turquie Corée Mexique Suède Danemark Portugal Finlande Australie Royaume-Uni Espagne Belgique Norvège Allemagne France Canada

Variation moyenne des effectifs du tertiaire dans

les pays de l’oCDE

Évolution démographique Évolution des taux d’inscription

Variation absolue du nombre d’étudiants inscrits

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a contribué de manière significative à la progression du nombre d’étudiants dans le tertiaire.

La hausse du nombre d’étudiants dans le tertiaire aurait été nettement plus marquée dans de nombreux pays de l’OCDE (en particulier en Allemagne, en Corée, au Danemark et en Hongrie) si ceux-ci n’avaient pas enregistré une baisse démographique.

La taille relative du secteur public et du secteur privé

Dans les pays de l’OCDE et dans les pays partenaires, l’éducation reste l’apanage du secteur public à tous les niveaux d’enseignement. En moyenne, 89 % des élèves du primaire fréquentent un établissement public. Les proportions diminuent légèrement dans l’enseignement secondaire : les établissements publics accueillent 83 % des élèves du premier cycle du secondaire et 80 % du deuxième cycle du secondaire. Le secteur privé prend généralement plus d’importance dans l’enseignement tertiaire. En effet, les établissements privés accueillent 33 % des étudiants qui suivent des études tertiaires de type B et 23 % des étudiants qui suivent une formation tertiaire de type A ou un programme de recherche de haut niveau. De surcroît, les effectifs des établissements privés indépendants ne sont significatifs que dans l’enseignement tertiaire (voir les tableaux C2.3 et C2.4).

La situation varie selon les pays. La Belgique et les Pays-Bas sont les seuls pays où le secteur privé est le principal fournisseur de services d’éducation dans l’enseignement primaire et secondaire : plus de 50 % des élèves sont inscrits dans des établissements privés à ces niveaux d’enseignement. En règle générale, dans ces deux pays comme dans les autres, les établissements privés d’enseignement primaire et secondaire sont financés à plus de 50 % par des fonds publics, mais ils jouissent d’une certaine autonomie de gestion. Ces établissements privés subventionnés par l’État accueillent au moins 20 % des élèves du primaire et du secondaire en Australie et en Espagne. C’est ce type d’établissement que fréquente la majorité des effectifs du deuxième cycle du secondaire en Corée (50 %) et au Royaume-Uni (72 %). Enfin, le ratio est de l’ordre de 40 % aux trois niveaux d’enseignement dans un pays partenaire, en l’occurrence au Chili.

Dans l’enseignement primaire et secondaire, les établissements privés indépendants (c’est-à-dire dont la part publique du financement est inférieure à 50 %) ne jouent un rôle significatif qu’au Japon et au Mexique, où ils accueillent respectivement 30 % et 21 % des élèves du deuxième cycle du secondaire.

La situation est très différente dans l’enseignement tertiaire, où la part du secteur privé est plus importante que dans l’enseignement primaire et secondaire. Ceci est particulièrement vrai pour les études tertiaires de type B : les établissements privés accueillent environ un tiers du total des effectifs. Aux Pays-Bas et au Royaume-Uni, tous les programmes tertiaires sont dispensés dans des établissements privés subventionnés par l’État. En Belgique et, parmi les pays partenaires, en Israël, ces établissements accueillent plus de la moitié des effectifs du tertiaire. Les effectifs des établissements privés indépendants sont plus importants dans l’enseignement tertiaire qu’aux niveaux inférieurs (en moyenne, 12 % des étudiants qui suivent une formation tertiaire de type A ou B fréquentent ces établissements). Cette tendance est très marquée en Corée et au Japon, où ces établissements accueillent au moins trois quarts des effectifs du tertiaire. Les établissements privés indépendants jouent également un rôle significatif dans l’offre de programmes tertiaires de type B en Suisse. Leur part est élevée aussi en Pologne et au Portugal, mais les étudiants qui optent pour ces programmes sont relativement peu nombreux dans l’ensemble.

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Définitions et méthodologies

Les données se rapportent à l’année scolaire 2003-2004 et proviennent de l’exercice UOE de collecte de données statistiques sur l’éducation réalisé chaque année par l’OCDE.

Le tableau C2.1 indique le taux global net d’accès à tous les âges. Le taux net d’accès à un âge donné est obtenu par division du nombre de nouveaux inscrits de cet âge dans chaque type de formation tertiaire par l’effectif total de la population du même âge. Le taux global net d’accès est obtenu par addition des taux nets d’accès à chaque âge. Le résultat indique la proportion de la population d’un âge donné qui accède à l’enseignement tertiaire, indépendamment de la variation de la taille des générations et de l’âge typique d’accès entre les pays de l’OCDE. Le tableau C2.1 montre également les 20e, 50e et 80e centiles de la répartition par âge des nouveaux inscrits, c’est-à-dire l’âge en dessous duquel respectivement 20, 50 et 80 % des étudiants s’inscrivent pour la première fois.

Par nouvel inscrit (première inscription), on entend toute personne qui s’inscrit pour la première fois dans une formation du niveau considéré. Les étudiants étrangers qui s’inscrivent pour la première fois dans l’enseignement tertiaire d’un pays sont considérés comme de nouveaux inscrits.

Les pays de l’OCDE ne sont pas tous en mesure d’établir une distinction entre les étudiants qui entament pour la première fois des études tertiaires et ceux qui changent de filière, qui redoublent ou qui reprennent leurs études après une interruption. En conséquence, il n’est pas possible d’additionner les taux d’accès en première inscription à chaque niveau de l’enseignement tertiaire pour obtenir un taux global d’accès à l’enseignement tertiaire, car il existe un risque de double comptage.

Le tableau C2.2 indique le nombre d’années qu’un jeune de 17 ans peut espérer passer dans l’enseignement tertiaire. Il correspond à la somme des taux nets d’inscription des personnes âgées de 17 ans et plus (divisé par 100). Ce chiffre dépend à la fois du nombre de personnes scolarisées dans l’enseignement tertiaire et de la durée des études à ce niveau. Cet indicateur ne peut être assimilé au nombre moyen d’années qu’il faut à un étudiant pour terminer ses études tertiaires, car le dénominateur comprend aussi les individus qui n’ont jamais été scolarisés dans l’enseignement tertiaire.

Le tableau C2.5 montre la répartition des élèves inscrits dans le deuxième cycle de l’enseignement secondaire selon la finalité des programmes. Les programmes à vocation pré-professionnelle et professionnelle comprennent les programmes organisés à l’école ou en alternance (école/

entreprise) qui sont reconnus par le système d’éducation. Les formations dispensées entièrement en entreprise sans la supervision d’une autorité scolaire compétente ne sont pas prises en considération.

Les données relatives à l’année scolaire 1994-1995 proviennent d’une enquête spéciale réalisée dans des pays de l’OCDE en 2000. Les pays ont été invités à communiquer leurs données conformément aux définitions de la Classification internationale type de l’éducation de 1997 (CITE-97).

(11)

C

2

Tableau C2.1.

Taux d’accès à l’enseignement tertiaire et répartition des nouveaux inscrits selon l’âge (2004) Somme des taux nets d’accès à chaque âge, selon le sexe et la finalité des programmes

Tertiaire de type B Tertiaire de type A

Programmes de recherche

de haut niveau Taux nets d’accès (2000) Taux nets d’accès Taux nets d’accès Âge au : Taux nets d’accèsTertiaire

de type B Tertiaire de type A

H+F Hommes Femmes H+F Hommes Femmes 20e centile 1 50e centile1 80e centile 1 H+F Hommes Femmes H+F H+F Hommes Femmes

(1) (2) (3) (4) (5) (6) (7) (8) (9) (10) (11) (12) (13) (14) (15) (16)

Pays membres de l’oCDE Australie m m m 70 65 74 18.6 20.9 27.4 0.9 1.1 0.8 m 59 52 66

Autriche2 9 8 10 37 33 41 19.3 20.6 23.3 0.6 0.8 n m 33 30 37 Belgique3 35 28 42 34 33 35 18.3 18.9 22.4 m m m m m m m

Canada m m m m m m m m m m m m m m m m

Rép. tchèque 10 7 13 38 36 41 19.5 20.4 22.6 2.6 3.2 1.9 9 25 26 24 Danemark 21 20 21 55 43 68 20.9 22.6 27.1 2.0 2.2 1.7 35 29 27 32 Finlande a a a 73 65 82 19.8 21.5 27.3 m m m a 71 62 81 France m m m m m m m m m m m m 21 37 30 44 Allemagne2 16 13 19 37 38 37 20.1 21.4 24.1 m m m 13 30 30 30 grèce 26 26 27 33 30 37 18.1 18.6 19.3 2.2 2.5 1.9 m m m m Hongrie 9 7 11 68 61 76 19.2 20.9 27.6 1.8 1.9 1.6 2 65 60 70 Islande 8 8 8 79 56 102 20.9 23.5 <40 0.6 n 0.8 10 66 48 84 Irlande 4 17 18 15 44 39 50 18.3 19.1 20.0 m m m 26 31 29 34 Italie2, 5 1 1 1 55 49 62 19.2 19.8 22.1 2.0 1.9 2.0 1 43 38 49 Japon2, 5 32 24 41 43 49 36 m m m 1.3 1.8 0.7 32 39 47 30 Corée2, 5 46 44 48 48 52 45 m m m 1.8 2.3 1.3 50 45 48 41 Luxembourg m m m m m m m m m m m m m m m m mexique 2 2 1 29 28 29 18.4 19.6 23.7 0.2 0.2 0.1 1 26 27 26 Pays-Bas a a a 56 52 61 18.4 19.8 22.7 m m m 1 51 48 54 Nouvelle-Zélande 51 45 57 89 74 104 18.9 21.9 <40 1.9 1.8 1.9 m m m m Norvège 1 1 1 69 58 80 20.0 21.2 29.0 0.1 0.2 0.1 7 59 45 74 Pologne5 1 n 1 71 66 76 19.5 20.4 22.9 m m m 1 62 x(14) x(14)

Portugal m m m m m m m m m m m m m m m m

Rép. slovaque2 2 1 4 47 42 52 19.5 20.9 26.9 3.0 3.5 2.5 3 37 38 36 Espagne 22 20 23 44 37 52 18.4 19.1 22.4 m m m 15 47 41 53 suède 8 8 8 79 64 94 20.3 22.8 <40 3.0 3.1 2.9 7 67 54 81 suisse 17 20 14 38 39 38 20.0 21.6 26.1 4.4 5.2 3.5 14 29 32 26 Turquie 16 19 13 26 29 22 18.6 20.0 23.6 n 0.6 n 9 21 26 17 Royaume-Uni 28 m m 52 m m 18.8 22.4 25.6 2.2 2.5 2.0 28 46 42 49 États-Unis x(4) x(5) x(6) 63 56 71 19.4 21.2 24.0 m m m 14 43 37 49

Moyenne de l’OCDE 16 14 16 53 48 59 1.7 1.9 1.4 14 44 40 47

Moyenne de l’UE-19 13 10 13 52 46 58 2.2 2.4 1.8 12 45 40 48

Pays partenaires

Brésil 2 3 2 47 42 53 19.7 23.7 <40 1.3 x(10) x(10) m m m m Chili2, 5, 6 25 28 21 46 44 47 m m m 0.2 0.2 0.2 14 38 40 35 Israël m m m 58 52 64 21.4 23.7 27.8 m m m 31 49 44 54 Féd. de Russie 33 x(1) x(1) 67 x(4) x(4) m m m 2.0 x(10) x(10) m m m m Remarque : les différences entre la couverture des données démographiques et celle des données relatives aux élèves/étudiants et diplômés signifient que les taux de scolarisation/d’obtention de diplômes peuvent être sous-estimés pour les pays exportateurs nets d’étudiants (le Luxembourg, par exemple) et surestimés pour les pays importateurs nets d’étudiants.

1. Respectivement 20 %, 50 % et 80 % des nouveaux inscrits n’ont pas atteint cet âge.

2. Les taux d’accès aux programmes tertiaires de type B sont des taux bruts. Ils ne concernent la République slovaque que pour l’année 2000.

3. La Communauté germanophone de Belgique est exclue.

4. Nouveaux inscrits à temps plein uniquement.

5. Les taux d’accès aux programmes tertiaires de type A sont des taux bruts. Ils ne concernent l’Italie et la Pologne que pour l’année 2000.

6. Année de référence : 1999.

Source : OCDE. Voir les notes à l’annexe 3 (www.oecd.org/edu/eag2006).

Les symboles représentant les données manquantes sont présentés dans le Guide du lecteur.

StatLink : http://dx.doi.org/10.1787/103066465502

(12)

C

2

Tableau C2.2.

Espérance de scolarisation et variation des effectifs dans l’enseignement tertiaire (2004)

Espérance de scolarisation en nombre d’années dans les conditions actuelles, selon le sexe et le mode de fréquentation, et indice de variation (1995=100)

Enseignement tertiaire

de type B Enseignement tertiaire de type A

Ensemble du tertiaire (types A et B et programmes de

recherche de haut niveau) Variation des effectifs (1995 = 100) Temps plein

et temps partiel Temps

plein Temps plein et temps partiel Temps

plein Temps plein et temps partiel Temps

plein

Ensemble tertiairedu

Facteurs de variation

H + F Femmes H + F H + F Femmes H + F H + F Femmes H + F Évolution mo- graphique Évolution des taux d’inscription

(1) (2) (3) (4) (5) (6) (7) (8) (9) (10) (11) (12)

Pays membres de l’oCDE Australie 0.6 0.6 0.2 2.8 3.2 1.9 3.6 3.9 2.2 128 104 124

Autriche 0.3 0.3 x(1) 1.9 2.0 1.9 2.3 2.5 x(7) 100 m m Belgium1 1.6 1.8 1.1 1.4 1.4 1.4 3.0 3.3 2.5 120 95 126 Canada2 0.7 0.8 0.6 2.1 2.5 1.5 2.9 3.3 2.1 104 102 101 Rép. tchèque 0.2 0.3 0.2 1.8 1.8 1.7 2.1 2.2 2.1 189 91 197 Danemark 0.4 0.4 0.3 2.7 3.3 2.7 3.2 3.7 3.0 132 88 149

Finlande n n n 4.2 4.6 2.6 4.5 4.9 2.6 129 100 129

France 0.7 0.7 0.7 2.0 2.2 2.0 2.8 3.1 2.8 105 94 113 Allemagne 0.3 0.4 0.3 2.0 1.9 2.0 2.3 2.3 2.3 108 84 124 grèce 1.4 1.4 1.4 2.4 2.8 2.4 3.9 4.3 3.9 201 94 210 Hongrie 0.2 0.2 0.1 2.7 3.2 1.5 2.9 3.4 1.6 248 87 255 Islande 0.2 0.2 0.1 3.3 4.3 2.4 3.5 4.5 2.5 202 105 192 Irlande x(7) x(8) x(9) x(7) x(8) x(9) 2.9 3.3 2.2 147 m m

Italie n n n 2.8 3.2 2.8 2.9 3.3 2.9 116 m m

Japon m m m m m m m m m m m m

Corée 1.7 1.3 1.7 2.6 2.0 2.6 4.3 3.4 4.3 159 81 181

Luxembourg m m m m m m m m m m m m

mexique n n n 1.1 1.1 1.1 1.2 1.2 1.2 152 110 138

Pays-Bas a a a 2.7 2.8 2.3 2.7 2.8 2.3 m m m

Nouvelle-Zélande 1.0 1.2 0.4 3.1 3.7 1.6 4.2 4.9 2.0 m m m Norvège 0.1 0.1 0.1 3.4 4.2 2.5 3.6 4.3 2.6 118 92 127

Pologne n n n 3.2 3.8 1.9 3.3 3.9 2.0 269 m m

Portugal n n n 2.5 2.9 2.5 2.6 3.0 2.6 131 95 140

Rép. slovaque 0.1 0.1 n 1.7 1.9 1.1 1.9 2.0 1.2 m m m Espagne 0.4 0.5 0.4 2.5 2.8 2.2 3.0 3.4 2.8 120 92 128 suède 0.1 0.1 0.1 3.5 4.2 1.8 3.8 4.6 2.1 152 95 161 suisse 0.4 0.3 0.1 1.5 1.4 1.4 2.1 1.9 1.6 m m m Turquie 0.4 0.3 0.4 1.1 0.9 1.1 1.5 1.3 1.5 168 114 150 Royaume-Uni 0.6 0.8 0.2 2.1 2.3 1.5 2.8 3.2 1.8 124 99 126 États-Unis 0.9 1.1 0.4 3.2 3.6 2.0 4.1 4.8 2.5 m m m

Moyenne de l’OCDE 0.5 0.5 0.3 2.4 2.7 1.9 3.0 3.3 2.3 149 96 151

Moyenne de l’UE-19 0.4 0.4 0.3 2.5 2.8 2.0 2.9 3.3 2.4 ~ ~ ~

Pays partenaires

Brésil m m m 1.3 1.4 x(4) 1.3 1.5 1.3 m m m

Chili m m m m m m m m m m m m

Israël 0.5 0.5 0.5 2.3 2.7 1.9 2.9 3.3 2.5 m m m

Féd. de Russie m m m m m m m m m m m m

Remarque : les différences entre la couverture des données démographiques et celle des données relatives aux élèves/étudiants et diplômés signifient que les taux de scolarisation/d’obtention de diplômes peuvent être sous-estimés pour les pays exportateurs nets d’étudiants (le Luxembourg, par exemple) et surestimés pour les pays importateurs nets d’étudiants.

1. La Communauté germanophone de Belgique est exclue.

2. Année de référence : 2002.

Source : OCDE. Voir les notes à l’annexe 3 (www.oecd.org/edu/eag2006).

Les symboles représentant les données manquantes sont présentés dans le Guide du lecteur.

StatLink : http://dx.doi.org/10.1787/103066465502

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