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Chantiers dans l'enseignement spécial n°1-2 année 1978-1979 - 29

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Academic year: 2022

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(1)

1. voyage de fin d'année 2. Démarrage 1978 - 1979

4me ANNÉE Prix : 8 F

-

0

MENSUEL

D'ANIMATION P~DAGOGIQUE

ASSOCIATION ÉCOLE MODERNE

PÉDAGOGIE FREINET

des trav ... Jrs de l'e inement -·-·

(2)

A SSO CIATIO N ECO LE M O D ERNE - PËDAGOGIE FREINET

DES Î R AVAI LLE URS DE L'ENSEIGNEMEN T SP ÉCIAL A.E.M.T.E.S.

L' Association regroupe les ensei- gnants et éducateurs (instituteurs spé- cialisés, rééducateurs, psychologues .•. ) travaillant dans les diverses structures de 1 ' Enseignement Spécial ( classes de

SA RAISON D

1

ËTRE :

C'est l'existence même de l'Ensei- gnement Spécial et de ses problèmes par- ticuliers. Mais les militants de 1 ' ICEM qui l'animent luttent contre toutes les formes de ségrégation scolaire. Ils es- timent d'ailleurs qu'il n'existe pas de pédagogie spéciale. C'est pourquoi i is encouragent et entendent participer ·à toutes les tentatives faites dans ce do- maine par leurs camarades de 1' enseigne- ment dit "normal". En effet, l'expérience

SES OUTILS :

Ll'. s échanges pédagogiques, qui se font dans les " Chantiers

re·

Travail"

axés sur divers thèmes - et ouverts à tous- ..• les cahiers de roulement, les rencontres ( notannnent au cours du Con- grès annuel de 1' ICEM, à Pâques , pen- dant les vacances d'été, à Toussaint).

perfectionnement, G.A.P.P., E.M.P., ot.!

I. M. P. , S.E. S. , E. N. P. , etc . .• ) dans 1 a ligne tracée par C. Freinet et l'Insti- tut Coopératif de ·l'Ecole Moderne (I.C.

E.M.).

prouve qu'il y a dans les individus des ressources indéfinies qu'ils peuvent ma- nifester lorsqu'ils sont parvenus à se dégager des handicaps scolastiques, et qu'ils réussiraient dans bien des cas si les éducateurs les y aidaient par une reconsidé-ration totale et profonde de l'éducation dans le cadre de conditions normales d'enseignement: 15 élèves par éducateur notamment.

La revue "CHANTIERS dans 11 Enseignement Spêc1al11 (600 pages par an), qui publie chaque mois des Actualités, la vie des

"Chantiers" en cours, une rubrique "En- tr'Aide Pratique'\ et, éventuellement, des Dossiers ( documents, synthèses de cahiers ou d'échanges, recherches .•• ).

L'INSTITUT CooPËRATIF DE L'ECOLE MODERNE (l.C.E.M.) :

"L'I. C.E. M. est une grande frater- nité da.ns le travail constructif au ser-

v~ce du peuple. "

"Fait unique en France, si ce n'est

da.ns le monde, des mi Uiers d'éducateurs de toutes tendances et de toutes condi- tions participent depuis 25 ans à wze des plus grandes entreprises coopérati- ves de notre histoire pédagogique. Leur W'l.i té n 'est point faite de silence ou d'abandon, mais de dynamisme et de loyau- au service d'W'l.e grande cause : la lutte sur tous les terrains pour que s'améliorent et s'humanisent les con- ditions de travail et de vie de nos en- fants, l 'action hardie pour que les for- ces de réaction ne sabotent pas davan- tage, ne pervertissent ou ne détruisent les fleurs que nous tachons de laisser éclore et s'épanouir, parce qu'elles portent la graine de notre bien le plus précieux : l'enfant. "

C. Freinet, Nancy 1950

L' éducation est épanouissement et él éva- ti on et non accumulation de connaissan- ces, dressage ou mise en condition.

Dans cet état d'esprit l'ICEM recherche les techniques qe travail et les outils, les modes d'organisationetde vie, dans le cadre scolaire et social, qui permet- tront au maximum cet épanouissement et cette élévation.

Aussi, encourageons - nous les adhérents de l'A.E.M.T.E.S. à participer au tra- vail des Groupes Départementaut 1 'E- cole Moderne et des diverses Commissions de l'I.C.E.M.

L' I.C.E.M. BP 251- 06406 CANNES CEDEX -

pub lie une revue pédagogique ( 15 N° /an )

L ' E D U C A T E U R

LA COOPERATIVE.DE L'ENSEIGNEMENT LAIC, la C.E.L. vend le matériel nécessaire à la pratique de la pédagogie Freinet.

C.E.L. : BP 282 06403 CANNES CEDEX

(3)

Directeur de la publication: D. VILLEBASSE -35, rue Neuve -59200 TOURCOING Commission Paritaire des Papiers et Agences de Presse N° 58060

Imprimerie spéciale - A.E.M.T.E.S. : 22, rue Miramont -12300 DECAZEVILLE

(4)

TROIS JOURS A MESCHERS

extr0:'it du journal de 'la S.E.S. de MONTOIRE / LOIR

Présentation du voyage par le responsable de la S.E.S. -·--···-- - ---·--

?

Le voyage en car de Montoire à Meschers ..... ·--·-·····-.. ··--···--···-···-···----··-.. ·-·· 3 à 7 La colonie d' accuei 1 : les bâtiments .. _ ... ·--···-·----·-·-·--···--···-···----·--·- 7 - 8 Les activités à MESCHERS : -·-····· .. ·······-··· .. ···---- .. ··-·--·-·---··---···--··-·-···--···-·--·---·--·--··- 9 à 13

- le Ménage .............. 9

La cuisine - les re~as_g

- La plage - le bain ...... 10 - La pêche ... ;···· ....... ···-····-· 12

LES VISITES : ... '. ... -··-···-······-·-····· ···-···--···-·-···-·-···-··-·-·-···--·-·---- ----·-···· 14 à 17 - le port de Meschers ... · .. :.14

- Royan ···-···-···----····-···--····--···--··-- 15 - Tal mont .......... 16

Les Ve i 11 é es ............... _ ...... ---···--···-·····-···--··-- 1 d

fin du reportage de la S.E.S.

AU COMMENCEMENT •.• quelques mots de G. Ferrand ···--- - - - · - -··--- 19 - 20.

Deuxième partie ENTR'AIDE PRATIQUE

L'organisation du voyage ... ·-··-·--···--·-····-·-- 21i à 31

Conclusion

---·---·--·--· .. ···--.. -·--·-··· 3 1

ooooe 0 00000 0

(5)

L E . f' E T 1 T C A N A R D DU LO I R

~oopérative Scolaire Section Education Spécialisée Collège de Montoire-sur-le Loir

(6)

8

Trois jours . à ~ 'VlES~JJ.i EOS SL,!' (.'i;~i;nd<:

Trois jours au bord de fa mer , nou& en parlions.ils en parlaient depuis fort long.

temps . Cette idée , émise au début ~e

1 année soolaire 76-77 , était deven üe réa- lité ce m ardi 28 juin 1977 , lorsque tout le mond'e

«

s'embarqu'a

»

à l'aube pour l'Océan •..

La mer,. tous en avaient entendu

parter

tous â'vai·ent rêvé aux flots bleus , mais

bien peu l'avaient côtoyée.

Ce voyage fut une fête , une récompense et la preuve qu'avec toute une somma de

bonnes volontée .• btaucoup de choses peuvent voir le jour. Ce fut aulSst une ex- péritnce pédagogique d~gne de ce nom ! au cours de laquelle nous avons décou- vert nos élèves sous un jou!"' diffèreut.

Un tel devena·t un merve' fieux anima- teur de veillée ,telle autre , une maîtres- se de maison ïrréprochab'e , un cuisi- nier ou une cuisinrère de talent,un vai - fant _pêchaur de crabes ou de moutes,

u~ nageur émérite •••

Nous avo~s vécu ces tro\s jour~ il. i'un1s-

~on , le soleil était ~a pou~ rou~ sourire Ce séjour reste gravé dans nos mémoi-

res . La SES

penee

,,air.tenant.

à ('event

r

Un voyage à Maschers en 1978 est déjà pl'ogammè. A qwand la classe de mer 15 jours. ou 3 semaines? . .

le Resoonsab:e de la S E S

éP

,, I

- V IJ : ...,.,n ;., .te(; I /!-.. .P ~/ ~/:..t.l...·~. ·, n ·,-~ -i,c,.1 ..,.

./~ '

.,/

- ---- ---

(7)

TROlS JüLJRS A MESCHERS

.. Le voy age

f

Après de

long:~

préparatifs ,après de lon g · s }.ours d'attente · e t d

1

impatien - ce , te gran d moment du. départ est arrivé .

Nou s atJons terminer - l'année sco- laire par trois jours à ~ esc h e rs , sur

l'estuaire de la Gironde , dans l es lo- caux de la colonie de vacances de Montoire.

C'est.

l~

Goew{ en fête , qu e n o u s

·mOhtotts dan s le car , bl eu comme

le cie' , aussi bl eu que la ni er que

b(:!aucoup vonf d écouvrir .

Pour beaucoup

1

c' est aussi te pre ..

. mier grand voyage . ·

Nous allons voir

1

de nos propres yeux ,

c~

qu.e nou s _ étudions d'habi -.

tud e en c l~s se , ou dans nos livres . Ju squ'à

To~rs

, nous

connaisson~

presq4 e tgus l e p arcours.Nous traver

1 '

~ons

une rég\on où nou s vivons .,

8

(8)

8

La orume se lève s ur la

campagn~,

le soleil fait so n apparition , sal ué par de retenti ssants cocoricos .

C'est l'époque de ia fenaison.L'heï"be coupée jonche encore les prés .

U n'y a encore personne dans les champs ,

seu~e

, une ce !·taine activité se devine dans ks cours de quelques te.n11es que nou s aperçevons .

Nous ne traversons pas la vilte de Tours.

Pour abréger la c:Wtée du voyage no- tre car va rouler sur l'autoroute

Aqu~-

taine. qui pour la première fois ~st ou ...

~~rte.

ius qu-'à. Pqitiers ,,

~*

'C)""

îl"'-

~

r

'

(9)

L'a.uto -o u te e st à cu atre v oies sépa-

rées aL. mi.ieu

par

.;n

i ong rail

de sé-

ct.11ité. Eli e es t i Je2.u co u p :-n o i ns dan -

ge n n .s e qu'une rou te nor ma le , ca r

eflg est

pit

s

'.arge ·et

to ut e d roite .

Le ' s v oiturè s peuvent s 'y croi ser en .t9ute s écurité g râce au x de ux se n s c ontrair es de c irc ul ati on . Nou s ro u-

>:ms

auss i v;t e

que

neaucoup

de

voî - _;Ji·es 2:

:1ou~

d ép ass o ns les 2 ch e-

V?-UX

et certâin s

autr~s

véh icu l es .

. \~.JLs

d o rr :îi. c r. s !? . ro ute et nou s dé-

·~.ouvrons 1arger.te11t

le paysa g e.N ous

~~assor.s

au - d ess u s de

1a

Lo ire

et

du . Ch er âv ec leurs ba ncs de· sab le.Nous

ap e"cevon s les haut s im me u b les

ci~

oi erre s bl a nc nes

r

uu x t o its

d'ardoi$·e~

d es qJ a rti ers neuf s · d e To u rs ·.

D ans es f ues que nq us

SUI plombon~

les v oitures r essemblent

à

d e

gro~

1 n s ect es en pl e ine aqt ivit é .

h.i· squ 'à Po.tier s , l'a utoroute est un

: o . n g r u ban oui c. o upe le d a rni e r d e s

bl és ,·

d~s

maïs , des · prés vert;:; de!:

c ha mp s çle m o. utarde au j aune éda-

t~·nt

.. L'ayt o rou. t e ne trav er se au c une

agglomé~9tion

, maf s -n pus ap e rc e - von s

ç~

et l à. de n o m b reuses g e ntil- 1o m rn ières et de belles fe rm es for- t ifiées· .

G

(10)

0 ..

.. · ..

·· ...

·.~·.::~:::~:r

·'

-~·'Io • • -

'.I~:: ..

"::r :·

-~··

Notr e car abando nne l'auio;·outt: à la sortie de Poit ie r::; et

retnA1\re un~ i"OU-

te qu ! trav erse des 'vill ~1~ es : 1:: rq a 1"11b e

de

c!Ji,·;:;s rivi èr es· ,

gr hnpe de~~t.;11d

, sè rpe n·\. s' abrite ,sou s di:: ve; ts

0111lH?.-

9es , A,

Cou!o~ôters 1

· à quel qu es k\- l ùmètres de

Poiti.~rs

, au somm et du v illage ,

i..I

n

agréa~le

enclos

no~s

a< -

cueille pour

le petit

d, éjeune.r ,

L'her-

be est encore humid~- d e ro sée ,auss i

!e s casse- croûte sont vite en glout is

. '

A !ors que nous remonton s da ns le car,non s apercevo ns nos petits ca ma rades poitevins qui ·: à:ftendent le ca r de «transports sco lai res )) Il s portent·

encore !e ur lourd' cai fabte, alors , qu e peu r nous , s'o uvre déjà la routè des va cances .

Les panneaux p~iblic.-r~~~ires

nous

;enseignent s ur les

110111:>

:J es locali-

t-às ~~ ... des régions.

que'

nous

t,rave1 - s o:i s .

";' ~ .. ~!/'.~'=··::..: 1.

··- 1

L: us ion ari'" e . st le pays de la fée M élusi- he; d~ s J11~'i5,à r ons et des tourteaux fro

mag.s·r,

.

s·;·::·~:

. ,/:-'

Rohan -Ro::a n a un nom tout chantant.

Le ~ ver.tes De ux- Sèvres ., do.nt la ~api ­ t ale est . Ni o rt , s ' ont le pays· desjrÔ~

_ mc;.ges d ~ .. ç~èvr e_s· · • · , . · · ·_

Dans I ~~ ' P"o itdu àubsistent _ beauc.eup plu s d~)l a n~.e?. 9 . üe ch èz no'us.Nous - y

àp€ r ce vo n ·~-. uô êheval-'. tirant une char~

~~~ ~ ~~r-

.. _-

rue . D~ ~:~r ri o. trë"xéglon , l es tr.acteurs

~~~~~ ~ . ·.: ' o. nt rempl acé partout l'animal . ... Las

,,,.·,,,,;.• ..

,., ...

~.

Deux-Sèvres se consacrent au petit

· " élelÏ._age et nou s pouvons

y

voir d'im ...:

oo rt?nts t r oui,;eaux de chèvres :

'·.

a_,\•

(11)

lili

Dans ces deux départements l es rn ai ...

sons

1

aux murs de pierres ocrée . s e t aux toits de tuiles romanes

1

se res - sembl ent .

Av fur et à

me~ure

qu e noùs roulons l e c.iel semb le plus b leu , ie paysage plu s lumin e ux. Nou s arrivons en Cha- r ente-M aritine . De Saintes ,nou s aper'""

. . cevon s l'arc de triomphe romain . Le paysag e devient très plat et nous t ra··

· versons l'Auni s plantée de v ignes .

No us a.perc evo ns enfin fa vilf e de

Mescher~

nich ée dans la verdu re P.l J a mer bleue et arge nt,au pied de hau-

~es

fa lai ses crayeuses .

La colonie Les b âtim. ents

G

L'as pect des bâtiments nous. sur- prènd beaucoup . Il s ne ressembl. enf pas à ceux d 'un e colonie de vacances mais . à un e belle et grande maison bourgeoise .

ils se composent d'une rotonde , sui-- vie d'üA pavillon à uri .étage aux ou-.

vertures à la partie supérieure en for..:

me d'arc.

il est protégé .par une to'iture à · deux

pans à f aible

pen~,

couverte de tui-

. les romanes de teinte claire .

(12)

G La rotonde abrite le bureau et te ,o-

gernent du directeur. i..e rez de chaus- s ée du pavillon est réseiVé à la cuisi- ne au r éfectoire et aux réserves . Al.

premier étage , sent instal' és le de rt- o ir le yestiaire et le groupe sanitaire.

Le premi er étage s 'ouvre s LAr une ba-

!u stre en f er forg é . En s 'y accoudant on aperçoit a u loin

l~

Mer .

La

cour de la colonie est plant ée d'herbe et ombragée par plu sieurs arbres dont quelques pomfr'i ers . Au fond de la co ur se trouvent la

salle de jeux et trois granaes t entes de toile bl e ue. En arrivant, nous cté- poson s nos bagages au dortoir , et choisi5'sons notr e lit et l'inst allon s.

Les filles ont un dortoi r particulier.

Jean -Pierre et Patrick couchent aans une pefrce chambre à deux lits parce qi..'il n'y a plus assez de

pl ace au dortoir .

Ces préparatifs sont vit e t ermin és nou s avons hâte d'all er manger et de commencer toutes les activit és pré- vJes .

~

(13)

~

..

Certains camarz1 ûes :mpâtients ont déj3. mis .e maillot d.s bai n so us le sh c rt e u le pantal on .

LES 1\C~lfï V 1 TÉS

A ~A ËS C H E .J{S

... e Ménage

Châc;ue jour . chacun fait son lit flf

·rar:'ge so n ~:1atèri el . . On bal aie les dortoirs

1

le .

·~c

rrasse , la cui s ine et te

ré~ec~ci;-e

à tour de ïôle. C'est vi -

te terminé 1

Trois fois pdr jour, il 'le fa:..t qw e quel:;Le in stants pour mettre là ta- ble et personn.e ne cas se de vais- selie . Les fi lles la lavent et les gar- çons l'essuient .

La

Cui~ine

- L es Repas .

Les 'dies et leurs pl·ofesseurs , Ma- da.7.a

Charnbinaudrt~nadame

-; ricot,

Mademoi.:ioe1l1;.; Juillet font ; a cuisin e et prépa. ènt tes repas . Elles utili- sent un

trè~

grand iourrieau qui fonctionne a .

J

gaz .

0

(14)

<3

.1\u petit dé.ieuner· chacun peut

b oi- re un crand bol de lait, au moin s un demi - litre . Sur chaqu· e table , il

y

a

une montagne de pain , mais il

y a

de gros m angeu r s !

Le s re pas sont copieux et nous

pou

vons

aussi faire

cuire et

déguster.

le produit

de

notre

pêche : de

déli ...

:-.!(:uses

« étri!l es )) , des huitres

fraîches

E.t iodées . A chaque de s- sert , nous avons une çiistribution s uppl émentaire de

gâteaux

t e de

bonbons.Les

go urmands sont

ravis.

Les Activités a Meschers .

La Plage - Le Bain

Le matin , nous

allons à

la plage des

<<Nonnes>>

pour nous baigner ou à- l a

·plage des« Cadets» pour pêeher

~-

Pour le bain,i l y a 4ne limite à ne

pas

dépasser et un CRS s urveille la bai- gnade . Cela n'empêche pas de temps

à

autre , de boire une cc petite tas se >) bien salée, quand Il

y

a beaucoup

dE;

vagues.

.

(15)

Q

· 0

Certai ns camarades savent nager 1e crawl , mais d'autres , pataugent ou barbottent et s'éclaboussent d'eau clairè en-riant aux éclats .

A Saint'.-Georges de Didon ne , les C R S · , maitres-nageurs sauveteurs

· possè . dent une vedette à moteur .

L.A PLAGE

Après le bain t o n o"rganise un e partfe de footba ll s ur la pi ag e. On peut aus - si participer à des concours de des- sins s.ur fe sable .

Un

peu~

utiliser tou s les matéria ux qui sont s ur la plage : galet s,coq uH- l ages atgues, épaves _ _, ï 2stes de f il ets.

Mon~ieur

Arnau lt réa fi se un e barqu e av ec d es planch es éc houées s us J e

~2h!p

Patrick Pasquier gag ne le co ncou r s So n bateâ u de pêche possède un mât e n boi s et il traîne un fil et qui , autrefoi s , étai t un sac de pommes · de t erre . Le var ech imite le

~nouve-·

ment d es vagu es .

Cinq prix sont d istribués ..

, ·. . · ... :r . .. :

·Le bateau

de : P.atdèlf

.'· ·' ' .. 1

(16)

ta pêche au)I: carrelets

Les Activités a Mesch er s .

LA PÊCHE

A.

~a

pêc he a ux mo ules moul es

·moules ! ...

G

: La pêc hè

l . a

chan~on

sonn e clair,te matin .dans

f a

~ '

.'rüe d

.

es · cc fa l a i ses·

. ..

>~ .

L~.

S . E S de Mo _ nto ire

p~ut

vers son lieu d e pêche, l a «pl age des Cadets» ..

C'est une petite crique abritée par d es f alaises et qui se t erm ine à ch a-

que extr émité par de gros roch ers s . ur lesquels vient se bri ser l a mer.

lis s u ppor:terit des .ca banons de bois

< . r

qui

abrite~nt

c hacu n un treu il permet - tant a ux pêc he urs l.oca ux de des- ce ndre o u de remo nte r un carrelet .

A m arée basse . , la · mer découvre un

cc.

platin » rocheux couvert d'algues

glissa ntes et de pierre s . Les

crab~s

s\or.t n ombreux

?OUS

J es pierre·s et

I~'

varech et la pêc he est bonne . ra- brice se f ait pinc~r par un cra. b è qu '

il lâc he bien vite .

'

'li'

(17)

...

.

.

.

Le lendem ain il J e ·reco nn aît ! . .

Cette

fois~

il · est f q.i! . p.rf§ onnier .L'hon -

neur est 'S· a uf ! ,. ".,

Cert ain s

camara~s

préfèrent « dé- roc her » de s huîtres petites , mai s très nombre uses . . Il est f acile d'en

remplir un p J ein sac .

Dans les flaques , d'autre s r:eu ss is- se nt à pêcher d es petite s anguilles . Personne n e po ssède de cc balan-

ces

>>

ou « d'haveneaux » aussi l es

cr€v ette s ont la chance d e s 'échap- per. On aperço it ég alement quelques médu ses,m ias chacu n sait qu'il vaut mieux n'y pas tou c her .

Après ta pêc he

J plusieu~s

ont la sur- pri se de se retr o uver avec les plan - tes des pi eds toutes entai llées par les coqu ill es d'huîtres . Ils avaient pourtant été prév enus d'avoir à e m -

porter vi eill es sa ndales ou es padril - les . La proc hain e foi s , il s seront

...

plus obéissants .

···, I ~-: ....

:t.,.. ..·. : ......

.. ·,;, ..

.~-;":·, ., '.

,•

\ "

e

.,

"

"

. ....

.. ·:··,

...

-~'

(18)

. ®·

· l.Es . VISITES

A tlH:::;::,Ch'- ,

te vi eux port de pêche

exi ste t o ujours . li n'est pas très im- portant , mais pittores que et atta- cha nt.

So n bass in n' est pas profond , m ais vase ux à mareé basse.-Q and no us I'

av ons vi sité,d eux «pin asses» de pê- c he , très vi eilles et à la peinture t o ute écaill ée ,

y

ét aient se ules ,

cc m o uill ées . » ·

Quelques (( barcasses )) étai ent a u

« sec

>>

s ur la jetée

t

con struite avec

. :t e gros gal et s .

Une anc re enorrne ,

1 ~nyée

par

-i'

ea u de m er demeurait expo sée sur

I~

pl a-

ce du

po1t t.t

évoquait_en

no us ,

des

· im ages. de flib ustes !d' équipages . d' ave ntures . de départ s .

Autrefois , sur ce petit port , les b a- teaux de p êch e acc o stai ent nom-

breux et les habitants pouva ient

y

ach et er direct em ent l eurs

p~l~sons.

Le Port de Meschers

..

(19)

<;;

Aujourd'hui , les jeunes marins- pê:-- cheurs débarquent plus volontiers à Royan .

G

Mais , les vieux pêcheurs retraité$

c' ontinuent à venir fumer leur pipe

s~r

le môle dtescale du vieux port

Nous en avons vu un,.au vieux visa- ge encore tout tanné , qui jetait du pain aux mouettes , s'aventurant dans l'estuaire de la Gironde .

~ ~

Royan

Avant de

~·isiter

Royan , nous traver-

s .. .) ns Saint-Georges de Didonne.Nous

long eons une belle anse de sable blond , bordeé de hauts pins mariti-

mes . En arrivant à Royan, nous sui- vons la côte.Tout le long de la route en corniche ,nou s ape rcevons de ma- gnif iqu es villas qui ressemblent à de petit s châteaux Gt de grands hôtels dè IL1xe . Tout le reste oe K9yan est

une "itUe. neuve reco.nstrµit~ apr~s les

destructions de la dernière guerre . Avant d'arriver sur le port , nous

avon~

pu apercevoir l' église

n~uve

. et toute moderne , de Royan . El l e nÇ?

ressemble pas aux éd ifi ces que nous connaissons . Sur

I~

port, nous som- mes surpri's par une véritable forêt de

· mâts ... ·

(20)

11 y a là des voili ers de . t o utes taill es

et de to utes na ti o nalités . Il

y

a des b âteaux à un mât,à deux m âts e t m ê-

me à d A · ux o u troi s c oq ues . Un cata- maran porte le nom .bizarre

d~

cc Bel- lero phan » . Dans sa cabin e,on aper-

~0 it la ro ue e n acajou , du gouvernail

..

Des marin s- pompiers r epeignent unê g rosse vedette

rouge~Un

peu plus lo in des pêc he urs cha rge nt leur bateau

avec des cas iers et des f ilins qui por- tent de g ros · f lotteurs .

1

Un e gra nde « barg e » décharg e d u sabl e .

Un peu partout,d e nombre ux t o uris- .:tes fl âne nt , observ ent les mo uve-

ments du port et comm e n o us,pren-

· . ne nt des ph ot os-so uve nirs .

T a fmonf

0

Tal . mo nt . est un e t rès.- a nc ienn e bo ur- gade côti ère des enviro ns d e M es- c hers .

Le s rue. lie s tortueu ses et pittoresqu es . du vi llage so nt ,

l'~té

, le domaine dse

P

,~:; . i nt1·e.. .. ~ s

.

-l ' église , bâtie 5llr un 'Contrefo rt ro- . c he ux qui do ~ i n e .l a mer est u n éd ifi -

ce roma n .

~

"

(21)

;;

..

So n arc hitecture ne no us a pa s s ur- pri s . Ses voûtes et ses arcs en plein Ci ntre resse mbl ent à ceux de la Cha - pelle Sair, t -G ille s , de Montoi re et de l' É gli se de Lavardi n , qu e no u s avons vi sit ées .

L a maqu ette d'une caravelle était

$USpe ndue dan s une petite chapelle latér ale .

C'était

peut-ê~re

un ex vota offe d par des m arin s rec onn aissa nt s , sauv és

d'u n naufrage .

A l'extéri eur, le ci m e ti ère est rest é en pl ace , autour de l' ég li se .

Au pied du prom o ntoire roc heux s ur l equ el est bâti e l' ég li se , de s habi - t ant s du pays, po rta r. t d es c ui ssa rd s, pêc haient à marée desce nq ante avec des grand s carrelet s acc t·ochés à

u ne perch8 .

No us aven s ir.terrog é un

pêc~1eur .

Il se pl aîQn ait,La . pêch e était mauva iL se : l 'estuaire de la Gir onde est de plus en plus /)O l. Iu é par

!·9S

déch et s pétroli er:; et l es

résidLtS d~ t,\Sin~ .

G

(22)

,,:

•I -~

:•

G

. ,,,. ..

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.~·-\. •.

·:·· ·. .

...

Les Veillées .

_..;près

le

cîner

du

de~:xièr,·e l~ur.nou~

avons

organisé

L!ne veillée .

l'~ous étions tous

assis

en rond , s1..ir

i 'h e rbe, dans la cour de la colonie .

Qu elques cama rades

o;·,t racorté

des histoires

comiques

qui noL.s ont bier

·fâit

rire .

Nous avons chanté e.t dansé et nous avon s

écouté plusieur~

disques.

l ~i chèle , Mârie-Antoinette 'e~ [~fcolè

·( Îi~'terpré·té <(!'Oiseau et :'F.i:~~nt >>~

Thie rry le Gue!lamf s'ètà it coiffé d'un

vicl.ix seau et muni d'un

halai . ·

C0

dei-n;er se

trar":>forma

en

fk:r

cou :.;er .

'

l1i

le

(;! .ev~.Lll ;;a~t

comme un

r.ow-boy

. .

... .

. "'.; ·.;,

' , • L

emertLe .

· .. ,•

Ensuite , i devenait guitare et

Thier-

ry im ita Joh,1ny Ha\lid3y . Il était

· rnême

me:lle:.ff .

. · .

..

: ·:

Les étoiles .

brillaient dans

le

ciel ,

.qu~p~J chacun

regagna le

dortoir .

..·t ., .

..

..

(23)

e

C J U

- 19 -

... -. -·-· - ···--··· ... -· ·--···-· •....•. ··--·-··· ···- - ... . . ·- . -·-· -·· -··- . ·-·-···•···· .... ·-·-· ···-·-.... ···1

1

Le beau_ voyage est temriné .. _._?'aZô11'!1..~.ussi_._

!

Sa présentation, très, très aérée, en format 21 sur 27 cm, avec de nombreux paragraphes en couleurs différentes et ses linos en 2, 3 couleurs, étaient hors de notre portée tant sur le plan technique que sur le plan financier.

Je me suis permis, tout en conservcr./lt intégralement les textes et les illustrations de l'original, de faire une remise en page un peu plus dense et vAe reproductian moins colorée.

J'espère cependant ne pas avoir trop trahi le beau travail des jewies imprimevxs de Montoire sv.r le Loir.

-·~--·-·---·--·-· -·-····--···-···---···--·-·-···---·--···--··-··-· .... - ... ... P. Ve met ... _ . ....:_J

commencement

Nov.s laissons la parole Gérard Ferrand :

Depuis 2. ans fonctionne au sein de la S.E.S. un atelier d'imprimerie type Freinet et chaque trimestre nous so.rtons un journal. La SES formant une section coopérative affiliée à l'OCCE, nous recevons chaque trimestre le bulletin de li- aison départemental de cet organisme. Le numéro de février 1977 proposait am-:

coopératives scolaires le t>.ème d'étude suivant : .-'L'alimentation autrefois et av.jov.:rd'hui .. '. En vue d'un travail global et comme le recrutement de nos élèves est essentiellement rural, nous avons reproduit le questionnaire du bulletin OCCE et l'avons fait distribuer par l'intermédiaire des enfants clans toutes les famil- les.

Le résultat a été inespéré : les élèves et les parents ont beaucoup coopéré, tous les enseignants de la SES également. Les réponses et documents nombreux con- cernaient surtout 111 'alimentation autrefois en Vendômois" : le titJ:::'e d.e notre journal était tout trouvé.

Les textes collectifs ont été façonnés en classe de français puis composés et tiré:s à 11 atelier imprimerie.

Toutes les classes (de la 6° à la 0 SES) ont participé, aussi bien pour la composi ti.on des textes, l' ir.1pressio:i, que pour l'illustration base de linos essentiellement).

Notre travail a été soutenu par l'administration et les professeurs du Col=-. lège. La vente de ces journaux, puis de 50 albums sur beau pa?ier, tirés à part, ont permis d'alimenter la caisse de notre coopérative.

Cela nous a permis, en partie, d'aller découvrir la mer pendant 3 jours au mois de juin.

:

··b-;;;~-· i;···-~·~a;,-;-~···-~1ëiiAéiiËi?s-,~~

··-

~·;·~~--··;;~-·z;~·~;·;~~···~~~1;;;·a~.z;~··-;~-·-;:;~~---r

1

méro sur l'alimentation autrefois en Vendbmois, nous nous bor'- j nerons à vov.s donner les titres de chapitre et quelques mots ex-\.

traits de la présentation. P.

v . · .

'·-·----···- --···---···· .......

_

.... .

(24)

- 20 -

L

I

A L I M E N T A T I 0

~

A U T R E F 0 I S

c M

V E N D 0 M 0 I S

" .• A v..ae t§poque où Z.es témoins drvA mcde de vie av.jov.rd'hui âispa::..,.,;. o~J.. en voie

de disparition se .font de pl.us en :?Z.v.s rares, nous pensons qu'il. devient v.rgent de pratiquer des recherckes sur Z.es traditions popuZ.ail"9S. Ces traditions sont en partie Z.e refZ.et d'me vie ruraZ.e intense qui se mev.rt d'une mol"t Z.ente.

L'aZ.imentation autl"efois, comme Z.es coutumes, Z.es contes et Z.égenâ.&s, les croya:aces, Z.es dictons •.. par exerrrpZe, restent des thèmes import~/l.ts à coZ.Z.ecte~

réperto1-i-er, .étudier.

Les textes écrits et rassemblés dans ce journal. Z.'ont été grâce à Z.a persévé- rance de nos jev/l.es gl.èves, à Z.eur dÉsir de TTl";ev..x faire connaitre leur région,

Z.e coin de terre où iZ.s sont nés, où iZ.s ont grandi, où Z.a tradition s 1est for- mée de toute une vie qui a. V/l. passé et un avenir. i;

AU SOMMAIRE : - Les soupes

- Recette du pot au feu - Comment on faisait le

à la maison

à l' ai1.cienne pain autrefois

Pain

à la boulaDgerie Pain

l~s resLrictions de nain

C-érard Ferrand

LE

PAIN blanc, pain de froment d'antan et de maintenant

- Une vieille recette du

xrv

0 - siècle: Pain gris, pain des ennuis

le Blanc-Manger - Les légumes

- Les viandes

le civet à la Montcirer.ne la viande èe porc

comment on préparait les jambons fumés - Les poissons de rivière

MateloTe d;anguille - Les poissons de mer

- Les frimages ;

- Les desserts - Les vins

Pain des soucis et pain de la nuit Pain èes festins et des cachots Pain de c~iens et pair. des oi seaux Pain blanc, pain gris

Pain mon ami, pain de la vi e.

T R 0 I S J 0 U R S

A

~

E S C H E R S

Ce voyage scolaire de fin d'année a été rendu possible grâce à la vente d~s

3 journaux scolaires Lrimestriels que no~s imprimor.s, à la fête de fin d'année, à la générosité du foyer socio-éducatif du Col:ège, de l'Association des parents d'élèves Cornec du Collège, des nombreuses municipalités du canton de :1ontoire qui ont voté une subvention en faveur de notre action et à la bienveillance des Amis de l'Ecole Laïque qui nous ont prêté gratuitement les locaux de la colonie de Montoire sise à Mas chers, près de Royan.

Cet.te expérience a également été tentée afin d'intéresser les e.utori tés com- pétentes sur la nécessii:é de création d'une classe de mer. Suite à notre action, le Conseil Général du Loir et Cher étudie le dossier présenté par les Conseillers Généraux· intéressés. Dans quelques années, i:fontoire sur le Loir, bourgade du Vendômois, enverra peut-être périodiquement plusieurs classes découvrir les ri- chesses de la Charente Maritime. Nous l'espérons de tout cœur.

Gérard FERRAND

..

...

(25)

2

- 21 -

···-· ... -······-····-···-···--·" ·-·1

A lire Gérard Ferrand, tout parait possible,

i

presque simple et faciZ.e •.. cependant, il. faut · bien se rendre compte que l 'organisation d'vfi te Z. voyage dans Z.e temps et dans Z. 'espace deman- de une Z.ongvE préparation, de muZ.tipZ.es contacts à prend:t>e, des difficultés diverses à surmonter. Dans Z.e cadre d' ENTR'AIDE PRATIQUE, nous donnons

i

ci-après Z.es diverses démarches entreprises pour

i

, qu'aboutisse Z.e Voyage à Meschers !

!

l...;.•1•-•,.·-•••-u••••--••-•••••.,-·-·-•-•••-•.-•••••.,.,-~·•••-••••·--·--•--••••o.i.--.••----···-·--•'-' __ _.,.,_,., _ __ •

f

,p

or g ani satio n

du voya ge

Document 1 Document 2 Document 3 Document ~

Document 5

- 4.~.~2.:!}§_~ .. .2.:_~~!-.9.!:~.?-~!-J.9.!.L à Monsieur 11 Inspecteur d'Académie. - .P.E.?.J.~-~--~~ .. -i:'!.~P..~~~.~-~~I.?-

:t: ..

-~~9..~.9.:~E~ .•

Q..eJl.l.iID.Q.g,_ .. çl.'..~l\-l.t.9..t:i.S..9.-:tJ.9..n d'occuper les locaux mis à notre disposi tien. - demandes de subvent········-··-····· ...

_

.......... ·-... ···-··· ions .. :

a/ au président du Conseil Gén~ral du Loir et Cher.

b/ aux Consei llers Généraux des ca~tons intéressés (Montoire, St ~..mand-Longpré, Savigny sur Braye, Vendôme, Mondoubleau). c/ aux mairies concernées (20 communes).

d/ à la Section départementale O.C.C.E.

e/ à l'Association des Conseils de Parents d'Elèves Cornec du C.E.S.

- :r::.?..l,._~~~.9.!;!,l?.._.~Y.~.9.. J.-~~ .. . f.~i,.)),.~?... :

a/ première lettre aux familles. b/ recommandations aux familles.

c/ autorisation de se baigner

et, pour terminer

9.'3~}.~::.:_:>

_ _

i::._~.~-:. .. -~-~---c:..<?..::.C::!~:..~?!1 de -~~::.d Fe~an~

C' 0 0 000 0 0000

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(26)

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~ 0 rt C Q ,,? Ï.S'. fi' ~ ~ 1\1 ... r, ;:.-t , ... ·'"t ~i ,.. 8 :ri (') •--' <t. ,_. eu <"';~·. _\ r,. rt: ~ w ,, :J (t.\

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